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BACAUSE I CARE
@ LEVI KIKI
C’est un ami. Et le bruit du bouton de verrouillage, et le son du téléphone qui glisse dans la poche de son jogging. Un ami, fin de l’histoire, t’as pas le droit d’en savoir plus. En même temps, t’es qui pour en savoir plus ? Tu te pinces la lèvre et hoches la tête, ne la quittant pas des yeux. Tu savais, rien qu’en la voyant, que c’était plus que ça. Que c’était pas qu’un ami, qu’il y avait autre chose. Et tu mettrais fort à parier que ça avait un rapport avec ses textos de l’avant-veille. C’est à cause de ce tas de merde que je t’ai fait une misère toute la journée. T’attends, tu dis rien, tu continues de la regarder, la poussant silencieusement à continuer à parler. J’devrais pas te raconter tout ça, tu t’en fous. Non, j’m’en fou pas. réponds-tu directement, sans réfléchir. Tu te souciais de Levi, tu l’aimais bien, beaucoup. Et, putain, t’aimais pas la voir dans cet état. p'tain maintenant je joues la victime, merde. Ses yeux rougis, tremblant de larmes prêtes à couler. Mais tu connais Levi, elles sortiront pas ces larmes. Parce que, justement, c’est Levi. La victime parce que tu ressent des trucs que tu devrais pas ? T’es un robot Levi ? Tu contrôles tout ? lui réponds-tu en souriant et en tournant ton buste vers elle. J’sais pas ce que ce « tas de merde » t’as fait, mais si tu veux en parler, j’suis là. Si tu veux pas, on peut retourner chercher un truc à manger ou faire un autre manège. Tu pointes la chasse aux grenouilles du doigts. Booon, on est pas obligé de faire les grenouilles. Mais j’avoue que je t’imaginais bien avec les petits pompons là-bas et danser devant le truck pour rameuter les clients ! So sexy, on adore. Tu pouffes de rire à cette idée à en laisser tomber ton front contre son épaule. Tu relèves la tête et offre à Levi un sourire attendrissant. La balle était dans son camp.
FRIMELDA

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≈ ≈ ≈
tous les temps,
à partir d’ici, sont des éternités
( @callum fraser   )
crédit/ mia couto ✰ histoire révérée


Non, j’m’en fou pas. C’est comme un électrochoc, comme une claque dans ta gueule.  Personne ne se soucie de toi, enfin c’est ce que tu crois. Tu as rangé ton téléphone, dans le fond de ta poche, la photo du délit que tu aurais dû supprimer, juste effacer, pour ne plus jamais la regarder. Rayer de ta vie, cet épisode. Rien de bon, malsain tout était malsain, aussi court qu’elle a duré. L’ex de ton frère qui rentrait dans ton cœur s’est emparé de ton organe vital pour te le remettre, d’une violence indescriptible. Tu n’étais pas prête, naïve. T’es une sombre conne, te laisser berner par ces paroliers, si doués. Mais tu ne vas pas être comme ça, tu ne seras pas de ces femmes à cirer, les hommes ne sont pas tous pareils. Tu tombes seulement que sur des glands. La victime parce que tu ressens des trucs que tu devrais pas ? T’es un robot Levi ? Tu contrôles tout ? Il se retourne vers toi, ton regard qui reste bloqué. Tu ne veux pas le regarder, lui faire comprendre que tu es touchée. Tu ne veux pas te dévoiler, toute la fragilité de ton regard larmoyant. Tu es trop sensible, trop délicate. N’importe qui pourrait te briser, t’éclater en mille morceaux. J’sais pas ce que ce « tas de merde » t’as fait, mais si tu veux en parler, j’suis là. Si tu veux pas, on peut retourner chercher un truc à manger ou faire un autre manège. Il s’intéresse à toi, à tes problèmes, les conneries qui te suivent. Celles qui te hantent. Ces ordures qui passent à travers ton esprit, si malmené. Tu ne sais pas te protéger. Tu laisses le croire, tu fais semblant, foutaises. Il dépose son front, contre ton épaule dénudée. Sa main qui relève ton visage vers le sien. Iris bleutés, épousent ses billes aux couleurs du ciel. Le blanc de tes yeux qui a viré au rouge pâle depuis de longues minutes persiste. Tes émotions qui s’intensifient, la sensation de sa peau contre la tienne, son visage d’enfant de vingt-six ans. Celui qui te fixe, celui qui t’empêche de répondre. Un instant, trop long, celui de ton temps de réaction. C’est l’ex de ma sœur, j’ai eu la bonne idée de tomber légèrement amoureuse de lui, il m’a promis que jamais il m’abandonnerait. Tu ricanes en te blottissant, toujours plus près, au plus près de lui. Inconsciemment, tu la prends, cette dose d’affection. Celle à qui tu ne dirais pas non. Il a brisé ma sœur en mille morceaux et maintenant c’est mon tour, j’suis bien trop conne hein ? Tes doigts se trifouillent entre eux, au-dessus de tes cuisses. Ma sœur me déteste, je dors toujours aussi seule et j’en ai juste plein le cul. Tu sniff. Ton nez qui coule, tes yeux tout rouges.
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BACAUSE I CARE
@ LEVI KIKI
Tu ne la quitte pas des yeux, à aucun instant. Tu veux une réaction, une putain de réaction de sa part. Tu serais même prêt à prendre une gifle si elle en avait envie, besoin, n’importe quoi ! Bon, t’aimerais autant que ça n’arrive pas, quand même. Et après le silence, les mots. C’est l’ex de ma sœur, j’ai eu la bonne idée de tomber légèrement amoureuse de lui, il m’a promis que jamais il m’abandonnerait. Arf, une histoire de cœur donc. Et merde, t’étais pas le meilleur placé pour consoler les peines de cœur. Déjà, t’ignorais c’que c’était et puis t’étais loin d’avoir bac + 10 en amour. Mais tu continues de lui prêter ton oreille, et ton épaule contre laquelle elle semble se blottir un peu plus. Si ça pouvait lui faire du bien, putain, prends tout. Tu passes ton bras derrière ses épaules, contre le rebord du banc. Il a brisé ma sœur en mille morceaux et maintenant c’est mon tour, j’suis bien trop conne hein ? Tu la regarde, encore et toujours. Ses yeux rougis, son petit nez qui renifle, ses lèvres qu’elle humecte du bout de sa langue. Elle est belle, même dans la tristesse. Si elle était conne ? Putain, mais non. Ma sœur me déteste, je dors toujours aussi seule et j’en ai juste plein le cul. Tu laisses ton regard dérives sur ses petits doigts qui se trifouillent entre eux. Tu poses ta main dessus, bloquant les mouvements nerveux de Levi. Te traite pas de conne Levi, s’te plait. T’es loin de l’être, j’t’assure. Cliché comme remontage de moral. Ecoute. Tu t’humectes les lèvres à ton tour et te tourne un peu plus vers elle, retirant ton bras de derrière ses épaules pour poser ta deuxième main sur les siennes, jointes. Ce gars, c’mec, c’est le troufion de l’histoire. Te reproche pas d’être tombée amoureuse d’un type qui en valait pas le coup. C’est la vie, c’est comme ça. Au contraire, oublie et avance. Okééé, c’est plus facile à dire qu’à faire, mais c’est vrai non ? Où elle en était encore amourachée ? Et là, putain, t’espérais pas pour elle. Tu comprenais pas comment on pouvait encore aimer une personne qui aurait pris, joué et piétiné le cœur d’un autre. Et elle te déteste pourquoi ta sœur ? Parce que c’était son ex ? Pour le code d’honneur des sœurs comme les bff là genre « on touche pas aux exs ? » ?
FRIMELDA

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