Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHarlin - Sometimes being a bitch is all a woman's got to hold on to.
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Harlin - Sometimes being a bitch is all a woman's got to hold on to.

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Sometimes being a bitch is all a woman's got to hold on to
— with @Franklin Z. De Spoelberch  




Depuis les Hamptons ça m’avait hantée. Savoir si Zeph pouvait à ce point être un batard. J'étais loin d’être idiote avec un quotient intellectuel proche du génie, mais dans cette situation, un idiot aurait remarqué qu’il se tramait un truc entre ma cousine et mon meilleur ami. J’avais pensé à une querelle, mais pour que Franklin ne me dise pas de quoi il s’agissait, je pouvais être certaine d'avoir compris. D’autant plus que cet idiot ne savait pas mentir. Ou alors je le connaissais depuis si longtemps que je savait décoder ses mimiques de menteur. A vrai dire, j’avais moi-même menti à Hope par messages en lui disant que mon meilleur ami m’avait tout révélé avant qu'elle ne le fasse pour eux deux. Mon coeur lourd s’effondrait alors sur lui même comme un trou noir. Je me sentais trahie de tous les côtés. De tout ce qu’il avait pu me faire, c’était le pire. J’avais tant encaissé ces derniers jours avec sa nouvelle poufiasse de fiancée de Mather, Rose était vite oubliée ... J’avais bloqué Hope et le soir même, je me saoulais, pleurant dans les bras de Vee qui était venue me réconforter à coups de glaces, de cocktails et de Dirty Dancing. A dire que je me moquais de ces filles là … Mais ma cousine … Ma putain de cousine Hope qui avait le don d’écarter les cuisses avec les mauvaises personnes. Je la détestais tellement. Quelle pute ! Elle savait ce qu’il représentait pour moi ! Et lui savait qu’il ne me restait plus de famille à part elle … Il me l’a arrachée ! Le lendemain matin, je me réveillais, toujours une boule dans la gorge. J’avais encore une demie gueule de bois de la veille et avais une forte envie de rendre une petite visite à mon meilleur ami. Mais il allait le regretter. Je filais sous la douche avant d’enfiler une petite robe sexy mais toujours digne de mon rang supérieur pour aller chez lui. J’observais mon reflet dans le grand miroir de mon hall d’entrée, me mettait un rouge à lèvre couleur sanguinaire avant de détacher mon chignon, ma chevelure brune tombant alors en cascade le long de mes épaules. J’étais fin prête pour aller le trucider. J’entrais dans ma Mercedes et ordonnait au chauffeur de me conduire chez monsieur de Spoelberch. Une fois arrivée, je sonnais et quel bonheur de voir son père m’ouvrir. Il me connaissait depuis toute jeune et avec la chance que j’avais, savait que j’étais la personne ayant signé pour sa libération. « Monsieur de Spoelberch ! Quel plaisir de vous revoir après tant de temps ! Je suis vraiment ravie que vous soyez resté chez Franklin, c’est un jeune homme qui a fort besoin de recadrage de temps en temps … » disais-je avec de grands sourires et assez fort pour que le principal concerné m’ait entendu et descende me saluer comme il se doit. En attendant, son père me faisait entrer, m’invitant à prendre un café avec lui dans leur salon le temps que Junior descende. Assise, je faisais exprès de croiser les jambes de sorte à ce que Senior remarque à quel point j’étais bien foutue. Franklin voulait jouer à ce jeu là ? Il allait être servit ! Il descendait et j’en profitais alors pour tâter les muscles de son père sous son nez, écarquillant les yeux. « Mais dites-moi ? Vous vous entretenez ! Je me disais aussi que vous étiez en forme … » J’en jouais énormément, bougeant mes cheveux, battant des cils et tout le tralala. Franklin n’avait pas l’air content ? Tant mieux. Je le toisais de cet air de véritable garce qu’il avait visiblement du oublier. « Bonjour Franklin ! On a mal dormi cette nuit ? » riais-je aux éclats avec son père, continuant de le fixer.


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— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Une seconde d’inattention. Voilà. Je dépose le coton sur ma peau. Zeus ne m’a pas raté. Enfoiré. Mais je reste poli. J’aurais pu dire autre chose. Je soupire doucement. Je grimace. Les cours comme ça. Ce n’est pas pour moi non. Alors je quitte ma salle de bain. Entendre du bruit. C’est bien bizarre. Personne ne me rend visite. Parce que mon père est là. Et donc c’est bien dangereux. Je fronce les sourcils. J’enfile un bas. Mais rien en haut. Je n’ai pas envie de faire des efforts. Et je soupire. Alex, il me faut de la glace ! Lâches-je pour mon père. Parce que je ne voulais plus l’appeler papa. Surtout pas depuis qu’il m’avait frappé. Je décide passer par la case cuisine. Glace dans les mains pour la déposer sur ma joue. Une seconde d’inattention. Je n’en revenais pas. Je soupire fortement. Je prends sur moi. Je vois finalement Harper. Qu’est qu’elle foutait là ? Et en plus. Elle s’attaque à mon père. Il est certes divorcé grâce à moi mais c’est pas pour ça qu’il doit passer ton lit Kenny. Vire tes mains de mon père. Je suis froid. Et dangereusement jaloux aussi. Mais ce n’est qu’un détail. Je serre même les dents. Je dépose le sac de glace. Mon père se lève pour essayer de me toucher mais je sursaute légèrement. Je refusais qu’il me touche. Je refusais ses câlins. Je refusais ses embrassades. Parce qu’il m’avait touché. Il m’avait frappé. Et j’ai bien failli y rester. Casse toi ! Maintenant je suis énervé. Et il a comprit. Je serre les dents légèrement. Je pince mes lèvres. Je pense que tu t’es trompé d’appartement. L’appartement de ton mec est dans les quartiers pourris de la ville. T’as rien à faire ici. Alors dégage ou c’est Franck qui va te jeter dehors. Franck cet homme qui a réussi à virer mon père en un seul coup de pied. Quel homme. J’en étais presque jaloux. Mais j’étais sérieux avec elle. Je dépose la glace aussi sur mon épaule. Parce que j’avais mal. Il ne m’avait pas loupé. Mais Camila venait de le tromper. Alors j’avais accepté ce cours rapide. Tellement rapide. Il m’avait mis à terre en deux secondes. Je soupire pour la fixer. Je n’avais aucune envie de passer du temps avec elle. Pas après le bal non.


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Je l’entends arriver, parler en néerlandais. Je comprends chaque mot, ayant passé beaucoup de moments au palais depuis l’enfance avec eux. Je ne suis pas étonnée qu’il appelle son père par son prénom. Depuis les récents événements en tout cas. Mais je ne me laisse pas distraire par de la compassion, sentiments de faible et continue d’en jouer exprès devant lui. Avec moi, son père n’a jamais été vindicatif, et il m’a toujours adorée. Et ça, mon meilleur ami le sait. Sans doute la raison de son regard noir et inquiétant au moment où il m’aperçoit en train de tâter le bras musclé de son paternel, bras qui aurait pu porter un coup fatal à l’encontre de la personne que j’aime. Mais à l’amour comme à la guerre, tous les coups sont permis. Continuant de sourire, j’écarquille les yeux, jetant un coup d’oeil à son père, semblant d’être choquée par ses propos si crus, mais un peu choquée quand même. « Mais voyons Franklin ! Nous ne faisons que discuter ! » Je glisse un petit rire cristallin en coeur avec son père que je fais toujours rire. Ca l’énerve et je le sais. J’ai tellement la haine que sa souffrance est ma seule amie aujourd’hui. Ohh ce qu’il a l’air énervé comme ça que je me permets même d’effleurer la cuisse de son père du bout des doigts en retirant ma main de son bras. Tu le vois, hein que moi aussi je peux m’y mettre quand je veux ? Ca fait mal, hein de savoir que je pourrais me faire baiser par ton père Zeph. Parce que tu sais que j’en serais capable rien que pour te montrer à quel point je te déteste d’avoir baisé ma cousine putain ! Mais je garde mes pensées pour moi, pour le moment. Il demande à son père de se casser. Je suis un peu surprise, mais reste attentive alors qu’il s’adresse à moi. Je me lève d’un bond. « Franck ? » Je me mets alors à lui rire au nez en pointant du doigt Franck. « Franck ne me touchera pas, pas vrai Franck ? » J’avance violemment vers Zeph et le prend par le bras pour le tirer jusqu’à sa chambre dont je claque la porte une fois à l’intérieur. « Chez Alejandro ? Mais je devrais dire la même chose de toi ! » commençais-je en heurtant le bout de mon index sur son torse. « Je sais pas … aller chez … HOPE PAR EXEMPLE ? » finissais-je énervée. « OUI JE SUIS AU COURANT, ELLE A TOUT AVOUE ! » criais-je alors. « Alors finalement ... Que ton père me baise .. Ca serait de bonne guerre tu crois pas ? » lui murmurais-je avec un petit sourire sarcastique avant de sortir de la pièce énervée, mais bien déterminée à aller draguer son père, jusqu’à l’inviter à diner le soir même.


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La pute. Ouais parce que là j’étais vraiment énervé contre elle. Elle se jouait de mon père. Elle s’éclatait totalement dans son rôle. Je soupire fortement. Elle fait la petite fille parfaite. Elle fait vraiment la salope. Je rêve. Je pince mes lèvres. Je dépose la glace sur le meuble. Je ne suis pas d’humeur. Et encore pour ses conneries. Je soupire. Discuter avec sa main qui le caresse, te fout pas de ma gueule Kennedy ! Je lâche. Mais elle me prend le bras. Je soupire. Je décide de jouer la véritable carte. J’ajoute. Franck te mettra à la porte si tu es un danger pour moi. Et crois moi qu’il le fera. Et il baisse la tête ce con. Parce qu’il sait que j’ai raison. Parce qu’il sait que tout est vrai. Je me fais embarquer dans ma chambre. Je fronce les sourcils. Je l’écoute. Mais bras se croisent. Je deviens maitre de mon silence. Je soupire fortement.   Bah écoute. Va te faire baiser par mon père. Et prends bien ton pied. Ca serait con qu’il ne te fasse par jouir. Sauf qu’elle a fermé la porte. Je serre une seconde les poings. Je prends sur moi. Je ne veux pas descendre. Alors je m’installe sur ce lit. Je soupire. Je passe ma main dans mes cheveux. Je viens à regretter mes paroles. Mais elles sont sorties. Je soupire doucement. Mon regard sur elle. Sur cette porte qui ne s’ouvre pas. Je décide de me lever. Je décide de marcher vers ma fenêtre qui s’ouvre sur le petit balcon. J’ai besoin de froid. Et j’allume ma cigarette. J’ai l’impression d’avoir merdé. Encore. Et c’est effectivement le cas.


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Il ose devant son père, je dois dire que je ne m’attendais pas à ça, mais ne montre aucunement ma gêne, au contraire, je souris de plus belle à son père qui vient de se faire virer par Zeph. Je regarde mon ex-meilleur ami. « Bah dis-moi Zeph, t’as pas peur des coups avec toutes les conneries que tu nous sors ? » Je suis horrible. Mais il le sait, il me connait. Mon vrai visage lorsque je ne suis pas la faible Harper face à lui. Celle qui est folle amoureuse de lui. Je le déteste alors je deviens le diable en personne, il a soulevé un colère qu’il ne soupçonnait pas. « Franck. Ne me. Touchera pas. » dis-je froidement à l’intention de Franck que je ne regarde même pas. Je toise Zeph du regard avant de l’amener à sa chambre pour lui faire comprendre à quel point je suis horrifiée de ce qu’il a pu faire. Je lui balance tout. Que je suis au courant pour lui et ma cousine. Mais il ne répond pas, et se terre dans ce silence insoutenable. Je suis en train de rêver. Non pire, je deviens complètement folle. N’a t-il donc aucun remords ? J’ai tellement envie de le briser à cet instant alors que je me retrouve en face de lui. Je le colle dos à la porte de sa chambre alors qu’elle est encore sombre, il n’a pas eu le temps d’ouvrir les rideaux avec le vacarme qu’il y avait en bas. Je me colle sensuellement à son corps, mon bassin contre le sien. Dans cette robe moulante faite pour faire des ravages. Je touche son torse du bout des doigts, délicatement, remuant ma chevelure en arrière avec un petit sourire en coin avant de m’approcher de ses lèvres. Je les effleure, puis dévie ma trajectoire au creux de son oreille. Il est coincé. Je murmure. « J'ai tellement hâte de savoir ce dont ton père est capable de me faire ... Je m'imagine déjà crier son prénom. A mon retour dans ta chambre, je te ferai une petite comparaison, si tu veux … » Je décolle ma poitrine de son torse pour mieux l’observer, lui adresse un petit clin d’oeil, puis le mets gentiment sur le côté afin de sortir de sa chambre. J’ai envie de passer un peu de temps avec le paternel …


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Et dire qu’en bas ça craint. Je regarde Harper. Et mon père s’arrête. Parce qu’il a entendu les paroles de cette . Je commence à soupirer. Je rigole finalement. Waouh. T’es rendu à insulter l’homme que tu chauffais ? Je rêve. T’es rendu bien bas à devoir insulter les coups de mon père, c’est comme si je m’attaquais à tes parents Harper. Tu veux qu’on joue vraiment à ce jeu-là ? Je vais m’éclater et on va être morts de rire. A moins que ce ne soit ton père qui soit mort. Je sens la colère montée. Elle est en train de me faire chier. Mais je sens Franck se redresser. Et voilà qu’elle en est si sure Il a bien frappé mon père. Pourquoi il ne te toucherait pas ? Sérieusement. Il est payé pour me protéger et pour éviter que les gens me fassent chier. Manque de bol, t’es en train de le faire. Ça serait con que le garde du corps de mon meilleur ami mette ma meilleure amie dehors non ? Je suis incapable de me retenir. Mais voilà en colère. Et mes mots ne sont pas minimes. Je pince mes lèvres. Je me retrouve contre la porte. Je la regarde. Elle me coince. Je l’écoute. Je soupire. Et quand elle s’éloigne. Je la prends pour la mettre contre la porte. Sauf que moi. C’est un regard noir et froid dans mes yeux. Ecoute moi bien Kennedy. Je n’en ai rien à foutre de ce que tu vas faire à mon père. Compare-le à-moi si tu veux, la seule chose que je sais, et bien sait que tu as pris ton pied avec moi bien plus qu’avec la moitié des mecs dans ta vie. Tu veux te faire baiser par mon père, mais fais-le, il donne des coups je pense quand il couche avec les petites innocentes pestes comme toi. Tu devrais faire gaffe. Franck ne te protégera pas d’ailleurs de ça. Et finalement tu te recules d’elle. Maintenant vas’y, j’ai hâte de t’entendre hurler son prénom. Maintenant tu permets j’ai ta cousine à m’occuper. Je la fixe. Je suis énervé. Mais c’est sorti. Je n’ai pas réfléchi. Et vu la colère que j’ai. J’aurais pu être beaucoup plus méchant que ça. Je soupire même.


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Il ose me parler de mon père pour se venger. C’est de bonne guerre alors j’intériorise cette colère. Ce n’est pas le moment de flancher. Je le toise d’un regard foudroyant, tout en restant très calme. « Attention Zeph. Je ne peux peut-être pas te frapper, mais ton père si … » Ouais, j’ose aussi. J’esquisse un petit sourire de convenance, un sourire malsain. « Parce que s’il ose me toucher, je lui envoie quelqu’un à ses trousses. Je suis issue d’une famille de politiciens, Zeph, ne l’oublie pas. Et une Kennedy maltraitée, je te dis même pas les dégâts pour lui … » Je me retourne doucement vers Franck pour voir s’il a bien compris le message, lui adressant un petit clin d’oeil arrogant. Mais bien-sûr qu’il a compris. Un nounours le Franck. Mais je ne tarde pas à le prendre par la peau des fesses jusque sa chambre pour lui expliquer la véritable raison de ma visite. Ma colère se déploie. Je lui fais clairement comprendre qu’il n’aurait jamais du la toucher. Pas elle. N’importe laquelle de ses putes, mais pas elle. Je le bloque contre la porte, et sensuelle comme je peux l’être, je lui fais comprendre que personne sur cette terre ne peut me résister, même pas son lâche de père. Je me retire, mais il me plaque à mon tour contre cette porte, assez violemment pour me laisser lâcher un léger gémissement. Je le regarde droit dans les yeux, attentive. Je dois admettre qu’il est sexy quand il s’énerve, mais ce n’est pas le moment de flancher, et de toute manière, je ne peux pas. « Qu’il m’étrangle si il veut, je prendrai probablement encore plus vite mon pied. Un peu de violence pendant l'amour peut faire plus de bien que de mal ... Et évite de parler de tes exploits avec moi, Alejandro est au dessus de toi dans cette matière. » Je suis horrible, et j’assume. Il m’a blessée, je vais le meurtrir. Je suis glaciale à mes mots, impassible, sans états d’âme. « Je te permets. En espérant pour elle que tu soies meilleur avec elle que tu ne l’as été avec moi … »
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Et voilà. Nous en sommes là. Détruit par les paroles de chacun. Je la fixe. Elle parle de mon père. Elle parle des coups. Je baisse la tête. Très bien. Je ne dis rien. Parce que je sais que si je l’ouvre. C’est mon père qui va me frapper. Alors je ne dis rien. Mais j’ai envie de la tuer. Je sens le regard de mon père. Je me tais. Et finalement. Je souris. Franck la touchera. Franck la mettra à terre. Et je m’avance vers lui. Qu’est qu’il en a à foutre ? Il est payé pour me protéger moi et seulement moi. C’est-à-dire que si tu oses le faire, il te foutra à la porte, toi et ta petite vie pourrie de Kennedy qui n’ont rien à faire sur le plancher de mon appartement. En sachant qu’il adore virer les gens de mon appartement, tu ne seras pas la première et tu seras pas la dernière Kenny. Le petit surnom bien articulé. Je la regarde. Je souris. Je suis fier.  Mais me voilà dans ma chambre. Elle me parle contre ma porte. Je la regarde. Je la fixe du regard. Je soupire. Je dois juste éviter de penser à elle. Sauf que c’est impossible. Je serre les dents. Je la retourne. Je la fixe. Ton petit ami ne m’arrive pas à la cheville. Tu l’as déjà trompé deux fois, tu peux très bien le refaire et avec moi. Quoi que tu es décidé à coucher avec mon père. Alors va t’éclater, j’ai hate de t’entendre hurler son prénom. Je pense même que je vais venir avec toi, je vais pouvoir te filmer. « La future présidente des Etats Unis prend son pied le père de son ex meilleur ami alors qu’elle est en couple » J’imagine déjà les gros titres. Je la regarde et j’entame de discuter de sa cousine. Elle est remontée. Elle est énervée. Et moi aussi. Et puis elle est excitante comme ça. Elle me donne presque envie. Je rêve. Comment est-ce qu’elle fait. Je décide d’ouvrir ma porte. Je lui montre le chemin. Je suis gentil. Tu descends les escaliers, porte à gauche, frappe quand même avant de rentrer, je crois qu’il serait capable de se toucher en pensant à toi. C’est extrêmement sale. Je le sais. Mais elle m’a énervé. Alors je soupire. Je la fixe. Si elle le fait. Je crois que c’est terminé. Mais je ne peux pas masquer ce qu’elle me fait. Je préfère lui laisser le choix. Soit elle sort. Soit elle reste. Mais je veux qu’elle reste avec moi.


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Je l’observe me parler de son preux chevalier avec un petit sourire malicieux en coin. « Ah ouais ? Tu veux parier ? » Je m’approche alors de Zeph pour le tirer par le bras en direction de sa chambre. Franck n’a pas bougé d’un iota. Je le plaque contre cette porte. Mettant mes attributs au service de la vengeance. Parce que j’ai mal. Il m’a pris ma cousine. Il l’a baisée et je suis dégoutée. Alors je colle mon bassin contre le sien et laisse mon parfum le hanter alors que je lui murmure à l’oreille ce que je compte faire pour réparer cette injustice. Parce que je le déteste tellement en ce moment. Je le hais de toutes mes entrailles et je serai prête à tout pour qu’il ressente ce que je ressens là en ce moment. Ma poitrine se décolle de son torse alors qu’il me plaque à son tour contre le mur. Mon coeur bat la chamade de violence, de haine et d’autre chose. Je le fusille du regard, la respiration se faisant entendre dans le silence de sa chambre. La tension. J’ai envie de lui de colère, mais ne ferai rien. C’est pire. Je souris faiblement à ses paroles. « Une fois. Et oui, je pourrais bien le refaire là … tout de suite avec toi … » commençais-je en le ramenant doucement vers moi pour l’exciter. Venant murmurer à nouveau à son oreille d’une voix extrêmement sensuelle, ma main parcourant son torse nu, descendant jusqu’à son membre que je pris entre mes mains. « Tu aimerais, hein qu’on le fasse là tout de suite ? … » Puis je me décale violemment. « Sauf que tu ne me toucheras plus jamais. » Parce qu’il a touché à l’autre Kennedy et ça me tue. Il m’ouvre la porte, m’indiquant la chambre du dit paternel. J’ai envie de partir d’ici en fait. Mais je claque la porte de sa chambre à la place, restant finalement dans cette chambre, toujours face à la porte. Je colle mon front contre elle, essayant de me calmer mais impossible, je ne cesse de me repasser des images que je n’ai pas envie de voir. Je me retourne vers lui, collant cette fois mon dos à cette porte. Je l’observe cette fois-ci avec un regard empreint de pitié et de mépris, mais aussi de tristesse profonde. « Comment t’as pu … » demande-je la voix mi brisée mi meurtrie. Je le déteste tellement …
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Mais pourtant. Sincèrement. Je ne parierais jamais. Parce que je sais comment est Franck. Et tant que je n’hurle pas. Il ne bougera pas. Allez expliquer cela à l’hystérique. Cela risque d’être compliqué. Mais je soupire. Je pince mes lèvres. Je me retrouve face à elle. Et voilà qu’elle essaye de faire ce numéro de charme. Je soupire doucement. Je viens caresser sa joue. Je sais qu’elle adore ça. Et le pire c’est le réveil. Quand je lui embrasse la nuque légèrement. Je la sens à chaque fois frissonner. Je joue comme elle le fait. Sauf qu’elle va plus vite. Sa main au mauvais endroit. Si je veux me faire une pute, j’irais aux putes et je ne t’appellerai pas. Je dois être dur. Mais voilà. Elle ouvre la porte. Je la regarde. Elle va s’en aller. Mes yeux se baissent. Et le porte se claque. Je relève la tête pour la voir. Elle est encore là. Alors je m’avance vers elle. Lentement. Je pince mes lèvres. Mes mains caressent ses bras lentement. Je viens embrasser cet endroit. Cette nuque. Une seule fois. Je suis désolé … Ma tête se colle à la sienne. Je suis désolé. Je suis un monstre. Je n’ai pas réfléchi … Je viens descendre mes mains. J’ai besoin de son toucher finalement. J’ai besoin qu’elle me touche. Je venais de te perdre Kenny … Alors que je ne voulais que toi … Toi et toi seule. Je viens fermer les yeux lentement. Elle va me repousser. Je suis trop proche. Je vais me faire gifler. Je vais me faire tuer. Mais je veux l’avoir avec moi.


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