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Taking care of you [Blake] FB

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La journée s'annonce bien. Une chaleur écrasante sera encore au rendez-vous et alors que le Summer Camp approche, Lidiya a décidé d'aller faire du shopping pour s'y préparer. Ouai ouai, elle compte bien mettre la main sur le bikini qui lui fait de l'oeil depuis quelques jours. Et quoi de mieux qu'une journée sans cours pour se charger de cette tâche ?!
Après avoir fait le tour des certaines boutiques, plusieurs sacs dans chaque main et un sentiment de plénitude absolue. La russe se dit qu'il serait peut-être temps de rentrer et montrer à sa tante ses dernières trouvailles. Pfeuh, à coup sûr elle voudra lui piquer ce petit haut bleu à lacés dans le dos qu'elle vient de se dégoter. Irina a beau avoir des années de plus qu'elle, les deux femmes peuvent parfois avoir les mêmes goûts. Lidiya aimerait bien que celle qui l'a élevée une partie de sa vie puisse se trouver quelqu'un de bien, quelqu'un qui puisse prendre soin d'elle.
Sur cette pensée, elle débouche sur la prochaine rue; là son regard est attiré par les lumières caractéristiques des ambulances. Tiens, un accident ? La curiosité étant souvent un vilain défaut, elle s'approche et entend alors quelques mots des passants qui se sont aussi attroupés pour satisfaire ce besoin de remplir leur vie de ragots. De ce qu'elle comprend, une voiture serait rentrée dans une moto, à l'arrêt, la voiture n'aurait pas vu le feux rouge ni la personne sur le deux roues qui attendait patiemment que le tout repasse au vert. Lidiya tourne la tête, un peu dans tous les sens pour glaner d'autres infos. Et soudain, elle découvre la moto impliquée; elle penche la tête sur le côté alors qu'elle fixe la plaque d'immatriculation. Pourquoi est-ce que cela lui semble familier ? L'aurait-elle déjà vue ? Elle ferme les yeux; quelques secondes suffisent pour que sa mémoire fonctionne à la perfection. Lorsqu'elle réalise qui est le propriétaire, ses yeux s'ouvre d'horreur et le nom s'imprime dans son esprit très clairement: Blake, c'est la moto de Blake !!
Ses jambes réagissent sans réfléchir et elle joue des coudes pour s'approcher le plus possible de l'ambulance:

- BLAKE !

Juste un cri franchit ses lèvres, tel le plus grand désespoir. Mais les portes de l'ambulance se referment déjà et un policier lui demande de reculer. Elle tente de négocier alors que les battements de son coeur s'accélèrent. Rien a faire, on ne veut pas arrêter l'engin pour la laisser entrer.
Sa tête tourne alors qu'elle ne sait pas du tout dans quel état il se trouve. Et si s'était grave, et si elle n'allait jamais le revoir ?! Le policier tente cependant de la rassurer en lu disant que la situation ne semblait pas dramatique étant donné l'état de la moto.
Lidiya s'en fiche, elle n'entend plus rien. Elle ne sera rassurer que lorsqu'elle le verra de ses propres yeux, après tout, elle a du mal à faire confiance. Heureusement, l'hôpital n'est pas loin et elle se met alors à courir, comme si sa vie en dépendait, ne prêtant pas attention aux gens qu'elle peut toucher, ses sacs toujours dans les mains.
En arrivant, elle est accueillit par une infirmière qui lui dit qu'elle ne peut rien lui dire pour l'instant et la russe pète presque un plomb:

- Non mais Blake Lee, petit fils de Stan Lee, me dites pas que ça vous dit rien quand même ? Grand ? Beau ? Hyper gentil et attentionné ?

L'infirmière hausse un sourcil et lui lance un regard étrange. Lidiya s'arrête là alors que sa main tremble. La femme en face d'elle lui promet de venir la chercher quand elle aura des nouvelles. Et l'attente qui lui semble ne plus finir commence. Elle fait les cents pas et au moment où on daigne enfin l'appeler deux heures se sont écoulées. Un médecin arrive pour lui dire que tout va bien, juste le choc mais ils ont préféré s'assurer que tout soit en place. Et qu'ils le garderont certainement en observation la nuit. Pour être sûr. Aaaah encore cette expression qui n'a aucun sens:

- Oui bon d'accord, mais est-ce que je peux le voir ?!

On lui laisse la voie libre. Elle arrive d'un pas rapide et pousse la porte. En entrant dans la chambre elle jette ses sacs dans un coin alors qu'elle foudroie du regard la jeune infirmière qui semble apprécier s'occuper de lui:

- Dehors !, lui lance-t-elle, sans appel.

Lorsque la porte se referme et qu'ils sont enfin seuls, Lidiya se jette littéralement sur lui et le serre de toutes ses forces, comme si c'est la dernière fois qu'elle faisait ce geste et lui dit, tout contre son oreille:

- Putain, j'te jure Blake, ne me refais plus jamais ça ! J'ai cru que mon coeur n'allait pas s'en remettre...

Et enfin la jeune femme autorise les larmes qu'elle avait refoulées à monter doucement.

@Blake C. Lee-Stanwinsky
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( @Lidiya Eïbojenko   )
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Tu allais être en retard à ton service. Pourquoi ton putain de réveil n'avait pas t-il pas sonné à dix-neuf heures comme d'habitude ? Bref, tu étais vêtue de tes habilles de pompier, prenant la moto pour aller plus vite et passer entre les voitures. Heureusement que tu avais mis tes gants de protection, le casque et tout ce qu'il faut pour être protégé en cas d'accident. Cela faisait quelques minutes que tu roulais sur ta bécane, t'arrêtant au feu rouge. D'habitude, tu faisais la guerre à ceux qui ne respectaient pas le code de la route, mais aujourd'hui, tu n'avais pas le temps. Soudain, tu sens une voiture te rendre dans la moto de plein fouet, te propulsant quelques centimètres en avant. Tu avais fait quelques roulées boulées. Le choc était dur et tu avais mal à chaque partie de ton corps dû au choc. Ouvrant les yeux, tu vois quelques collègues qui s'occupaient de toi. Puis plus rien, tu étais parti dans les vapes. Quelques fois, tu te réveillais le temps de voir où tu étais pour repartir dans les pommes. DEHORS ! Ce mot et surtout le son de sa voix avait eu le don de te faire ouvrir tes yeux bleus. Tu pouvais la reconnaître entre milles. Scrutant chaque partie de la pièce, tu te rends compte que tu n'étais pas chez toi, ni la caserne. Tu essaies de te redresser, en comprenant que tu étais à l'hôpital. Soudain, tu sens deux mains ou plutôt qui un corps qui était contre toi. « Lidiya ?! Mais que fais-tu ici ? Où suis-je ? » Plein de questions résonnaient dans ta tête. Néanmoins, tu gardes la Russe contre toi. « Ça va aller, je ne suis pas encore mort Lidiya. Dis-moi juste que je peux sortir d'ici, je ne veux pas rester ici » Tes yeux se posent alors la chaise « Où sont mes vêtements de service ? » Mon dieu que c'était moche, cette chemise d'hôpital. Puis, tu sens quelque chose de mouiller contre ton épaule. Fonçant les sourcilles, tu prends le visage de la jeune femme de vingt-quatre ans entre tes mains. « Tu sais que tu es très moche quand tu pleures. » Tu te mets à rire, mais rapidement, c'est une grimace qui vient s'afficher sur ton minois. Les côtes te faisaient mal. Néanmoins, tu viens sécher les perles salées grâce à tes pouces. « Il y a eu plus de peur que de mal juste quelques petites égratignures, je vais pouvoir encore t'embêter. » Une de tes mains se pose dans la chevelure de Lidiya pour lui caresser doucement sa crinière blonde.
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De voir Blake là, dans cette chambre d'hôpital, sur ce lit hyper flippant et dans cette sorte tunique hyper moche, ça lui fait clairement mal au coeur. Lidiya est complètement paniquée et elle tente peu à peu de reprendre le contrôle de sa respiration. Il lui répond, il a l'air d'aller bien. Pour la première fois depuis qu'elle a eu connaissance de son accident, elle peut enfin commencer à penser "plus de peur que de mal", malgré tout ce que les spécialistes ont pu dire. Les spécialistes, elle s'en cogne, tant qu'elle n'avait pas pu vérifier elle même son état, elle n'allait croire personne.
Il lui demande ce qu'elle fait ici et où il se trouve. La russe ne répond pas tout de suite, elle prend un certain temps pour scruter son visage, comme si c'était la dernière fois qu'elle le voyait. Oui elle s'en souvenait très bien, merci mémoire, mais aujourd'hui elle voulait le connaitre par coeur; car on ne savait jamais; on ne savait jamais, et si... A cette nouvelle pensée, les larmes coulent, silencieusement sur ses joues. Blake les essuies à l'aide de ses pousses. Lorsqu'il lui dit qu'elle est moche lorsqu'elle pleure, Lidiya ne peut s'empêcher de rire, un rire franc qui indique qu'enfin, toute la pression vient de retomber.
Instinctivement elle pose une main à plat contre sa joue et une autre contre son buste; elle a besoin de ce contact, elle a besoin de voir qu'il est bien là et qu'elle n'est pas en train de rêver, qu'elle ne s'est pas endormie sur une chaise de la salle d'attente et qu'on ne viendra pas la réveiller pour lui annoncer le pire. Elle a besoin de sentir qu'il est vivant. Elle se perd dans ses yeux bleus alors qu'elle décide enfin de lui répondre:

- T'as eu un accident Blake, tu ne te souviens pas ? Je passais par là quand ils t'ont collé dans l'ambulance, j'ai reconnu ta moto... Les mufles, ils n'ont même pas voulu que je monte avec toi...

Suite à cette conclusion, elle fait la moue, marquant clairement son mécontentement sur ce point. Oui parce que dans l'idée il aurait fallu qu'elle soit là tout le temps, bah ça aurait évité qu'elle s'inquiète trop. Maudit brancardiers va !
Elle s'autorise à lui accorder un faible sourire:

- Pfeuh! Mais encore heureux que t'es pas mort ! Il aurait fallu que je vienne te chercher par la peau des fesses sinon ! Hors de question que tu foutes le camp connement comme ça !J'sais pas où ils ont mis tes affaires, faut demander à quelqu'un. Attend, t'as pas un bouton pour appeler une infirmière ? Si c'est l'autre gourde qui se pointe, elle va le regretter...

Et elle le serre une nouvelle fois contre elle, mais bien plus délicatement. Non mais calme toi Lidiya, ça sert à rien de tout coller sur le dos de cette pauvre fille qui se trouvait il y a quelques minutes ici. Ouai, mais la russe n'a définitivement pas aimé le regard qu'elle avait en voyant Blake. Si elle rappliquait de nouveau, elle avait intérêt à ne pas broncher.
Lidiya se reprend un peu. Elle renifle et s'essuie le dessous des yeux délicatement. Aaaah bah voilà, adieu le mascara ! Heureusement qu'elle utilise des produits soit-disant waterproof, elle devrait pas en avoir partout. Oh et puis après tout elle s'en fiche pas mal ! Elle reporte toute son attention sur son ami:

- Ils ont dit qu'ils voulaient encore te garder un peu, histoire d'être bien sûr que t'avais rien du tout... T'as mal où exactement ?


Bah oui, la question con maintenant... Ma poule, tu les collectionnes dis-donc. Oui la jeune femme devait se douter de la réponse, mais elle n'avait pas pu s'en empêcher.

@Blake C. Lee-Stanwinsky
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( @Lidiya Eïbojenko   )
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Décidément, tu voyais Lidiya dans des circonstances quelque peu communes. Après que tu l'aies sauvé d'une agression, maintenant c'est toi qui se retrouves à l'hôpital après un accident de voiture. Tu étais quelque peu surpris que la jolie blonde soit aussi proche, démonstrative alors que lors de votre dernière rencontre, elle était réservée dans ses gestes d'affection. Mais tu la préférais voir ainsi avec toi. Sentant sa main contre ta joue et l'autre sur ton buste, tu n'oses plus vraiment bouger de peur qu'elle s'envole. Un petit sourire c'était dessiné sur ton visage, la regardant dans les yeux. « Je me souviens que j'étais sur la moto en train d'attendre que ça passe au vert puis le trou noir. Normal, faut que tu sois de la famille ou bien la conjointe pour qu'il te laisse entrer dans l'ambulance. Peut-être que si tu avais dit que tu étais ma copine, même si un mensonge, ils t'auraient laissé passer. » Pourquoi la Russe n'avait pas dit qu'elle était ta petite-amie, peut-être qu'ils l'auraient laissé aller avec toi dans l'ambulance. D'habitude, ils ne vérifient pas ce genre de liens pour savoir la vérité. « Pourquoi, ils veulent vérifier que j'aille bien ? Je vais bien ! Je déteste les hôpitaux et leurs aiguilles, surtout leur bouffe est dégueulasse. Super, si tu veux faire un régime expresse. » Regardant autour de toi, tu vois le petit bouton pour appeler le corps médical en cas de besoin. Attrapant le petit boîtier entre tes mains que tu montres à ton interlocutrice, Lidiya vient se recoller contre toi pour te serrer à nouveau contre toi. Doucement ton bras vient enrouler la taille toute fine de la Russe. En entendant les dires de la future Dunster et traiter l'infirmière de gourde, ton cerveau fait vite la relation entre le mot dégage. Enfaîte, c'était Lidiya qui l'avait dégagé comme un caca alors qu'elle s'occupait de toi. « Qu-est qu'il t'arrive ? Elle ne t'a rien fait cette pauvre demoiselle. Pourquoi tant de haine contre elle ? » Baissant la tête d'un air penaud puis redresse la tête en te mordillant les lèvres « Oh non, tu n'as pas fait ça. Ne me dis pas que tu es jalouse de cette nana ? » En tout cas, ça y ressemblait. Un petit rire sort de ta bouche qui te rappelle presque immédiatement la douleur aux côtes. « Aux côtes, surtout, quand je me mets à rire. » C'est alors que tu te mets à sonner grâce au petit bouton. L'infirmière qui était là quelques minutes avant, pas de chance Lidiya.
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La situation aurait pu être bien comique dans un sens. Mais Lidiya avait tendance à rajouter ce côté dramatique. Elle devait se reprendre et bien vite, elle en avait assez que son cerveau joue la Dame aux Camélias.
Et il finit par lui dire qu'il ne se souvenait pas de grand chose après le choc et si elle avait dit qu'elle était sa copine, ils l'auraient certainement laissé montée. Mais oui bon sang! Qu'elle cruche !

- Pfff j'y ai même pas pensé..., dit-elle alors qu'un air dégouté vient s'afficher lentement sur son visage. De toutes les façons, j'pense pas que j'aurais servi à grand chose dedans... Après tout ils connaissent leur métier...

Bravo Lidiya ! Enfin tu reviens à la raison et évites de te comporter comme une hystérique ! Il en a fallu du temps !
Au mot aiguille, la russe frissonne. Elle non plus n'aime pas ça. Si elle n'a jamais vraiment eu besoin de fréquenter les hôpitaux avant, elle doit avoir que l'endroit colle carrément le bourdon. Elle reporte son attention sur Blake alors qu'il manifeste clairement son envie de partir:

- Détend toi. Je comprends... Mais ils ont dit que c'était la procédure, qu'on ne savait jamais...

A ses mots, la mâchoire de Lidiya se crispe. Ouai, bah il fallait mieux qu'ils prennent leur précautions... Parce que si quelque chose d'autre lui arrivait, les médecins allaient passer un sale quart d'heure, paroles de russe !
C'est au tour de Blake de lui dire de se calmer. Ouai Ouai, elle sait. Elle a peut être un peu abusé avec l'infirmière. Mais soudain la réalité lui explose en plein visage alors que son esprit est en train de jouer la scène où elle étrangle de ses propres mains l'employée, en mode dessin animé. Ooooh merde, merde et re merde ! Lidiya se redresse légèrement alors qu'elle est toujours dans les bras de Blake. Et c'est là qu'il lâche le mot: jalouse. Naaaan ce n'est pas possible... Pourtant, faut clairement se rendre à l'évidence...

- Moi ? Jalouse ? Pffff n'importe quoi ! J'étais juste inquiète qu'elle ne fasse pas quelque chose correctement !

Baaah voyons. Fourre toi le doigt dans l'œil jusqu'au coude et ça ira mieux. Elle accompagne sa phrase d'un petit rire. Rire jaune, très clairement. Bon au pire, ça passe tranquille et Blake capté rien. Il doit toujours être un peu dans les vapes avec les médocs qu'on lui a donnés:

- Bon OK, je resterai sage et tenterai de ne pas faire de blague vaseuse pour pas trop solliciter tes côtes alors ?!

La vérité, c'est qu'elle était bien plus soulagée en le voyant rire. Mais elle ne voulait surtout pas qu'il puisse avoir mal à cause d'elle. Il appuie sur le petit bouton et la gourdasse qui était là plus tôt refait son entrée, roulant des hanches, d'une manière pas du tout obvious... Petite farce calculatrice ! De mieux en mieux. Tel un dragon gardant son trésor, Lidiya vient se positionner près de son ami:

- Il a mal..., lâche-t-elle d'un ton froid.

Bon OK, faut vraiment qu'elle trouve un moyen pour brouiller les pistes et paraître un peu plus gentille. Par le plus grand des miracles, elle arrive à se coller un sourire sur le visage, censé être adressé à la dite infirmière. Mais c'est sans compter sa main qui vient instinctivement se poser sur le bras de Blake. Ouai, Lidiya était vraiment foutue...

@Blake C. Lee-Stanwinsky[/b]
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( @Lidiya Eïbojenko   )
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Tu ne lui avais pas demandé explicitement de se calmer. Mais tu trouvais sa réaction totalement demeurée et quelque peu exagérée. Tenant toujours Lidiya dans les bras, tu mets ta tête légèrement en retrait en fonçant les sourcilles. À quoi jouer t-elle ? « Et c'est moi qui mets la marmotte dans le papier d'alu aussi. Si tu es jalouse ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Je t'ai entendu comment tu l'as dégagé. En tout cas, ça y ressemble. » Okay, tu étais un peu shooté par les médicaments, mais tu restais lucide. Shooté, mais pas aveugle ni con. « Je crois que c'est mort pour les blagues, je rigolerais quand même. C'est plus fort que moi. » Tu avais maintenant appuyé sur le bouton pour appeler l'infirmière. Manque de bol pour Lidiya, c'était la même qui était présente quelques minutes avant. Elle te demande ce qui n'allait pas en s'approchant dangereusement de toi sous les yeux médusés de la Russe. Sentant la main de la femme de vingt-quatre ans sur ton bras, tu lui lances un regard perplexe, à quoi jouer t-elle ? L'infirmière part alors chercher deux médicaments pour contrer et faire partir la douleur. L'infirmière s'approche de Blake en le fixant dans les yeux lui tendant un verre d'eau avec les antalgiques. Lorsqu'elle était repartie en roulant bien des fesses, tu prends enfin les médicaments en les avalant d'un coup grâce à l'eau. Mais avant que l'infirmière puisse partir tu demandes à récupérer tes affaires, histoire d'enlever cette merde de chemise qui arrivait à tes genoux. Heureusement qu'il y avait le caleçon, sinon bonjour la gêne ultime. Mais non ce n'était pas possible pour le moment. Une fois, l'infirmière définitivement partie, tu attrapes fermement Lidiya par le bras, mais pas trop fort non plus pour la mettre face à toi. T'approchant doucement de son visage en la fixant dans les yeux, tu lances dans un souffle, pouvant limite sentir ton souffle contre elle. « A quoi tu joues, tu peux m'expliquer ? »  Dis-tu en scrutant chaque détail de son visage. Tu veux jouer à ce jeu ? Jouons.
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Il devenait clair que Lidiya s'enfonçait dans une sorte de bourbier sans fond. Mais bordel, pourquoi il fallait qu'elle devienne si instable? Elle hausse légèrement un sourcil et ne peut s'empêcher de pouffer de rire lorsque Blake sort l'expression avec la marmotte. Lidiya a toujours trouvé cette pub drôle mais complètement absurde et à chaque fois qu'elle donne son point de vue, elle peut être sûre de se retrouver avec des paires d'yeux braqués sur elle, comme si elle venait de blasphémer.
Elle déglutit péniblement et ses lèvres tremblent doucement alors qu'elle tente de trouver quelque chose à répondre. Non, rien ne sort. Jeu set et match, Blake a remporté le point. Enfin pour l'instant. La russe n'a pas l'habitude d'être aux prises de tant de faiblesse... Et elle se refuse d'y céder, même si, avouons le, elle en aurait bien envie. Aaah douce tentation. Non mais tu fous quoi là ? Elle lève les yeux au ciel et reprend une certaine contenance alors que l'infirmière revient. Bon sang ce qu'elle peut lui taper sur les nerfs.

*respire Lidiya, respire... Garde le contrôle...*

Mervi zenitude intérieure de faire ton apparition dans un moment comme celui là. Elle continue d'afficher son sourire commercial, juste pour elle. Quel honneur que lui faisait la jeune femme ! Même si, en réalité, l'infirmière aurait pu y passer si elle avait des flingues à la place des yeux. "Je crois que c'est mort pour les blagues, je rigolerais quand même. C'est plus fort que moi." Lidiya prend un air faussement choqué:

- Mais est-ce que tu te ficherais de moi par hasard ? Quelle honte, alors que je me fais tant de soucis ! Si c'est comme ça t'auras pas droit à un traitement de faveur tiens !

Suite à cette remarque, elle lui accorde un clin d'œil et se permet même de rire, l'atmosphère se détendant enfin. Elle n'a pas remarqué que l'infirmière était sortie et c'est tant mieux. Leur petit manège a totalement effacé sa présence insignifiante pour la russe.
Mais bientôt un hoquet de surprise vient s'étouffer dans la gorge de la jeune femme alors que Blake lui attrape le bras, fermement mais sûrement. Elle est prise aux pièges alors que les yeux bleus du jeune homme captent les siens, l'enveloppant totalement et étendant son irrésistible emprise. Il lui demande à quoi elle joue. Il est trop près, beaucoup trop près. Chaque partie de son corps tremble intérieurement alors qu'elle doit faire un effort surhumain pour se contenir:

- Blake je...

Elle bafouille et perd peu à peu pieds. Et merde elle est grillée... Faut qu'elle trouve un truc et vite, sinon...

- Je m'inquiète pour toi, c'est tout... J'étais morte de trouille, je savais pas si c'était grave, t'aurai pu y rester...


Pire excuse EVER!! Les joues de Lidiya s'empourprent alors qu'il continue de la fixer. Elle retient son souffle alors que la bataille fait rage entre sa raison et son pauvre petit cœur. S'il continue à la regarder de la sorte, c'est elle qui va se retrouver allongée sur un lit suite à un trop plein d'émotions oui !

- Blake... T'es un peu proche... C'est pas juste... Tu m'fais quoi là ?


Et re merde. Pourquoi avait elle dit cela ? Elle se mordit la lèvre inférieure, signe classique qu'elle se trouvait dans une situation délicate alors qu'au fond d'elle, elle était persuadée qu'il avait tout capté. Ou peut être que le légendaire sens défaillant des mecs pour interpréter les signes allait enfin servir et jouer en sa faveur...

@BLAKE C. LEE-STANWINSKY
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