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« Ecris l’histoire, mais n’écrit jamais la fin. » w/brerin

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Écris l'histoire, mais n'écrit jamais la fin.
— with Brerin


Après avoir croiser Savannah à l’entrée de la Dunster House la veille, je pariais grandement sur le fait que Brent était au courant de mon retour à Harvard. Cela n’avait pas empêcher de recevoir un quelconque message. Je comprenais comme cela qu’il n’avait pas envie de me revoir. Et comme le blâmer ? A sa place, j’aurais réagi de la même façon.
Les cours étaient terminés, les étudiants venaient de fêter le bal de fin d’année. Même si je préparais déjà mes affaires pour mon retour, je ne tenais pas à y participer. Je n’avais pas envie d’avoir certains regards braquer sur moi, qu’on me juge ou de gâcher le bal de certains. Aujourd’hui, mes pas me guider d’instinct vers le gymnase, l’endroit où l’on avait commencé à se rapprocher avec Brent. Naturellement, je souriais en repensant à ce moment, rien n’aurait laissé présager ce qu’il allait en devenir. Mais c’était les larmes qui suivaient, j’avais gâché un avenir certain avec le dunster, le plus beau et le plus magnifique d’entre eux. Un ballon trainait dans le gymnase, je le saisissais pour le jeter dans le panier, un panier que je ratais de peu. Comme quoi, je n’avais pas progressé depuis. On s’était promis que je reprendrais des cours avec le basketteur.
J’allais reprendre le ballon quand j’entendais un bruit derrière moi. Rien d’étonnant que de voir le dit Dunster en question, en tenue de sport, prêt à s’entrainer. Je tombais nez à nez avec lui, le ballon à la main. Je baissais les yeux rapidement, je n’osais pas vraiment affronter son regard. « Je vais te laisser t’entrainer. » L’envie de faire demi-tour me prenait, mais il était peut-être temps de faire face à mes erreurs. « Je me doute que tu veux plus me voir, mais je suis rentrée. Si ça peut te rassure, la doyenne m’a demandé de rejoindre la Cabot House, tu n’auras pas à me voir comme ça. » ça me fendait le cœur de dire cela, mais je l’avais fait assez souffrir, pas besoin d’en rajouter en plus.



© LOYALS.
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