NATALYA ▲ ft. Miranda Kerr

C'est le 25 mai 1992 à Moscou, que les membres de la famille Praskoviya m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommée Natalya Yulia-Svetlana. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale riche. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de relations internationales depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Cabot House.

Je suis très coquette ▲ Je pourrais passer plusieurs heures devant mon miroir si je ne me sentais pas belle ce jour là ▲ Contrairement à ce que l'on peut croire, je ne suis pas superficielle ▲ J'aime bien jouer de mes charmes pour séduire de beaux jeunes hommes et les attirer dans mon lit ▲ Je suis plutôt du genre relations courtes, voir extra-courtes ▲ Je suis souvent qualifiée d'égoïste, et ouais, je préfère penser à mes intérêts plutôt qu'à ceux des autres ▲ Je sais faire la différence entre ma vie privée et mes études ▲ Je suis plutôt du genre grosse fêtarde mais quand je dois bosser pour les cours, je le fais et bien ▲ J'ai gardé de fortes relations avec mes parents, même avec la distance qui nous sépare ▲ J'aime bien que l'on fasse attention à moi ▲ Je suis prête à tout pour arriver à mes fins ▲ On dit que le ridicule ne tue pas, et bien chez moi si, je déteste être ridicule ▲ déterminée ▲ ambitieuse ▲ jalouse ▲ possessive ▲ égocentrique ▲ allumeuse ▲ …

▲ Alors, j'ai vraiment honte mais bon, rien que pour vous, je vais vous la révéler. Un soir, je sortais d'un bar, très fortement alcoolisé. Ne me demandait pas pourquoi, je voulais juste me changer les idées et j'étais seule. Je marchais alors quand un jeune homme, tout à fait normal, m'a demandé quel jour nous étions. Sous l'effet de l'alcool, je lui ai alors lancé quelques mots avec difficulté, l'insultant de gros pervers. Je lui balançais mon sac à la figure et partais en courant du mieux que je pouvais. J'étais en talons aiguilles, arrivée dans une petite ruelle, je trébuche et tombe dans une grosse flaque d'eau, proche d'une poubelle. Le choc me fit me rappeler que j'avais laissé à cet inconnu mon sac de marque. J'enlevais mes chaussures et repartais le chercher, espérant qu'il soit toujours là. Je le recroisais quelques pas après, lui aussi essayait de me trouver. En prenant mon sac et en rentrant, mes chaussures à la main, le visage sale et les cheveux en bataille, vous n'imaginez pas à quel point j'ai pu avoir honte. C'est seulement après une bonne douche et une courte nuit que je me suis rendue compte qu'il était tout à fait honnête et ne me voulait aucun mal. Mais bon, j'ai un peu une excuse..

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Je n'y vais pas, sans hésiter. Tout le monde sait que les Mathers sont les ennemis des Eliot. Oui je suis fêtarde, mais de là à aller à une fête où je ne serais pas la bienvenue, je ne pense pas.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Je n'y participerai pas, parce que tout ce qui est dans le but d'aider les autres, c'est pas trop pour moi. Ce n'est pas totalement par pur égoïsme, je trouve ces actions biens quand ça vous énerve pas d'aller voir des gens déprimés qui n'ont même pas l'eau courante chez soi.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Je ne pense pas, il faut dire qu'à part séduire les hommes, je n'ai pas de talent particulier. Sauf si il prenne en compte le plus beau maquillage ou la plus belle coiffure..

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je ne suis pas du tout envieuse de ce côté là, donc non je ne voudrais pas lui ressembler. Mais oui, c'est fort possible que je m'associe directement à elle, finalement, l'univers des Elliot et des Cabot ne diverge pas à tant de points que ça niveau caractère.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Franchement, ça ne me dérangerait pas, même pas du tout. Quoi de mieux que d'avoir un homme à son service une journée entière ?

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Et bien à vrai dire, tout dépend de son physique. Si le physique va avec, je ne pense pas, je vais juste l'aborder, pour apprendre à mieux le connaître..

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Autant j'aime travailler et avoir de bons résultats, autant je déteste les conférences. Et puis surtout sur ce thème là quoi, il vaut mieux se pendre que de rester assise trois heures par semaine à entendre des trucs inintéressants.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle alex et j'ai quiiiiinze ans. Je suis française/portugaise et j'ai connu le forum grâce à mon p'tit loulou . Le forum gèèère, le scèna gèèèère, bref tout est trop beauuu alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien ! J'utilise Miranda Kerr comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr&dada06. Je fais environ 350-500 mots par RP et mon personnage est un scénario.

Mot de la fin ? ▲ J'vous aaaaaaaaaaaaaime déjàààààà !

Tu avais prit ton petit train de vie à Harvard, tu enchaînais les soirées, les mecs, les cours. Bref, t'étais juste bien. Mais ça, c'était avant. Avant que tu ne le revois, et que tout les souvenirs que tu avais voulu enfouir au plus profond de toi ne refassent surface. Avant que tu ne découvres que tu éprouvais sûrement quelque chose pour lui, à nouveau. Il te rappelait tout ce que tu ne voulais pas, tes erreurs de jeunesse, ta souffrance et les conséquences de ces actes.

Tu te remémorais votre rencontre, plutôt banale au final. C'était quand même l'héritier du trône de Russie mais bon. Tu étais dans le même lycée que lui. Vous vous tourniez beaucoup autour, il est donc arrivé ce qu'il devait arriver. On peut dire que votre relation a été progressive, tu as tout d'abord couché plusieurs fois avec lui et est donc devenue sa sexfriend. Cette relation ne te dérangeait pas vraiment, on pouvait même dire qu'elle te plaisait, même si tu en attendais plus. Des sentiments commençaient à s'en mêler de ton côté, c'était une sensation que tu n'avais pas vraiment éprouvée jusqu'à présent. Il fallait dire que tu n'avais que seize ans à ce moment là. Et puis finalement, vous êtes sortis ensemble. Pour toi tout allait bien, il était beau, gentil – du moins avec toi – et parfait au lit. Les mois s'écoulaient, tu devenais sérieusement amoureuse de lui. Alors que lui, il s'en foutait. T'étais juste une parmi les autres. Tu t'en rendais pas compte, mais lui il s'en foutait complètement de toi. T'étais belle, bonne au lit et puis voilà. Plusieurs mois sont passés comme ça, il avait l'air de, commencer, à t'apprécier. Vous étiez tout de même proches. Au bout de sept mois en couple, il a décidé de mettre fin à votre relation. Bien sûr, ça t'a fait mal au cœur, t'étais pas du genre à pleurer pour un gars alors tu l'as pas fait, mais oui tu étais triste. Heureusement que tes parents étaient là pour te réconforter. Ils étaient un peu tes confidents, petite, tu avais tout ce que tu voulais. Tu es toujours aussi proche de tes parents. Avec tes amis, ils sont ton plus grand soutient moral. Ils arrivaient toujours à te faire sourire et voir la vie du bon côté. Bref, tu te retrouvais seule, et en plus de ça, comme si ça ne suffisait pas, tu étais enceinte. Une semaine après, tu le retrouvais pour lui annoncer la nouvelle. Autant dire qu'il ne l'a pas très bien prit. Il t'a ensuite demandé de garder ça pour toi. Mais évidemment, tu n'as pas la langue dans ta poche. Plusieurs personnes ont été au courant. Ses parents ont alors acheté ton silence, avec celui de tes parents. Vu la somme qu'ils vous ont donné, tu ne pouvais pas refuser. Tu as donc arrêté d'en parler. Au bout de neuf mois de grossesse avec des contractions épouvantables, tu accouchais enfin. Ne pouvant pas garder l'enfant à cause de ton jeune âge, tu décidais de le faire adopter. Mais il restait ton petit Nathanaël, tu te baladais toujours avec une photo de lui bébé, la nom et l'adresse de ses parents adoptifs, dans ton portefeuille. Des fois, tu regardais cette photo, pour te rappeler l'enfant que tu avais mit au monde. Tu te disais toujours, on sait jamais, si un jour l'envie me prend de le retrouver. Tu savais juste qu'il était dans une famille américaine, venue à Moscou pour affaires. Ils avaient l'air aimants, et heureusement, tu ne voulais pas de n'importe qui pour ton fils. Après cette épreuve de passée, tu avais décidé de partir pour l'Amérique, et plus particulièrement pour Harvard. Même avec tout ces évènements, tu avais gardé un dossier scolaire exemplaire. Tu ne mélangeais pas tes études et ta vie privée.

Tu avais donc intégré les Eliot, et tu t'y sentais à l'aise. Mais ça, c'était avant. C'est en septembre, que tu l'as vu pour la première fois à Harvard, dans la même confrérie que toi. Depuis, tu l'évite, tes sentiments renaissants de leurs cendres, tel un phénix. Mais l'heure du face à face ne tardera sûrement plus, à ta plus grande déception.