like a bad dream (rafina)

l'alcool répare la peine, l'alcool fait oublier la tristesse. marchant dans les rues de boston, rafael est un peu perdu. de toute façon, il n'a pas envie de rentrer. il a fini par quitter le bal, en ayant marre de tout ça. et l’altercation avec son ex n'a absolument rien arrangé. il est bien mieux ici, à marcher dans la nuit au milieu des rues. il ne sait même pas l'heure qu'il est, mais il a juste besoin de décompresser. se perdant dans les petites rues, finissant sa dernière bière pour la soirée. et tant mieux, car il est déjà bien amoché et ça ne sert à rien d'en rajouter. il marche pas droit, il n'a aucune idée de l'endroit où il se trouve. en ayant marre de marcher, il s’assoit dans l'herbe et s'allume une cigarette. le regard perdu dans le vide, il repense à cette soirée, il repense aux personnes qu'il a vus, il repense à ces moments bons et mauvais. il regrette clairement d'avoir foutu les pieds dans ce bal. mais il faut croire que le destin est joueur ce soir, car il entend des pas dans cette rue vide où il est installé. relevant les yeux, il pli les yeux comme si ça pouvait l'aider à mieux voir. mais il ne met pas longtemps à comprendre qui se trouve là. « c'est une blague ? je te croise pas pendant des années, et là deux fois dans la même soirée ! » lâche-t-il en se relevant difficilement. il veut garder la tête haute, il veut faire le fier. mais il tient à peine debout, il est minable à ce moment précis. « je sais pas si tu me suis, mais ça suffit ! je veux plus te voir. » rajoute-t-il en l'observant. il ne bouge pas, de toute façon s'il marche il a l'impression qu'il va tomber la seconde d'après. mais il se demande bien ce qu'il a fait au bon dieu pour qu'il lui fasse subir ça deux fois dans la même soirée. pire soirée de tout les temps, définitivement.

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Like a bad dream.

feat. Dina & Rafael

J’arpentais les ruelles, sombres, insouciante, le vague à l’âme. L’alcool qui chahute dans mes veines n’arrange rien à mon esprit tourmenté, à mon coeur dépecé qui ne sait plus comment battre. Je repense à Raf, à la discussion dans les toilettes et toutes les paroles déversées. Je repense à la porte qu’il referme, à la peine dans ses yeux malgré ses mensonges. Les miens aussi, ma langue qui se délie que pour faire rêver ou enterrer. Jamais entre les deux, jamais réellement sincère pour ne plus briser la carapace qui habille ma carcasse. J’ai abandonné mes talons à peine tenue entre mes doigts, écorchant mes pieds entre cailloux et bouts de verres. Je ressentais plus rien de toute façon à cette heure ci, mélancolique mais robotique aussi. Puis j’arrive dans la rue de chez moi, fouillant dans mon sac que je fais tomber au sol au passage. - Putain.. Ramassant le tout quand ta voix me fait légèrement sursauter et relever la tête. J’inspire d’agacement, enfile mon sac par dessus l’épaule et avance avec détermination jusqu’à mon bâtiment. - Pardon, je peux passer ? J’aimerais rentrer chez moi tu vois.. Sourire crispé, voix qui baigne dans le sarcasme pour te faire comprendre que je suis loin d’être ce genre de psychopathe qui suit son ex tard le soir. T’as les yeux sanglants, l’épiderme blanchâtre et le corps qui tangue quand il s’efforce de tenir l’équilibre.

c'est la dernière personne qu'il s'attend à voir, la dernière personne qu'il a envie de voir. mais elle est là, face à lui, et toutes les émotions d'il y a quelques heures lui reviennent. certainement multiplié par le taux d'alcool qui coule dans ses veines. il l'observe, alors qu'elle veut juste passer pour rentrer chez elle. il fronce les sourcils, se mettant à rire. rire nerveux, rire porté par l'alcool, mélange de sarcasme et de nervosité. « tu m'étonnes que tu veux rentrer chez toi, tu vas bien dormir ce soir toi ! » lâche-t-il avec un léger sourire accroché aux lèvres. après tout, elle doit mieux dormir quand elle sait qu'elle a continué de briser quelqu'un. il se laisse tomber sur l'herbe, libérant le chemin pour lui laisser la voie libre. il va pas la bloquer, il va pas l'empêcher de s'enfuir, de partir. après tout, ils se sont tout dits, non ? il n'y a plus rien à faire, plus rien à penser de toutes cette situation. « tu dois te sentir bien, non ? de me voir dans cet état, principalement à cause de toi. ça doit te rendre heureuse. » ferme-là raf. il doit arrêter de parler, il doit arrêter de lui dire toutes ces choses qu'il devrait garder pour lui. mais on dit bien que l'alcool rend honnête, nous fait dire tout ces petits secrets qu'on garde pour nous en général. s'il ne l'avait pas croisé, il serait simplement rentrer chez lui, ou aller chez une fille pour se remonter un peu le moral. au lieu de ça, il l'observe dina, l'air de rien.

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Like a bad dream.

feat. Dina & Rafael

C’était bien assez dur de te revoir tout à l’heure, de t’affronter à nouveau après autant d’années où le silence radio était maître. Ça m’avait assez renversé l’esprit, tiraillé par la réflexion et la nostalgie. Y’avait rien de facile pour moi là-dedans, je sais juste mieux mentir que toi. Que beaucoup de personnes même en fait. C’est juste ça la différence, mais j’ai plus envie de mentir surtout quand tu t’acharnes encore avant de t’écarter du chemin. Je te regarde tomber au sol, lâchant un soupir en croisant les bras contre ma poitrine tout en me rapprochant de toi. - Parce que tu connais mieux que moi l’état de mes nuits ? Je réplique. Tu sais pas à quel point mes insomnies sont rudes, tu seras juste une de plus. Une de trop. Celle que j’avais pas envie d’avoir ce soir, alors je regrette amèrement de pas m’être plus bourrée la gueule. Toi, visiblement t’as été plus intelligent que moi.. Ou pas vu dans l’état que ça t’as mis. Ta nuit sera sûrement plus dure que la mienne. Tes pensées encore plus hantées que les miennes. - Arrête tes conneries Raf’ putain ! Que je grogne en relâchant mes bras, me rapprochant de toi pour balancer mon sac à terre aussi et venir te rejoindre sur la pelouse. - Tu crois vraiment que ça me fait du bien ? Que ça m’fait rien de t’avoir revu ? De t’voir comme ça ? Je demande, tournant la tête dans ta direction pour chercher ton regard. T’as vraiment cette image merdique de moi ? Tu sais à ce point pas lire dans mes yeux, assez pour savoir quand je te mens ?

il peut pas se taire, il peut pas juste la laisser passer et ne rien dire. il a toujours été franc, alors ça sort tout seul. les paroles partent, jusqu'à ce qu'il se laisse tomber par terre. il a pas envie de se battre avec elle, et pourtant, il a envie qu'elle lui en dise plus, qu'elle lui parle. « non, j'imagine juste. » dit-il simplement en haussant les épaules. attrapant son paquet de cigarette, il s'en allume une nouvelle. ses yeux fixent le sol, jusqu'à ce que la voix de dina le sorte de ses pensées. elle a l'air énervée, et il comprend toujours pas. elle le fait souffrir, et en plus elle s'énerve ? elle a un culot magique. il l'observe alors qu'elle s'assoit à côté de lui. « évidemment que oui. » répond-il doucement, tirant sur sa clope. elle vit comme ça, elle aime ça, c'est sa façon d'agir et d'être avec les autres. alors pourquoi est-ce qu'il penserait le contraire ? surtout qu'elle a juste confirmé ses propos, pourquoi devrait-il en douter ? « je te rappelle que tu n'as jamais rien ressenti pour moi, que tu ne m'as jamais aimé. t'es juste une garce qui vit bien quand elle fait souffrir les autres. donc ouais, tu dois te sentir super bien ! » à croire que plus il y a de l'alcool dans ses veines, plus il parle. mais ses mots, ses paroles, ça le hante depuis des heures. il arrête pas de repenser à cette conversation, car ça le fait bien trop souffrir. bien plus qu'il ne veut le laisser paraître. mais quand la seule personne que vous aimez vous dit que tout ça, ce n'était qu'à sens unique, ça ne peut que marquer l'esprit.

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Like a bad dream.

feat. Dina & Rafael

Je souris à peine, je souris jaune à peine visible sous les étoiles en vrac. Autant que moi, autant que ma tête depuis que tu m’as tourné le dos au fond de ces chiottes crases. On se retrouve là, encore, à croire qu’on est pas destiné à se séparer ou à garder nos distances. Que tôt ou tard on se rattrape et quand c’est le cas, ça fait mal, ça fait le bruit du verre qui se casse et surtout.. Ça se termine jamais. Tu répètes encore les mêmes mots, les mêmes paroles et je me demande si tu le penses ou si tu essayes inconsciemment de t’en convaincre. Dans tout les cas, c’est moche. - T’as finis ? Que je demande, plongeant ma main dans la tienne pour récupérer ton paquet de clope et m’en sortir une que je viens coincer entre mes lèvres. - Je suis une garce.. Je ris doucement, à moitié en hochant la tête et recrachant la fumée toxique qui m’abîme encore un peu. Je m’esquinte à petit feu et toi ce soir, t’es là pour me donner le coup de grâce ou juste pour être rassuré. - Je peux dire beaucoup de choses Raf’. La vérité rarement, le mensonge souvent. J’ai le regard dans le vide, arrachant des bouts d’herbes qui traînent sous mes doigts. - C’est juste toi qui sait pas lire entre les lignes. Qui n’est pas capable de déceler le moindre de mes mythos. Tu préfères juste gober ce que je te donne, tu aimes juste te dire que t’avais raison sur moi au moins comme ça ce sera plus simple d’oublier. - J’ai froid, je vais rentrer maintenant. Je laisse la porte ouverte si t’as encore envie de me voir, sinon.. Je me relève, les frissons sur tout le corps à moitié nu vêtue d’un pauvre blazer trop court. Je sais pas pourquoi j’avais pas récupéré ma robe en l’abandonnant sur cette scène. - Tu peux toujours continuer à me chercher un peu partout. Que je souffle en m’éloignant à reculons. Parce que tu le sais toi aussi, tu me cherches partout depuis des années. Tu cherches mon odeur dans le leur, mes habitudes chez elles, tu cherches mes mots chez n’importe qui mais ce soir t’as le choix. Tu peux me trouver pour de vrai. - À toi d’voir.. Et je montais les marches doucement, jetant un dernier coup d’œil sur ta silhouette avachie avant de retrouver l’intérieur de ma maison. Je respire enfin à dedans, je peux déposer à terre mon masque et mes armes. Je peux lâcher prise quand ça devient trop douloureux.

la clope entre les lèvres, le regard dans le vide, il ne veut même pas la regarder. pourtant elle est là, assise juste à côté de lui. et il a l'impression de souffrir encore plus. lui laissant prendre une cigarette, de toute façon, qu'est-ce qu'il peut faire de plus ? il veut juste continuer de lui dire toutes ces choses, continuer de lui dire à quel point il la déteste. il fini par l'écouter, tirant sur sa clope. lire entre les lignes. qu'est-ce qu'elle veut dire par là, qu'est-ce qu'il doit comprendre ? lui, il comprend pas. sûrement car l'alcool lui embrume l'esprit. mais il réfléchit, les sourcils froncés, remarquant à peine qu'elle se lève pour partir et rentrer chez elle. relevant légèrement la tête, il suit sa silhouette du regard jusqu'à ce que la porte se referme. lire entre les lignes. ça le perturbe, il arrive pas à comprendre et ça finit par l'énerver. jetant la cigarette par terre, il se lève difficilement et marche d'un pas lent jusqu'à la porte. mains sur la poignée, celle-ci s'ouvre et il rentre à l'intérieur sans vraiment réfléchir. avançant doucement, il retrouve dina dans ce qu'il semble être son salon. « qu'est-ce que tu veux dire par lire entre les lignes, dina ? » demande-t-il simplement, l'observant. il continue de s'avancer, s'approchant encore un peu plus d'elle. certainement qu'il est idiot, certainement qu'il adore se torturer, mais il reste près d'elle, plongeant son regard dans le sien. « est-ce que tu me mens ? à quoi tu joues exactement avec moi ? » qu'est-ce que c'est le but de tout ça ? le briser encore plus ? lui faire comprendre certaine chose ? en tout cas, si c'est un piège, il tombe dedans sans réfléchir, il plonge même la tête la première quitte à se brûler les ailes. il a rien à faire dans cette maison, près d'elle. c'est dangereux, mais en même temps, si intriguant, si plaisant.

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Like a bad dream.

feat. Dina & Rafael

Je retrouve le silence, la solitude et le désert. En rentrant chez moi, c’est comme si je venais de quitter le monde, comme si j’étais ailleurs que là où tout s’emmêle. J’ai le coeur qui rebondit trop fort, j’ai les mains moites et des vertiges quand j’avance jusqu’à mon salon. Balançant ma paire de talons dans un coin sans faire attention et je venais m’appuyer sur le bois du bar. Le regard qui se balade sur les hautes lumières que mettait en avant la baie vitrée, sur le monde d’en bas, ce que je viens de laisser à la porte de chez moi. Mais la porte s’ouvre, tu rentres comme un ouragan qui vient faire chavirer et monter en l’air ma courte sérénité. Je pensais pas que tu viendrais, ça doit être l’alcool et sa folie qui te mène tout droit vers l’Enfer et ses tourments. Qui te guide vers l’ombre plutôt que la lumière, moi je te regarde déchanter au beau milieu de mon salon. Mes lèvres tremblent, se retenant de sourire de satisfaction. Je te regarde encore, laissant le silence nous ronger un instant et je me décollais de mon bar pour venir te rejoindre. - On ment tout les deux Raf. Toi quand tu dis ne plus rien ressentir pour moi, moi quand j’te dis n’avoir jamais rien ressenti. Et je m’approche encore plus, tu m’as laissé sur la fin tout à l’heure et j’ai plus envie de me restreindre. - Je joue pas avec toi, c’est ça l’pire dans l’histoire. J’voulais t’épargner de souffrir encore.. Mais je pense que t’aimes un peu ça au fond. Sinon tu serais pas là, sinon tu ferais en sorte de ne plus jamais te brûler de mon acide. Pourtant t’es là et moi, je suis juste un peu trop faible quand je te regarde comme ça. - Embrasse-moi.. Je murmure en venant me hisser sur la pointe des pieds, mes doigts effleurant ta chemise. - Juste une dernière fois, prouve moi que j’ai tort et que t’as raison. Je lutte, là tout près de ta bouche, je lutte pour ne pas y succomber avant que tu le fasse toi. - Embrasse moi et je verrais si vraiment, tu ressens plus rien moi. J’ouvrais les yeux doucement, remontant jusqu’aux tiens dans lesquels je me noie.

il est clairement stupide rafael, pour le coup. il se jette dans la gueule du lion sans réfléchir, il rentre s'enfermer dans cette maison où il n'y aura que lui et elle. un duo dangereux, un duo explosif. mais il est connu que l'alcool fait faire des conneries. il regrettera sûrement demain d'être rentré, mais là, il a besoin de savoir. s'avançant dans ce salon, la laissant approcher. il la laisse le briser encore un peu plus avec ces mots, le torturer toujours plus avec ces gestes. elle est la seule pouvant faire ça, pouvant inverser les rôles de cette identité qu'il s'est forgé, de cette réputation de connard qui lui colle à la peau à l'université. « pourquoi je t'embrasserais ? » lâche-t-il simplement alors qu'elle est si proche de lui, que son regard le transperce. il veut pas craquer, il a pas envie de recommencer, de replonger sur ces lèvres comme il y a quelques heures. c'est hors de question, il peut pas faire ça. « si c'est ce que tu veux, il fallait pas faire ta garce avec moi. » il fallait pas le briser, il fallait pas le tromper, il fallait pas le rendre comme il est aujourd'hui. l'amour rend con, l'amour change les gens. et avec lui, elle a clairement réussi. « t'as raison, je ressens quelque chose pour toi. » il fronce légèrement les sourcils, penchant un peu la tête pour l'observer. « c'est juste de la haine, dina. parce que j'suis un con qui arrive pas à se remettre de sa peine. » sûrement car les cicatrices sont encore présentes, sûrement car il est bien plus sensible qu'il ne veut le croire. « je te donnerais pas la satisfaction de réussir à me briser de nouveau. je mérite mieux que toi. » mieux que ce mélange de sentiments étranges, mieux que cette envie de l'étriper et de l'embrasser en même temps. la limite est fine entre haine et amour. et il sait que tant qu'il ressent cette haine, elle aura toujours de l'emprise sur lui, elle arrivera encore à lui faire du mal comme ce soir.

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Like a bad dream.

feat. Dina & Rafael

J’ai envie de te dire que c’est parce que j’en ai envie, que c’est parce que te revoir ça a tout fait raviver en moi, tout ce que je m’étais obligé à oublier en me barrant de Columbia sans penser te retrouver un jour ici. Je voulais oublier l’erreur que j’avais faite de te trahir, toi et les autres parce que y’en a eu d’autres après toi. Y’a eu Silas, y’a eu Denys qui était même à deux doigts de me demander de l’épouser avant que je foute le camps en découvrant la bague. Je suis une lâche, une vraie lâche. Avec toi, le problème c’est que j’aurais pu te dire oui si t’avais demandé, je me voyais loin avec toi et le manque me rongeait beaucoup trop. T’avais trop d’emprise, j’avais besoin de l’anéantir plutôt que de l’affronter. - Pourquoi tu m’as embrassé tout à l’heure ? Je fronce les sourcils, je te comprends plus et j’arrive plus à te suivre. Tu m’embrasses et tu te casses, tu me craches dessus mais tu restes. - Tant que y’a de la haine y’a de l’amour. C’est ce qu’on dit non ? Alors tant mieux si tu me haïs. Je recule d’un pas, d’un autre jusqu’à me laisser tomber sur mon canapé en ramenant mes jambes contre mon buste. - Alors pourquoi t’es là Raf ? Pourquoi t’es debout dans mon salon si tu mérites mieux, si t’as plus envie d’avoir mal ? Je lançais le regard froid qui se levait vers le tient. - Si t’es mieux sans moi ?.. Que j’ajoute fébrilement. Parce que tu l’es pas, t’es encore pire sans moi.

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