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eu vou te dizer a verdade (rio)

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— Appartement de Rio Alvès, Cambridge, 29 mai, 20h30
Tu cours le plus vite possible. Ce n'est pas facile avec tes talons de dix centimètres, tu manques de te fouler une cheville à chaque pas. Tu as peur. Tu es en panique totale. Ton ex, tu viens de le croiser dans la rue. Il a fait remonter votre passé commun, toute cette souffrance que tu peines à enfouir et à oublier. Tes yeux sont humides, tu as du mal à voir où tu vas. Tu ne te retournes pas. Tu as simplement peur qu'il te suive, qu'il te rattrape. Tu ne veux pas le voir et encore moins lui parler. Inconsciemment, tu te diriges vers l'appartement de ton frère. Ta respiration est haletante, tu es au bord de la crise de panique. Tu as besoin de la présence de Rio ou de quelqu'un de proche. Tu déboules jusqu'à son appartement, tu grimpes en furie l'étage et tambourines comme une malade sur sa porte. " RIO c'est Stella ... OUVRES. " Tu cris. Tu hurles. Ta voix est coupée par la peur et saccadée par la course. " Ouvres stp, dépêches-toi ... RIO ! " Tu es au bord de la syncope, tu ne te sens pas bien du tout. Tes poings s'écrasent violemment sur le bois de la porte, tu n'as aucune patience. Tu piétines, tu pleurniches même. Qu'est ce qu'il fou ton frère ? Est-il chez lui ? Le fait que Rio ne soit pas chez lui t’inonde d'insécurité et tu te mets à pleurer. T'entends des bruits de pas, peut-être imaginaires, peut-être ceux de ton frère. Tu ne sais plus déceler le vrai du faux. " RIO ! " Et quand enfin la porte s'ouvre, tu te jettes dans ses bras. Ton sac hors de prix tombe par terre, tu manques même de t'évanouir tellement tu as stressé.
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Les révisions me prennent très honnêtement la tête. Je n’ai pas la foi de réviser d’avantage. J’ai passé pratiquement toute la journée à réviser et ma tête va finir par exploser. Pour changer un peu d’air, j’ai préféré partir courir un petit peu afin de me vider la tête. J’ai trop de finances et d’algorithmes dans la tête. Il faut que çà sorte de mon esprit. Pendant une heure, j’ai pris l’air, courant à un bon rythme, en arrivant à tout oublier. Casque sur les oreilles, je ne l’ai pas quitter en arrivant à la maison. Je suis tout transpirant mais avant de sauter sous la douche, je me fais un smoothie bien mérité. Je pioche dans la corbeille de fruits qui trainent sur le comptoir de ma cuisine. Une pomme, une poire, ainsi que des kiwi feront l’affaire. Un plein de vitamines qui vont certainement m’empêcher de dormir ce soir mais tant pis. Je verse de la glace pillée et un peu de lait d’amande et le tour est joué. Le bruit est assourdissant. Je ne comprends pas qu’un mixeur fasse autant de bruit. Je me verse finalement la mixture dans un grand verre et en boit un bonne gorgée. J’enlève alors mon tee-shirt tout en me dirigeant vers la salle de bain afin de me faire couler une bonne douche. Je m’essuie le front avec mon tee-shirt avant de le mettre dans la corbeille de linge sale. Je soupire en voyant qu’elle commence à être pleine. Il va vraiment falloir que je rappelle la femme de ménage car cela fait bien trop longtemps qu’elle n’est pas venu. Je n’ai eu le temps de rien depuis que je suis rentré d’Islande. Je file rapidement sous la douche. L’eau chaude coule alors sur ma peau nue et la sensation fait un bien fou. Je n’entends pas tout de suite qu’on frappe à ma porte. Je fronce les sourcils, ne sachant pas si ce que j’entends est réel ou non. Je coupe alors l’eau et entends les cris de ma soeur Stella. Je sors rapidement de la douche, prenant ce qui traine. Un vieux short de sport. Je l’enfile mais ne trouve pas de tee-shirt. Je suis tout dégoulinant mais je fonce pour ouvrir la porte. Je n’ai pas le temps de dire ouf que Stella est dans mes bras. Je referme alors mon étreinte, oubliant que je suis tout mouillé. Je suis là… soupire-je tout en passant ma main dans les cheveux de ma petite soeur. Après quelques minutes, je prends son visage entre mes mains qu’est-ce qu’il y a Stella ? lui demande-je avant de prendre sa main et de l’emmener dans le salon pour qu’elle s’asseye sur le canapé calme toi, qu’est-ce qu’il y a ma puce ? je m’assois à côté d’elle en essayant de comprendre ce qu’il se passe. Elle est mal, très mal et je n’aime pas ça.
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— Appartement de Rio Alvès, Cambridge, 29 mai, 20h30
Rio ouvre la porte et c'est le soulagement. Ses yeux se posent sur toi et tu te sens déjà un peu plus en sécurité. Il a de grands bras réconfortants dans lesquels tu te blottis. Tes larmes ne cessent pas de couler, tu te sens terriblement mal et tu sais qu'il va te falloir du temps avant d'aller un peu mieux et de relativiser. Tes sourcils se froncent quand tu captes que ton frère est torse nu et qu'en plus de ça, il est mouillé. " Rio ... " Tu murmures, tu n'as pas la force de te battre ou de râler. Tes yeux se ferment et tu éclates en sanglot quand il te dit qu'il est là pour toi. Tu n'es pas toute seule Stella et pourtant, ce sentiment de solitude t'a envahi. Il passe sa main dans tes cheveux, tu n'arrives pas à faire taire les sanglots qui ne demandent qu'à s'exprimer. Rio te demande ce qu'il y a. Tu le regardes dans les yeux mais les larmes rendent ta vision trouble et faussée. Tu ne cherches même pas à essuyer les larmes. " Rien. " Tu n'es absolument pas convaincante. Rio ne va jamais gober ça, il va vouloir savoir ce qu'il se passe, ce qui te rend dans cet état là. Il t'emmène dans son appartement et te fais asseoir sur le canapé. Tu t'exécutes. Tu mets tes mains devant ton visage et tu trembles de plus belle. Tu as peur. " Je suis fatiguée, je passe mon temps à réviser, j'ai peur de ne pas réussir mes examens de fin d'année. J'ai trop de pression ... je craque, de toute façon je suis excessive donc c'est normal. " Ta voix n'est qu'amertume. Tu fuis le sujet, tu n'es certainement pas prête à en parler à ton frère.
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J’ouvre la porte après avoir entendu ma sœur tambouriner et m’appeler plusieurs fois. Je ne l’avais pas entendu dans un premier temps mais une fois la porte ouverte, je la vois, complètement paniquée et je déteste ça. Elle est dans un état, je ne la reconnais même pas. Elle n’a pas son sourire, cette joie de vivre que je lui connais tant. Je fronce les sourcils et essaie de lui enlever les larmes qui coulent sur son visage. Je passe délicatement ma main sur ses joues, je n’aime pas du tout la voir dans cet état. Mais qui aimerait voir sa petite sœur dans un état comme celui de Stella ? Elle m’a prise au dépourvu et pour le coup, je suis torse nu et mouillé. Çà lui déplairait en tant normal mais là, elle n’est pas bien du tout. Elle ne dit rien même si elle commence par murmurer mon prénom. Elle ne peut pas aller plus loin. Je suis là pour elle chaton… je suis là lui murmure-je encore alors qu’elle est blottie tout contre moi et que je resserre mon étreinte au maximum. Je veux savoir ce qu’il y a, parce que pour qu’elle soit dans cet état, il y a forcément quelque chose. Je fronce les sourcils lorsqu’elle me dit qu’il n’y a rien. Elle me ment, je le sais. Elle ne peut pas me mentir bien longtemps. Elle est dans un tel état, je n’aime vraiment pas çà du tout. Je l’emmène sur le canapé, elle ne peut pas rester debout. Elle est tout tremblante. Je lui passe le plaide qu’il y a sur mon canapé. tiens couvres toi un peu avec çà lui dis-je en passant ma main sur son visage. Elle m’explique alors qu’elle est fatiguée avec les révisions et tout le reste mais je ne la crois pas une seule seconde. Tu sais que tu ne peux pas me mentir Stella je ne lui pose même pas la question, c’est une affirmation dis moi ce qu’il y a s’il te plait, je n’aime pas te voir dans cet état et les cours ne te rendraient jamais comme ça je la connais, je ne l’ai peut-être pas faite mais je la connais, je sais quand elle me ment. Je passe alors ma main sur la sienne, je veux qu’elle comprenne que je suis là pour elle, que je ne vais pas la juger.
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