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et de mes vaines rêveries la honte est le fruit (levora)

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et de mes vaines
rêveries la honte est le fruit.
( @Zora Fawkes Underwood   )
crédit/ Petrarque ✰ Sonnet I


pourquoi ce serait toi le problème? t’es cette gamine-là. Celle qui se cachée dans son armoire pour mettre la journée à en ressortir. Celle qui barricadait la porte de sa chambre pour se barrer, se balader. Celle, casque sur les oreilles, les tympans qui vibrent aux pulsations des musiques bien trop fortes, seulement pour être dans ta bulle, loin de tout, loin des autres. Celle qui a fait son premier tatouage toute seul avec de l’encre de chine et une aiguille. C’est toi, cette gamine chiante. De toutes les couleurs, que t’en as fait voir. t’es cette marginale, loin des banalités. Tu as fait des courses automobiles, le dessous de tes ongles est noir cambouis. Colérique, ton cul plusieurs fois sur un banc chez les flics, ces petits délits que t’as fait dans ta vie. T’en es persuadée, tu as toujours été la source, celle d’où tout commence, le problème. Le noyau de vos disputes, de votre fossé trop écarté. Sérieusement tu m’as bien regardé ? ça se voit sur toi, que tu portes tout ça. tu n’as clairement pas la bonne dégaine. Femme sage, calme. Loin de tout ça, t’es tatouée, de tous les côtés, les cheveux colorés. Mais tu l’as toujours dit, tu t’en branles, de tout, de ça, de toi, des autres. C’est faux, tas de conneries. T’as ce manque de confiance en toi, ce paradoxe. T’es la femme provocatrice, à la fois cette meuf fragile. On pourrait te balancer contre un mur, on verrait tes morceaux s’envoler en poussière, tu serais brisée, t’es déjà à peine racolée. Elle t’enchaîne, dépoussière ses lèvres. Sa parole, redoutable. je voulais me suicider parce que je voyais pas mon utilité sur cette planète. les parents m’ont sauver, si ça se trouve je serai sûrement encore en train de moisir dans cet hôpital, je serais sûrement encore de martyriser les gosses plus jeune pour me sentir supérieur. je suis pas fait du même sang que vous, j’ai été rajouté et j’me suis toujours senti comme une pièce facultatif. encore plus quand on a commencé à s’engueuler. t’es coupée du monde, tu te renfermais, tellement que t’en as oublié de t’intéresser. De comprendre ce qu’il pouvait se passer. Dans ta bulle, trop bien fermée, les parents n’ont même jamais pensés te faire part de tout ce que tu ne savais pas. Révélation, tu pensais être la seule merde de la famille, tu pensais qu’il n’y avait que toi, peut-être que tu voulais être la seule. Avoir de l’attention, que ce soit de toi, qu’on s’occupe. Mais putain, t’as pas été martyrisée, ni même oubliée, t’avais seulement rien compris. Débile. T’étais toujours la fierté, t’as fait les beaux-arts, t’as un talent de dingue, t’es belle. Sérieusement si t’es qu’une pièce rapportée t’es la mieux raccordée. Tu soupires, t’accuses le coup, tout ce que tu ne t’étais jamais venu à l’esprit de ce qu’elle pouvait penser. Enfin c’est ce que je pensais. C’était quoi alors ? ce putain de quiproquo caché dans vos disputes qui a tout brisé dans votre relation ? fallait peut être songer à discuter depuis toutes ces années. t’as toujours ton cul contre la portière de la voiture, ton sac en vrac entre tes mains, comme un bouclier qui te laisserait crever, contre toi. j’voulais pas te blesser, je voulais juste vous laissez tranquille alors j’ai fui. j’sais rien faire d’autre que fuir, je fuis encore jusqu’à maintenant. qu’est-ce que t’es censé faire ? la prendre dans tes bras, t’excuser ? peut être ne pas pas parler, seulement emmêler tes doigts dans ses cheveux collés à ta joue ? t’en as envie, c’est seulement peu naturel. La dernière fois que vous vous êtes prise dans les bras remonte sûrement à l’existence sur terre de love the way you lie. j’ai juste pas compris, j’pensais que tu t’étais barrée parce que t’étais saoulée de moi, de notre vie, de nous, j’sais pas. J’ai jamais su ce que tu pensais. C’est pas un reproche, t’es pas mieux. T’as jamais demandé. Penses pas que j’te déteste, c’est faux.
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rêveries la honte est le fruit.
( @Levi Fawkes Underwood )
crédit/ Petrarque ✰ Sonnet I


t’as toujours fait en sorte que les parents soit fier de toi, cette vie qu’ils t’ont offert, cette chance qu’ils t’ont donner, t’as toujours fait en sorte de ne pas la gacher, ne pas la détruire à néant. alors t’as toujours bosser comme une taré, des bonnes notes, des facilités à commencer e nouvelle chose, passer ta passion avant toute chose et donner une raison de se venter quand ils sont invités chez des amis. financièrement c’était la même, dès que t’as pu bosser tu l’as fait, promener des chiens, nettoyer des garages, prendre un boulot à mi-temps quand t’étais à Paris pour ne pas à leurs demander de l’argent, tu n’avais pas besoin de les utilises, ainsi tu pouvait avoir tes sous et ton indépendance sans les déranges plus que tu ne le fait déjà. un second choix, une pièces rajouter, des morceaux récolter, c’est toujours ainsi que tu t’es sentit. et Levi, leurs sangs, Levi leurs désires, Levi l’enfant cadeau, celle qu’ils ont tellement souhaiter qu’elle a fini par naître, c’est leurs trésors, et tu voulais pas te mettre entre eux. quand ils disputes ont éclataient, quand la mayonnaise à monter, tu n’avais pas d’autre choix que t’exiler. « Le sang qui coule dans tes veines et suffisante pour que les parents t’aiment à en crever. » le désire de t’avoir Levi est aussi grand que Gepetto quand il a souhaiter la naissance de Pinnochio et ça tu t’en rend même pas compte. Ta famille, eux, ceux qui t’aiment et te chérissent depuis ta conception ne pourra jamais renier un enfant comme toi, ô combien tes erreurs peuvent être lourde. « tu penses mal. » Deux êtres incompris, voilà ce que vous êtes, et les bras croiser, le coeur lourd et le regard fuyant, vous voulez toutes les deux sur le parking du mcdo a vous demandez ce que vous allez bien pouvoir faire, ce que vous allez devenir. t’allais encore fuir ? c’est certain, presque sure, comme un instant animal, comme une mère protège son enfant en le cachant, toi tu fuit jusqu’à en oublier la raison pour lequel tu fuit. mais ça revient toujours, comme une vague qui a beau se retirer, elle revient toujours quand la marrer depuis haute, et elle te submerge de long en large, comme pour t’étouffer dans ton sommeil. la voilà, tout aussi tourmenter que toi, mettant le doigt sur des choses qui n’ont jamais été dit, des choses qui n’ont jamais été que des suppositions. j’me hais, t’aimerais lui dire, mais tu sent qu’elle se hais aussi, qu’elle se cherche aussi, que cette crise d’adolescente n’était pas qu’une phase mais bien un mode de vie. « actuellement je sais pas ce que je ressent envers toi. » t’étais triste, mais t’en avait déjà parler à wook et il a dit qu’il ne fallait pas être triste pour les gens qu’on aime mais toujours leurs souhaitaient le meilleurs du monde. « j’aime wook, de tout mon être et de tout mon âme et il me le rend comme il se doit. je suis pleinement heureuse avec lui, pourtant je n’ai pas pu m’empêcher d’être jalouse quand j’ai commencer à comprendre qu’il se passe quelques choses entre Ael et toi. » il a compté, beaucoup, beaucoup trop. « tu mérites mieux que lui. »
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rêveries la honte est le fruit.
( @Zora Fawkes Underwood   )
crédit/ Petrarque ✰ Sonnet I


T’es une boule de feu. On a besoin de toi, tu te fais tellement désirer, pour te trouver. Une fois apprivoisée, tu peux être si douce, une chaleur essentielle. T’en as aucune idée, de ce que tu peux être, dans les pensées. Les autres en face de toi, que tu repousses, refusant d’écouter. Tu as toujours mené cette vie, loin des avis, loin des jugements, pourtant. Si susceptible, si dépendante de ce qu’on peut te dire. T’as ce besoin, de reconnaissance, toujours. Tu dois être rassurée, constamment. Attirer l’attention, celle qui te berce, un baume au cœur. Ton seul moteur, l’attention, qu’on peut te donner. L’hypersensible à en crever. C’est égoïste, tu n’étais qu’une gamine égoïste, tu le sais, maintenant. actuellement je sais pas ce que je ressent envers toi. Toi, tu l’aimes. A en crever, elle est, sera, a toujours été, l’unique femme de ta vie. Tu ne lui a jamais avoué, si bien qu’elle ne pourrait même s’en douter. T’as cette drôle de façons de l’exprimer, de le démontrer. T’as jamais su, l’faire. Tu regrettes toutes ces années où tu ne faisais que t’éloigner, juste t’égarer, dans ce qui n’était que la pure vérité. Tu l’aimes, ta sœur. Un jour peut-être, t’arriveras à le sortir d’entre tes lèvres bien trop fermées. J’aime wook, de tout mon être et de tout mon âme et il me le rend comme il se doit. je suis pleinement heureuse avec lui, pourtant je n’ai pas pu m’empêcher d’être jalouse quand j’ai commencé à comprendre qu’il se passe quelques choses entre Ael et toi. Tu mérites mieux que lui. Tu mérites clairement mieux que Ael, que ton ex, cet enfoiré. Que n’importe qui sur cette Terre. Tu te considères comme une merde, tu attrapes toutes les attentions qu’on peut te porter sans même en identifier réellement la source. Tu veux qu’on s’occupe de toi, quitta s’sacrifier, ce qui peut t’apporter le bonheur que tu ne saisis pas. Il n’était qu’insignifiant face à toi, cette puissance enfermée au fond de toi, ton être. Une flamme, tu n’es qu’une flamme, simple braise à ce jour. Y’a vraiment pas à être jalouse pour ce tas de merde. Cette haine au fond de toi. Il me balançait ses mots gentils, j’suis tombée dedans, c’est tout. Elle le sait, t’es naïve, cette gamine, embarquée, dans les mauvais plans, toujours plus t’enfoncer, t’es douée. J’crois qu’on ne peut pas vraiment revenir dans le passé. T’es ok pour.. Balayer ? Tu soupires, croisant les bras contre toi, tu lui proposes de revenir à zéro, passer de côté tout ce qui vous a séparés. J’en ai marre qu’on se tire la gueule à chaque fois qu’on se voit, j’ai fait mes conneries, toi aussi. Merde, stop.

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