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Violoup - Bad day in Paris is still better than good day anywhere else

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Bad day in Paris is still better than good day anywhere else
— with @Violet Goldman  

T’as pu discuter avec elle pour remettre les choses en ordre, même si c’est toujours houleux avec Vee en fait. Elle essaye de triturer ton esprit pour en savoir plus, pour te faire t’ouvrir et t’aime pas ça, mais peut-être que si dans le fond, tu ne l’aurais pas invitée avec toi à Paris si c’était pas le cas. Dans tous les cas, l’hôtel particulier est prêt à vous accueillir, ainsi que la horde de domestiques qui est déjà sur place. T’es juste en train de finir de faire ta valise, en prenant bien soin de ramener avec toi tes documents pour bosser un peu dans le jet et préparer ton rendez-vous avec ton père et le premier ministre. Tu t’y prépares toujours à l’avance. Ton garde du corps s’occupe de gérer les bagages et tu laisses l’appartement entre les mains de ton majordome avant de descendre au garage par les ascenseurs. T’envoie un sms à Vee. « Je passe te prendre. » Tout es prêt, vous pouvez partir. T’arrives enfin devant chez elle, un dernier sms lui a signalé que t’étais en bas, mais t’envoie quand même un de tes deux gardes du corps pour l’aider à descendre ses bagages si besoin. Tu la vois enfin approcher de la voiture et le chauffeur lui ouvre la porte avant qu’elle ne s’installe sur le siège d’à côté. Tu la regarde avec un petit sourire. « Prête ? » Tu t’approches d’elle pour lui embrasser la joue. Tu fais un petit signe de la main au chauffeur pour lui faire comprendre que vous pouvez partir. Tu as prévu bien des choses à Paris, probablement quelques peu différentes de si t’y étais allé seul. Lex t’aurait bien accompagné et clairement vous auriez fait les fous à Paris, mais avec elle, ça sera différent et tu ne peux t’empêcher de te demander si finalement t’aimes pas un peu cette … différence. « On atterrira cette nuit à quatre heures, et un chauffeur privé nous déposera à la maison ensuite. Tu verras, c’est un endroit magnifique … tu pourras avoir ta chambre à toi si tu le souhaites. » Sait-on jamais. Et puis vous n’êtes pas en couple après tout, et aussi, elle aura peut-être besoin d’intimité.

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You beat me at my own game no, it's not okay
All I needed to do was get just a taste of you
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J'ai hésité un million de fois à annuler ce voyage après toute nos conversations. J'avais un million de choses en tête, entre les messages mystérieux d'Alexandrie et maintenant Harper. Pourtant, j'avais son aval pour partir et je me retrouvais dans une situation délicate. Je boucle tout de même mes affaires, dans le doute. Finalement, je reçois un message qui me prévient que sa majesté est  en route et j'ai à peine le temps de faire un dernier bisou à Royce avant de filer. Je suis récupérée par une espèce d'armoire à glace qui me met très mal à l'aise et qui insiste pour prendre mes bagages. « Pas la peine, je peux encore porter mes sacs qui s'élève au nombre incroyable... d'un seul. » A la place, il tente de m'ouvrir la porte pour me laisser passer et c'est mon caractère qui prend le dessus : « Je sais ouvrir les portes, merci mon grand. » Je dévale les escaliers qui mène à la rue, là où m'attend la calèche du prince. Je suis plutôt soulagée de le voir et j'ai un petit sourire en coin malgré la tonalité de notre dernière conversation. Je me faufile à l'intérieur de la voiture : « Prête. » Dire que tout ce voyage était à l'origine une sorte de blague... Il ne faut jamais prononcer de mots à la légère avec Loup. J'étais un peu anxieuse de savoir ce qu'il m'attendrait là bas, mais j'ai pas le temps de me poser la question que la  voiture démarre en direction de l'aéroport où nous attend le jet. Loup me déroule le programme du voyage et à l'écouter je reste un peu pantoise : « Oh... Ok. Faisons comme ça. » Je suis un peu surprise que tout à coup il lui paraisse étrange de partager un lit. Non parce que ça fait des mois qu'on le fait et tout à coup... Je m'abstiens de lui faire la remarque sans cacher ma déception et je finis par reporter mon attention à la fenêtre. J'avais peu dormi la veille, entre mon esprit qui cogitait et Royce qui n'était pas rentré seul. Il était  temps d'épaissir ces foutus murs. Le voyage est plutôt rapide et clairement je ne m’embarrasse pas de banalités, Loup et moi on a pas besoin de meubler le silence. Je me contente de rester contre lui et de poser ma tête sur son épaule alors que la route se charge de me bercer. J'étais presque assoupie quand le chauffeur s'arrête et que je sens tout le monde s'agiter autour de nous sans pour autant nous presser. « Déjà ? » Je relève la tête, abandonnant l'épaule du prince pour jeter un oeil à l'extérieur. Yep pas de tout, on a prit l'entrée V.I.P. Brusquement, je fonds comme si je retombais en enfance : j'avais peu voyagé dans ma vie et j'avais l'impression de faire quelque chose d'incroyable en allant en France. Je me tourne vers mon compagnon de route, des étoiles plein les yeux : « On peut y aller ? » Question idiote, presque enfantine. Evidemment qu'on allait y aller.
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Tu sentais de la déception dans sa voix alors tu sentais qu’il vallait mieux que tu te taises. Tu l’observais alors avant de faire signe à ton chauffeur de prendre la route. Vous partiez alors de Boston en direction de l’aéroport où vous attendait ton jet. Tu sentais alors la tête de Vee sur ton épaule et hésita un instant avant de saisir sa main que tu regardais mais t’abstint avant d’observer le paysage défilant à travers la vitre, imaginant votre voyage. Vous arriviez finalement et tes gardes du corps s’occupaient alors de récupérer vos bagages dans le coffre pour les transférer jusqu’au jet tandis que tu réveillais délicatement ton amie. « Nous y sommes. » Tu ne pu t’empêcher d’esquisser un petit sourire à ses yeux émerveillés devant l’appareil. « Evidemment. » que tu lui répondais doucement avant de sortir de la voiture, la contournant pour aller lui ouvrir la porte. Une fois descendue, tu serrais la main de ton chauffeur qui vous souhaitait un excellent voyage. Vous marchiez ensuite jusqu’à l’appareil, la faisant monter avant toi bien évidemment. A l’intérieur, tu lui proposais un siège en cuir en face de toi, le temps de saluer correctement l’équipage ainsi que l’hôtesse de l’air. Tes deux gardes du corps prirent deux sièges derrière vous et en quelques minutes, vous étiez prêts à décoller. Tu envoyais un message à Alex qui t’avait fait tout une scène hier soir pour que tu prennes soin de sa meilleure pote. Ceintures attachées vous étiez déjà dans les airs et vous pouviez alors enfin souffler un peu. Tu observais Vee avec un petit sourire. A vrai dire, tu repensais à vos récentes … disputes, et t’avais pas envie qu’elle ne soie pas en confiance avec toi dans ce voyage. T’étais conscient des difficultés récentes entre vous mais ne t’étais pas forcément rendu compte de l’ambiguïté de ce périple avec elle. A la base, il ne s’agissait après tout que d’une proposition anodine et tu ne te doutais absolument pas que les choses prendraient une quelconque tournure avec elle. Alors même si pour le moment dans ta tête t’étais au clair et n’avais aucune arrière pensée, tu ne voulais pas que de son côté le séjour se passe mal, bien au contraire. Elle était devenue une amie, et t’avais envie qu’elle profite au maximum. L’hotesse de l’air s’approchait alors de vous et tu souriais légèrement gêné, ayant oublié de la remplacer par une autre que t’avais pas sautée à ton dernier aller-retour pour Copenhague. Mais Vee n’était pas obligée de le savoir. La jeune femme resta tout de même discrète, vous proposant poliment une bouteille de Ruinart ainsi que deux coupes. Tu la regardais à peine, mais la remercia tout aussi poliment. « Volontiers Anna, merci infiniment. » Tu regardais ensuite Vee dans les yeux et trinqua avec elle tandis que la jeune femme s’éloignait. « A Paris ? » Tu amenais finalement la coupe à tes lèvres et la reposa sur la table. « Ca me fait vraiment plaisir que tu aies accepté de m’accompagner … » Tu sortais finalement tes dossiers afin de les étudier un peu prospectivement à ton rendez-vous avec ton père et le premier ministre. Tu jetais de temps à autre un coup d’oeil à Vee par dessus tes lunettes de vue …
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Voyager. J'ai toujours aimé ça, d'aussi loin que je me souvienne. Même si mes trajets n’impliquaient que rarement de quitter les Etats-Unis, j'aimais me laisser bercer par le train ou la sensation de m'élever dans les airs quand je prenais l'avion. Mais là, il s'agissait d'un jet privé. Je ne peux m'empêcher de me faire la réflexion que je suis la seule Goldman à n'en avoir jamais pris un, contrairement à Eris qui accompagnait notre père dans tous ses déplacement. Enfin, jusqu'à ce que je lui pique la place. Aujourd'hui, c'est même pas avec mon père que je le fais, c'est avec Loup et clairement je remercie le ciel de cette opportunité. Forcément, quand je m'installe, j'ai l'impression de faire partie des grands, sans oublier que je suis accompagnée de l'héritier du Danemark. Je m'installe sur l'un des sièges et pose mon sac à côté de moi alors que l'hôtesse nous propose du champagne. J'aurais largement préféré du vin rouge, mais je n'ai rien à décider. Par contre, je connais très bien ce regard qu'elle lance à Loup... Parce que je l'ai déjà vu chez d'autres avant. Je décide de faire abstraction, je me fous d'avec qui il s'envoie en l'air... Pas vrai ? Ouais. Forcément. « Merci beaucoup. » Je trinque avec mon hôte : « A ma première sortie du territoire américain.  » C'était étrange de le préciser mais après tout, qu'est-ce qu'il connaissait de moi ? Mon nom, l'empire que j'étais censée diriger et que j'étais une camée bonne au lit. Je baisse les yeux. Paris que je vais visiter pour la première fois, je comptais bien en profiter avec ou sans lui, puisqu'il m'avait clairement fais comprendre qu'il souhaitait avoir sa liberté une fois sur place. Ok, maintenant je suis mal à l'aise, j'imagine vraiment être un accessoire, la compagnie qu'on emmène comme ça. Je réprime un frisson alors que le jeune homme se plonge ensuite dans ses propres papiers. Je m'installe plus à l'aise et clairement en dehors du protocole, ramenant mes genoux sur ma poitrine et fixant le ciel défiler, le sol devenant de plus en plus lointain. De manière morbide et presque naturelle, je pense à une question étrange : est-ce qu'on souffre si on s'écrase de cette hauteur ? Est-ce qu'on s'évanouit avant ? Je sens le regard de Loup par dessus ses lunettes et je lui souris en coin avant de reporter mon attention sur le hublot. « Sympa cette hôtesse.  » J'ai pas besoin d'en dire plus. C'est pas une crise de jalousie, c'est juste un message qui signifie "j'ai compris". Je sors de mon sac quelques livres de poésie, en faisant tomber au passage mes médicaments comme convenu avec Zora. Elle avait été extrêmement réticente à ce que je parte alors que mon traitement avait à peine commencé, mais tant pis. C'est sur Baudelaire que je jette mon dévolu pour éviter de penser au monde autour de moi et j'en profite pour sortir mes écouteurs. Je ne voulais pas déranger Loup dans son travail et je devais être absorbée par autre chose que son visage. On en avait pour six heures de route maximum alors j'allais bien devoir m'occuper même si l'ambiance était plutôt tendue. J'essaye d'imaginer ce que mon compagnon de route pouvait bien étudier. Je n'étais bonne qu'en économie, moi...
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Vee trinque avec toi, et tu lui adresse ton sourire de confiance. Celui qui dit, t’inquiète pas, t’es entre de bonnes mains. Tu l’espères. « Ta première sortie ? Tu m’en vois honoré et j'espère ne pas te décevoir … » Au fond, t’es content qu’elle fasse ce voyage avec toi, même si tu te l’avoue pas. Parce que vous vous êtes donnés ces clauses débiles pour une fois sur place et tu sais pas trop ce que ça va donner. Tu verras bien. Tu te rends compte finalement qu’après tout ce temps, tu ne la connais pas si bien même si c’est pas ton genre de faire ‘plus ample connaissance’ avec tes plans culs, tu penses qu’il est un peu tard avec elle pour ce genre de préceptes. Ce voyage sera sans doute pour toi l’occasion de mieux la connaitre et de devenir réellement potes ? Quoi qu’il en soit, vous avez décollé et tu amènes ta coupe à tes lèvres. « Si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite surtout pas. » Dans ce jet, il y a tout ce dont vous avez besoin, en alcool comme en nourriture, mais bien d’autres choses encore. Tu regardes brièvement le paysage avant de sortir tes dossiers et tes lunettes pour les étudier un peu, mais constate que Vee a remarqué pour l’hôtesse et toi. Tu déposes lentement tes papiers sur la table et la regardes, légèrement gêné, sans que cela se voie trop. Tu te racles très doucement la gorge, ne sachant quoi répondre et aussi parce que t’as pas envie de t’enfoncer. Si Alex était là, il comprendrait. Elle sort alors quelques bouquins, faisant au passage tomber ses médicaments. Anna s’empresse alors de venir les ramasser pour elle, mais avant qu’elle n’y touche, tu lui fais un discret signe de la main pour qu’elle comprenne qu’il vaut mieux qu’elle laisse tomber et qu’elle se remette à sa place. Tu te lèves de ton siège lentement et les lui ramasse à sa place, non sans avoir lu discrètement l’inscription sur son traitement pour savoir exactement ce qu’elle prend. Tu les lui redonnes avec un petit sourire avant de te rasseoir en face d’elle. « Beaudelaire … ça te va bien … » tu la taquines et t’as envie d’instaurer un climat de paix aussi avant votre arrivée. Tu te remets finalement à tes études et finis par t’endormir quelques heures après avoir pris des cachets pour ce faire parce qu’en vrai, tu ne supportes pas les longs courriers. C’est Anna qui vous réveille pour vous annoncer votre arrivée à l’aéroport Charles de Gaulle et tu souris alors à ta camarade de voyage. « Bienvenue à Paris. » Tu regardes ta montre Oméga, il est effectivement quatre heures du matin et vingt-deux minutes. Tes gardes du corps s’empressent de transférer vos bagages du jet à l’Audi qui vous attend sur place et aide la demoiselle à se lever ainsi qu’à descendre du jet après avoir remercié chaleureusement l’équipage … y compris Anna que tu t’empressera de remplacer pour le retour. Un nouveau chauffeur à votre disposition pour votre séjour parisien vous conduit jusqu’à ton hôtel particulier du huitième arrondissement et vous y arrivez finalement aux alentours de cinq heures passées. Une fois les valises dans les chambres et les gardes du corps plus dans vos pattes, tu te retrouves alors seul avec Vee. Tu l’observes marcher lentement entre les nombreuses pièces de votre logement, ton index et ton pouce se baladant sur tes lèvres. Tu t’approches doucement d’elle. « Il est tard … j’imagine que tu dois être fatiguée, je peux te montrer ta chambre ou .. si tu veux dormir avec moi, tu es la bienvenue aussi … » C’est comme elle le sent, t’as pas envie de forcer, au moins elle aura son intimité et pourra toujours venir te rejoindre dans ta chambre quand elle le souhaite. « Si tu veux manger, le frigo est rempli de bonnes choses, le cuisinier n’arrive qu’à huit heures du matin. » Les lumières sont éteintes, seules une lampe du hall, tamisée est allumée. Vous êtes enfin à Paris.
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«  Tu me déçois rarement. » Le reste du trajet est plutôt plat, chacun de notre côté jusqu’à finalement arriver à notre destination. Et c’est d’autant plus terrifiant que le regard d’Anna me détaille avant de retourner vers Loup. J’ai putain de compris qu’il t’avais baisée et bordel, arrête de m’analyser du regard. On joue pas dans la même catégorie. Et enfin, Paris. J’ai du mal à le croire. Pourtant je suis bien forcée en prenant les petites sorties de l’aéroport, celle réservée aux V.I.P. L’air n’est pas du tout le même qu’aux États Unis, j’ai l’impression de rêver. Je m’émerveille d’absolument tout, même des trucs les plus ridicules alors qu’il est quatre heures et demi du matin et je le seul mot français que je sais prononcer sans être obligée d’envoyer un regard S.O.S à Loup, c’est "merci". Plutôt ironique. D’ailleurs il doit bien se moquer de moi, parce que bordel, je pourrais admirer les routes et les immeubles sans m’arrêter alors que... ben, c’est des immeubles quoi. Cela dit c’est complètement incomparable à la tête que je tire en voyant l’hôtel particulier. Ok je dois vraiment passer pour du peuple mais ça ? J’avais jamais connu. Genre, jamais jamais jamais. Des hôtels un peu huppés bon d’accord... Mais... « Tout ça rien que pour nous ? » Qu’est ce qu’on allait bien pouvoir faire d’autant de mètres carrés au juste ? Finalement tout marche sans nous, tout le monde s’accélère sans que Loup n’aie rien à dire. Je comprends mieux pourquoi tout doit rouler avec lui. C’est réfléchi à la seconde près et aussitôt terminé, tout le monde se fait aussi discret que des insectes jusqu’à ce qu’on aie besoin d’eux. L’aube se lève en France mais avec le décalage horaire on est tous les deux crevés. Loup me propose de dormir avec lui et ça me fait doucement rire vu notre conversation précédente. « Tu sais que d’habitude je ne refuse jamais de la nourriture mais là, le trajet m’a mise K.O. On se voit demain ! » Je file alors en direction d’une des chambres sans geste d’affection de ma part puisque tous les autres pendant le voyage avaient été ignorés. Et une fois seule dans ma chambre, je m’allonge sur le lit sans même défaire les draps et je n’arrive pas à m’enlever le malaise du jet de la tête. Je ferme les yeux en essayant de faire le vide mais rien n’y fait. Putain. Je me redresse d’un coup et saisit mon portable. Ouais, il a littéralement dans la chambre à côté mais je m’en fous. Je viens de capter d’où vient cette tension. Ça ne peut être que ça. J’ai envie de toi, tout de suite. J’envoie ça brut, explicite. Quitte à s’épuiser, autant aller jusqu’au bout. On prendra le petit déjeuner dans le même lit, comme prévu.
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Le trajet se fait tendu malgré le fait que tu marches sur des oeufs avec elle. C’est probablement pour ça que c’est si tendu d’ailleurs, mais t’as jamais été doué avec les relations féminines au delà du plan cul ou des relations post-baise. C’est même une première pour toi alors tu fais comme tu peux en essayant de serrer les fesses sur les regards insistants d’Anna à Vee. Mais heureusement, tu t’endors très vite grâce à tes somnifères et à ton réveil, vous êtes arrivés. Votre trajet de l’aéroport de Paris à ton hôtel particulier se fait plus vite que prévu, grâce à la circulation de nuit et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, tu te retrouves seul avec Vee. Tu admires ses sourires enfantins, toi qui est déjà blasé à vingt-cinq ans. Blasé de tes richesses, blasé du monde, toi qui a déjà tout fait, tout connu, tout essayé. Alors finalement, ce voyage avec Vee te donnera peut-être la fraicheur dont tu manques cruellement dans ta vie. Vous vous retrouvez finalement dans ton hall à la lumière tamisée, t’es crevé par le voyage, mais tu continues de l’observer, laissant des blancs qui font monter la tension entre vous. Mais ça ne te gêne pas, bien au contraire, tu maitrises. Tu lui proposes de quoi manger, ta chambre ou la sienne, mais froide comme un glaçon, elle se braque et s’en va, te laissant seul à l’entrée de ton immense appartement parisien. Tu la regardes partir et laisses les choses se faire, comme tu en as tant l’habitude, et finis par monter à ton tour dans ta grande chambre. Bizarrement, tu n’es plus fatigué. Tu te déshabilles et sors un bas de pyjama de ta valise, ainsi que ton ordinateur pour bosser un peu sur ton lit. Tu allumes finalement une cigarette que tu fumes sur ton balcon en pensant à ce que votre séjour peut bien vous réserver, mais c’est alors que ton téléphone vibre. Tu lis son message, tu jettes ta clope et rentre à l’intérieur pour finalement t’aventurer lentement dans les longs couloirs du premier étage. Tu pousses sa porte doucement, sa chambre est sombre mais tu arrives à apercevoir sa silhouette dans la pénombre. Tu t’approches lentement, grimpant sur son lit pour venir à elle. Sans un mot, tu fais glisser tes doigts le long de sa jambe, qui arrivent finalement jusque sa taille, ton visage s’approchant du sien. Tu la regardes, la lumière du couloir éclaire son visage et elle est belle. Tu caresses lentement sa joue de l’autre main et viens déposer tes lèvres sur son cou, puis sa mâchoire, puis son menton avant d’enfin effleurer la commissure de sa lèvre pour lui offrir ce baiser fougueux dont t’avais tant envie depuis le début de ce voyage.
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J’attends quelques instants et il est déjà dans ma chambre. On a pas besoin de parler : il a déjà capturé mes lèvres et on s’effondre sur le matelas tandis qu’on laisse nos corps parler à notre place. Et dire que le séjour ne faisait que commencer...

J’ouvre les yeux et le soleil s’est levé. Ok j’ai rien compris, j’ai probablement du m’endormir après nos ébats. D’ailleurs... Il est toujours avec moi dans le lit. Je souris en le voyant, j’ai toujours un peu de mal à réaliser, je crois. J’aurais bien aimé le réveiller avec des ébats matinaux mais c’est plutôt mal venu. C’est avec une voix douce que je l’interpelle pour le réveiller : « Debout la belle au bois dormant. Y a des croissants et la Tour Eiffel qui nous attendent. » Les fameux croissants. Ceux qui étaient à l’origine même de ce foutu voyage. Bordel ils avaient intérêt d’être à la hauteur de mes espérances parce que c’était limite divin à ce stade. J’ai à peine le temps de me secouer de déjà la chambre est prise d’assaut par le personnel de maison. «  Ah ok, ici tout le monde est réglé comme du papier à musique. » Tout le monde sait ce qu’il doit faire et quand il doit le faire, de la manière dont il doit le faire. Ils se confondent en excuses, en politesse afin de nous servir au lit un échantillon des meilleurs mets que propose le petit déjeuner européen de base et je suis surprise de voir que tant de nourritures peut tenir sur de tels plateaux. Mes yeux s’illuminent : «  C’est le paradis... » Je pourrais me contenter de moins, parce que c’est ce que j’ai fais toute ma vie. Aussitôt servis, notre intimité nous est rendue et nous sommes laissés seuls avec notre buffet pour deux personnes. Je lorgne déjà sur le café et sur le jus d’orange. « Si c’est un rêve, ne me réveille pas. » Et là ça doit franchement être bizarre pour lui parce que normalement je devrais avoir l’habitude, dans une certaine mesure, d’avoir droit à toute ces attentions. J’ai l’impression de redécouvrir la vie et la tension entre nous a disparu.
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