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Wes ≈ Our home is yours

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Tu n'aimais pas ça ? Ou tu préférais juste ignorer pour ne pas t'attirer des problèmes ? Parce que pour moi ça faisait une sacrée différence et valait peut-être mieux pour toi que je ne sache pas ce que tu pensais réellement. Certes, je ne voulais pas te forcer, mais j'aimais bien te voir tout d'un coup moins confiant. Pourtant, t'étais le genre de personne qu'avait plus d'un tour dans ton sac et visiblement t'avais trouvé une pseudo-porte de sortie en enfilant ton tee-shirt. C'était pas tellement ça que j'attendais de toi, mais bon, au moins on faisait un pas en avant pour une relation plus saine au quotidien. Sauf que moi, je ne le voyais pas du même œil et je ne couvrais pas mes formes pour autant. Je me laissais tomber doucement en arrière, pour venir installer ma tête sur tes cuisses en te regardant de là. Je t'écoutais me dire que ce n'était pas réellement mon manque de séduction qui prêchait, alors que je souriais, avant de voir que tu commençais réellement à stressé. « Il ne rentre pas avant deux bonnes heures.. »  Et j'disais pas ça pour réussir à t'avoir, juste pour que tu profites du moment, aussi simple qu'il l'était. « Attends.. »  Tu pensais que mon but, c'était de te ruiner la vie ? Tu n'y étais pas du tout. « Je n'ai pas l'intention de raconter quoi que ce soit à Zen.. C'est juste que je ne sais pas.. Je n'ai pas l'impression que tu me traites comme les autres. Et si cette proximité te dérange vraiment, t'as qu'un mot à dire et j'arrête ça. J'arrête tout. »  La balle était dans ton camp-là, parce que quoi que tu pensais, j'avais aucune intention mauvaise à ton égard. Je profitais juste, de toi, de ce jeu, de tes yeux qui détaillaient présentement mes courbes avant de te voir détourner le regard encore une fois et mentionner Mael. « Tant pis pour lui, moi, je retiens juste que t'as craqué et que t'as regardé. »  que je soufflais avant d'ajouter « Tu comprends mieux ce que j'ressens tous les matins comme ça. »  Là, on était vraiment quitte.
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Zeno ne rentrera pas avant deux heures... Comment ça se fait, que je ne l'ai pas entendu sortir ce matin ? Après tout, je dors sur le canapé. Peut-être que tu mens en fait et qu'il dort encore profondément dans sa chambre... Je ne sais pas si t'essaie de me tendre un piège ou si t'es sérieuse. Pour la peine, je me méfie. Mais de ce que je connais de toi, t'es pas le genre de fille mesquine, à faire des plans espiègle. Là, tu m'expliques que t'as pas l'intention de raconter quoi que ce soit à Zen, que t'as l'impression que je te vois différemment des autres. Que je n'ai juste à le dire, si cette proximité me dérange. Je te regarde intensément et droit dans les yeux, sans bouger les lèvres. J'ai absolument rien à dire. Tout ce que tu fais pour moi, est parfait, même séduisant. Maël ne sait pas du tout ce qu'il manque, c'est bien ce que j'ai fini par te dire. Je ris lorsque tu me dis que j'ai craqué et que j'ai regardé. Regarder ne fait de mal à personne. Puis j'suis un homme qui apprécie les courbes féminines, aussi. J'y peux rien, c'est dans ma nature. Et là, c'est un peu comme si tu n'attendais que ça, que je te regarde. T'ajoutes que maintenant, je ressens la même chose que tu ressens tous les matins. Je me pince les lèvres et prend une grande inspiration. L'envie de te sauter dessus pour au moins t'embrasser, se faisait de plus en plus forte. J'ai envie de découvrir plus, sur toi. La forme de tes hanches, tes fesses fermes, tes cuisses à croquer... Mais j'peux pas. On est quittes, ouais. Je ris avant d'enlever mon chandail à nouveau et vraiment, l'envie de retirer mon pantalon était forte aussi, étant donné que je ne me sentais plus vraiment confortable dedans. Admettons que je te laissais faire tout ce que tu veux... Qu'est-ce que tu veux ? On appelle ça "tâter le terrain". Je plonge ma main dans tes cheveux pour les caresser... Je n'ai jamais fait ça avec toi, alors je découvre la douceur de ta chevelure. Elle est exactement comme je l'avais imaginée : douce et soyeuse. Et t'as raison. J'te traite pas comme les autres. Je ne traite pas les autres filles comme ça, parce que les autres filles ne sont pas les sœurs de Zeno. Mais je suppose que tu parlais du fait que je ne te traite pas comme les autres garçons te traitent... Mais l'excuse est la même. Les autres mecs, n'ont probablement pas peur des foudres de ton frère. Moi, oui. Je suis son meilleur ami depuis des années et le perdre me ferait chier. Présentement, avec toi, il est tout ce que j'ai. J'ai besoin de lui, et de toi.
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J'essayais de te rassurer quant au retour de Zeno et puisqu'il était parti pour la nuit avec sa tindate et que je savais de source sûre qu'il n'allait pas rentrer avant deux bonnes heures. Une aubaine pour moi, de comprendre un peu plus ce qu'il se cachait sous tes messages codés. C'était réel Wes ? Ce qu'il se passait en ce moment même ? Parce que je ne pensais vraiment pas qu'en une conversation, tout pouvait changer et pourtant.. C'était Zeno le souci, je le savais et sûrement un peu Vega, mais dans le fond le vrai problème, il venait de moi. C'était moi qu'avait pris au pied de la lettre ce que tu m'avais dit par message et maintenant, je me retrouvais face à toi, pratiquement nue, t'allumant comme jamais je ne l'avais fait auparavant et pour quoi ? Le goût du jeu ? Le goût du risque ? Ou simplement parce que tu me plaisais terriblement ? Surement un peu des trois. Alors même si t'avais été plutôt clair et que tu montrais des signes de résistance, je profitais juste du moment, de cette proximité naissante, te laissant quand même un échappatoire avant qu'il ne soit trop tard. Pourtant, tu ne daignais pas répondre, m'observant avec intensité de tes billes grise/verte claire et sûrement que ça en disait long sur ce que t'en pensais. Probablement, qu'on finirait par se brûler les ailes, mais ça en valait le coup, tu penses ? Parce que moi, je n'avais pas envie que ça s'arrête. Je n'avais pas envie de perdre cette nouvelle complicité, parce que j'me sentais vivante et j'oubliais tout ce qu'il y avait autour, me concentrant juste sur toi. Un petit sourire en coin de satisfaction, apparaissant sur mes lèvres quand tu admettais qu'on était quitte et à nouveau, tu te mettais torse nu, pour m'offrir un nouvel angle de vu de ton corps parfait. Je mordillais légèrement l'intérieur de ma joue, mes yeux remontant ton torse parfait pour venir à nouveau plonger mon regard dans le tien. « Si je te le dis, c'est plus drôle. »  Soufflais-je amusé. Ta main venait glisser dans mes cheveux, alors que je fermais les yeux, profitant de ce tendre moment. Je les rouvrais pour t'entendre me dire qu'en effet, tu ne me traitais pas comme les autres. Ce n'était pas dans ce sens que je le disais, mais j'étais contente de t'entendre le dire. Je me redressais, m'installant à califourchon sur toi - ne manquant pas de sentir ton excitation entre mes jambes - pour attraper ta main. « Et si je fais ça, tu vas encore me traiter différemment ? »  que je soufflais en faisant glisser le bout de tes doigts le long de mon bras, puis sur mon vendre, en la faisant remonter en passant entre ma poitrine. Ma peau perlait sous ce contact, alors que je venais nicher ta main au niveau de ma nuque, tout en te défiant du regard. « Embrasse moi. »
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Tu me cherches, Saph. Je le sais, parce que je te connais bien maintenant... Tu as bien grandis, vieilli, murit. Si avant je te voyais rien que comme la petite soeur de Zeno, j'ai maintenant beaucoup de mal à te voir autrement qu'une belle femme. T'es charmante, séduisante, carrément sexy... et ces pensées-là me sont interdites. Zeno me tuerait, s'il voyait les yeux que je te fais, quand tu ne portes rien qu'un soutien-gorge pour couvrir tes seins, comme maintenant. Il te tuerait probablement au passage aussi, quoi que toi, il t'aime beaucoup trop. Tu t'en sortirais surement avec rien qu'une grosse embrouille. Si tu me le dis, c'est plus drôle. Pour toi, hein. Pour moi, c'est une souffrance. Je meurs d'envie de savoir si tu ressens les mêmes choses que moi... si toi aussi, ça t'arrive d'être inconfortable dans tes vêtements, quand t'es près de moi. En tout cas, j'suis inconfortable en ce moment et d'ailleurs, lorsque tu t'installes à califourchon sur moi, il est évident que tu ne puisses pas manquer la bosse dans mon jogging. T'attrapes ma main, tu ne fais aucun commentaire sur ce que tu peux ressentir entre tes jambes (ou plutôt, les miennes.) et tu me demandes si je te traiterais différemment, si tu glisses le bout de mes doigts le long de ton bras recouvert de frissons. Tu la glisses ensuite jusqu'à ton ventre, puis remonte entre tes deux montagnes vertigineuses. Ma main atterrit sur ta nuque, je laisse mes doigts plonger à travers ta chevelure chocolatée. Ce regard me rend plus chaud que jamais... et cette demande, plus tourmenté. Mon souffle frappe contre ton visage et se mêle au tien. Je sais maintenant que tu me veux... il n'y a aucune chance que tu ne fasses tout ça, rien que pour jouer avec moi. Aucune. C'est pas ton genre, je refuse de croire que t'es comme ça. On se connait trop, on s'apprécie trop pour se faire ça. À moins que bien sûr, je ne te connaisse pas aussi bien que je le pense. J'approche mon visage du tien, complètement envouté par ton charme. Je m'arrête avant de poser mes lèvres contre les tiennes, mais mon front est collé au tien, mes paupières sont fermées. Je me bat contre mon envie de franchir le cap, avec le peu de volonté qui me reste. J'peux pas faire ça... Je déglutis difficilement, avant de décoller mon visage du tien. Ça ruinerait tout. Et c'est pas moi que tu veux, de toute manière. Malgré tout, j'ai du mal à te retirer de mes cuisses, du mal à me rendre à l'évidence que ça n'arrivera pas.
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J'avais l'impression qu'avec toi tout était simple et pourtant, c'était loin d'être l'idée du siècle vis-à-vis de Zeno et Vega, mais dans le fond, ça servait à quoi de nier l'attirance ? C'était plus comme avant entre nous, plus depuis que tu vivais ici, lus depuis nos échanges de sms. C'était sûrement pour ça que j'avais retiré mon haut, pour voir ce que tu pensais réellement, de cette ambiguïté naissante. Mais pour une fois, je ne voulais pas penser à tout le reste, ni à Zeno, ni à Vega, mais juste à nous. On était seul pour la première fois depuis la veille et c'était parfait pour approfondir ce qu'on c'était dis. Tu cherchais à savoir ce que je pensais, mais plus joueuse que jamais je préférais taire mes envies à ton égard plutôt que d'avouer à demi-mot qu'à cet instant précis, je te voulais. Mais à défaut de te le dire, je préférais te le prouver, parce que les actes valaient plus que tout un tas de mot. Je venais sur toi, m'installant à califourchon sur tes cuisses, sans pour autant commenter ton érection présente. C'était loin de me déplaire, bien au contraire, ça prouvait que je ne me faisais pas d'idée quant à ce que toi, tu ressentais. J'attrapais ta main, que je faisais glisser le long de mon corps, pour te faire explorer une bonne partie de mon buste, qui frissonnait au passage de cette dernière. Je glissais ta main jusqu'à ma nuque, pour que tu la passes finalement dans mes cheveux, quémandant clairement l'interdit. J'en avais plus que tout envie, et d'autant plus quand ton souffle venait se mêler au mien et que tes lèvres se rapprochaient dangereusement des miennes. Ton front venait se coller au mien alors que tes yeux étaient fermés pour finalement me repousser encore. Doucement, tu décollais mon visage du tien, alors que je soufflais lentement, comme pour évacuer ma frustration. Je restais silencieuse un long moment, sans bouger de toi, alors que je te regardais avec toujours autant d'intensité. « Wes.. »  Que je soufflais en baissant finalement les yeux pour regarder tes abdos. « Tu ne peux pas, mais je peux très clairement sentir que t'en as envie... Et que t'as pas juste envie de m'embrasser. »  que je chuchotais déçue. « Mais si vraiment ce que tu veux, je ne vais pas te forcer. »  Que je concluais en commençant à me détacher de toi. « Et pour info, là je ne voulais personne d'autre que toi. »
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Ça fait des jours, semaines que ça dure. Des semaines que je te regarde sortir de ta chambre, plus belle à chaque jours. Je ne sais même pas ce que je ressens pour toi, mais je sais ce que l'ami dans mon pantalon ressent. J'ai parfois du mal à calmer mes pensées que je dois prendre des douches froides. Depuis tout ce temps, tu n'en sais rien, j'ai réussi à respirer et garder mes mains pour moi.

Les SMS ont tout changés, ça c'est clair. Je ne sais pas ce que j'ai dis, mais ça a eu un effet non-recherché chez toi... Quoi que, au fond, j'en rêvais. Tu serais n'importe quelle autre fille, j'aurais déjà profité de ta vulnérabilité avec tes sentiments non-retourné envers Maël pour te satisfaire. T'es la sœur de Zeno et dans un certain sens, t'es la mienne aussi... ou en tout cas, c'est comme ça que je devrais te voir. C'est comme ça que je vois Vega après tout - pourquoi pas toi ?

Mes lèvres n'ont jamais touchées les tiennes, mais je me peux décoller mon front et m'empêcher de regarder tes lèvres. Je les veux, si tu savais à quel point - à moins que tu saches déjà, comme t'es assise sur mon érection palpitante. Tu m'avoues en me regardant avec intensité que tu ne peux pas me forcer à te toucher... mais que tu sais que j'en ai envie et pas juste de t'embrasser. Je déglutis. Tu te détaches doucement de moi. T'as envie de personne d'autre que moi, là, maintenant. Mais je serais vraiment trop faible de craquer tout de suite. Saph... Je me détache complètement de toi, tu restes assise sur moi mais à une distance suffisamment raisonnable, où je peux te regarder dans les yeux. Je vais aller sous la douche. Seul. Une bonne douche froide ouais, ça me ferait grave du bien ! J'entoure mes bras autour de toi pour te soulever, puis te déposer à nouveau sur le canapé. Je commence à marcher vers la salle de bain, frustré comme jamais. Zeno, tu sais pas à quel point j'te respecte, mon frère !

(hj: on peut le clore et s'en faire un autre si t'as envie :loukas:)
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