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You can't forget about this mess (Oliax)

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You can't forget about this mess
Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis


I see those tears in your eyes
And I feel so helpless inside
Oh love, there's no need to hide
Just let me love you when your heart is tired


Surpris par sa brutalité soudaine, je me retrouve contre le lit sans esquisser un geste, les poignets en étau au-dessus de la tête tandis qu'il vocifère et semble parler à quelqu'un d'autres qu'à moi, toujours pris dans son cauchemar apparement. On fait quoi dans ce temps-là? Si je me souviens bien, il ne faut pas le réveiller brusquement sous peine de créer des lésions… Ou est-ce que c'est pour les terreurs nocturnes? Est-ce que s'en est une ou juste un gros cauchemars avec une part de somnambulisme? Je n'en sais rien, je n'ai jamais été confronté à ça. Des mauvais rêves, des cris pendant le sommeil, oui, mais là c'est un autre palier. Avant que je ne sache vraiment quelle attitude adopter, Jax semble revenir à lui, me fixe un petit instant sans que je ne bouge, me contentant de lui rendre son regard puisque je ne sais pas plus quoi faire.

Il recule rapidement et c'est la peur que je lis dans ses traits qui me décide finalement. Tandis qu'il s'excuse, je m'approche doucement jusqu'à pouvoir me coller sur lui.

- Non, t'en fais pas, lui assurais-je.

En vrai, j'aurai peut-être certaines difficultés à peindre ou dessiner demain ou après-demain, mais ce n'est pas tellement grave. Ce ne sera pas la première fois. Et je n'ai pas l'intention de lui dire pour qu'il se sente plus mal. Au contraire, j'aimerais l'emmener loin de son état d'esprit. Je passe ma main dans ses cheveux, glissant aussi sur sa nuque et ses épaules que je sens tendues. Mes lèvres contre sa tempe, je dépose un baiser pour lui faire comprendre que je ne lui garde pas de rancune pour ça, lui faire réaliser aussi que le cauchemar est fini et que je suis près de lui s'il a besoin.

- Oui, je t'aime aussi, murmurais-je contre son oreille.

Embrassant d'abord sa joue, je vais ensuite à la recherche de ses lèvres que je capte tendrement pour le calmer.

- Ça va aller Jax, lui assurais-je encore. Y'a que nous deux là, fis-je doucement. Ça va aller, répétais-je.

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Éloigner d'Oliver je le regarde apeuré, merde ce rêve m'a fait faire des choses de merdes faut le dire. J'ai dû lui faire mal, et il arrive encore vers moi m'assurant m'aimer et me disant qu'on est que tout les deux et que personne ne nous fera du mal. Je finit par le prendre dans mes bras et je l'enlace. Je passe de sales moments en ce moment faut croire. Je le serres contre moi et je caresse ses cheveux. Je me dis qu'un jour avec ce genre de choses il en aura mare et il me laissera seul, je ne sait pas pourquoi mais je le sent. Est-ce qu'il est vraiment prêt à supporté mes rêves, mes crises de colères et tout mon caractère, j'en sais rien mais je sais que par amour il le ferais il resterais avec moi et j'en suis trop content bien sûr mais j'ai pas envie de le forcer à ce qu'il supporte tout ça. Je prends ses mains dans les miennes et je caresse ses poignets doucement. «J'ai serré fort... Tu pourra pas peindre dans les prochains jours si ? » Recherchant à être rassuré je le regarde doucement dans les yeux avant de baisser les miens en caressant sa peau rougies doucement.

«Je suis désolé, je rêvais de la vielle encore une fois et j'ai pas fait gaffe que t'était dans le lit avec moi... Je suis vraiment désolé Oliver... Tu sais jamais je t'aurais fais du mal» Me demandais pas pourquoi mais je pense au frère d'Oliver et je me dis encore une fois qu'il dirais à son frère de me quitté si jamais il savais que j'ai serré ses poignets si fort... Le pauvre je revoit encore son regard quand j'ai reprit conscience. Il semblais perdu et savais pas quoi faire. Je me sent tellement mal et en même temps si heureux qu'il ne me déteste pas. Je m'approche de lui et je lui vole un baiser. «Je t'aime Oliver, je suis tellement désolé. » Je mordille ma lèvre doucement en tenant son regard.


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Jax O. Stogstrom & Oliver Matthiew Davis


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M'enlaçant, je réalise à quel point il peut être fragilisé et à quel point son cauchemar et son réveil l'ont secoué. Je ne serais pas tellement surpris qu'il se mette à trembler. Installé dans ses bras, je laisse constater les nouvelles marques sur mes poignets puisque j'ai l'impression que si je les enlevais de sous ses doigts, il le prendrait comme une preuve que je ne veux plus qu'il me touche. En le laissant faire, j'espère plutôt passé le message que ce n'est pas grave. Parce que, honnêtement, c'est le cas.

- T'en fais pas, ça ira, lui assurais-je.

Je n'ai pas envie de lui mentir et de lui dire que je pourrai alors que demain je pourrais grimacer si je m'installais devant mon chevalet. Encore, avec les doigts ça pourrait aller mais je me doute que les pinceaux ça ne sera pas génial. Après, je n'ai pas de commandes de toiles encore, alors il n'y a rien d'urgent. Et pour le boulot, soulever les caisses et déplacer les oeuvres, y'en a encore pour quelques jours. De toute façon, rien n'est assuré pour le moment. Mes poignets sont rougies mais pas violacés, signe que je n'ai rien de briser. Du moins, en mon sens. Y'a pas de douleur fulgurante non plus, c'est juste un peu plus sensible, mais ça fait que je sens très bien les caresses qu'il y appose.

- Je sais, murmurais-je appuyé contre lui. Je n'ai pas peur de toi, Jax, affirmais-je doucement, mais sans hésitation. Et crois-moi, j'ai déjà subi bien pire par ma propre faute, alors arrêtes de t'en faire pour ça, lui expliquais-je. ...Et puis, tu me laisses régulièrement des marques, je te rappelle, le taquinais-je.

La situation n'est pas comparable, je le sais, mais j'espère peut-être lui tirer un petit sourire et qu'il arrête de s'en faire pour mes poignets. Ça ira pour moi, c'est plutôt lui qui m'inquiètes. Parce que les blessures intérieures sont souvent beaucoup plus difficiles à guérir. Je n'ai pas envie qu'il n'ose plus me toucher parce qu'il s'est convaincu qu'il est un monstre qu'il ne devrait pas approcher personne ou je ne sais quoi encore! Je ne veux pas que "la vieille" répandre son venin partout et que ça le brûle de l'intérieur. Il est déjà mal en point, mais je veux l'aider à se remettre sur pied, ajusté le moral pour qu'elle ne lui fasse plus d'effets. Je sais que ce sera long et pénible, je ne sais pas si je suis la meilleure personne pour ça, moi qui frôle la dépression par phase, mais je peux quand même essayer de l'aider. De toute façon, il n'est pas question que je l'abonne et surtout pas pour ça!

Comme s'il avait entendu mes pensées, Jax vient me voler un baiser, m'assurant qu'il m'aime et qu'il est désolé. Étouffant un soupir, je répond d'abord par une nouvelle embrassade que je fais durer un peu plus. Du calme, Jax. Arrête de t'en faire pour ça. Le laissant finalement respirer, j'appuie mon front contre le sien.

- Je sais que t'es désolé, je sais que tu ne me feras pas mal volontairement et je sais que tu vaux plus que tout ce qu'elle pourra dire sur toi, alors je t'en pris, arrête de t'en faire pour mes poignets, fis-je doucement, le nez contre le sien, les yeux fermés. Tu m'as surpris et je ne savais simplement pas quoi faire pour te réveiller sans heurts, expliquais-je en me remettant un peu plus droit pour le regarder. Ça ira, répétais-je. Et je suis là, assurais-je avec un léger baiser. Et je ne te laisserai pas, lui promis-je. ...sauf peut-être quelques minutes pour aller chercher ta boule de poils chez le coiffeur, ajoutais-je avec un léger rire.

Dégageant doucement l'un de mes poignets entre ses mains, je la glisse sous son menton pour s'assurer qu'il ne baissera pas la tête, puis remonte pour caresser tendrement sa joue avant de lui voler un nouveau baiser.

Ça ira Jax, t'es pas tout seul.

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Il a toujours su comment et quand me rendre doux. Il sait parfaitement comment me prendre dans le sens ou il s'occupe de moi sans pitié et sans même me faire sentir mal. Alors même que cinq minutes plus tôt je lui en faisait baver de douleur. ses poignets doivent le lancer et pourtant il est là dans mes bras laissant mes doigts caressé ses poignets rougies et sans doute sensible. Je le regarde et l'écoute me dire qu'il sait ce que j'ai ressenti. Il tourne sa en blague douce et mignon quand il dis que de toute les façon je lui laisse déjà des marques sur son corps. «J'aurais préféré te faire ce genre de marques plutôt que celles de mes rêves d'horreur. Et je croit que toi aussi... » Je le regarde et je lui souris légèrement taquin.

Je me sent de mieux en mieux et je ne le doit qu'à Oliver. Je le garde dans mes bras et je nous rallonge en fermant les yeux je glisse ma tête contre son cou et je respire fortement son odeur. «T'en à pas marre Oliver ? Je veux dire en ce moment je râle constamment, je fais de sale cauchemars et en plus j'ai foutu ma chambre en vrac pas plus tard que quelques heures ?» D'ailleurs quand je pense au ménage que je devrais faire plus tard je râle déjà. Je le regarde et je mordille ma lèvre. J'y arrive pas, avec Oliver j'arrive as à être le sale connard que je devrais être avec tout le monde, non lui il me voit tel que je suis vraiment. Et a me fiche la trouille, même si je dis rien.

Je glisse ma mains sous son haut comme j'aime à le faire et je caresse son ventre doucement. «Du coup demain, on pourrais aller choisir de nouveau meuble pour la chambre ? Enfin, si tu as envie de venir avec moi.» Je mordille ma lèvre encore.


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Pour le simple sourire coquin qu'il me fait, je suis heureux d'avoir tourner notre échange en blague entre nous. Je ne me suis jamais plains de ces autres marques qu'il me laisse régulièrement, au contraire, je les apprécie pour différentes raisons. Et je ne me plaindrai pas plus de ces marques-ci. Ça ne servirais à rien de plus que de l'enfoncer alors qu'il se sent déjà mal et je veux le voir sourire, chasser les nuages noirs au-dessus de sa tête.

- C’est sûr que c’est plus appréciable comme situation, fis-je avec un petit sourire joueur.

Déjà bien calé dans dans ses bras, je me tasse un peu plus sur lui si c'est possible, tentant de lui prouver que je n'ai pas peur et que je veux bien de sa présence. Je n'en ai pas peur et si cette idée a peut-être fait son chemin, c'est une autre inquiétude qu'il m'expose se planquant la tête dans mon cou comme s'il n'osait réellement me regarder lorsque je lui répondrai.

- Tu sais que si t’as décidé de me foutre à la porte, faudra te trouver de meilleurs arguments? Le questionnais-je en levant un sourcil, ne me prenant pas vraiment au sérieux cependant. Non, j’en ai pas marre. Et si ça m’arrive à un moment ou un autre, j’irai prendre l’air, je fumerai une cigarette, beuglerai un bon coup et puis voilà, fis-je en haussant simplement les épaules pour le déloger de sa cachette autant que pour lui faire comprendre que je ne m'en fais pas pour ça.

Ça ne peut pas toujours être rose, comme on dit, mais tant qu’il y a plus de bons moments que de coups durs, je devrais pouvoir encaisser quand on arrive dans le creux de la vague. Et puis, c’est nettement plus facile de combattre pour quelqu’un qu’on aime, ou d’être à ses côtés pour l’épauler dans une épreuve que de devoir lui faire face dans l’arène.

Tandis qu'il me regarde, peut-être pour voir si je dis vrai, je passe mon pouce contre son menton, libérant sa lèvre qu'il mordille maltraitant légèrement ma volonté. Mais je sais que c'est un tic chez lui, j'arrive à reconnaître lorsqu'il se fout volontairement de moi et me provoque ou lorsque c'est sa nervosité qui ressort, comme maintenant. Et pour le calmer, je lui offre une solution qui fonctionne bien avec lui normalement : je pose mes lèvres sur les siennes, l'embrassant tendrement.

Le relâchant, j'ai un sourire quand ses mains s'invitent sous mon haut, mais c'est doux, une caresse sur mon ventre plat, presque creux. Ses doigts effleurent mon piercing et j'étouffe un rire, envisageant déjà qu'il pourrait me chatouiller facilement s'il le voulait. Oubliant tout ça, je me concentre sur ses paroles, un peu étonné avant de lui offrir un large sourire.

- Bien sûr! Répondis-je. Mais d’ici là, faut aller chercher ta peluche sur pattes, fis-je en me redressant joyeusement. Tu viens avec moi ou non? Le questionnais-je, jouant avec le collet de son t-shirt pour l'enquiquiner et le tenter. On pourrait arrêter dans l’un des restos du quartier pour prendre un repas à emporter et revenir ici et je t’aiderai à ranger, proposais-je doucement en m’approchant de ses lèvres, lui volant un très léger baiser comme pour le convaincre. De tout façon, je t’aiderai à ranger. C’est non-négociable, lui fis-je savoir.

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Oliver confirme qu'il préfère mes marques d'ordre plus intimes entre nous et je hoche la tête, on est d'accord. J'aurais aimé qu'il ne soit pas présent lors que mes cauchemars de la vielle parce qu'en général c'est là où je suis le pire mais au moins il voit ce que je vis quand il ne passe pas ces nuits avec moi. C'est comme si cet homme m'apaisait, il me calme me détends et même dans mon sommeil quand il est là. Je souris et je tiens son regarde coquin, quand il dis ça. Je le trouve magnifique, genre vraiment beau. «Les prochaines que je ferais seront de cet ordre là, intimes et aussi voulu. Je t'assure que c'était pas voulu celles-ci même si je sais que tu sait aussi.» Et je lui fais un petit clin d'œil, je ne veux plus être dans mes pensées sombres et je croit qu'il m'aide assez bien pour ça.

Il parle de la manière dont je l'ai un peu pousser à me quitter si jamais c'était trop et il tourne ça en douce blague qui passe bien dans ce genre de moment. Je souris et je le regarde, quand il dis qu'il sortira beugler un bon coup avant de revenir vers moi. Je le prends comme une promesse, comme celle qu'il m'a déjà faite de ne jamais me laisser tomber. «Ça aussi tu me le jure, de beugler contre moi si jamais je vais trop loin? Et si jamais tu en a marre tu reviendra après ta clope dehors ?» Mine de rien je ne suis que peur quand je pense qu'il pourrais me quitter comme ça, comme tous les autres.

Il finit par me dire qu'il viendra avec moi pour qu'on aille changer les affaires que j'ai casser ici et il me demande si je viens avec lui cherche le chien finalement. Il dis qu'on pourrais s'arrêter cherché à manger avant de revenir ici et qu'au final que je le veuille ou non, il m'aidera à ranger. Je grogne un peu. «Je t'assure que cette fois tu ne pourra rien faire Oli, j'ai fais ça seul je rangerais seul, de plus faut que je re-tri tout pour m'y retrouver dans mes notes alors disons que c'est ma punition faite à moi-même. Je veux absolument pas que tu m'aide à ranger et sa c'est pas négociable, alors tu prends t'es affaires, la carte de la vielle, tu paie la bouffe et pour la toilette e mon chien et je t'assure qu'elle le mérite pour nous voir gâché la soirée. Tu prends ton temps et moi je m'occupe de tout ranger ici pour qu'on finisse la soirée mieux qu'elle n'a commencer, tu veux bien ? S'il te plais. » Je veux absolument que a se passe comme ça, pour me remettre les idées en place.


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Riant doucement de la promesses de Jax, je me contente d'hocher la tête en souriant lorsqu'il affirme que je sais qu'il ne voulait pas me blesser. Je le sais et je n'ai pas peur de lui. Je ne crois pas qu'il serait capable de lever la main sur moi. Je crois qu'il est plus calme en ma présence, ou qu'il fait un effort pour l'être peut-être. Ça, je suis un peu moins certain. Mais si j'étais arrivé un peu plus tôt aujourd'hui, je me dis qu'il n'aurait peut-être pas tout casser, sauf qu'il en avait peut-être besoin. À trop garder en dedans, à un moment, ça finit par bouffer de l'intérieur.

Tournant d'un ton léger l'inquiétude de mon petit ami sur le fait que je pourrais vouloir partir, je perds cependant une part de mon sourire lorsqu'il insiste pour que mes solutions deviennent une promesse. Ses yeux fixés aux miens, je réalise qu'il y tient peut-être un peu trop pour que je puisse répondre à la légère et que si ça arrive et que je ne fais pas exactement ce que je viens de lui dire, il pourra se prendre la tête sévèrement et paniquer. Faudrait peut-être que je clarifie quelques trucs alors. Caressant sa joue, je m'assure qu'il continuera à me regarder.

- Jax, j'en ai pas marre, affirmais-je sincèrement. Et ça peut arriver qu'on s'engueule pour un truc ou deux. Ça arrivera surement même. Mais je crois pas que tu feras quelque chose qui me fera sortir de mes gonds au point de ne plus vouloir te voir. T'en connais quand même assez sur moi, je penses, pour savoir où ne pas mettre les pieds, alors je m'inquiète pas et tu devrais pas non plus. Si vraiment on est rendu à se gueuler dessus un jour, c'est comme je te dis, je me reculerai et j'irai prendre l'air. Si c'est vraiment intense, c'est possible que ça dure un jour ou deux, mais je reviendrai. J'aurai peut-être les mains pleines de peintures ou d'écorchures, j'aurai peut-être vriller de mon côté, mais je reviendrai. Parfois faut simplement laisser le temps aux esprits de se calmer et ça ne se fait pas nécessairement en une heure, fis-je avec un petit sourire désolé. Je ne t'abandonnerai pas Jax, promis-je appuyant mon front contre le sien. T'es pas tout seul, Sexy, soufflais-je.

Je n'ai pas envie qu'il panique si je ne reviens pas après une simple cigarette si on se dispute. J'ai parfois besoin de temps aussi pour décompresser et faire passer la pilule. Ça peut m'arriver de vouloir tout éclater comme Jax l'a fait, mais si j'en suis capable, j'essaie de canaliser par la peinture. Si ça ne fonctionne pas, là ça devient un peu plus compliqué parce que j'en ressors rarement idem. Faudra que j'avertisse Shirley d'écrire à Jax si je vais encore faire un tour à l'hosto d'ailleurs.

Tentant de convaincre Jax de m'accompagner pour s'aérer les idées, il se montre assez ferme lorsqu'il me répond : il veut faire ça tout seul. Et c'est non-négociable. À voir qui de nous deux aura la tête la plus dure. Je veux bien aller chercher Daeron et le repas, mais s'il continue de ranger lorsque je reviens, je sais que je ne pourrais pas m'empêcher de l'aider.

- Très bien, j'y vais, capitulais-je avec un sourire en prenant sa carte et récupérant mon portefeuille et mon skateboard.

Ce ne serait pas nécessairement une bonne idée de monter sur ma planche pour revenir avec la peluche, mais pour y aller, ce sera plus rapide. M'assurant que j'ai mon téléphone, je m'approche de mon grand tatoué pour l'embrasser une dernière fois avant de sortir.

- Un dernier détail : la soirée n'est pas gachée, on a juste changé les plans, soufflais-je contre ses lèvres. Et c'est pas une punition.

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Ce que dis Oliver me permet de revenir sur terre. Il ne me fais pas la promesse que je lui demande.ET on sait tout les deux que j'en demande trop parfois mais il est beaucoup trop gentil pour me le dire et pour me faire me remettre en question. Dans ce cas précis justement il me remet les idée en place. Il me fais comprendre que qu'il reviendra même si je vais trop loin mais qu'il lui faudra du temps à lui aussi. Je me sent égoïste de tenir tant à lui et en seulement quelques mois. Je sait bien que mes peurs sont nombreuses et grande et c'est pour ça que j'ai ce mode de vie, celui auto-destructeur. Il pourrais m'en vouloir mais il est lui-même comme ça. Je mordille ma lèvre et je relève les yeux vers lui quand posant son front sur le mien il me dis que je ne suis pas seul. Usant encore du surnom qu'il me donne me faisant sourire légèrement. Je n'ose pas parler, je me sent faible, Oliver, me rends faible de la meilleure façon qu'il soit. Il me rends plus humains que je n'avais jamais été. Il me fais retombé dans des moments de ma vie que je n'aime pas et je m'en veux de tant lui en faire baver pour ça, pourtant il ne se rends pas compte combien il m'aide à être moi. «Tu as raison, j'en demande trop alors que je devrais avoir totalement confiance en toi et c'est le cas avec une part de peur, sans même pouvoir la contrôlé. Pardon pour ça.»

Il me parle d'aller cherche mon chien et je suis ferme quand je lui dis qu'il ne faut surtout pour qu'il se mette à ranger avec moi pour les conneries que je fais, même si je comprends parfaitement pourquoi il voudrais m'aider pour ça, je ferais pareille s'il été dans mon cas et encore j'aurais attendu qu'il dorme pour tout ranger moi. Je tourne d'ailleurs la tête vers le bordel que j'ai foutu et je mord ma lèvre alors qu'il prends ses affaires, il reviens et m'embrasse me disant que c'est pas une punition et qu'il m'aidera si je n'ai pas finit avant son retour. «Tout sera nickel quand tu reviendra, promis. Reviens moi vite Oliver. » Je glisse ma main dans mes cheveux en le regardant tendrement, le laissant partir. Je me lève de suite et je me met au travaille attendant on retour. Je m'applique à tout rangé le plus rapidement tout en classant mes cours, encore heureux que je suis surdoué, mh.. Je prends un sac poubelle pour ce qui est meuble cassé, et on ira rapidement les remplacer parce que la vielle pourrais trouver un moyen de m'en faire baver pour sa aussi.


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Tandis qu'il s'excuse, je ne peux m'empêcher une petit rire, m'expliquant cependant tout de suite avant qu'il ne le prenne mal.

- Tu me dis ça à moi qui t'aie piqué une crise monstre parce qu'une fille a voulu te coller d'un peu trop près à l'hôpital? Je serais mal placé pour te le reprocher! fis-je en riant. Tu m'as prouvé que j'avais pas de raisons d'avoir peur quand c'est arrivé, indiquais-je plus sérieusement. Je te prouverai aussi que c'est le cas si on se dispute. En attendant, y'a pas à s'en faire, lui indiquais-je avec un sourire tendre. Je te l'ai dit : tu m'as charmé, maintenant t'es pris avec moi, plaisantais-je.

Ça n'empêche qu'il y a un grand fond de vérité : je suis bien avec lui et, malgré tout ce qu'il pourra en penser, il m'a charmé par toutes ses qualités et même certains de ses défauts. Il est protecteur sans pour autant être étouffant. Il est doux et pataud en essayant - peut-être un peu trop parfois - de faire les choses exactement comme il faut. On n'a pas les mêmes points de vues sur bien des sujets, mais ça en fait un plaisir de parler avec lui. J'aime le voir concentré sur ses bouquins avec son air sérieux ou le voir redevenir comme un enfant sans soucis quand il joue avec Daeron ou son regard pervers quand il me fait comprendre qu'il a une idée derrière la tête. C'est certain que je fond sous ses caresses et y'a plus à prouver qu'il est doué au lit, mais ça n'empêche que là où je manque un battement, c'est quand il me sourit, tout simplement. Et ça peut sembler complètement gaga, mais c'est la vérité. Alors, je n'ai aucune raison de le quitter. Comme je lui ai dit : je ne pense pas qu'il se rendrait jusqu'à un point où je serais incapable de lui pardonner ce qu'il a dit ou fait. Alors c'est sans stress.

Je finis par accepter lorsqu'il me dit qu'il ne m'accompagnera pas et que je ne l'aiderai pas. Le second point ne sera discutable que lorsque je reviendrai puisque ça ne sert à rien de lancer une guerre maintenant. Attrappant sa carte, la laisse de Daeron et mes effets, je reviens l'embrasser, lui assurant que la soirée n'est pas gâchée et qu'on pourra facilement la continuer. Sa main dans mes cheveux, je laisse couler sa promesse puisque je ne ferai certainement pas de scène si ce n'est pas le cas lorsque je reviendrai. Ses autres paroles élargissant mon sourire à son attention. Après, venez pas me dire qu'il est pas simplement adorable! Mais c'est mon petit ami, je partage pas, alors zou!

- Promis, je vais essayer de ne pas me perdre, fis-je en riant doucement.

***

Skateboard et sac dans une main, je tiens Daeron en laisse de l'autre tandis qu'il m'entraîne dans le corridor plus que je ne le guide. Il a bien marcher au pas tout au long du trajet, comme Jax m'a montré de lui obliger, mais je reconnais que depuis qu'on a quitter la cage d'ascenseur, je l'ai laissé passer devant. Il a reconnu l'environnement et semble avoir particulièrement hâte de revoir son maître. Ça ne l'a pas empêcher de me démontrer une forte affection lorsque je l'ai récupérer chez le toiletteur, mais Jax, c'est Jax quoi!

- Doucement Daeron, fis-je en riant alors qu'il plaque sa truffe dans le bas de la porte de la chambre de mon petit ami. Assis, ordonnais-je.

Tirant légèrement sur son collier, je suis obligé de répéter l'ordre une seconde fois, mais il se recule finalement pour s'asseoir, me laissant entrer en premier comme il est supposé. Prudemment, je tourne la poignée et ouvre doucement la porte pour jeter un oeil sur où en est rendu Jax, mais avant que je n'aie vraiment pu évaluer, la peluche me passe près des jambes, ouvrant la porte en grand, m'entrainant dans la chambre en moins de deux puisque sa laisse est encore fermement entortillé à mon poignet. La relâchant d'ailleurs, j'éclate de rire en voyant la boule de poils faire les yeux doux à son maître, tandis que je vais fermer la porte et déposer mon skateboard.

- Je te rassure, il s'est bien comporté tout au long de la promenade, informais-je mon beau brun en me calmant. Mais tu lui as manqué, je crois, indiquais-je avec un petit sourire amusé.

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Les mots d'Oliver me touchent. C'est vrais que cette fois là sa avais pousser le destin à dire à Oliver combien je l'aimais, et combien j'en suis fou. Il me fais sourire quand je repense à ça parce que sa prouve à quel point il m'aime. Après ma réputation me précède du coup il nous à fallu un temps d'adaptation parce que j'était un homme à femme et même encore maintenant je peut très facilement me retourné sur une belle femme. Malgré tout Oliver reste mon choix numéro un et je ne compte en aucun cas le trompé alors même si une femme passe devant moi et me parait être attirante jamais je ne passerais à l'acte avec lui ou même sans lui présent. Puis qu'on se le dise, les fesse d'Oliver sont largement plus attirantes. Je souris à cette penser, me disant qu'il à dû comprendre ce à quoi je pensais. «On est encore sur la même onde toi et moi, on était fais pour être ensemble. » Je ris un peu et je me perds dans mes pensées.

Pendant tout ces mois avec lui je n'ai jamais eu envie de quelqu'un d'autre, sa faisait longtemps que sa ne m'était pas arrivé pour tout dire, j'avais passer de longue semaines ou je passais de lit en lit sans même dire merci et avec lui tout est différent. J'aime passer du temps avec lui, j'aime le voir revenir vers moi le soir après ces cours, pleine de peintures. J'aime quand il veux me prendre en photo ou des partie de mon corps parce que selon lui je suis un œuvre d'art. J'aime quand on fais l'amour parce que tout les lent et sensuel, par comme avec ces filles ou je voulais vite en finir. J'aime qu'il ne m'en veuille pas de fumer de la marijuana. J'aime qu'il mette mes haut trois fois trop grand pour son corps frêle, j'aime quand il perd pieds et qu'il n'arrive plus à rien dire sauf des mots sensuels. Je l'aime tellement il me rends tellement meilleur que je n'ai jamais été. Et en même temps sa me fais peur parce que si un jour je finit seul à nouveau sa fera de moi quelqu'un d'encore pire. Pourtant je suis prêt à y plonger les deux pieds devant.

×××

Il est plus tard quand j'ai enfin finis ou presque de ranger tout ce qu'il me restait à faire. Je souris content de moi et surtout parce qu'Oliver n'aura pas ranger, je m'assure de changer les draps pour qu'il soient plus souillé par ma rage, je les range, je pose les deux chaises cassées dans un coin prêt à les jetés. Je pli la couverture au bas du lit et j'entends du bruit. Je sais que c'est mon chien parce qu'il fais se bruit si caractéristique. Je voit d'abord la tête d'Oliver passé avant que mon chien ne démonté tout pour entré, je ris et je le regarde. «Assis Daeron ! Soit patient et attends qu'il te détache au moins. Patate va » Je me baisse et je retire la laisse alors qu'il me lèche la joue et je l'enlace en le câlinant comme il le mérite. Je souris grandement et je regarde Oliver. «Il ne t'a pas fais mal ? Il peut être bourrue des fois.» Je sais qu'il le sais et qu'il n'en voudra à mon chien pour ça. Je lui souris et je fais un câlin avec mon chien.


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