Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCloser (with Oléane)
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


Closer (with Oléane)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Quoi de mieux que l'intimité pour performer au sommet de son art? L'antre de sa propre science, le temple de la psychologie humaine étudiée dans tous ses recoins, sa chambre était son laboratoire. Elle était grande et vaste, gracieuseté du dortoir des Eliots. Une décoration riche et exotique, prouvant que son occupant avait les moyens de se procurer d'objets dont la valeur ne valait mieux pas d'être connue par le commun des mortels. Après tout, Alexis leur était supérieur en tout point. Bientôt ce serait la consécration, le trône lui reviendrait enfin de droit et personne ne pourrait s'opposer à son règne. Le parcours était innondé d'embûches parfois extrêmement gênantes mais dans d'autre circonstances, comme aujourd'hui, les détours en valaient largement la peine. Venant de franchir le cadre de la porte d'entrée, le jeune homme était comme toujours richement vêtu. Chemise blanche, cravate d'un mauve très pâle, sans agression, un complet bleu marine, des souliers noirs. La classe incarnée.

Dès son entrée, il retira son veston pour le lancer sur la chaise de son bureau non loin de là. Du coup, il laissa aussi la personne qui l'accompagnait faire son entrée dans la pièce, prenant soin de fermer et verrouiller la porte derrière eux. Cette charmante créature était Oléane. Vous savez, celle qui a presque démollit en amas de ferrailles irrécupérable la Aston Martin de Alexis avec son Range Rover? Quelle idiote... Par miracle, ils en étaient venus à une entente. Pas la plus saine, ni la plus équitable, mais disons que le paiement sera fait du moins. En plusieurs versements, mais ce n'était qu'un maigre détail qui ne dérangeait personne après tout. Restant un petit moment derrière Oléane, il s'amusa à passer brièvement une main sur le magnifque derrière de la belle brunette avant de le dépasser pour aller prendre un verre d'eau et revenir devant elle, le sourire aux lèvres. Tous deux étaient parfaitement conscients de la suite des choses.


L'explication ne sera pas nécessaire, je n'ai pas besoin de te faire un portrait de la situation pour que tu comprennes ce qui va se passer maintenant. Après tout, si on en est ici, à ce jour, c'est tout simplement par ta faute et la tienne seule. Mais tu n'as pas à t'en plaindre, n'est-ce pas? Et moi non plus d'ailleurs. Des bénéfices qui seront un véritable plaisir à savourer, dans tous les sens du terme.

Le sourire qui concluait la fin de sa phrase voulait tout dire. Et pourtant...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Alexis Ҩ Oléane
Rappel toi de ce qu'on a fait ensemble et oublie tout.

J'entrais dans cette chambre en tenant les côtés de ma veste, appréhendant un peu les choses qui allaient suivre. C'est pas tout les jours qu'on arrive à s'arranger comme ça. J'avais détruis une partie de sa voiture, voire même la moité, et pour dire vrai je ne savais même pas à combien s'était élevé le remboursement de tout, mais je savais que j'allais en avoir pour cher. Ce type était le genre à ne pas acheté n'importe quoi, chemise hors de prix, et sa veste doit coûter au moins douze fois plus cher que celle que je porte en ce moment, alors j'imagine même pas le prix des chaussettes. Du coup, j'ai trouvé ça préférable de trouver un arrangement. Mes parents payaient l'université et me donnais un joli paquet d'argent de poche, mais ils ne payaient pas les conneries, et j'ai eu énormément de chance de tomber sur un pervers profiteur. Bien sur, j'allais devoir y mettre du mien, mais bon, au moins j'ai pas d'argent à débourser.

Je le sentais passer derrière moi tel un félin, prêt à déguster sa proie. Je sentais sa main se glisser doucement sur moi, et sentais la colère monter doucement, néanmoins je ne fis rien, lâchant qu'un soupire las. J'allais pas m'attendre à mieux de sa part, surtout venant d'un Eliot. Il ne fallait pas trop en demander à ses messieurs !

Le sourire qu'il avait sur les lèvres n'aspirait pas confiance, et je n'avais pas confiance. J'étais même certaine qu'il ne connaissais pas mon prénom, et quand bien même par miracle il le connaissais, il l'oublierais bien vite.

« L'explication ne sera pas nécessaire, je n'ai pas besoin de te faire un portrait de la situation pour que tu comprennes ce qui va se passer maintenant. Après tout, si on en est ici, à ce jour, c'est tout simplement par ta faute et la tienne seule. Mais tu n'as pas à t'en plaindre, n'est-ce pas? Et moi non plus d'ailleurs. Des bénéfices qui seront un véritable plaisir à savourer, dans tous les sens du terme. »

Un sourire forcé se fit sur mes lèvres. Par ma faute, certainement, mais il allait bien en profiter et ça l'arrangeais bien. Je suis certaine que sans moi, sa vie sexuelle serait réduite à néant. Le sourire s'effaça de mon visage, et je retirais ma veste pour la poser sur le dossier de la chaise.

« Bon, j'fais l'étoile, tu fais le reste. » Je me dirigeais vers son lit en retirant mon t-shirt, tout en parlant. « Tu serais adorable de mettre un préservatif, et si jamais tu veux m'foutre encore plus dans la merde en me mettant enceinte, met toi dans la tête que j'ai le sida, donc à ta place je ferais pas le malin. » Je déboutonnais mon jean et le retirais, m'allongeant sur le lit. « Dépêche toi, t'attend qu'il neige ou quoi ? »

Plus vite c'est fait, et plus vite je serais libéré de son emprise de profiteur riche et avec une libido zéro.




Mémo to me : Alexis : #10b37d - Oléane : #b31046
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si dans la situation qui liait Oléane à Alexis résidait une quelconque tension ou malaise, tout venait de s'effondrer à cet instant même par les répliques incendiaires de la belle brunette. C'était grossier et provocateur, à l'image du caratère que Alexis avait choisi d'adopté pour répondre aux besoins du moment. Non mais pour qui se prenait-elle? Croyait-elle vraiment qu'elle pouvait se placer dans une position de supériorité? C'était ridicule comme premier discours de sa part, et l'Eliot avait carrément cette envie irrésistible de lui rire au visage, ce qu'il fit sans la moindre hésitation. Non pas un rire joyeux ou explosif ni même mesquin ou dégoutant, un rire neutre, presque mécanique, sans émotions, faisant foi qu'il ne prenait aucunement les propos de la jeune femme au sérieux.

Suivant cette intervention verbable tout à fait charmante, il déposa le verre d'eau sur le bureau derrière lui et commença à se dévêtir sans presse, souhaitant à tout prix faire rager ce doux visage féminin au plus haut point. La haine d'un individu était toujours très intéressante à cultiver et Alexis saurait en profiter au maximum des limites possibles. Jamais il ne quitta le visage de Oléane, s'assurant de toujours avoir un contact visuel avec cette créature de rêve, vraiment, un corps à en faire bander tous les pervers de cette contrée. Par chance, il pourrait en profiter, mais le faisait-il vraiment par plaisir? Ou par obligation de supériorité? Un savoureux mélange des deux dont il prit conscience alors que sa dernière pièce de vêtement venait de glisser au sol. Ayant pris soin d'attraper un préservatif au passage, il l'enfila rapidement sans faire d'histoire avant de grimper sur le lit pour rejoindre sa carcasse humaine sans valeur. Il n'avait pas dit son dernier mot...


Voilà qui est charmant, ce sens de la réplique. Rapide, efficace, croyant qu'il laisse ses traces. Tu en penses autant de tout ce que je vais te dire et je m'en moque éperdument. Le sens de la réciprocité se complète à merveille, vraiment, on était fait pour finir sous les mêmes draps, dans le même lit. Toi la petite prisonnière qui se croit puissante et libre seulement parce qu'elle possède un organe reproducteur féminin. Laisse moi dont rire! Tu ne possèdes aucune valeur grâce à ce boulet qui te suit jour et nuit, tu n'es bonne qu'à te faire avoir par tous les membres masculins du campus et j'en suis presque ravi de faire parti de cette joyeuse peuplade. Après tout, qu'en as-tu à faire du respect d'un homme qui ne pense qu'au sexe et qu'à la carosserie de sa voiture hors de prix? Je ne suis qu'un salaud obésédé comme tout le monde quand même!

Pendant qu'il récitait son suculent monologue, il avait entrepris de débuter les pénétrations, mais toujours d'un mouvement lent et calculé, précis voir presque doux. C'était l'expérience en lui qui parlait, comme si c'était la première paire de jambes qu'il s'en filait, voyons Oléane, tu n'as pas affaire à n'importe qui!L'intensité était en pleine ascension, elle cherchait à atteindre le sommet alors que les mouvements de Alexis était de plus en plus rapide mais qui gardaient toujours cette petite touche de sensualité. Le rapport n'était ainsi pas dénué de toute humanité mais c'était loin d'être la priorité du jeune homme qui ne voyait rien d'autre en Oléane qu'un objet de satisfaction. Si elle voulait rendre la chose moins insupportable, elle n'avait qu'à prouver qu'elle valait bien plus que la salope attendant son prochain client sur le coin de la rue la plus fréquentée du quartier. Rapidement, le membre de Alexis était dressé à son apogée et ainsi, le rythme devint plus effréné encore. Il savait se contrôler à la perfection et à la seconde près, il était le maistre de la situation...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Alexis Ҩ Oléane
Rappel toi de ce qu'on a fait ensemble et oublie tout.

Il se permettait de prendre tout son temps pour se déshabiller, et je savais bien qu'il le faisais exprès. Après tout, techniquement, quand on est un pervers, un vrai pervers j'veux dire, qui n'a pas couché depuis la nuit des temps, normalement on prend pas son temps comme ça. On se dépêche un peu plus, on est beaucoup plus pressé que la chose se fasse, mais lui non, il prenais son temps tout en me regardant, ce qui commençais un peu à m'exaspérer. Néanmoins je ne laissais rien paraître, et observais plutôt sa chambre en attendant. Ce type commençait sérieusement à me dégoûter de plus en plus. J'avais voulu faire celle qui s'en fout, comme si j'étais habitué, mais il n'en était rien. Maintenant, j'attendais simplement que l'enfer passe, et puis je repartirais.

Il s'avança enfin vers le lit, et tout en parlant, il commençais son cycle de gars sans sentiment. Il se mit entre mes reins, sans s'arrêter dans son monologue. Pas de préliminaire, charmant. J'ai presque eu mal. Mais point positif, ça allait durer beaucoup moins de temps que ce que je pensais au départ.
 
« Voilà qui est charmant, ce sens de la réplique. Rapide, efficace, croyant qu'il laisse ses traces. Tu en penses autant de tout ce que je vais te dire et je m'en moque éperdument. Le sens de la réciprocité se complète à merveille, vraiment, on était fait pour finir sous les mêmes draps, dans le même lit. Toi la petite prisonnière qui se croit puissante et libre seulement parce qu'elle possède un organe reproducteur féminin. Laisse moi dont rire! Tu ne possèdes aucune valeur grâce à ce boulet qui te suit jour et nuit, tu n'es bonne qu'à te faire avoir par tous les membres masculins du campus et j'en suis presque ravi de faire parti de cette joyeuse peuplade. Après tout, qu'en as-tu à faire du respect d'un homme qui ne pense qu'au sexe et qu'à la carrosserie de sa voiture hors de prix? Je ne suis qu'un salaud obésédé comme tout le monde quand même!  »

Il avait presque fini son monologue, et je soupirais déjà. Non pas de lassitude, mais je soupirais à cause de ses mouvements. Habituellement, il me fallait être en couple pour passer à l'acte, ou alors il fallait être bourré, sacrément bourré même, et là, je n'étais pas bourrée, et je n'aimais pas ce type non plus, alors la situation était un peu.. compliqué. Je ne pouvais pas faire comme si je ne ressentais rien du tout, alors que finalement, et contre moi, je sentais une pointe de plaisir. L'une de mes mains passa sur son épaule, mes doigts se resserrant sur sa peau. J'avais fermé les yeux, pour ne pas voir son visage de pervers satisfait.

« On était pas fais pour finir dans le même lit. On aurait jamais dû se rencontrer d'ailleurs et.. et je ne suis pas prisonnière, si j'suis là c'est que je l'ai un minimum voulu. »

Je respirais au rythme de ses mouvements, ayant envie que tout ça se finisse rapidement, que je puisse rentré chez moi et prendre une longue douche.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Un acte sexuel aussi froid, aussi méchanique, sans vie, sans véritable saveur, sans aucune sensualité, ne devrait point exister. Le rapport que partageait en sens unique Alexis et Oléane ne devrait point être considéré comme une quelconque union des corps humains. À la limite du viol, sans la violence et les pleurs de la victime démunie sans âme, sans fuite, sans ressources. La pauvre qui soupirait déjà et qui souhaitait plus que tout au monde que ça soit fini dans les plus brefs délais, ce n'était que le début de son calvaire. Même pour Alexis, ça aurait pu être une excellente occasion pour profiter de la faiblesse féminine et ainsi prendre son pied contre le gré d'une petite qui se croyait grande et tout permis. C'était tout à fait ravissant. Mais c'était pratiquement une corvée de la pénétrer. De faire poursuivre un rythme conséquent des mouvements de ses hanches qui parvenaient entre les profondeurs des entrailles de Oléane et de son désespoir. Comble de son propre malheur, son regard était dévié dans l'obscurité, elle fermait les yeux pour ainsi éviter toute tentative de contact visuel avec son bourreau sexuel. Comme si cette futilité allait faire une différence fondamentale dans le déroulement des choses. Devait-il la rassurer sur son statut social? Alors qu'il était bien enfoncé dans le creux de la situation, il se pencha un peu plus vers elle alors que son torse se compressait sur sa délicieuse poitrine. Un murmure parvint aux oreilles de la belle brunette. Telle une brise hivernale qui vous glaçait le sang tant elle était directe et mordante.

Et pourtant nous sommes ici, en ce jour, réunis pour le pire et seulement le pire. Tu crois que rien ne te retiens? Tu es persuadé que tu embrasée par la flamme de la liberté? C'est une fausseté sur toute la ligne très chère, tu es prisonnière de tes propres agissements et de la décision que tu as pris de conduire ton destin ici, entre mes mains. Tu m'as remis ton existence sur un véritable plateau d'argent et je me ferai un malin plaisir à la déguster comme le plus délicieux des festins. Ton âme est un véritable buffet à volonté et ne croit pas que ce sera la dernière fois que ces liens t'enchaineront à la décadance de l'erreur humaine. Je te rejoins sur le fait que notre rencon n'aurait jamais du être dans les grandes lignes de la coincidence mais ainsi la plume a t'elle tracée l'avenir. C'est un art que nous nous devons de respecter.

Jamais il n'avait cessé sa danse corporelle alors qu'il jugea que c'était le temps de varier légèrement le positionnement des astres sur la cartographie spatiale. Glissant une main sous la cuisse de la jeune femme, Alexis fit soulever sa jambe, permettant ainsi un meilleur accès à la taverne aux grandes sources humides. Ayant perçu un soupçon de plaisir contradictoire chez Oléane, il comptait bien en tirer profit au maximum de son potentiel. La voir succomber aux bas instincts de l'animal primate serait une retentissante victoire pour le jeune Kane. Une étude psychologique qui n'aurait plus besoin de faire ses preuves...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Alexis Ҩ Oléane
Rappel toi de ce qu'on a fait ensemble et oublie tout.

Je le laissais parler, je ne voulais pas répondre. Qu'est ce que je pouvais dire ? A chaque phrase, il trouverais une réponse. Je voulais tellement le pousser, le faire sortir, et m'en aller. Prendre une douche, et courir loin, mais maintenant que j'étais là... une seule chose attira mon attention : le fait qu'il dis que ce n'était pas la dernière fois. Pour moi, c'était bel et bien la dernière fois, c'était comme ça qu'on avait convenu, il ne pouvais pas changer les règles comme ça, quand bon lui semblait. Il n'avait pas le droit, et c'était la dernière fois, la première et la dernière, que cela arrivait. J'avais aussi retenu que ce monsieur semblait croire au destin, chose à laquelle je ne croyais pas. Chacun ses croyances et ses désirs, en tout cas une chose était sur : je plains la future femme de ce gars là. Il n'a pas de respect pour les gens, et on pourrait retourné cette phrase contre moi, en disant que je n'ai pas de respect pour moi même, mais même si c'est vrai, je ne veux pas penser ça de moi. Alors je préfère le penser de lui. Comment on peut faire ça à une femme, et savourer sa victoire sur une femme ? S'il lui arrive une merde, j'en serais heureuse.

Ma main resserrais encore son épaule, alors que ma respiration se faisait plus saccadé et plus forte. Ce type me dégouttait, et je ne savais même pas comment je pouvais ressentir du plaisir avec lui. Son visage m’écœurais, ses mouvements de bassin me donnait envie de vomir, et quand il parlait je voulais juste me tuer, et pourtant j'arrivais à sentir du plaisir. Je m'en voulais tellement. Disons que ce passage n'est qu'une erreur de jeunesse. Après ça, je ne le reverrais plus jamais, fini ce petit jeu qui t'amuse, terminé. Maintenant j'attendais qu'une seule chose : que tout ça se termine au plus vite.




(HJ : c'est court et vraiment nul, j'suis désolée -même moi j'ai pas osée me relire- et j'suis désolée aussi du temps que j'ai mis ><)
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)