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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis
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I see those tears in your eyes
And I feel so helpless inside
Oh love, there's no need to hide
Just let me love you when your heart is tired
Surpris par sa brutalité soudaine, je me retrouve contre le lit sans esquisser un geste, les poignets en étau au-dessus de la tête tandis qu'il vocifère et semble parler à quelqu'un d'autres qu'à moi, toujours pris dans son cauchemar apparement. On fait quoi dans ce temps-là? Si je me souviens bien, il ne faut pas le réveiller brusquement sous peine de créer des lésions… Ou est-ce que c'est pour les terreurs nocturnes? Est-ce que s'en est une ou juste un gros cauchemars avec une part de somnambulisme? Je n'en sais rien, je n'ai jamais été confronté à ça. Des mauvais rêves, des cris pendant le sommeil, oui, mais là c'est un autre palier. Avant que je ne sache vraiment quelle attitude adopter, Jax semble revenir à lui, me fixe un petit instant sans que je ne bouge, me contentant de lui rendre son regard puisque je ne sais pas plus quoi faire.
Il recule rapidement et c'est la peur que je lis dans ses traits qui me décide finalement. Tandis qu'il s'excuse, je m'approche doucement jusqu'à pouvoir me coller sur lui.
- Non, t'en fais pas, lui assurais-je.
En vrai, j'aurai peut-être certaines difficultés à peindre ou dessiner demain ou après-demain, mais ce n'est pas tellement grave. Ce ne sera pas la première fois. Et je n'ai pas l'intention de lui dire pour qu'il se sente plus mal. Au contraire, j'aimerais l'emmener loin de son état d'esprit. Je passe ma main dans ses cheveux, glissant aussi sur sa nuque et ses épaules que je sens tendues. Mes lèvres contre sa tempe, je dépose un baiser pour lui faire comprendre que je ne lui garde pas de rancune pour ça, lui faire réaliser aussi que le cauchemar est fini et que je suis près de lui s'il a besoin.
- Oui, je t'aime aussi, murmurais-je contre son oreille.
Embrassant d'abord sa joue, je vais ensuite à la recherche de ses lèvres que je capte tendrement pour le calmer.
- Ça va aller Jax, lui assurais-je encore. Y'a que nous deux là, fis-je doucement. Ça va aller, répétais-je.
Il recule rapidement et c'est la peur que je lis dans ses traits qui me décide finalement. Tandis qu'il s'excuse, je m'approche doucement jusqu'à pouvoir me coller sur lui.
- Non, t'en fais pas, lui assurais-je.
En vrai, j'aurai peut-être certaines difficultés à peindre ou dessiner demain ou après-demain, mais ce n'est pas tellement grave. Ce ne sera pas la première fois. Et je n'ai pas l'intention de lui dire pour qu'il se sente plus mal. Au contraire, j'aimerais l'emmener loin de son état d'esprit. Je passe ma main dans ses cheveux, glissant aussi sur sa nuque et ses épaules que je sens tendues. Mes lèvres contre sa tempe, je dépose un baiser pour lui faire comprendre que je ne lui garde pas de rancune pour ça, lui faire réaliser aussi que le cauchemar est fini et que je suis près de lui s'il a besoin.
- Oui, je t'aime aussi, murmurais-je contre son oreille.
Embrassant d'abord sa joue, je vais ensuite à la recherche de ses lèvres que je capte tendrement pour le calmer.
- Ça va aller Jax, lui assurais-je encore. Y'a que nous deux là, fis-je doucement. Ça va aller, répétais-je.
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