NOVELLA FRANCESCOV ► Lalisa Manoban

caractèreNovella t'es une grande allumeuse qui n'hésite pas à jouer de ses charmes pour avoir ce que tu veux. ✻ Tu as une énorme carapace autour de toi, et tu ne laisses personne la franchir et rare sont celles qui y arrivent. Tu préfères repousser toute forme d'attachement depuis que tu es abonnée au cœur brisé. ✻ Tu aimes prendre des risques et pourtant, tu sais que tu vas te brûler les ailes. ✻ Tu es provocatrice et cherche toujours la complexité là où il n'y a pas lieu d'être. ✻ Accro aux vêtements, chaussures, sacs, parfums, quand une nouveauté sort, il faut impérativement que tu sois à la mode et tendance. ✻ Tu aimes les sensations fortes, cependant, pour toi, c'est tout ou rien. ✻ Une très forte volonté te caractérise et te permet de ne pas te laisser marcher sur les pieds. ✻ Quand tu accordes ton amitié, tu es remarquablement fidèle. Et tu n'es pas toujours facile à vivre, mais passionnante à voir vivre. ✻ Tu es capable de percer à jour très facilement, ton intuition est excellente et te permet de découvrir les secrets de la vie. ✻ L'échec ne t'abat nullement, les plus cruelles déceptions ne font que renforcer ta combativité. ✻ Tu aimes bien partir à la conquête ou l'inaccessible. ✻ Aventurière dans l'âme, tu rêves de parcourir le monde. ✻ Novella tu es toujours partante pour faire la folle, tu es libertine, impudique, ouverte, gaie rarement triste, passionnée parfois glaciale quand on te cherche. Tu es plus fortement dotée d'une habileté, beauté, talent, art de la persuasion, curiosité, et jalousie. ✻ Audacieuse et originale aussi, rien ne t'arrête. Tu vis ta vie à fond, jusqu'au bout de l'extrême limite.

admission à harvardTes parents n'ont pas eu besoin de secouer un paquet de fric pour intégrer Harvard. Ton intelligence et ton savoir ainsi que ta capacité à retourner les cerveaux, sans oublier ta parfaite bouche sucrée, t'ont permis d'y arriver. Même si t'avais un tempérament de folie et difficile à suivre parfois pour tes professeurs, comme pour tes parents d'ailleurs, tu n'en restais pas moins une élève intelligente et présente, qui malgré le fait de bosser rarement ses cours, finissait toujours par réussir les examens. Beaucoup te jalousaient pour cette capacité. Et donc, c'était haut la main que tu avais réussi le test d'entrée qui te permit d'intégrer la prestigieuse université d'Harvard.

story of my lifeNée avec une cuillère en argent dans la bouche, d'un père russe et d'une mère coréenne, tu fusses accueillie dans le plus beau mélange qui puisse exister. Les journées de ton enfance étaient rythmées par l'éducation. L'éducation culturelle, scolaire, l'éducation culinaire. Et enfin les cours de bienséance, d'étiquette et de maintien avant d'aller se coucher. On pourrait te croire princesse, mais tu n'en n'étais pas une, t'avais juste été élevée de cette manière, car il faut dire que tes parents avaient eu ce genre d'éducation étiqueté depuis leurs plus bas âges. Ton père est policier et ta mère est une mannequine, toi depuis ton plus jeune âge, tu fusses attirée par la danse et le chant. Plus tu grandissais et plus les bonnes manières qu'essayaient de t'apprendre tes parents te pompaient vraiment l'air. A partir de tes dix ans, tu commençais à mieux t'affirmer, de fille sage, posée, douce aux bonnes manières de riche, tu passais à une fille bourrée de défauts, narcissique, parfois égoïste, calculatrice et vicieuse parmi d'autres. Tu es surtout déterminée. Si tu veux quelque chose, tu es prête à l'obtenir par tous les moyens, quitte à mentir s'il le faut pour couvrir tes arrières. Pour une fille de dix ans, tu étais déjà beaucoup trop ouverte, pour la simple et bonne raison que tu n'avais fait que fréquenter des personnes complètement à l'opposé de ton éducation, des personnes avec qui tu t'es tout de suite sentie vraiment toi, loin des étiquettes et de toutes ses bonnes manières à en vomir. Si tu devais te décrire toi-même, ce serait en trois mots, petite garce, parfaite et jalouse. Tu portes beaucoup d'importance à ton apparence physique, toujours bien soigné, toujours bien habillé. C'est d'ailleurs dans la même année de tes dix ans que vous avez quitté la Russie pour vous installer au USA plus principalement à Boston. Tu dois avouer que tu t'étais vite attachée à cette ville qui pour toi était la ville parfaite, le paradis parfait pour les débauches, les mauvaises fréquentations et tout ce qui allait avec. Tu t'étais toute suite sentie dans ton monde, dans celle que tu voulais être. Aux files des années, les découvertes de cette ville ont peu à peu changé la simple gosse de riche en délinquante de première catégorie. Surtout lorsque tu fis ton entrée à Harvard, cette université parfaite pour être simplement toi. T'avais même commencé à toucher à l'alcool, à la drogue, oui bon pas au point de finir en droguée cuite jusqu'aux oreilles non plus, t'y touchais que lors des grandes occasions et modérément. T'avais une certaine popularité auprès des garçons, silhouette à en baver, ouais mattez-moi ces jolies fesses !, de longs cheveux tantôt blonds, tantôt bruns, tantôt roux, tantôt longs, tantôt courts, selon ton humeur, des yeux de couleurs à s'y noyer et un léger accent russe qui ne peut que rendre fou, tu ne te privais donc pas d'abuser de tes charmes afin de jouer avec tous ces beaux mâles. Tout était parfait, tu étais parfaite, la vie était parfaite, alors pourquoi t'en priver ? Tu te la pétais trop ? Oui et alors ? T'es belle, t'as du charisme et tu possèdes de beaux traits bridés héritée de ta mère, toujours en train de marcher tel une féline et de regarder les autres avec cette lueur de supériorité et alors ?. Aujourd'hui, t'étais une femme nouvelle bien que passé dans plusieurs histoires qui t'ont un peu dégoûtés de l'amour et c'est pour cela que tu as décidé de t'abonner au célibat, au moins tu ne risques plus d'avoir le cœur brisé. Enfin, tu avais eu une vie de rêve, des études de rêve, des amis répondants toujours présents et des parents à te couvrir de tout ce que tu désirais. D'ailleurs en parlant d'eux, ils ne savent ni d'Adam, ni d'Eve, qu'en dehors de la maison, t'étais cette petite bitch semant la zizanie sur son passage. Comment pourraient-ils le savoir en même temps ? Car lorsque tu franchissais le pas de la maison, tu devenais la fille qu'ils connaissaient, sage, à l'écoute, douce, cette fille aux bonnes manières, toujours vêtue de façon simple, posée et classe alors qu'une fois dehors, tu reprenais ta vraie personnalité, le petit diable refaisait aussitôt surface, retirant tes vêtements simples en laissant apparaître des vêtements de parfaite petite allumeuse.

Malgré tout ça, tu avais pris la décision de retourner en Russie. Tu voulais te ressourcer un peu parce que tu avais le mal du pays. Et tu aurais pu rester, mais après seulement neuf mois, tu as décidé de revenir pour terminer tes études. Tu as compris que Boston, c'est le mal, que tu auras beau t'en éloigner, il te ramènera toujours vers lui. T'as repris tes études de danse et chant et tu vises percer dans ces métiers.