(hades) and we make this world our hell

— Bar du Mandarin Oriental, Along Charles River, 20h05.
Honnêtement Stella, tu ne sais pas vraiment pourquoi tu vas retrouver cet inconnu au bar de l'un des plus grands hôtels de la ville. Tu ignores pourquoi tu as accepté de le rejoindre, tu ne le connais même pas. Ta vie n'est pas aussi palpitante que tu le voudrais en ce moment. Tu n'arrives pas à réellement lâcher prise alors tu te dis que de partager un verre avec ce type ne peut pas te faire de mal. Il est bizarre ce Hades. Il a l'air vachement rigide et froid, tout le contraire de toi qui est assez extravagante. Comme à ton habitude, tu as été maladroite dans l'échange de messages mais au moins il sait à quoi s'attendre en t'invitant à boire un verre. Tu n'y vas pas pour te faire chier et s'il veut se montrer désagréable, tu ne vas pas te gêner pour faire de même. Après tout, c'est lui qui est venu vers toi et qui t'a invité. Tu es curieuse, cette soirée peut très bien être une bonne surprise comme une mauvaise. Peut-être que sous ses airs de trou du cul, se cache un garçon amusant. Peut-être pas. Tu as été stalké un peu son compte instagram et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il est fortement entouré celui-là. Il te fait penser à Zephyr, c'est un peu toujours la même rengaine, intéressant mais prévisible. Tu as cinq minutes de retard, tu l'as fait exprès. Tu aurais pu arriver à 21 heures mais tu n'as pas voulu le froisser, passer la soirée avec un mec qui boude, c'est d'un ennui. Perchée sur tes hauts talons, tu traverses le hall, la tête haute. Tu as opté pour une robe noire classique et sobre. Comme l'a si bien dit Coco Chanel,  si une femme est mal habillée, on remarque sa robe, mais si elle est impeccablement vêtue, c'est elle que l'on remarque. Ton maquillage est discret et absolument pas provoquant. Tu as soigné ton image.

Bref. Tu arrives au bar et cherches ton rendez-vous des yeux. Ton regard se pose sur un homme de l'autre côté, il est seul, tu supposes que c'est lui. Tes yeux roulent en repensant à la remarque désobligeante qu'il t'a lancé au bal. Malgré toi, un fin rictus se fraye un chemin sur tes lèvres. Tu sers ton portable entre tes mains, ce soir tu te sors de ta zone de confort. Tu soupires doucement pour te donner une bonne dose de courage et de soutien, tu t'avances ensuite jusqu'à lui. Tu t'approches sans le lâcher des yeux et plus la distance qui vous sépare s’amenuise, plus tu trouves confiance. " Bonsoir Hades. " Tu affiches un grand sourire, tu ne vas pas l'attaquer directement sans raison mais tu restes méfiante. Oh ça oui, tu les connais les garnements dans son genre. " J'espère que tu ne vas pas me tenir rigueur des cinq minutes de retard que j'ai. " Tu le taquines un peu, tu n'aimes pas spécialement les rendez-vous trop conventionnels. Tu rigoles légèrement, tu prends juste la température là.


@A. Hades de Belgique-S.

Costume trois pièces, ton regard brun perçant détail les gens autour de toi avec ta critique habituelle. Tu es spectateur du petit peuple qui se croit trop bien et trop beau. Les gens ne voient pas la laideur de cette terre, ils pensent encore que les contes de fée se réalisent, que l'argent rend heureux, que les familles royales sont parfaites. Si ils savaient. Toi, Prince de Belgique, héritier de l'empire L'Oréal de ta famille, toi qui porte le prénom du prince de l'enfer, on peut dire que tu porte bien ton nom. Tu es dans ce monde ce qu'il y a de pire. Si la presse s'est pendant longtemps exclafé devant le prince Harry et ses déboires, toi, c'est dans l'ombre que tu manigeance, il n'y a que peu de fois où tu vas réellement te mouiller, tu trouves toujours un con pour se lancer dans ta quête et te ramener des informations. Tu es le fourbe, le mauvais, le sadique. Aux yeux des gens tu es censé être heureux et c'est ce que tu fais croire avec ce sourire poli que tu prends sur les photos, mais la vérité est tout autre. Tout n'est qu'apparence, visuel et image. On peut tromper les gens, mais se tromper soit même est une autre affaire. Tu es un pessimiste. Tu aimes la vie autant que tu la hais. Et il n'y a que dans la douleur des autres que tu te complais, du moins c'est ce que tu dis. Peu de gens attirent ton attention, elle y était pourtant parvenu en débarquant. Tu as appris par la suite que c'était un bizutage et ça casse un peu le charme parce que tu as un faible pour les emmerdeuses de nature. Mais à première vu, sa beauté n'a d'égale que son caractère de feux. Je crois que c'est pour ça que tu lui as écris. Tu l'as trouvé fascinante dès le premier regard et diabolique. On peut le dire, toi, toutes les personnes aussi mauvaises que toi attirent presque ta sympathie. Un message, une invitation froide, égale à toi même tu te montres détâcher. Et qu'elle ne pense pas que tu as fais un effort vestimentaire pour elle : tu ne t'habille qu'en costume la plupart du temps et les trois pièces sont de loin tes préférés. Je suppose que c'est l'habitude qui te pousse à mettre des chemises, encore et encore, mais pas que. Tu es supérieur et tu le montres de par ton allure. De part ton attitude. Tu te détâches du lot et tu le sais. Ca te conviens. Il n'y a qu'à voir les gens dans cette salle et toi. Tu te tiens droit, tu observe, l'air complètement fermé le petit peuple se mouvoir et bouger. Jusqu'à ce qu'elle arrive. Élégante mais pas bling bling, pas de tape à l'oeil. Elle est classe sans en faire trop. Tes iris posées sur elle, tu ne la lâches pas du regard alors qu'elle avance, d'un pas qui se veut assurer, tu te lèves pour l'accueillir, politesse oblige Miss Alvès parce que tu as quand même eu le temps de te renseigner sur elle et sur ses origines, t'aimes pas franchement fréquenter les nouveaux riches. Parmi eux, il n'y a que Franklin, que le vice anime probablement un peu trop à force de fréquenter les mauvais gens dans ton genre, qui gagne ton respect. Elle te sourit et tu lui adresses un léger sourire, fort peu perceptible mais présent quand même. Elle te taquine en une phrase et tu hausses les épaules J'admets avoir pensé un instant que tu n'étais pas une femme de parole. Mais tu es venue. tu ne l'aurais pas cru. Soyons franc, tu n'es pas la personne la plus sympathique du monde. Les gens s'accordent tous pour dire que tu es un narcissique, égocentrique, antipathique mais surtout que tu es mauvais et méchant sans raison. En général, les gens t'évitent ou te craignent et tu trouves ça très bien comme ça. Pourquoi tu es venue d'ailleurs ? Parce que tu l'as invité ? Pour toi, ce n'est pas vraiment une réponse. Peut être a t-elle été intrigué par ta personne ? T'en sais rien enfaite. Et ça te pose question, parce que pour toi, les gens attendent toujours un truc. Tu le connais ce monde : on ne fait jamais rien gratuitement. Et surtout pas les personnes les plus intéressantes de ta confrérie.

— Bar du Mandarin Oriental, Along Charles River, 20h05.
C'est tendu comme ambiance ou c'est lui qui rend l’atmosphère irrespirable ? Tu ne sais absolument pas à quoi t'attendre en venant à ce rendez-vous mais tu ne vas pas tarder à le découvrir. Tu t'approches de ce type l'air plus déterminé que jamais. Tu ne lui dois rien et si tu te fais chier, tu t'en vas. Tu n'es pas venu là pour passer une soirée ennuyeuse avec un type qui se croit supérieur à tout le monde mais qui, en réalité, n'a aucune conversation et qui ne se déride pas. Pour planter le décor, toi tu es euphorique mais pas spécialement à cause de cette soirée. Tu es en feu, tu trouves que ta vie manque de piment et tu cherches une distraction. Inconsciemment tu sais très bien qu'il ne sera pas le petit grain de folie que tu cherches. Tu vas donc juste passer une bonne soirée - espérons-le - et te faire payer quelques verres. C'est toujours mieux que de rester chez toi, le nez dans les bouquins. Tu lui affiches ton plus beau sourire quand il capte ta présence et viens te poser à côté de lui. Tes yeux regardent tout autour de vous et tu es étonnée qu'il n'ait pas encore commandé à boire. " Je suis venue. Sous mon mètre soixante se cache une femme de parole, quand je dis quelque chose je le fais. " Tu lèves les yeux au ciel, le sourire néanmoins sur tes lèvres. Hadès parle, c'est déjà ça. Tu avais peur de te confronter à un mur glacial mais pour l'instant, il a l'air de faire un effort. Tu t'installes confortablement sur le tabouret et croises délicatement tes jambes, tu n'as pas encore envie de partir donc tu investies les lieux. Il te pose une question un peu étrange dont tu ne comprends pas tout le sens. Tes sourcils se froncent mais un sourire malicieux apparaît sur tes lèvres. " Quelle version veux-tu Hadès ? " Tu marques une courte pause et regarde les bouteilles accrochées devant toi. " Première version : un certain prince froid et peu aimable m'a invité à boire un verre, j'y ai vu là l'occasion d'en savoir un peu plus sur cet homme intrigant. Et de me faire payer des verres dans un charmant endroit. " Tu reportes ton attention sur son visage. Putain oui, il est beau. " Seconde version : ma vie n'est absolument pas palpitante en ce moment, j'ai envie de flirter avec le danger et sortir de ma propre zone de confort. " Tu glisses ta langue sur tes lèvres pour les humidifier et penche délicatement ta tête sur le côté. " L'une des deux versions est la bonne, à toi de choisir celle qui te plait la plus. " Tes yeux sondent les siens, tu cherches un semblant d'explication et de réflexion dans son regard mais tu t'en détaches bien vite en entendant le serveur vous demander votre commande. Tu détournes ton regard de l'Eliot et le pose sur le serveur. " Une vodka martini, s'il vous plait. " C'est ton truc ça la vodka martini. Tu regardes Hadès à présent, curieuse de son choix de boisson.

Tu ne pensais pas qu'elle viendrait, sincèrement, tu as cru qu'elle allait te planter. Elle aurait eu toutes les raisons du monde de le faire après tout. Stella est une eliot et visiblement en plus d'être sublime, elle a du caractère. C'est ça qui t'as plu immédiatement, ton caractère de feu, du moins, ce que tu en as aperçu en deux phrases. Elle semble être le danger qui te manque cruellement, être le poison qui t'empoisonnera les veines, du moins, elle peut peut être l'être, t'en sais rien et tu le sauras pas si tu sors pas un peu de l'ombre, si t'apparait pas un peu au grand jour, tu le sauras pas. Alors t'as fais un premier pas et elle a répondu. T'en as fais un second et elle a accepté l'invitation. Elle a fait le troisième en venant. Tu te fais pas d'illusion, tu veux pas d'histoire d'amour et toutes ces conneries, ta vie amoureuse est bien trop complexe pour que tu recherches ce genre de choses, mais cette fille a fait ce que trop peu de monde arrive à faire : elle a ton attention. Quand elle entre dans cette pièce, son aura de feu t'attire l'oeil et tu ne la quittes pas du regard alors qu'elle arrive vers toi. Sublime créature, sans trop en faire, elle attire l'oeil sans trop en montrer. Dire que tu n'aimes pas serait mentir. Elle commence à parler et tu réponds, t'es pas très souriant, mais tu sais avoir de la conversation. D'ailleurs, ton franc parler, qui n'est là que quand ça t'arrange, te pousse à admettre que tu ne pensais pas la voir ce soir. Tu m'en vois ravi. ravi qu'elle soit venu, qu'elle soit de parole. Les personnes qui tiennent leurs promesses ont toujours eu ton respect, tout simplement parce que toi même tu tiens toujours tes marchés. Les gens peuvent venir te voir pour passer un pacte avec le diable, tu acceptes, si tu y trouves ton compte derrière, toujours. Les gens savent aussi que tu viens toujours chercher ton dû. Un deal est un deal. Tu n'as jamais rompu une de tes paroles. Si elle est de cette même trempe, elle n'en est que plus intéressante. Elle croise les jambes, installée devant toi, et toi, tu la regardes, encore un peu. Sa peau légèrement matte, ses lèvres pulpeuses. J'pense que doucement mais surement, tu te rends compte que tu es entrain de plonger droit dans les flammes de l'enfer et au lieu de t'arrêter, t'accélère. Tes iris ne la quittent pas alors qu'elle répond à ta question avec deux propositions. Une te plait tout particulièrement, la seconde. L'idée de la faire sortir de sa zone de confort te déplait pas. Mais soyons honnête, la première est un peu plus réaliste, non ? A moins que ça ne soit un mixte des deux. A choisir, je vote pour l'option trois. il y en a pas, la troisième option, c'est celle que tu peux imaginer et choisir, celle de toutes les possibilités. Tu prononces ces mots d'un air sérieux avant de sourire un coin, ses pupilles brunes sondant encore un peu les tiennes. Tu la lâches pas des yeux, tu fais pas franchement attention aux autres, tu vois même pas le serveur arriver pour prendre vos commandes. Tu ne tournes la tête vers lui et lui accorde de l'importance que quand elle commande. Un gin tonic. Avec du vrai citron, pas votre jus en conserve. Okay, ton aimabilité revient au galop. T'es comme ça, pas agréable avec le petit personnel, tu prends toujours un malin plaisir à le martyriser et on te dit rien, parce que t'es un prince et un putain d'emmerdeur. On peut l'avouer, t'as pas toujours été comme ça, mais il suffit de lire les médias et les histoires de ta famille pour comprendre comment on t'a brisé et comment t'as tout perdu, à tel point que maintenant il te reste que le fric et tes quelques amis dans ta vie, mais le bonheur et la flamme de la vie, eux, ont pris le large, il y a trop longtemps maintenant. Toi, t'es l'histoire du Prince brisé, t'es le réaliste, tu te fais pas de film, c'est tout à ton honneur non ? Tu m'as réservé une heure ou la soirée ? tu la regardes du coin de l'oeil en posant ta question, histoire de voir sa réaction. Qui a dis que tu ne pouvais pas surprendre toi aussi ?

— Bar du Mandarin Oriental, Along Charles River, 20h05.
Pour l'instant, la soirée semble bien démarrer. Tu ne savais pas trop à quoi t'attendre mais tu as suivi le fameux proverbe qui dit : attends-toi au pire et tu ne seras pas déçue. Tu croyais qu'il ne parlerait pas mais tu es surprise de constater que depuis le début du rendez-vous, il n'y a pas encore de blanc. Il vient de commencer, certes, mais c'est sur la bonne voie. Tu croyais qu'il allait faire la gueule ou se montrer désobligeant à chaque phrase mais vous n'en êtes pas encore là. Il semble réceptif à ta personnalité. C'est sur tu n'es pas comme toutes les autres filles à pouffer de rire dès qu'un mec lui parle, ou à être facilement impressionnée, ou juste à draguer tout ce qui bouge. Tu es unique Stella, aucune fille ne te ressemble, personne n'a cette bipolarité dans le caractère. Tu es spéciale, au moins autant que lui, chacun dans son domaine. Hadès te répond qu'il préfère la troisième option. Tu plisses les yeux et redresse ta tête. " Allons-y pour la troisième option dans ce cas. " Tu ignores ce que ça signifie mais tu es curieuse de le découvrir. Il y a tellement de sens caché dans cette troisième option. Tu veux croire qu'il y a d'autres raisons à ta présence ici, des raisons que tu ne connais pas encore mais qui semble être évidentes pour lui. Le serveur te sort de tes pensées et vous demande ce que vous voulez boire. Tu commandes naturellement une vodka martini et tu laisses le soin à Hadès de choisir une boisson. Un gin tonic, intéressant. Tu connais le principe mais tu n'y as surement jamais goûté. Tu ne peux t'empêcher de sourire en voyant la tête du serveur, pas content de la demande de l'Eliot. Tu te gardes de faire un commentaire mais tu penses que le serveur risque de cracher dans son foutu gin tonic. Tu replaces tes cheveux correctement et reportes ton attention sur ta date de ce soir. Il te demande combien de temps il a ce soir. Tu roules des yeux. " A la base je ne t'accorde qu'un petit quart d'heure, libre à toi de me donner envie de rester plus longtemps. " Tu arques un sourcil en le fixant. Tu comprends qu'il est surement là pour espérer passer la nuit avec toi, t'es presque déçue. Tu te mordilles la lèvre inférieure avant de reprendre la parole. " Et avant que tu t'imagines quoi que ce soit, passer une one night dans tes bras ne fait pas parti de l'option trois. Je suis une fille qui se mérite et ce n'est pas un joli costume, une vodka martini et un regard de braise qui baisseront ma garde. " Au moins il est prévenu. Tu affiches un sourire provoquant sur tes lèvres, tu adores jouer à ce petit jeu mais tu ignores si Hadès va capter, comme il l'a si bien dit, il n'est pas doué pour la subtilité. Tu décroises lentement les jambes, poses tes talons sur le sol et te lèves pour t'approcher de lui. Tu t'arrêtes à quelques centimètres de lui et poses ta main sur son épaule. Tu te penches vers lui. " Ce n'était pas du sarcasme Hadès, je viens bien de te dire que tu es beau. " murmures-tu au creux de son oreille. Tu te recules et ne peux t'empêcher de rigoler, tu es tarée comme fille. Sans lâcher son épaule de ta main, tu souris au serveur qui vous apporte vos boissons. Tu pointes le verre de l'Eliot du doigt et t'adresses au serveur. " Si vous tenez à votre boulot de serveur, vous avez plutôt intérêt à avoir mis du citron frais dedans. " Tu te saisies de ton verre et te tournes vers lui. Tu restes debout, de toute façon que tu sois assise sur le tabouret ou debout, tu fais la même taille. " A quoi veux-tu trinquer ? " A cette soirée ? A lui ? A toi ? Tu t'impatientes de sa réponse, perchée sur tes hauts talons qui te donnent un peu de hauteur. Tu commences à vraiment avoir soif.

Un tas de raison ont pu lui donner envie de venir, il y en a trop pour toutes les énumérer. Certaines sont barrés de base, comme celle de la michto, parce que Stella n'a clairement pas l'air d'être ce genre de femme et de ce que tu connais de son nom de famille, c'est une famille plutôt fortunée, elle a probablement pas besoin de toi pour vivre. D'autres sont encore possible : elle veut du danger ou bien tu l'intrigue comme elle t'intrigue ? Enfaite on peut lui en trouver autant d'être venu que toi d'avoir proposé et de t'être pointé. Mais le résultat final c'est le suivant : vous êtes là, tous les deux, dans ce bar, dans ce lieu. Et t'es pas mécontent de sa venue, c'est même tout le contraire, parce qu'elle semble sympa et avoir des principes. Et par dessus tout, elle semble avoir ce grain de malice et de folie, ce côté feu que tu aimes tant. Avec elle t'es bien plus agréable qu'avec ta cavalière du bal a qui tu as dû adresser deux mots en tout et pour tout, tellement t'en avais rien à foutre. Avec Stella c'est différent, elle a ce truc en plus. Stella ne fait pas exprès d'être classe et belle, c'est naturel. Et elle a l'air joueuse aussi. Au lieu de répondre clairement à ta question, elle te laisse le choix entre deux et il est évident que tu choisis la troisième, celle qu'on ne sait pas, qui n'est ni logique ni censé, parce que t'es comme ça. Tu souris à sa réponse, haussant légèrement les épaules. Finalement le serveur détourne son attention de toi pour commander sa boisson et toi, tu prends le relais en donnant tes instructions : tu veux un gin tonic, parce que tu bois presque que ça, mais tu veux que ce soit un vrai citron dedans, pas un de ces trucs industriels, tu bouffes pas de la merde toi. Le serveur semble agacé par tes paroles, mais t'en as absolument rien à faire, tu reportes ton attention sur ta brune, compagne de soirée, pour lui poser une nouvelle question. Visiblement, t'en as en stock. Mais cette question semble lui déplaire, elle roule des yeux pour te répondre qu'elle avait prévu un quart d'heure Qu'est ce que tu aurais de mieux à faire ? Elle arc un sourcils, semble penser tout en te regardant d'un air insistant avant de finalement reprendre la parole après s'être mordu la lèvre. Ses premiers mots sortent d'entre ses lèvres et tu fronces les sourcils, comprenant qu'elle s'imagine clairement que t'es un queutârd, chaud lapin ou un truc du genre, que tu veux la baiser, une partie ou toute la nuit, tout dépend de son endurance à elle, pour ensuite la planter. Clairement si t'avais voulu la baiser, tu lui aurais pas offert de verre, tu lui aurais proposer, comme ça, nature peinture, mais on peut l'affirmer : les coups d'un soir c'est pas ton genre, ça apporte trop de problème, trop de rumeur derrière. Le pire dans tout ça c'est qu'elle t'intéresse vraiment de base, sinon, tu lui aurais pas accorder du temps et de l'attention. Mais elle pense autre chose, elle te rembarre aussi sec, comme ci t'étais un de ces looser. Elle finit ses paroles par un sourire provoquant, probablement fière d'elle de t'avoir remis les pendules à l'heure, elle se lève et pendant un instant tu penses qu'elle va partir, te planter. Qu'elle oserait. Mais non, elle s'approche de toi, douce enchanteresse, elle te murmure des paroles à l'oreille avant de reculer d'un pas et de rire, sa main toujours sur ton épaule, tes iris se tournent vers elle alors que tu reprends Avant que tu t'imagines quoi que ce soit, les coups d'un soir c'est pas mon truc. Je voulais te proposer d'aller faire un tour. t'es presque vexé qu'elle te prenne pour un gars de cette trempe là, qui considère les femmes comme des vides ******** et comme des objets. J'pense que t'es pas comme ça aussi parce que tu as une soeur et tu voudrais pas qu'on l'utilise uniquement pour satisfaire un besoin physique. Tu te lèves à ton tour, t'approchant d'elle pour ajouter, comme elle, à son oreille Tu es peut être sublime, mais ce soir, toi et moi ne finiront pas nus dans un lit. C'est pas au programme. au moins, les choses sont claires. Le serveur arrive avec vos commandes et elle en rajoute sur ton souhait, et ça, ça te décroche un nouveau sourire, potentiellement c'était une moquerie de ta demande, mais ça n'as pas d'importance, si ? Elle le dit en plaisantant, mais c'est ce qui arriverai. parce qu'on te bouffe pas toi, toi, t'es le méchant carnassier qui bouffe némo, pas l'inverse. Elle attrape son verre, t'en fais de même alors qu'elle se tourne vers toi de nouveau A nous ? Ou mieux encore, à une soirée où nous allons rester habillé. tu fais de l'humour sans même t'en rendre compte alors que tu fais tinter ton verre contre le sien. Okay, elle te prend pour un connard de baiseur, à toi de lui prouver le contraire non ? Le diable que tu es, le roi des enfers ne va pas se démonter maintenant si ?

— Bar du Mandarin Oriental, Along Charles River, 20h05.
C'est chaud pour toi Stella. Avant d'arriver ici, tu t'es jurée de ne pas t'embarquer dans n'importe quoi. Surtout qu'Hadès a l'air tellement bizarre et spécial. Et te voilà déjà avec ta main sur son épaule, debout à ses côtés. Ton côté tactile a prit le dessus sans que tu ne puisses y faire quoi que ce soit. T'es proche de lui mais tu ne le connais pas, tu ignores tout de lui, recules-toi vite. Non, tu restes plantée là à le regarder avec des yeux ronds lorsqu'il t'assure ne pas vouloir de toi comme one night. Quoi, tu n'es pas assez bien pour lui ? Tu changes d'avis toutes les trente secondes mais tu ne laisses rien paraître sur ton visage. Tu fais l'étonné et hausses les sourcils. " M'emmener faire un tour, c'est pas un peu cliché ? Tu vas m'emmener marcher mais vu les talons que j'ai aux pieds, je ne vais pas pouvoir te suivre bien longtemps. Ou tu vas me faire faire un tour dans ta grosse voiture pour me faire visiter Boston de nuit ? Je connais la ville, j'y habite aussi. " Tu rigoles car l'idée de marcher ne t'emballe pas spécialement. Tu n'as pas le temps d'ajouter quoi que ce soit qu'Hadès se lève. Par réflexe, tu as un léger mouvement de recul et enlèves ta main de son épaule. Il était moins impressionnant assis. Il s'approche de toi et tu te figes, tu te tétanises. C'est plus facile quand c'est toi qui prends les devants, là tu subis son rapprochement, tu ne peux pas contrôler ce qu'il fait. Le rouge te monte aux joues quand il te dit que tu es jolie mais heureusement pour toi, ton teint camoufle parfaitement les rougissements. C'est l'ascenseur émotionnel en toi mais tu ne montres rien. Tu es passée par le stress, la surprise, la déception, l'amusement, le risque, la panique et te voilà presque à apprécier son timbre de voix dans ton oreille. Tu es irrécupérable Stella. " C'est tout ce que je voulais entendre. " Tu te fiches de qui là ? Tu rigoles faiblement et détournes ton attention sur le verre. C'est un bon prétexte pour changer de sujet. Hadès n'est pas croyable, il menace le serveur et en rajoute même un peu. Il aime tout contrôler, ça se voit, il fait pression sur ce pauvre serveur qui n'a rien demandé à personne. Tu prends ton verre et lui proposes de trinquer. " Je n'aurais pas dit mieux, à cette soirée Hadès, puisse-t-elle t'apporter ce que tu es venu chercher. " Tu lui lances un clin d'oeil amusé et apporte ton verre à tes lèvres. Tu bois délicatement une gorgée et le garde entre tes mains. A dire vrai, tu ignores ce qu'il est venu chercher en ta compagnie, surtout si ce n'est pas un coup d'un soir. Tu attends qu'il ait bu sa gorgée et tu le regardes du haut de ton mètre soixante. Enfin soixante douze avec tes talons. " Vu que tu n'as pas réservé de chambre pour nous ici ce soir, qu'as-tu prévu ? Maintenant que je sais que tu veux m'emmener faire un tour, je n'ai plus envie de rester assise sur ce tabouret. " Tu ne tiens pas en place comme fille, tu es toujours en train de bouger. Tu bois une nouvelle gorgée de ta vodka martini et regarde derrière toi, tu as envie d'explorer de nouveaux horizons, ça tombe bien, tu n'aimes pas les rendez-vous trop conventionnels. Et puis merde, tu n'es pas une princesse. Enfin si, une princesse qui n'en fais qu'à sa tête. T'as envie de le provoquer un peu. " Enfin ... tu le dis si ça va trop vite pour toi Hadès. " Tu rigoles légèrement. Tu apportes une dernière fois ton verre à tes lèvres et bois tout son contenu d'une seule traite. Cul sec. Tu poses délicatement le verre sur le bar et passe devant lui en le provoquant du regard. Sans l'attendre, tu t'éloignes de lui et te diriges vers la sortie. Ta démarche n'est pas spécialement rapide non plus, elle est nonchalante, tu ne veux surtout pas le semer tout de suite.

Qu'est ce que t'es entrain de foutre ? Putain, tu es un vrai emmerdeur. Tu devais te contenter d'un verre, mais non, tu veux plus. Seulement, elle comprend mal ton message, elle s'imagine que tu veux coucher avec elle, c'est pas totalement faux, elle est attirante, on va pas mentir, elle est belle, séduisante, son petit air destructeur est tout ce qui peut te plaire. Son teint matte, ses courbes, tout te plait. Tu as toujours été attiré par les belles femmes. Mais tu ne mens pas quand tu dis que tu n'es clairement pas fait pour les coups d'un soir. Ca t'arrive, en général c'est quand t'as trop bu ou bien que tu as besoin d'assouvir ton besoin de chair. Mais la plupart du temps, tu es du genre patient, sur ce point là en tout cas. Je pense que c'est parce que t'as une petite soeur et que t'aimerai que les hommes la respectent et surtout qu'elle s'offre pas comme ça, constamment, à n'importe qui, au premier venu. Mais aussi parce que tout au fond de toi t'es un gars bien. Tu le montre pas parce que tu veux pas que le monde voit ça et surtout parce que tu veux pas qu'on s'attende à du positif pour toi. Tu veux pas qu'on se fasse des espoires sur ta personne parce que quand on espère le meilleur de quelqu'un, on est déçu, toujours. Avec toi, pas de surprise, ton comportement de merde fait en sorte qu'on s'attend pas au meilleur de ta part mais plutôt au pire. Tu es toujours aussi ralleuse et a faire des réfléxions ? que tu demandes avec un sourire en coin, vu qu'elle essaye de deviner ton programme. Ca t'amuse, te fait rire. Comme ci t'allais l'emmener marcher dans une ville qu'elle connait déjà ou faire un tour du quartier en bagnole. T'es bien au dessus de ça. Alors tu te lèves, elle te lâche, instinctivement alors que t'avances vers elle dangereusement pour lui murmurer à ton tour, des paroles à l'oreille. Elle est figée, ne bouge pas quand tu parles, tu la sens presque nerveuse de cette proximité, mais tu t'en fou, tu déballes et le message est clair : pas de sexe ce soir. Du moins c'est pas dans tes idées de fin de soirée. T'es pas comme ça. Elle semble se détendre quand elle comprend le sens de tes paroles et que tu t'éloignes de nouveau. Tant mieux alors. un haussement d'épaules, au moins, les choses sont claires et limpide t'as dis ce que tu avais à dire, t'as remis l'église au milieu du village, tu ne seras pas le connard qui baise et se casse. Tu l'as d'ailleurs jamais été. Toi t'es un chieur, maniaque du contrôle, ça oui. Tu en montres la preuve alors que le serveur arrive et que tu le menace encore une fois. On peut le dire : t'adore torturer le petit personnel. Ils sont tellement chou à se battre encore et encore, pour un job de merde, que ça en devient pathétique. Ils sont pathétiques. Et tu leur démontres, par A+B les êtres minables qu'ils sont. Quand tu as ton verre à la main, tu donnes la raison de trinquer : vous, votre présence et les clarifications. Et en espérant que cette soirée soit à ton goût. après tout, elle a promis ensuite de t'apprendre l'art du sarcasme. Ca pourrait t'être utile. Jusqu'à aujourd'hui, tu manipules, tu détruis, mais tu n'as jamais compris les allusions ou les doubles sens. Tu es un terre à terre. Tu bois ta gorgée de gin tonic, ne la quittant pas des yeux, cette sublime créature. Elle te regarde, elle aussi. Elle enchaine, elle est bavarde, ça te plait. Elle veut bouger, impatiente et exigeante. Une vraie éliote. Moi j'ai une suite ici et si tu as besoin, je t'en offrirai une. mais pas la tienne, pas par manque d'envie, mais par respect, un truc que trop de gars oublie, en 2018. Tu vas le savoir bien assez tôt. T'es pas du genre patiente, je me trompe ? t'as ce sourire énigmatique sur les lèvres et elle boit de nouveau, tu fais de même et elle repose son verre, t'adresse quelques mots et se dirige vers la sortie. Un sourire amusé nait sur tes lèvres alors que tu la regarde avancer. Cette femme a du caractère. De la poigne. Et toi, ça t'amuses. Tu te lèves, termine ton verre d'une traite avant de la rattraper en quelques enjambés et lui tendre le bras en reprenant J'ai 2 idées. La première implique un vol en jet, la seconde est moins, conventionnelle. Je te laisse choisir. un minimum de détail, des descriptions rapides. C'est du hades tout craché ça. T'aimes faire durer le suspence c'est comme ça.

— Bar du Mandarin Oriental, Along Charles River, 20h05.
Ton verre ne va pas rester dans ta main bien longtemps. Tu as une idée en tête et tu comptes bien bouger d'ici pour explorer les environs et découvrir ce qu'il a prévu pour toi. Tu es une curieuse de première et il est hors de question qu'il te fasse mariner plus longtemps avec ses projets. Hadès n'est pas aussi malsain ou dangereux que Noah le prétend, c'est la première impression que tu as de lui. Sans compter celle du bal où tu lui aurais volontiers fait bouffer son noeud papillon pour sa remarque désobligeante. Tu étires ton sourire sur tes lèvres quand il te parle de sa suite au Mandarin Oriental. Tu le fixes dans les yeux, prête à lui donner son premier cours. " Attends, tu veux dire que tu as une suite à toi ici ? Avec ton nom sur la porte ? C'est vachement impressionnant, il me tarde que tu me fasses visiter ta suite. " Tu laisses deux secondes de blanc et pouffes de rire légèrement. " Ceci est du sarcasme Hadès. Tu peux considérer que ton apprentissage commence ici. " Tu te mords la lèvre inférieur, tu as envie de rire, tu sais qu'il ne comprend pas trop l'ironie ou le subtil mais c'est tellement tentant de l'ennuyer. Il est trop mignon. Oui mignon il est. Mais pas que. Tu es trop facilement cernée Stella, ça ne va pas du tout. " Non, je n'ai aucune patience. " que tu réponds en levant les yeux au ciel. Tu n'as aucune patience, pour rien ni personne. Tu aimes que tout s'enchaîne et surtout, aille dans ton sens. Du coup, tu en profites pour terminer ton verre d'une seule traite et le mettre un peu à l'épreuve. Il n'est surement pas le seul à attendre quelque chose de cette soirée. Tu es curieuse. La vodka martini te brûle légèrement la trachée mais tu ne laisses rien transparaître. Tu poses ton verre et quitte la présence d'Hadès, te dirigeant vers la sortie. Tu lui tournes le dos et affiches un sourire malicieux sur tes lèvres. Tu ne penses plus à rien, tu espères qu'il va tenir toutes ses promesses de divertissement, tu en as besoin. L'éliot te rattrape bien vite et te tend son bras. Tu es satisfaite et ça doit certainement se lire sur ton visage. Tes fins doigts glissent autour de son bras. Existe-t-il des muscles là-dessous ? Tu as envie de tâter, ça te démange mais tu n'oses pas. A la place, tu rigoles faiblement en entendant sa proposition. " Un jet ? Mon Dieu, j'ai pas voyagé en jet depuis des lustres. Ne me dis pas que t'as un jet en plus d'une suite ici ? Mais quel homme ! " Tu lèves la tête vers lui et grimace légèrement en espérant qu'il comprenne l'ironie. Tu lui souris tendrement. " C'est un vrai ultimatum que tu me lances là ... Je suis une fille curieuse donc je suis tentée de choisir la deuxième option mais la première me tente bien également. Qu'est ce que tu me conseils ? Tu as envie de t'envoler avec moi ou faire je ne sais quoi ? " Tu sais bien qu'il ne va pas te donner la réponse si facilement. Tu n'es pas folle, tu te dis que peut-être le petit tour en jet va te permettre de prolonger davantage cette soirée mais en même temps, tu as envie de connaître un peu son univers. " Ok le jet. " Tu fronces les sourcils et passes une main dans tes cheveux. " Non l'autre ... Je ne sais pas. " Finalement tu t'arrêtes devant la porte de l'hôtel et le regarde avec un énorme sourire. " Je veux les deux ! Tu me dois bien ça pour te faire pardonner de ta remarque désobligeante au bal mon cher. " Tu tentes, tu verras bien si ça marche ou pas. Tu y vas au culot Stella, tu es trop gourmande sur ce coup-là.

On peut le dire avec clairvoyance, t'es pas le genre de personne a comprendre l'ironie ou le sarcasme. Tu en fais, sans t'en rendre compte mais pour toi c'est toujours compliqué. T'es quelqu'un de terre à terre tu l'as toujours été. Ton réalisme est probablement ton pire fardeau. Si on te demandait de te définir, tu dirais, sans hésitation : je suis jeune, beau riche et lucide et ça c'est le détail qui fou tout en l'air. Alors sur le coup, quand elle commence a dire que c'est super que tu ai une suite dans cet hôtel, t'es un peu étonner, parce que c'est pas franchement le truc le plus incroyable du monde. N'importe qui peu avoir une suite ici. Alors t'arc un sourcil en l'écoutant avant qu'elle ne reprenne. Un sourire arrive sur le coin de tes lèvres Je pensais que mon apprentissage ne commençait que la prochaine fois. Je suis ravi de voir que tu as changé d'avis. mais tu notes quand même, le timbre de voix qu'elle a utilisé sa façon de parler, ce sont des indications. Pas vrai ? Mais visiblement, Stella Alves en plus d'être superbe n'est patiente en rien. Elle ne veut pas attendre pour te donner des cours, elle ne veut pas attendre une seconde de plus dans ce bar. La patiente est pourtant une alliée utile. dans la vengeance, dans la destruction, dans la haine. La patience nourrit l'être du pire. Toi, tu sais te montrer patient comme capricieux. Tu le sais, Rome ne s'est pas faites en un jour. Tu n'as pas gagné la crainte de beaucoup d'étudiant ici sans patience et manipulation. La patience est une de tes meilleurs armes. Tu patientes jusqu'au moment cruciale avant de frapper, fort. Tu es un fin observateur et calculateur là dessus tout le monde sera toujours en accord. Tu es redoutable parce que tu sais anticiper, patienter et analyser les faiblesses des autres. C'est ta plus grande force je crois même. Stella elle, ne connait pas la patience, elle est impulsive, exigeante et capricieuse. Une vraie princesse sans le titre. D'ailleurs, elle quitte le bar, elle avance et tu la rattrapes sans mal. Tu vois son sourire satisfait alors que sa main se pose sur ton bras. T'es clairement entrain de jouer avec le feu DBS. Tu vas te brûler. Cette fille est dangereuse et imprévisible. Dans le fond, t'adore ça. Cette fille est probablement une emmerdeuse qui va te faire chier et tu lui rendras probablement la pareil. Parce que toi aussi, t'es un chieur. Tu ignores complètement le fait que t'es entrain de foncer à grande vitesse dans un mur et tu lui fais 2 propositions sans détails particulier. Tu voyages en vol commercial ? elle doit pas être si riche que ça alors, si ? Tu fronces les sourciles mais à son regard, tu comprends Laisse moi deviner, c'était du sarcasme ? que tu répliques avec un nouveau sourire. Déjà t'as capter que ça en était, c'est déjà bien non ? Elle te sourit avec douceur et tu lui rends en l'écoutant ensuite tenter de choisir. C'est à toi de choisir, pas à moi. Je suis gentleman. Bon j'avoue, tu l'es un peu quand ça t'arrange, tu sais ne pas l'être quand tu n'es pas disposé à être agréable. Elle choisit une option puis l'autre, elle hésite et finalement se stoppe et ton regard se pose sur elle alors qu'un sourire resplendissant nait sur son visage angélique. Tu souris à ton tour en l'entendant Si tu vraiment les deux options, il faudra plus qu'une soirée. Je ne sais pas si Stella Alves et son temps précieux peu se le permettre. mais si elle dit oui, t'as peut être des trucs de prévu mais l'avantage du pouvoir et du téléphone c'est que tu peux te permettre de suivre tes affaires un peu partout.