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across borders { maxence.

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Il est là face à toi à tenter de te retenir, parce que si il y a encore quelques minutes c'est toi qui faisait tout ton possible pour qu'il reste à tes côtés les rôles s'étaient inversé. Il t'empêchait de prendre la fuite et de lui faire ces adieux. T'étais juste perdue parce que tu savais pas trop ce qu'il attendait de tout ça, puis en général tu finissais toujours par faire souffrir les gens autours de toi. Alors là, ouais une part de toi craignait de lui faire du mal même sans le vouloir, alors que l'autre voulait qu'il continu à te protéger et à prendre soin de toi. « Tu n'as pas à porter ce fardeaux, Maxence. Tu as déjà ton propre combat. » C'est vrai, il avait tout fait pour que tu t'éloignes pour que tu comprennes qu'il ne voulait pas t'imposer sa maladie. Tu l'avais vue dans cette même pièce préféré te faire ces adieux plus tôt que de rester près de toi. Alors tu le regardes dans les yeux, tu viens glisser ta main sur sa joue et c'est déconcertant parce que tu devrais vraiment passer la porte là et le laisser travailler. Parce que tu voudrais pas passer cette limite qui serait impossible à oublier par la suite. Cette flamme que tu vois jaïr dans ces yeux, ce regard qu'il pose sur toi. Cette nouvelle proximité te laisse tout d'un coup cloué sur place, tu n'oses pas faire un geste. Toi qui pourtant voulait le tenir à une certaine distance et pouvoir enfin le protéger, tu te laissais soudainement emporté par la magie du moment. Ses lèvres qui se posèrent sur les tiennes avec tendresse. Ta main glissa dans sa nuque alors que sa langue rejoignait la tienne pour une valse langoureuse. Tu caressais sa peau de ta main libre, alors que tu n'avais plus envie de t'en aller ni même qu'il te lâche. Tout ce que tu voulais c'était vivre le moment présent, juste savourer cet instant où tu le retrouvais et te sentait en sécurité. Son corps qui fait pression contre le tien, tu en veux plus tellement plus. Tu finis par quitter ses lèvres pour le regarder droit dans les yeux à bout de souffle et amusée. « Et vos patients docteur Atwoodth ? »
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ACROSS BORDERS.
Les rôles s'étaient inversés en l'espace de quelques minutes. Tu as réalise au moment où elle t'a adresse un baiser sur la joue ainsi que posé sa main sur la poignée de la porte ... que tu ne désirais pas la perdre. L'envie qu'elle reste près de toi et bien trop forte. Ta tête te dirait de lui dire adieu mais, ton cœur te dit l'inverse. Finalement, ce que ton cœur pense à pris le dessus sur ta tête. Tu l'as bloque entre ton corps et le mur. Tes mains caresse ses joues tout en lui adressant un regard plein de tendresse. Tu te contentes de la regarder quelques minutes dans les yeux avant de lui dire que tu serais prêt à tout surmonter pour elle. « J'ai les épaules assez grandes pour affronter deux combats en même temps ... » Il est clairement impossible de te faire changer d'avis. Tu es un homme assez têtu, voir même tenace. Quand tu as une idée en tête, on ne peut pas te l'enlever. Ce n'est pas Soledad qui y arrivera. À l'instant précis, il y a un patient qui attend que tu lui prodiges les meilleurs soins possible. Pourtant, tes pieds restent cloués au sol devant Soledad. Tu es comme paralysé devant elle, impossible de faire un pas en dehors de cette pièce qui vous rapprochent étrangement. Tu étais à deux doigts de sortir de cette pièce pour aller consulter le patient qui t'attend mais, tes lèvres viennent à se retrouver sur la jeune femme. Ta main qui était encore sur le visage de Soledad vient à se retrouver sur sa hanche pour aider la jeune femme à se coller davantage contre ton corps. Ta langue vient à faire une danse langoureuse avec celle de la demoiselle. Sur le moment, tu ne sais pas ce qu'il t'a pris de faire une action comme celle-ci. Mais, l'envie était bien trop forte. Ton regard se repose sur celui de Soledad dès l'instant où elle rompt le baiser pour déposer son front contre le tien. « Je peux refiler les dossiers à d'autres internes. Je n'ai pas la tête à travailler aujourd'hui Fitzgerald. »

@Soledad Fitzgerald
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Tu le vois dans ces yeux, il veut te potéger et veiller sur toi, seulement quoi qu'il fasse, ta vie est perpétuellement en danger. Alors, bien que tu tentes de lui dire que c'est mieux qu'il se concentre sur lui comme il avait l'intention de le faire, il ne semble pas décider à changer d'avis. Tu le regardes alors que tu sais que finalement, tu ne peux pas toujours empêcher les gens de prendre soin de toi. Il faut que t'arrive à baisser les armes, Maxence t'as tellement souvent sauvé la vie que tu te vois pas lui refuser ça, quand t'as toi aussi envie de le soutenir. « Très bien, comme tu voudras, mais crois moi ça sera pas facile. » Parce que même si il ignorait tout de ce que tu faisais, tu te doutais bien que te voire à de nombreuses reprises débarqué dans un piteuse état, il devait avoir ses hypothèses sur la question. Tu admirais d'ailleurs qu'il n'est jamais posé de questions, qu'il est toujours prit soin de toi avec tendresse. C'est sans doute pour cette raison que lorsqu'il se mit à t'embrasser, tu ne fus pas surprise. C'était comme la continuité logique de cette intimité qui c'était doucement installé entre vous. Oui, tu le prolongeais et finissais par l'attirer contre toi, parce que ça fait longtemps que ça aurait dû se produire. Seulement là, t'étais dans un moment de faiblesse et tu le laissais entrer et tu rendais les choses plus intense. Tes mains glissant sur son corps, tu le désirais maintenant alors qu'il allait sûrement devoir filer retrouvé ces patients. Quand vos lèvres se séparèrent, t'étais à bout de souffle encore sous le coup de l'émotion. Tu souriais alors qu'il semblait vouloir rester avec toi et tu savais pas si c'était une bonne idée bien que tu n'es pas très envie de partir. « Oh.. Alors j'imagine que tu as d'autre plan pour la journée ? Même si je m'en voudrais de priver tes patients de ta présence. »
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ACROSS BORDERS.
Même si tu ne peux pas sauver ta propre vie, cela ne t'empêche pas de vouloir sauver celle de Soledad. C'est devenu un besoin vital pour toi. Tu ne peux pas lui sauver la vie à plusieurs reprises pour finalement l'a laissé tomber. Même si au départ tu avais l'intention de disparaître de sa vie en cause de ta maladie. Tu as repris tes esprits dès l'instant ou ton regard s'est posé sur elle. « Je n'ai pas peur Soledad. J'ai déjà vécu mon quota de danger dans ma vie. Je ne suis plus à ça près. » avoues-tu sans froncer un sourcil. Tu as déjà dealer de la drogue, tu as déjà eue affaire à ton patron en retour parce que tu n'avais pas rendu la drogue quand tu as voulu tout arrêter. Tu t'es fait tabassé à mort pendant le spring break ... Tu as vu mourir ton petit frère dans tes bras parce qu'il avait reçu une balle qui ne lui était pas adressée. Tu as ton quota de décevoir de la vie. C'est peut-être pour cela, que tu as besoin d'adrénaline dans ta vie. Tu ne cesses de foncer tête baissée sans penser aux conséquences derrière. Par ailleurs, tu ne lui as posé aucune question à Soledad depuis le temps que tu la soignes. Tu n'as pas forcément le droit pour le faire. Toutefois, tu te permets de l'embrasser parce que ça faisait longtemps que tu désirais le faire. C'est un peu la suite logique de votre relation. Tu viens à coller ton corps contre le sien, tu poses tes mains sur ses hanches pour la sentir encore plus proche de toi. Vous venez à rompre le baiser à bout de souffle tous les deux. Tu poses ton front contre le sien tout en sentant sa respiration caressait ta peau. Une sensation qui te plait au fond de toi. Tu as dû mal à quitter cette pièce alors, que tu sais parfaitement qu'il y a des patients qui t'attendent depuis une demi-heure déjà. Même ton supérieur doit attendre que tu arrives devant lui. Mais, te laisser désirer te fait plaisir mine de rien. « J'en ai un tas qui me traverse l'esprit en ce moment même. Mes patients peuvent très bien se passer de moi. C'est ce qu'ils font depuis presque une semaine et demie. » rétorques-tu en venant déposer une nouvelle fois tes lèvres contre les siennes tendrement.

@Soledad Fitzgerald
désolée d'avoir mis du temps à te répondre across borders { maxence. - Page 2 927261665 je me rattraperai across borders { maxence. - Page 2 2511619667
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Est-ce que c'est ce qui attirait les gens vers toi, tout ce danger qui émanait de toi. Cette chose que tu faisais ressentir qui leur donnait l'impression d'être vivant. Parce que toi, tu pensais clairement que c'était la pire des choses qui soient de s'attacher à toi et que sans doute qu'il finirait par se rendre compte de la terrible erreur qu'il est en train de commettre à présent. Pourtant, tu n'avais plus tellement la force de te battre à se sujet, ça te semblait perdu d'avance de toute manière alors tu te contentais de lui sourire quand il faisait allusion à tout les danger qu'il avait déjà traversé. Puis les choses s'étaient enchaîner sans que tu ne t'en rende compte. Te laissant aller contre lui, tu venais répondre à ses lèvres, dans un baiser passionné tandis que ces patients devraient attendre encore un peu. Ce baiser t'y avait songé à de nombreuses reprises tout en t'interdisant de le faire comme pour éviter qu'il ne soit d'avantage lié à toi, mais maintenant tu te laissais doucement entraîner contre son corps tes deux mains posé contre son torse. Finalement, le baiser avait prit fin et tu pouvais reprendre doucement reprendre tes esprits et le regarder tout en te disant qu'il avait sûrement des patients en colère qui devait attendre depuis une trentaine de minutes leurs médecins. Ces paroles te firent sourire tandis que tu lui rendais son baiser, une main sur sa joue. Doucement, l'annonce de l'hôpital demandait Maxence et tu le regardais en grimaçant. « Tu devrais y aller, je t'assure que je ne vais pas disparaître. » Parce que tu pouvais pas non plus débouler comme ça et bouleversé ces plans de la journée, puis à la base tu ne t'étais pas attendue à ce que cette conversation prenne cette tournure là. Alors tu venais l'embrasser une dernière fois. « Tu dois faire ce que tu sais faire de mieux, sauver des gens Maxence. »
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Ce n'est pas le danger qui émane de toi qui m'attire vers ta personne. Au contraire. C'est ta personnalité, ta façon d'agir de te comporter qui me plait chez toi. Niveau danger, j'ai déjà ma dose dans ma vie pour en rajouter une couche. Je lui avoue clairement que j'ai déjà eu la dose de danger dans ma vie avant même de la connaître. Puis tout s'est très vite enchaîné entre nous. Je l'ai embrassé alors, que tu t'apprêtais de partir et me laisser seul dans cette pièce. Je n'arrive pas à m'imaginer ma vie sans toi même si au début notre rencontre n'a pas été toute rose. J'ai toujours rêvé de t'embrasser tu sais. Ce n'est pas la première fois que ça me traverse l'esprit, j'ai pensé à t'embrasser chaque fois que tu venais me voir dans mon appartement pour que je te soigne. Sauf, que cette fois-ci j'ai laissé parler mon envie au lieu de réfléchir. Or, je n'aurais pas cru que tu répondrais à ce baiser. Cela m'a surpris mais, du bon côté. Je viens ensuite à te dire que je suis prêt à laisser mes patients de côtés pour tes beaux yeux. Toutefois, une voix qui m'appelle parce que des patients m'attendent dans leurs chambres vient résonnait dans l'hôpital. « S'il y a quoique ce soit, tu m'envoies un message ? » dis-je en ancrant mon regard sur le sien avant que tu viennes déposer tes lèvres une dernière fois sur les miennes. « Je vais aller soigner mes patients de ce pas. » annonçai-je avant d'ouvrir la porte et de lui déposer un baiser sur le front et de disparaître dans les couloirs de l'hôpital pour rejoindre la chambre 146 pour soigner mon patient qui m'attendait depuis plus d'une heure désormais.

@Soledad Fitzgerald
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