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Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried

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Jezabel Eva Rey
20 ans ▲ Suisse ▲ Célibatairel





Mon profil
C'est le 28 mai à Genève, que les membres de la famille Rey et Setton m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Jezabel Eva. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Cabot.

10 choses à propos de moi
Elle joue de la guitare & elle a une voix magnifique, mais Jezabel n'aime pas chanter devant les autres. ▲ Elle n'a jamais eux de réelle petit copain. ▲ Elle est anorexique depuis maintenant deux ans. C'est fait hospitaliser et elle a fait deux rechutes. ▲ Adore faire la fête, mais sait ne pas en abuser. ▲ Elle adore relever n'importe quel défi. ▲ Elle est fan de vitesse et a déjà participé à une course de rue. ▲Jezabel a aucune mémoire. ▲ Elle manque continuellement d'énergie dû au manque de nourriture qu'elle se prive volontairement. ▲ Elle est déjà allée au Canada, en France,aux États-Unis, en Allemagne et habitait chez ses parents en Suisse avant de venir à Harvard. Elle voudrait partir quelques mois en Inde. ▲ Jezabel a le vertige, elle est légèrement claustrophobe,(peur des petits endroits) arachnophobe(peur des araignées) et ophiophobe. (peur des serpents)

Vie de merde
▲ Aujourd'hui, je reçois un SMS d'un numéro inconnu me disant : "Je suis en bas de chez toi et je te regarde." Pensant à une blague, je jette malgré tout un coup d'œil par la fenêtre. Un vieux monsieur que je ne connais pas me fait coucou. J'ai peur. VDM



Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement
Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?
    Revêtue d'une de ses nouvelles robes, il est hors de question que Jezabel ne manque une fête. Elle adore s'amuser et boire quelques verres avec des personnes aussi éméchés qu'elle, c'est une petite libération dans sa vie occupé en grande partie par ses études.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?
    Jezabel participer à un voyage humanitaire, ils faudraient qu'ils la paient pour non seulement réussir à la faire montrer dans l'avion. L'humanitaire... c'est franchement pas son truc.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?
    Jezabel viendrait avec plaisir regarder les talents des Lowells, mais participer ? Non. Jezabel déteste chanter devant les autres.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?
    Lui ressembler ? Pas du tout. Après tout, Jezabel ne voudrait être personne d'autre qu'elle même. N'est-elle pas déjà parfaite comme ça ? Après... les belles personnes ne devraient que fréquenter d'autre jolis personnes, sinon les laids vont se sentir beaucoup trop inférieur.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?
    S'il est sexy ? Absolument. Qui n'a jamais rêver d'un homme qui répond à vos moindres caprices ?

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?
    Que sa chemise est déjà démodé, que sa Ferrari date déjà de plusieurs années et que bon... il aurait du écraser quelque un de ces Quincy au passage avec leur foutu pancarte de greenpeace.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?
    ABSOLUEMENT PAS ! Non mais quel perte de temps monumental !



Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mysti-Lee (ou Marie-Pier la badass) et j'ai 18 ans. Je suis Canadienne, Québécoise et j'ai connu le forum grâce à Apple et Torrey. Le forum est vraiment trop mega top, sino j'y serais pas venue une deuxième fois.. xD alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, Je crois que je m'en sors bien. J'utilise Amanda Seyfried comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ?hanwii

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Introduction



Elle avait toujours plus que moi. J’avais beau tout faire, tout tenter, rien n’y faisait. Je n’étais que l’accident. L’enfant de trop, l’autre. Celle qui n’intéressait personne. Ils n’avaient de yeux que pour elle. Ils la dévoraient du regard, admirant ses plus simples prouesses alors que je m’efforçais, dans l’ombre, à devenir comme elle. Tout faire pour lui ressembler, devenir enfin la fille que les parents avaient toujours rêvée d’avoir. J’avais beau me démener, Mary restaient leur idole, leur fille chérie, je n’étais que l’autre, la petite dernière. Celle qui n’héritait de rien. Toute cette attention, car Mary était l’ainée. C’était injuste, Jamais rien dans sa vie elle n’avait eu besoin de se démener pour prouver aux parents comment elle pouvait être super. Elle l’était car elle était née un an avant moi. Une putain d’année. Elle récoltait la gloire, les sourires et l’attention des autres alors que j’avais à peine quelques félicitations.

Mes parents m’aiment, jamais je n’en avais doutés, mais pourquoi était-ce toujours Mary récoltait les lauriers ? J’avais beau faire exactement pareille sinon beaucoup mieux, ils trouvaient une façon pour me rabaisser. Je ne devais pas la dépasser, elle était meilleure que moi point finale. Mais le pire dans tout cela, n’était pas mes parents qui égoïstement, favorisaient l’une de leur fille au détriment de l’autre, mais c’était Mary qui ne disait rien. Elle fermait les yeux, faisant qui si toute cette mascarade n’avait jamais lieux. Pour elle, c’était quelque chose de tout à fait normal. Je savais qu’elle ne me voulait aucun mal, mais je ne pouvais que la jalouser, l’envier pour tout ce prestige qui ne lui revenait pas de droit. J’aurais tout donné pour être à sa place, pour être comme elle, devenir elle. Seulement, on ne remplace pas Jezabel par Mary. J’avais huit ans et déjà, secrètement, je l’enviais, je la jalousais, je la détestais plus que n’importe qui.




Premier Chapitre - Je te hais... tu n'imagines pas à quel point.



Mary représentait tout ce que Jezabel détestait. Pour elle, sa sœur était la cause de tous ses malheurs et pour cela, elle avait la ferme intention de se venger. Tous les moyens étaient bons tant que Mary souffre autant qu’elle avait souffert tous ces années. Elle ne voulait pas que la blesser, elle voulait la détruire, comme si elle lui enfoncerait un poignard en plein cœur et qu’ainsi Mary réalise alors tous les souffrances que Jezabel avait dû endurer. Il ne faut pas se le cacher, Jezabel et Mary avaient été proches lorsqu’elles étaient gamines. Lors des temps d’orage c’était dans les bras de sa sœur qu’elle venait se réfugier, mais ce temps était depuis longtemps révolu et la jalousie de Jezabel pour sa sœur ne s’était qu’amplifiée aux fils des années.

Aujourd’hui Jezabel n’était plus capable de rester dans la même pièce que Mary sans lui faire l’une de ses crises où elle seule avait le secret. Il n’était pas rare de voir la pièce complètement saccagée, les deux filles en larmes, alors que Jezabel déversait sa haine sur sa sœur. Mary n’avait jamais eu aucune raison de détester sa sœur, ne faisant que se défendre face aux accusions de Jezabel, encaissant les coups bas et les insultes. Mais cette fois, Jezabel avait apporté le coup fatale, elle était allée trop loin. Elle avait profité d’un moment où Mary et Noah passaient une passe difficile dans leur couple pour s’approcher du copain de sa sœur. Sachant pertinemment que pour Mary, Noah était l’homme sa vie, Jezabel avait saoulé à mort le jeune homme et par simple esprit de se vengeance, elle avait couché avec lui. Jezabel savait très bien que Noah aurait été incapable de garder cet évènement secret auprès de sa sœur et c’était exactement ce qu’elle espérait. Elle voulait briser Mary. Lui prouver qui était la plus forte entre les deux. Lorsque Mary fut au courant de cet évènement, elle eut l’impression que sa vie s’était arrêtée. Sa propre sœur avait couché avec son copain. Tout ce que voulait Jez, c’était se venger de quelque chose dont Mary n’avait jamais été responsable. Mary entra dans la plus grosse crise de colère que Jezabel n’avait jamais vue. Sa sœur lui en voulait jusqu’à sa mort. Toute la sympathie et la pitié qu’avait eues Mary pour sa sœur jusqu’alors c’était envolée et le regard qu’elle avait porté sur sa jeune sœur avait changée. Jezabel n’était plus une enfant oubliée, un peu désorientée. C’était la pire des garces. Une véritable as de la manipulation et de la vengeance. Mary découvrait alors la véritable personnalité de sa sœur. Elle avait vécu avec une parfaite inconnue durant tous ces années, croyant sa sœur comme une personne un peu stupide, naïve et sans véritable personnalité, mais tout cela n’était que mensonge, qu’une fausse image.

Ce soir-là au manoir, la guerre explosa et Mary défia sa sœur pour la première fois. Elle avait découvert la véritable personnalité de Jezabel et elle la détestait encore plus d’autre fois. Cela n’avait plus rien à voir d’une simple chicane amicale. Le faussé qui les séparaient s’élargissait minutes après minutes, alors que les insultes s’accumulaient les uns après les autre. Brusquement, sans penser à ce qu’elle faisait, Jezabel s’empara d’une lampe pour la jeter sur sa sœur. La lampe atteignit Mary au poignet, la blessant gravement. Le sang coulaient rapidement de la blessure et le sang commençait à se rependre progressivement sur les vêtements de sa sœur. Sans prêter attention à la plaie qu’elle avait causée à sa sœur, Jezabel attrapa Mary fermement par son bras entaillé. Sa sœur tenta de se débattre et commença à crier, mais plus elle se débattait, plus Jezabel serrait sa poigne la blessant d’avantage. À quelques centimètres de son visage, Jezabel lui cracha toute sa haine qu’elle avait accumulée au fils des ans. « J’aurais tellement été mieux si tu n’étais jamais venue au monde. Tu n’as pas idée à quel point je te hais. »




Deuxième Chapitre - THE QUEEN



Jezabel était peut-être la fille la plus connue à l’académie, mais elle était loin d’être l’une des plus appréciée. Tout le monde connaissait son nom, savait qui elle était, mais ils la craignaient plus qu’ils ne l’aimaient. Elle manipulait ses proches comme si c’était quelque chose de banale. Elle était une reine dans un château de verre. Personne n’osait la défier, de peur des représailles qu’ils savaient tous extrêmement humiliant. La réputation de Jezabel n’était plus à refaire. Comme le jour où Karina avait déjà accidentellement échappé son café sur la nouvelle robe de Jezabel. Le lendemain, on retrouvait des photos embarrassantes de la jeune fille affichée un peu partout dans l’école. Dans les toilettes, dans le gymnase, dans la cafétéria. Partout où on allait, personne ne pouvait y échapper. La réputation de Karina fut anéantie et elle dû changer d’école. Cet évènement n’était qu’un parmi tant d’autre et les cas semblables s’élargissaient aux fils des années. Jezabel régnait par la crainte et tous tentaient de se tenir loin de ses griffes empoissonnées. Si par malheur vous vous mettiez la jeune fille à dos pour quelques raisons que ce soit, c’était fini pour vous.

Quatre noms revenaient constamment sur les lèvres des étudiants de l’académie : Liora, Mimi, Jezabel et Edouard. Ces deux filles étaient les amis les plus proches de Jezabel. Tous les trois, elles s’amusaient à manipuler les autres, à se moquer d’eux ou à exhiber leur fortune aux yeux de tous pour leur simple plaisir personnelle. Edouard, quant à lui, était le petit ami attitré de Jezabel. Fils de la directrice, tous savait qu’elle ne sortait avec lui uniquement pour s’avantage par rapport aux autres. Se servant d’Edouard pour se rapprocher de sa mère. Tous semblait être au courant, tous sauf le principal intéressé.




Troisième Chapitre - La famille... cette belle connerie



Je venais tout juste de recevoir ma lettre d’admission. Je regardais l’enveloppe imposante sans oser l’ouvrir. Mon avenir se retrouvait entre deux feuilles, d’une réponse d’un oui ou non qui allait changer le reste de ma vie. La vie que je voulais avoir et la vie que ma mère avait déjà choisie pour moi. Mon père se trouvait dans la pièce adjacente et je n’attendais que ça présence à mes côtés pour enfin ouvrir ma lettre de Harvard. Ma mère regardait l’enveloppe comme si le démon en personne allait en sortir, n’approuvant pas ma décision de partir si loin. « Tu fais comme Mary ! Tu nous renie ! » Le regard haineux, je me retournais vers elle. « Je ne suis pas Mary. » Articulais-je sèchement. « Tu agis exactement comme elle ! » criait ma mère à mon adresse. Je réfrénais une puissante envie de lui cracher au visage pour me retourner afin de chercher mon père des yeux. Ne le voyant pas, je me levais de mon siège pour le chercher, ignorant ma stupide mère qui s’agitait derrière moi. J’entrais dans la cuisine pour le chercher afin de pouvoir enfin ouvrir ma lettre. La pièce était vide et il n’avait aucune trace de mon père. Alors que j’allais dans la cave à vin pour voir s’il y était, j’entendis un bruit de papier qui se déchirais puis un petit cri étouffé. Non. Cette garce n’avait quand même pas osé ? Mon père quitta immédiatement mes esprits et je me précipitais dans le boudoir au pas de course, essayant de ne pas m’imaginer ce que m’a mère avait bien pu faire. J’arrivais essoufflée dans le cadre de la porte, c’est alors que j’aperçus ma mère avec mon enveloppe dans les mains. Un regard dédaigneux, elle regardait ma lettre sans se soucier de moi. « Mais qu’est-ce que tu fais ? » hurlais-je en me précipitant vers elle, la haïssant plus que je ne l’aurais crus. Avant que je n’aie le temps de lui arracher la lettre de main, elle me lança les feuilles sur moi qui se rependit par terre. Sans perdre un instant, je me penchais pour ramasser les feuilles, tentant de trouver celle où l’on pouvait lire si j’avais été accepté ou non. « Bravo ma chérie, tu as été accepté. » me cracha ma mère d’un ton sarcastique qui aurait perdre les nerfs à tous ceux qui n’y étaient pas habitués. En cette instant, je la détestais plus que je n’avais jamais détesté quelqu’un. Je la haïssais encore plus que je ne haïssais Mary. Puis une pensée me vint, comprenant alors pourquoi ma sœur était partie de la maison dès qu’elle l’avait pu. Oui elle avait mis mes parents à dos, mais aujourd’hui, je me disais que si j’avais eu son courage, j’aurais fait exactement comme elle.

J’étais toujours à la recherche de sainte feuille quand mon père entra dans le boudoir, une bouteille de champagne à la main. Je me retournais vers lui, ne comprenant pas comment il avait pu savoir que j’avais été accepté. Après tout, ma stupide mère venait d’ouvrir la lettre il y avait à peine quelques secondes. « Le champagne c’est pour… » lui demandais-je avant qu’il ne m’interrompe. « C’est pour ton acceptation à Harvard ma belle ! J’ai payé une bonne partie des nouveaux locaux de la faculté de droit, je me suis dit qu’avec cela, il n’avait pas le choix que de t’accepter. » Le visage de ma mère change en quelques secondes. « Tu as soudoyé les doyens ? Mais comment as-tu osé ? » Un sourire aux lèvres, mon père se retournait vers son épouse. « Tu sais, la majorité des familles riches le font. C’est l’un de leurs moyens de financement et puis je voulais que Jezabel ait des nouveaux locaux. Après tout, qui veut étudier avec des antiquités ? » « Là n’est pas le problème Louis ! Il ne fallait pas que Jezabel soit accepté, tu le sais ! » Je m’étouffais avec ma salive. J’avais l’impression d’halluciné. Reprenant son calme, ma mère se retourna vers moi. Son visage ne trahissait plus aucune émotion et c’était froidement qu’elle m’annonça l’avenir qu’elle avait déjà prévu pour moi. « Cela ne change rien que tu ais été accepté, tu n’iras pas. Tu vas marier avec le fils de Justine. Depuis que ta sœur est partie, tu es la nouvelle héritière. Tu dois donc veiller à ton futur économique chérie et c’est pourquoi tu vas le marier. C’est un très bon parti, il est charmant, beau jeune homme, tu vas l’adorer. » « On est en 2012 maman ! Je ne vais pas épouser un pur inconnu que je déteste déjà ! » Impuissante je me retournais vers mon père. Il ne me prêtait aucune attention, trop concentrer à dé bouchonné le champagne qu’il avait sortie. Je devais donc seule affronter ma mère, mon avenir était en jeu. « Tu ne l’as jamais rencontré, ne dis pas de bêtise. » « Mais justement ! Pourquoi devrais-je épouser quelqu’un que je n’ai jamais vu?! Peu importe, j’irais à Harvard que ça te plaise ou non. » Indignée, ma mère se retournait vers son mari cherchant de nouvelle argument à me faire rester en Suisse. Mon père s’avança alors vers moi, deux flûtes de champagne à la main. Il m’en tendit une. « À ton acceptation à Harvard Jezy ! » dit-il avant d’engloutir le champagne d’une seule gorgé. « Tu n’auras certainement pas accès à mon argent une fois là-bas ! » me lança ma mère en désespoir de cause. « Je vais bloquer ton compte et… » « Ne t’en fait pas, je t’ai déjà fait faire une carte de crédit sur le nom de ma compagnie, tu ne manqueras de rien ma belle. » me dit mon père en me donnant la petite carte noire platine qu’il tenait entre les mains. Un sourire victorieux apparue sur mes lèvres et je me retournais vers ma mère pour la narguer un peu plus, sachant que la compagne de mon père était encore plus riche que la compagnie pharmaceutique à ma mère. « À ta santé maman ! » dis-je avant de descendre d’un traie le champagne.

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Quatrième Chapitre - La vérité tue.



C’était notre dernier été où Liora, Mimi et moi allions encore être tous ensemble. Je partais à Harvard, Mimi allait rejoindre l’un des meilleurs conservatoires d’art dramatique en France et à ce que j’avais compris, Liora allait marier un duc, ou du moins, quelque chose dans le genre. Parfois, je me demandais pourquoi elle ne partait pas loin de tout ça commeMimi et moi avait l’intention de faire. Aujourd’hui, Liora m’avait donné rendez-vous dans l’un des café que nous avions eu l’habitude de fréquenter lorsque nous allions encore à l’académie. J’étais arrivée de bonne heure, heureuse que les vacances soient enfin arrivées. J’attendais mon amie sur la terrasse, un verre de limonade à la main profitant du soleil de ce début d’après-midi. Liora arriva quelques minutes en retard, le visage grave. Je regardais mon amie me demandant ce qu’il n’y allait pas. Habituellement si souriante, elle n’exprimait aucune émotion et semblait perdue dans ses pensées. « Ça va Lio ? » demandais-je consciente de la stupidité de ma question, il était claire que quelque chose n’allait pas. « Faut que je te parle Jez. » Je portais mon verre à ma bouche prenant une longue gorgée, étirant le temps. Avec cette air si dramatique, je commençais à m’inquiéter de la conversation qu’on allait avoir. Une idée de vint alors à l’esprit. C’était sûr, Liora était enceinte ! Je me détendis instinctivement et un sourire apparut sur mes lèvres. « Je te l’avais dit de te protéger. Évidemment, madame ne pouvait s’empêcher de mouille dès que n’importe inconnu passait près d’elle. » Subitement, Liora fronça les sourcils, me dévisagent comme si un troisièmes œil était subitement apparut sur mon front. « De quoi tu parles ? » Mon sourire s’agrandit alors que je répondais à sa question. « Aller dit tout, de qui es-tu enceinte ? » Elle s’étouffa avec la gorgée qu’elle venait de prendre de ma limonade. J’avais l’impression que ses yeux allaient lui sortir de la tête. Sa réaction m’amusait plus qu’elle ne m’alarmait. « Mais tu es complètement folle ! Je ne suis pas enceinte ! » Oui oui… c’est ça. « Aller Lio, tu sais que tu peux tout me dire ! » Elle me regardait sans rien dire, je voyais clairement qu’elle commençait alors à serrer les points et à perdre patience. « Jezabel tu es tellement… Je n’ai même pas de mot pour te décrire. Tu es tellement hypocrite ! » Bouche bée, je la regardais sans comprendre. « Pardon ?! » Stupéfaite, je fixais Liora me demandant qu’est-ce qui lui prenait. « Tu as dit que je pouvais tout te dire après tout. » me dit-elle un air suffisant. « Aller, ne fait pas ton aire si scandalisé. Tu le sais bien que je te déteste. » dit-elle avec un petit sourire tout en prenant une gorgée de ma limonade. Sans un mot, je lui arrachais le gobelet des mains. Je bouillais de rage et je n’avais qu’une envie, lui verser le contenue sur la tête. « Je suis heureuse que tu t’en ailles Jez. C’est fou comment je n’ai jamais été capable de te supporter. » Je n’avais plus aucun mot, ma meilleure amie me disait qu’elle m’avait toujours détesté. Toutes ces années n’étaient que frimes et manipulation. Tous les moments qu’on avait passé ensemble n’était que pure fabrication de sa part. Un sourire amusé, Liora ne me quittait pas des yeux. " Quoi ? Tu n'étais pas au courant ?" dit-elle avec un petit rire. "Ça fait cinq ans que je te supporte. Cinq putain d'années que je t'endure toi et tes manipulations, tes coups bas et tes bitcheries. Et dire que je restais avec toi uniquement pour t'avoir de mon côté." Plus j'entendais le discourt de Liora, plus j'avais envie de m'enfuir, de m'enfoncer sous terre. De disparaître tout simplement. "Sérieusement, je ne sais pas comment Mimi a fait pour t'endurer. Elle doit être stupide tout simplement vu comment tu l'as traites. Même tes propres amis ne sont pour toi rien d'autre que des vulgaires déchets humains pour toi. Ne te demande pas pourquoi personne ne t'aime. Tu es la pire garce que la terre n'ait jamais porté."

Je tentais de retenir mes larmes, mais rien à faire. Elles coulaient librement sur mes joues alors que Liora m'enfonçait un poignard après l'autre, m'achevant à petit feu. "Avec un caractère aussi désagréable que le tien, ne te demande pas pourquoi personne ne va t'aimer à Harvard. Ici tu étais la reine, là-bas... tu ne seras personne." Ma meilleure amie me trahissait, depuis toutes ses années, Liora ne jouait qu'un jeu. J'étais seule dans une mer de monde. J'essuyais mes larmes du dos de la main et la trahison fit place à la colère. Une colère brute à l'état pure, explosive, destructrice. J'avais envie de tout casser, détruire Liora comme elle venait tout juste de me détruire. Furieuse, je me levais et je me retrouvais alors sans idée aucune de ce que j'allais faire pour me venger d'elle. Impulsivement, je lui reversais alors le reste de ma limonade sur les cheveux. Je tournais les talons mais j'entendis tout de même la dernière phrase de notre conversation. "Brûle en enfer Jezabel Rey."



Cinquième Chapitre - L'anorexie



Je tombais, toujours un peu loin. Je sombrais et dans mon délire, je m’enfonçais toujours un peu plus. Je me détruisais. Sans aucun doute, j’en étais consciente, mais au point où j’en étais rendue, cela n’avait plus aucune importance. Je me détruisais pour un idéal irréalisable. Je me privais pour un objectif pervers et les conséquences de mes actes me laissaient indifférente. Un an plus tôt, on m’avait diagnostiqué d’une anorexie mentale, que des mots sans fond, qu’une réalité qui n’était pas mienne. Ils avaient dit que j’avais été soigné, que de mensonges. On ne peut sauver quelqu’un de ses propres idéaux. Les privations avaient vite repris et la torture mental qui allait avec n’avait pas changé. Ils m’avaient enlevé la seule chose que je pouvais contrôler. Je savais que de ne pas manger était mal, irresponsable et stupide, mais tous cela n’étaient que des mots. La nourriture était devenue mon pire ennemis, me méprisant à chaque plat que je réussissais à engloutir et développant une obsession sur les calories que je devais éliminer par la suite. Puis, il fallut que tout dérape. Que la vie décide alors de s’acharner contre moi. Un mois avant ma nouvelle année à Harvard, je fus réexpédiée à l’hôpital, suite à une complication. Certain se doutait de ce qui se passait, seulement personne ne réagissait, jusqu’à ce qu’on me retrouve évanouie dans mon vomi et dans mon propre sang.

Je n’avais pas pu m’empêcher, parfois la tentation est trop forte et l’envie prend le dessus peu importe la volonté que l’on peut y mettre. J’avais craqué et au milieu de la nuit, je m’étais retrouvée à dévaliser le garde mangé de chez mes parents. Une fois que j’avais repris mes esprits, je me dépêchais pour me purger. Je n’avais pas le choix. Il le fallait. Je me forçais à régurgiter tout ce que j’avais engloutis. L’acide me brûlait la gorge, l’odeur qui venait vous hanter jusque dans vos cauchemars, j’endurais ces supplices sans sourciller tant j’étais rendue habituée. Mais quelque chose ne se passa pas comme à l’habitude. Quelque chose se déchira dans mon œsophage et ce fut du sang qui sorti. Une violente douleur accompagnait la sang qui sans vouloir s’arrêter, se répandait toujours un peu plus sur le sol. La douleur me fit tournée de l’œil et je tombais évanouis. Lorsque je me réveillai, j’étais rebranchée à des machines, l’odeur indescriptible des hôpitaux régnait en maitre et la couleur aveuglante te perçait les yeux comme des chalumeaux chauffés à blanc. Ils disaient que j’avais replongé. Que des mots vides de sens, encore et toujours. Depuis longtemps je savais que j’avais retombé, mais je me forçais tout de même à écouter les docteurs, sachant que si j’écoutais ils allaient me relâcher plus vite que si je ne faisais qu’à ma tête. Durant tout l’été, je restais hospitalisé, sans possibilité de m’évader de cet enfer. Sachant que l’école allait de bientôt recommencer, on me transféra à l’hôpital de Cambridge où je dû rester 18 jours. Le jour de sortie fut le jour de rentré et c’était avec des rendez-vous étalonné sur six mois afin de s’assurer que je n’allais pas rechuter une deuxième fois. Je savais exactement comment cela fonctionnait, ce n’était pas ma première hospitalisation pour l’anorexie mental. Redonner envie de manger à quelqu’un qui à la nourriture en horreur n’est pas chose aisé et tricher à mes pesés une habitude que j’avais toujours fait pour m’en sortir. Car si votre poids commençait à descende une fois que vous vous retrouviez hors de l’hôpital, cela ne prenait pas de temps que vous vous faisiez renvoyer dans un centre spécialisé. Une fois là-bas... c’était impossible de s’en sortir. Pour chaque anorexique, les centres étaient leur pire cauchemar.




Sixième Chapitre - Harvard



Les mots de Liora m'avait atteins plus que je ne l'avais pensée et inconsciemment, j'avais commencé à changer. J'avais pris conscience que tout ce que j'avais fait par le passé avait fait de moi une fille que jamais je n'avais voulu devenir. J'avais manipulé pratiquement tous les gens que je connaissais et maintenant, je n'avais plus personne. Ma mère m'en voulait de partir à Harvard, ma soeur... cela faisait plusieurs années que je n'avais pas reçus de ses nouvelles et cela ne me dérangeais gère. Durant l'été, j'avais perdu contact avec Mimi et cela avait fait un moment que j'avais largué Ed. Il ne me servait plus à rien, mais jamais au grand jamais je n'aurais cru à ce qu'il me manque. J'étais plus seule que jamais et je n'avais qu'une envie, partir en Amérique pour tenter de tout recommencer. J'avais décidé de changer. La manipulation, c'était fini. Avec les avoues de Liora, j'avais pris conscience du fait que personne n'amait être manipulé, moi encore moins. Malgré le fait que c'en était pratiquement rendu une deuxièmes nature chez-moi, il fallait que tout cela s'arrête. Jezabel restait Jezabel, mais cette fois, je n'allais pas finir comme l'académie avait fini.

Ma première année c'était bien passé et malgré quelques éléments mineurs qui s'étaient produit comme le fait que j'aille posé une fille du bas des escaliers car elle s'étaient retrouvée à porter la même robe que moi, j'avais été plutôt calme. Serte, j'avais replongé et j'avais dû secrètement aller à l'hôpital plusieurs fois pour me faire suivre par plusieurs spécialise de l'anorexie mental, j'étais restée assez invisible. Je ne m'étais pas fait remarqué.

Mes cours avaient occupé la plus part de mes temps libres et j'étais heureuse de pouvoir dire que j'étais dans les premières dans de la majorité de mes classes. La Suisse ne me manquait aucunement et au contraire, j'étais contente de ne plus y être. L'Amérique avait tant à offrir et puis, retourner chez mes parents pour qu'ils m’organisent un nouveau mariage arrangé ? Non merci. J'avais déjà échappée de justesse à mon première, je n'allais peut être pas survire à un deuxième. Depuis que j'étais partie, ma mère avait freiné ses idées de mariage, mais hors de question de la remotiver en retournant chez-elle.
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Re-bienvenuuuuuuueeeeeeee Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 3850463188 Bon courage :roxy:
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Merciii ! hanwii Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 3850463188
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Amandaaaaaaa Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 3850463188
Re-Bienvenue hanwii
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Oh!! amanda hanwii
Très bon choix d'avatar ♥️ rebienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 3400909363
Tu gère lily Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 1001568715 Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 1001568715 Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 1001568715 Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 1001568715
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Je casse tous les codes avec les images ! Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 1881463262

Mais merci tous les deux ! Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 1001568715 hanwii Amanda est trop belle ! Jezabel Eva Rey ► Amanda Seyfried 3850463188
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Han j'aime trop le nom que t'as choisis! ♥
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Bon courage avec ton histoire gigantesque, mais elle a l'air super, j'ai hâte de la lire ^^
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