Julian Wellington ► Armie Hammer.

Quand j'avais environs six ans, j'étais émerveillé par tout ce que je voyais, j'étais un petit garçon qui avais la joie de vivre, toujours heureux, toujours le sourire, par-dessus tout, ce que j'aimais le plus c'était d'aller dans le jardin, il était petit, mais il était parfait pour moi, j'adorais regardais ma mère s'occuper du jardin, je pouvais la regarder pendant des heures, de temps en temps, je voulais même l'aider, mais elle disait non à chaque fois, car elle aimait le faire elle-même, mais surtout elle ne voulais pas que je me blesse. C'est grâce à ma mère, que je suis devenu passionné de jardinage, pour certain, c'est soûlant, mais pour moi, c'est génial, c'est tellement une détente totale que nous sommes coupé du monde quand nous sommes dans le jardin, j'adore arroser les plantes, j'adore tondre la pelouse, j'adore faire des plantations pour que mon jardin soit magnifiques, tout cela, je le dois à ma chère maman que j'aime plus tout au monde, sans elle je ne serais rien du tout. Je n'ai pas de père, du moins il ne m'a pas élevé, en effet dès que je suis venu au monde, il n'avait pas voulu me prendre en charge, il avait donc préféré prendre la fuite. C'est donc ma mère, qui s'est
occupé de moi, mais elle n'était pas seule, en effet, elle avait ses trois sœurs qui était toujours présente pour nous surtout dans les mauvais moments, oui, je n'ai était élever que par des femmes, j'avoue qu'a certains moments de mon adolescence, j'avais besoin d'une présence masculine, je me suis même demandé parfois qui était vraiment mon père, je voulais des informations de la part de ma mère, mais je n'ai jamais rien dis, car j'avais peur que cela la blesse, j'ai préféré garder cela pour moi, après tout les sacrifices qu'elle à fait pour moi, c'est la moindre des choses. Ma mère, c'est mon pilier, celle que je ferais absolument tout, n'importe quoi, elle a tout fait pour que je sois heureux, que je ne manque de rien que j'ai toujours un repas chaud à table, que j'aille à la fac, parfois elle voulais baissais les bras, mais ses sœurs était là pour la soutenir, le manque de son mari pouvais la faire craquer, mais elle garder la tête haute pour moi, son fils, ma mère à une force incroyable, c'est pour moi une héroïne. 
Quand, j'avais quinze-ans, alors, que tout le monde au lycée aimais boire faire la fête, sortir entre pote pour faire les quatre cent coup, moi j'étais occupé à faire autre chose, on me prenais pour une personne bizarre, mais ce n'est pas grave, j'ai donc laissé de coté la passion pour le jardinage de coté, pour la photo, j'adorais prendre des photos, surtout la nature, ma mère trouvais cela formidable que je trouve très vite une passion une occupation, mais surtout une envie d'en faire un métier, car oui la photo est quelque chose de vraiment très important pour moi, au début c'était plus un passe-temps pour moi, mais plus le temps passais à prendre des photos plus je le voyais comme un métier d'avenir, comme professeur de photographie.
Oui, je voyais grand, mais j'étais un grand rêveur, j'ai eu raison d'y croire, car maintenant grâce au soutien de ma mère, j'en fait mon métier. Je me souviens de mon premier appareil photo à était offert par ma tante, avec qui je suis très proche, elle avait vu en moi cet adolescent adorant l'art de la photo, elle ne s'était pas trompé. 
Il y a quelques mois, j'ai appris par ma mère que mon père est mort lors d'une prise d'otages, elle m'a également annoncé qu'il avait écrit une lettre pour moi, ma mère l'a lu, mais moi je ne préfère rien savoir, après tout ce mec m'avais abandonné, je ne veux rien savoir de lui, il est mort d'atroce souffrance, c'est vraiment triste pour lui, mais pour moi, c'est un inconnu, même si un moment dans ma vie, j'ai voulu savoir qui il était. Grace à ma mère et mes tantes, j'ai eu une très belle vie, elles ont pris soin de moi, j'en serais toujours reconnaissant, elles ont toutes aidé ma mère pour que j'aille à l'université, cet amour-là n'a pas de prix celui de cet homme ne m'intéresse pas. J'ai su grandir sans lui, j'ai su devenir cet homme-là, c'est tout simplement grâce à ses femmes. Je leur en serais toujours redevable.