Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitythe fault in our stars (nino)
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


the fault in our stars (nino)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le soulagement la saisit lorsqu'elle arrêta sa course, les mains posées sur ses hanches alors qu'elle reprenait son souffle, les joues légèrement rosies par l'effort. Courir faisait partie des choses qu'elle faisait bien plus qu'avant. C'était l'un de ses exutoires, lui permettant de s'échapper, d'oublier un instant le quotidien, d'effacer les soucis qu'elle fuyait et qui pourraient venir ronger l'esprit de l'italienne. Vétue uniquement d'une brassière et d'un jogging, Nicola vint enfiler sa veste entourée autour de sa taille pour couvrir les nouveaux frissons que le vent du soir encore frais laissait courir sur sa peau refroidissante. Les notes flottant toujours à travers ses écouteurs ne parvinrent pas longtemps à maintenir la bulle de plénitude concentrée dans laquelle elle rentrait lorsqu'elle courrait. L'étudiante laissa encore un moment ses pensées dériver au rythme de la musique alors que ses pas la ramenaient sur ce chemin autrefois si familier menant à la Eliot House. Nicola se souvenait encore de l'époque où elle le parcourait tous les jours, avec une innocence qu'elle ne possédait plus. Ce temps lui semblait si lointain et si proche à la fois. Tant que chemin avait été parcouru depuis. Pourtant, aujourd'hui elle était revenue. Là où tout avait commencé. Là où elle avait ouvert les yeux il y a cinq années. Pour prendre la décision qui lui avait apporté les meilleurs sensations comme les pires. Replaçant une mèche blonde échappée de sa queue de cheval d'une main, elle laissa simultanément ses doigts s'enrouler autour de la poignée de la porte d'entrée. L'ouvrant dans un même mouvement et légèrement distraite, le temps fit le reste, alors que l'italienne manqua de rentrer dans la poitrine d'un autre étudiant ayant eu la même idée qu'elle à l'exact même moment. Pardon, je regardais pas où j'allais. laissa-t-elle, avenante, avec ce sourire solaire qui la caractérisait, reculant d'un pas pour s'éloigner de cette silhouette trop proche, finissant sa phrase en croisant son regard. Le temps sembla alors s'arrêter, ses connexions nerveuses s'agiter, disjoncter. Son rythme cardiaque s'accéléra inévitablement. Ils avaient tous les deux réussis à s'éviter pendant les deux premières semaines. Nicola savait, pourtant. Elle savait que ce moment arriverait, connaissait son nouveau rang au sein de la Eliot et surtout, celui qu'il avait auprès d'elle depuis son retour, ironique état des choses. Peut-être que c'était pour ça qu'elle était partie si vite il y a cinq ans. Avant d'hésiter. Avant que son simple regard, aujourd'hui si froid, puisse lui faire abandonner ses résolutions. Malgré tout, jamais la jolie blonde n'aurait pu imaginer que le revoir la perturberait autant, ravivant des souvenirs qui, au fond, ne s'étaient jamais atténués. Noah...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Papà ascoltami! Enzo è .. t'es dans ton bureau et tu gueules au téléphone avec ton père, il te laisse pas en placer une seule et tu vas l'envoyer chier, sauf que tu te calmes, tu soupires fortement. L'italien qui sort de ta bouche c'est jamais bon, tu serres les dents, il a un débit de paroles énorme ce con, la prochaine fois que tu le vois tu vas le tuer ou inversement mais là sérieusement merde. Alors tu décides de sortir de sortir du bureau avec ton dossier Ferrari dans les mains et il continue de parler. Mais là tu peux pas parler en italien, ni même l'insulter, t'es le président donc tu l'écoutes et tu ne dois pas être énervé Ce que je veux dire c'est que .. et bien sur, tu descends les marches, tu serres deux ou trois mains rapidement alors que tu arrives dans la cuisine pour prendre une pomme et tu repars Papa, Enzo ne peut pas .. Et ça continue, Enzo et toujours Enzo, tu décides de passer la porte, tu l'ouvres rapidement pour regarder ton dossier et voilà qu'on te rentre dedans Cazzo di merda tu lèves les yeux vers l'inceste avant de rester figer vers elle. Blonde, regard destructeux et si attirant, avec ces lèvres délicates à souhait, légèrement humides, elle a du revenir du sport. Mais ton père t'insulte au téléphone et toi tu fais ce pourquoi tu es bon. Ton regard devient froid, voir même glacial et ton visage se ferme, tu humectes tes lèvres avant de serrer les dents Ti ricordo Tu le rappeleras jamais, t'es pas con à ce point là quand même, il va te tuer et tu restes figer face à elle avant de te décider de passer, elle te laisse passer c'est comme ça, elle a tord, tu as raison point barre. Tu feras gaffe les douches des bizuts sont cassés, tu vas devoir te laver au gymnase Gymnase qui est à 15 minutes à pied d'ici merci la pute que tu es, mais les douches sont pas casées, tu le sais parfaitement, faut pas abuser deux secondes et ton regard se baisse quand tu passes pour la mater, en même temps t'as le droit, elle t'as appartenu pendant quoi six longues et magnifiques années ou vous couchiez ensemble ? T'as le droit de retrouver ce qui t'appartient non ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Son ton tranchant lui fit l'effet d'une épée en plein coeur. Elle pensait être prête à affronter sa colère. Elle pensait être prête après toutes ces années à supporter la haine qu'il avait envers elle. Quelle idiote. Elle avait été tellement naïve. Si elle avait une conscience aiguë de mériter sa réaction, ça n'atténuait pas la douleur qu'elle représentait. Se ressaisissant, elle vint planter son regard dans le sien alors qu'elle s'écarte pour le laisser passer. Merci pour l'info, j'y penserais. Derrière ses mots, son ton laissait pourtant sous entendre qu'elle ne le croyait par un seul instant, mais elle ne se donna pas la peine de le préciser à voix haute. Elle n'avait pas envie de rentrer dans son jeu, d'accentuer l'animosité qui régnait déjà. Nicola savait encore dire quand il mentait, elle l'avait toujours su et l'amertume dans ses paroles rendait la chose encore plus évidente. On efface pas des années de complicités si facilement et si le temps les avait tangiblement changés, ils restaient deux pièces d'un ancien puzzle. Deux pièces usées, abimées par les intempéries qu'elles avaient subies. La blonde ne cille pas lorsque le regard du président Eliot vint se poser sur elle avec fermeté. Combien de fois a-t-elle rêvé de ces yeux après les avoir perdu ? Après les avoir sciemment quitté, poussée par une détermination folle. Voilà ce que ça avait été pour son coeur, de la pure folie. Pourtant elle l'avait fait, et assumé aussi bien qu'elle le pouvait. Après que le regard dominateur du blond ait terminé son examen, elle le sent s'éloigner pour poursuivre son chemin. Un pas. Puis deux. Merde ! Dans un effort de volonté contre elle-même, l'étudiante réussit à ouvrir la bouche à nouveau. Noah, attends ! appelle-t-elle en se retournant vers lui dans un même geste. Nicola pause un instant, ne trouvant pas les mots, connaissant qu'il n'y a rien de particulier qu'elle pourrait dire qui aurait le pouvoir de  changer les choses. Tu sais aussi bien que moi qu'on ne va pas pouvoir continuer comme ça longtemps.. Sa voix est assez faible, perdant imperceptiblement de sa détermination précédente, mais assez forte pourtant pour qu'elle puisse atteindre les oreilles de l'homme.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T'as aucune envie d'être gentil aujourd'hui, surtout avec les remarques de ton père dans les oreilles pendant deux heures et ton frère qui vient de débarquer comme une fleur à Boston, alors la voir réellement dans le bleu des yeux ça te réjouie pas réellement. Enfin plutôt le noir des yeux, vu comment t'es énervé en colère. Mais tu préfères éviter de lui balancer ses quatre vérités, là maintenant tout de suite à l'heure actuelle devant tous les étudiants de la Eliot House sinon elle risque d'en prendre un coup. Un énorme coup. Mais en même temps c'est un bon coup la salope. Tu viens à soupirer quand elle te remercie et tu lèves tes yeux vers le ciel, le snob de l'année, ah putain tu peux être fier en fait, parce que tu es réellement fier de la chose mon dieu et voilà que tu passes à côté d'elle. Alberto est déjà sur le trottoir avec l'Audi et il attend sauf qu'elle t'interpelle. Tu te tournes vers elle, tu la fixes dans sa tenue sportive alors que toi, tu as ta belle tenue, ta chemise ouverte légèrement parce que tu as haït les cravates, ton pantalon et ta montre en or. Mais ça t'empêche pas de la détailler encore. Et voilà qu'elle te sort ce genre de mots, tu fronces les sourcils avant de sourire puis de rire. Oui tu rigoles, devant tout le monde finalement, toi le snob enfoiré, le connard aussi, ah et le coureur de jupon, monsieur baise avec les bizuts, coucou c'est toi Je t'ai évité pendant 5 ans, je peux encore t'éviter pendant une vie entière Borgia lâches-tu aussi froidement que l'Antartique. Monsieur Connard j'écoute ? Et tu te regardes l'heure avant de réfléchir que tu avais oublié un papier avec ses conneries, tu fais un signe rapide à Alberto qui hoche la tête pour finalement la bousculer et passer à côté d'elle. Alala insupportable italien que tu es, tu es bien le fils de ton père.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tout ça allait mal finir, c'était écrit en gros au dessus de leurs têtes, et l'alarme rugissait à l'intérieur de Nicola comme un signal d'urgence. Urgence de fuir. Urgence de ne pas le provoquer, urgence du mal qui allait en sortir. Mais c'était trop tard pour faire demi-tour. L'italienne avait trop fuit sa vie pendant trop longtemps, que ce soit avant l'attentat et en partie après également. Elle ne voulait plus rien regretter, ne plus vivre à moitié. Elle se croyait prête à encaisser toutes les horreurs qu'il pourrait lui infliger, tous les mots acerbes que ses lèvres si souvent embrassées pouvaient contenir. Peut-être que cela aurait été plus facile s'il ne se tenait pas si magnifique devant elle, plein de cette suffisance qui ne le caractérisait que trop parfois et qu'elle avait appris à aimer, comme tout le reste de lui. Elle ne flancha pas lorsqu'il l'appela par son nom de famille, chose qu'elle abhorrait plus que tout, il le savait. Et cela n'avait rien à voir avec sa famille à laquelle elle était toujours aussi fière d'appartenir. C'était plus sur le principe. Et si elle connaissait par coeur le coté sanguin de l'Eliot encore contenu, elle n'était pas du genre à abandonner si facilement, pas tant qu'elle n'aurait pas crever l'abcès entre eux. Et alors que son parfum emplissait ses sens lorsqu'il la dépassa, heurtant son épaule sans ménagement, Nicola le suivit jusqu'à son bureau. Manque de bol, ça risque d'être un peu moins facile maintenant, fais-toi une raison. La présence de la blonde dans ces locaux en était la preuve, rappel amer à leur statut de bizuteur et de bizut respectifs.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T’es froid, t’es distant et elle te fait chier la petite Borgia mais elle est toujours aussi canon quand elle te fait chier. Tu t’en rends compte petit à petit et c’est pour ça que tu es aussi froid et méchant. La barrière entre les sentiments et la haine, tu l’as toujours mis pour les inconnus et tu continues de la mettre. Mais voilà petit signe à Alberto, tu t’éloignes d’elle pour pouvoir rentrer dans ton bureau à la Eliot House et finalement tu prends le dossier de la comptabilité et même le dossier d’Hades pour l’entends. Et bien, je vais devoir attendre deux mois avant de te virer réellement d’ici, c’est bête, toi qui te faisait une joie de venir à la Eliot House, ça serait bête que tu loupes cette nouvelle entrée tu fais ton salop, tu le fais tellement bien, superbe acteur Noah bravo. Et tu prends correctement tes affaires, tu ne la quittes pas des yeux avec ton regard froid et noir Tu viens bien partir de mon bureau maintenant, j’ai autre chose à faire que de discuter avec une bizut Oui tu vas la traiter comme une moins que rien et tu comptes bien lui en faire baver chaque seconde de sa vie de bizut. Triste réalité et triste vie pour elle, mais t’as pas super envie de discuter avec elle là maintenant tout de suite, sauf si elle te retient, mais c’est autre chose, parce qu'elle connait l'effet qu'elle a sur toi malheureusement, et puis t'es faible dès qu'il s'agit d'une femme..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
A l'entente de ses premières paroles, elle lève les yeux, geste accompagné d'un léger sourire amer. Bien sur, elle se doutait bien que c'était dans ses plans depuis qu'il avait apprit qu'il était son bizuteur. Nicola ne saura d'ailleurs jamais si c'était un fait volontaire pour s'assurer qu'elle ne réintègre jamais les Eliots, ou juste une très mauvaise blague d'une entité supérieure. Dans tous les cas, elle avait su que cette menace viendrait et elle mentirait si elle disait que ça ne l'atteignait pas. Elle tenait à cette maison dans laquelle elle s'était investie par le passé. Et bien vas-y, qu'est-ce que tu attends, vire-moi, pourquoi attendre encore deux longs mois ? Tu en as le pouvoir après tout. Mais réfléchis bien à un motif crédible, président. Leur animosité mise de coté, Nicola avait et était encore un élément de poids chez les Eliots, ce qui n'était pas le cas de tous les membres de la maison. Et on ne met pas à la porte un bizut prometteur sans raisons. Ses prunelles aux ondulations aquatiques rivées dans les siennes, elle ne manque pas de la prestance caractéristique de leur milieu. L'italienne s'approche alors d'un pas. Et si je refuses ? Entêtement. Affront malsain alors qu'elle se tient entre lui et la porte. Elle s'attend à être encore écarter de son chemin mais elle n'en a que faire, elle prend le risque plutôt que d'abdiquer à la froideur qu'il dirige contre elle avec virulence.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ca n'a ni queue ni tête cette histoire mais tu as qu'une envie de le faire, sauf que bien sur tu ne peux pas le faire, fais chier hein. Sinon croyez moi, tu l'aurais déjà fait et il ne restera plus que toi et Hades dans cette confrérie. Tu finis par serrer légèrement le poing à ses paroles Je suis pas idiot Nicola, je peux pas te virer comme ça sans avoir un motif dangeureux ou grave mais crois moi que je vais trouver et tu ne pourrais plus me faire chier ici chez moi Parce qu'elle était chez toi, et qu'elle le veuille ou non c'était vrai, c'était ta confrérie, ta maison, ta famille, pas la sienne. Ainsi elle décide de faire la forte tête, tu soupires lentement pour venir humecter tes lèvres et tu vas la jouer la carte du parfait batard alors. Tu décides de t'approcher lentement d'elle comme pour la mettre proche de toi et heureusement tu ne faisais que dix centimètres de plus qu'elle et tu viens caresser sa joue lentement pour la regarder dans les yeux Je vais te faire passer le pire séjour dans cette confrérie et tu t'en souviendras toute ta vie, je ne suis même pas sur que tu puisses tenir une semaine Si proche de ses lèvres, tu viens de cracher ton venin avant de te reculer, oui tu étais un charmeur, un enfoiré, un bâtard, un connard que des qualités pour toi finalement tu soupires Allez va jouer ailleurs lâches-tu alors que tu reçois un sms, voilà que tu étais en retard putain, à cause d'elle en plus fais chier, bien que ça t'avait presque chauffer de l'avoir proche de toi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tout ça commençait à aller trop loin, la colère montant dans les deux camps. Et le pire dans tout ça, c'est qu'elle comprenait celle de Noah. Et que pour autant, elle n'arrivait pas à cerner les raisons de la sienne. Nicola ne savait plus, en cet instant, contre qui elle était en colère. Lui, pour ses mots qui savaient trouver le direct chemin vers elle, ou elle-même, pour se trouver actuellement face la pire facette de celui qu'elle avait tant aimé. Elle avait envie de rire. Rire d'elle, de la situation, de son idiotie. Qu'avait-elle espéré ? Qu'il allait l'accueillir à bras ouverts ? Qu'ils allaient s'asseoir autour d'un verre, en parler et que tout irait mieux dans le meilleur des mondes ? Une telle naïveté ne lui ressemblait pas et peut-être qu'il lui faisait réaliser qu'elle avait eu tord de revenir. Aux Etats-Unis, à Harvard. Mais Nicola était entêtée. Elle l'avait toujours été. Et rien que pour ça, elle ne ferait pas l'erreur de fuir une fois de plus. Deal. Mais je te souhaite bon courage pour trouver quoi que ce soit qui me ferait partir d'ici. Nicola, elle était très difficile à atteindre dans ce jeu d'influence, et très douée. Et surtout, elle n'avait aucune envie de lui donner raison, de lui montrer qu'elle n'avait pas envie de se battre contre lui, de risquer sa place ici, que leur bataille était ridicule. Ce serait lui donner trop d'importance, trop de pouvoir sur elle, et elle s'y refusait. Le contact de la main de l'italien contre sa peau la surprend, geste depuis trop longtemps effacé ravivant des souvenirs qu'elle croyait avoir enterré. Elle glisse un oeil au portable du blond et se rappelle qu'il était sur le départ avant d'en arriver là. Et heureusement pour elle, elle n'est plus une enfant et cette joute presque puérile la fatigue. Le problème Noah, c'est que ça n'a rien d'un jeu. conclut-elle avant de s'écarter pour le laisser passer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
En fait si tu pouvais la faire disparaitre, tu l’aurais fait, ses parents t’auraient envoyés chier et même tuer mais au moins tu aurais été en enfer avec Hades et cela aurait été parfait. Cet homme qui t’avait rattrapé au départ de Anastasia, cet homme qui t’avait rattrapé dans toutes tes conneries, ton frère d’arme finalement. Tu la regardas pour lui annoncer que tu allais faire son bizutage un enfer et finalement tu souris en coin Le dernier bizut est partit au bout d’une semaine, j’ai encore deux jours pour t’en faire voir de toutes les couleurs, je vais adorer ça presque aussi excitant que de coucher avec elle, mais bref, tu en profites pour la jouer à la Ferrari, parce qu’elle te fait chier, tu commences à la chauffer lentement, t’as pas non plus envie de plus et voilà qu’elle te sort ce genre de connerie, tu la regardes en souriant en coin Oh si c’est un jeu, et je vais le gagner, demain matin quatre heures devant la Eliot House, soit pas en retard, j’ai horreur des gens en retard lâches-tu avant de te sortir de ton bureau Et casse toi de mon bureau avant que je te vire pour intrusion dans le bureau du président, Borgia ! et t’en rajoutes toujours, tu adores ça aussi de faire ta Drama Queen

(dis moi qu'on peut le cloturer et ouvre celui du lendemain 4h ? the fault in our stars (nino) 1881463262 the fault in our stars (nino) 2474380249 Vic
I love quand tu écris the fault in our stars (nino) 1656269883 )
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)