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A single dance can change everything ♦ Kim&Cloé

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Je ne devrais pas, mais j'ai toujours ce besoin viscéral de savoir que je lui plait, maintenant qu'elle est là. Et j'me fais pas prier pour tenter de lui faire cracher le morceau, et j'y parviens plutôt très bien. Quand elle exprimait son avis, je riais avec elle. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit aussi expressive et aussi facilement. «Ah ouais, carrément ! Tu te fais pas prier, toi. » dis-je alors d'un ton moqueur. En lui disant ce que j'pensais, j'étais mal à l'aise. Ce n'était pas un exercice facile pour moi, surtout ces dernières années. Je fuyais tout ce qui ressemblait de près ou de loin à de l'amour, des sentiments et de l'attachement. J'avais enfermé mon coeur dans un coffre de béton, et ça marchait assez bien jusqu'à maintenant. Mais depuis son retour, j'ai l'impression qu'elle a sorti un marteau piqueur pour déblayer tous les efforts que j'avais fait du revers de la main. Elle se dévoilait à son tour, et je n'arrivais pas à rester de marbre face à cette déclaration. Elle disait être sûre que j'étais la femme de sa vie, et c'était la première fois qu'elle le disait. Habituellement, elle n'est pas du genre à ouvrir son coeur. « Si tu te débrouilles aussi bien, tu seras sûrement pardonnée avant la fin de la nuit. » dis-je seulement, un sourire aux lèvres. Je n'arrive pas à lui résister, c'est un truc de ouf. Elle m'énerve à avoir une gueule d'ange. On buvait nos verres cul secs, et elle me tendait la main pour qu'on aille danser. Je posais ma main dans la sienne, avec un sourire heureux aux lèvres. « Guide moi, si tu veux danser... » Mon regard était attendri, j'avais envie de sentir sa chaleur près de moi, même si je ne lui dirais pas.
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Je l'aime, plus que tout, et comme personne ne pourra jamais le faire. Elle était ma première, et si tout était à refaire, elle serait unique. Je ne serai jamais partie, je ne l'aurai jamais abandonnée. Mais on ne peut pas revenir en arrière, et j'ai attendu qu'elle revienne vers moi. J'ai galéré, pleuré, mais aujourd'hui, on est là, face à face, dans des robes, dans une ambiance idéale pour un rapprochement. Une invitation à la confidence, on s'avoue nos envies, nos sentiments, comme si tout était plus simple désormais. Elle me faisait rire quand elle me disait que je ne me faisais pas prier. Je la regarde de haut en bas, avec un large sourire aux lèvres. « Non, j'ai pas envie de me faire prier. » répondais-je, amusée. Elle me disait que si je me débrouillais aussi bien que ça, il pourrait qu'elle me pardonne ce soir. C'est motivant de voir qu'elle entre-ouvre la porte d'un retour de notre histoire, et ça me fait un bien fou. « Ce soir, tu seras ma reine. Peu importe qui sera élu ce soir, tu seras mienne. » Ce que je disais ce soir, c'était pas dans mes habitudes. J'ai toujours été le genre de meuf assez froide, alors qu'au fond de moi, je pourrais écrire milles poèmes pour elle. Quand elle posait sa main dans la mienne en me disant que je devais la guider, j'avais un sourire aux lèvres. Je l'entrainais vers la piste avec moi et je collais mon corps au sien. Ca me faisait me sentir en vie, à chaque fois. « Je voulais te demander une chose. Tu veux bien me... Nous redonner une chance ? » dis-je en chuchotant à son oreille, n'osant pas la regarder, de peur d'affronter ses yeux bleus, la boule au ventre.
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Je l'aime, peut-être autant que je l'ai détestée, ou bien plus encore. Les sentiments sont une chose assez complexe à déterminer, et malgré tous les bouquins que j'ai pu lire dans ma vie, aucun n'explique avec précision la nature sentimentale et la portée que l'amour et la haine peuvent engendrer dans le coeur et la tête des gens. Pourquoi souffre t-on de l'amour quand il est perdu ou impossible ? Quelle est cette réaction chimique que nous envoie le cerveau pour définir la nature même du sentiment ? J'ai parfois du mal à contrôler ce que j'ressens, et là, j'peux pas nier que j'crève d'amour pour cette fille, qui m'a bousillé le coeur et renversé l'esprit, après l'avoir conquit. Je savais qu'elle n'était pas le genre de fille qui se foutait de la gueule des autres, ce qui facilitait grandement la tâche de mon cerveau pour me dire de céder à cet amour, aussi effrayant que galvanisant. Plus j'la regardais, plus j'voulais m'approcher près de son coeur et de son âme. Je souriais quand elle me confirmait ne pas vouloir se faire prier, parce qu'elle m'amusait. « Alors ne te fait pas prier, corazon. » répondis-je alors, en lui faisant un clin d'oeil. J'me rendais compte que j'étais prête à lui pardonner, et j'en étais sûre à l'instant même où elle m'ouvrait son coeur en me disant que ce soir, quoi qu'il advienne, j'étais sa reine. C'était pas son genre, de dire des trucs comme ça. Au début de notre relation, il y a six ans, c'était le genre de meuf tellement torturée par la vie, que le seul moyen de lui faire dire des belles choses pareilles, c'était de la faire écrire, ou de la faire picoler grave. Alors j'fonds, comme neige au soleil. « J'ai toujours été tienne... » avouais-je, à demi-mot, dans un murmure à peine audible. Et quand j'me retrouvais sur la piste, contre elle, à sentir son coeur battre contre ma poitrine, son souffle caressant mon oreille pour me demander de lui donner une nouvelle chance, je souriais, avant de me reculer un instant. Je venais caresser sa joue, doucement, cherchant son regard fuyant. « A une condition... » dis-je d'un air stoïque, pour sentir la panique dans son regard, avant de poser sa main sur mon thorax, qu'elle sente les battements de mon coeur. « La prochaine fois que tu le brises, j'te pète les deux jambes. » dis-je en riant, avant de l'embrasser, comme personne n'avait pris rendez-vous avec ses lèvres.
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J'étais heureuse quand je l'entendais dire qu'elle avait toujours été mienne. Elle venait de m'embrasser et j'avais la sensation que mon cœur allait sortir de ma poitrine. J'avais envie de l'allonger sur la piste et de lui enlever sa jolie robe avec mes dents. Je devenais dingue, je ne me contrôlais plus. « Euh, ça te dérange si je vais aux toilettes ? Tu peux m'accompagner s'il te plait ? » J'étais en robe et j'avais eu une bouffée de chaleur à cause de Cloé. C'était pas la première fois, mais heureusement ça n'arrive pas à chaque fois. Elle me connait bien et adore se foutre de ma gueule quand ça arrive. « Te moque pas. Là je suis en robe, ça craint grave, surtout que j'ai oublié de mettre une culotte quoi ! Allez viens s'il te plait. Je savais qu'elle allait rire et j'avais aussi envie de rire, enfin surtout de l'insulter gentiment. Elle me disait qu'elle me pèterait les deux jambes si je lui brisais encore une fois le coeur. « Je suis pas revenue pour te faire du mal loin de là Mais plutôt pour t'aimer comme personne ne pourra t'aimer. » Je comprenais bien qu'elle était sérieuse malgré son petit rire. Mais dans tout ça, il y avait une seule chose qui me rendait heureuse plus que jamais, c'était le fait qu'elle m'embrasse comme jamais, me redonnant ainsi l'espoir d'un renouveau dans notre histoire, que la page de guerre d'il y a quelques jours était belle est bien terminée. Mon cœur bondissait dans ma poitrine comme jamais. J'étais inondée de bonheur. « Je t'aime comme personne, Cloé Delgado. » lui dis-je alors, à la fin de ce baiser qui marquait le retour de flamme de notre histoire, pour de bon.
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Je ne m'attendais pas qu'elle allait perdre son self control d'un coup, juste parce que j'avais dit un mot en espagnol. J'espérais que lorsqu'on était séparées et qu'elle a fait le tour du monde, elle s'est pas envoyée en l'air avec toutes les latinas du monde, parce que là, j'allais lui faire la misère. Mais cette idée sortait assez vite d'mon esprit, me laissant profiter de l'instant présent, instant où elle me faisait rire, puisqu'elle me demandait de l'accompagner aux chiottes parce qu'elle avait pas de culotte. Là, j'comprenais bien de quoi il s'agissait. « T'as vraiment oublié ou t'as fait exprès ? Allez, viens, on y va. Putain, y'a que toi pour agir comme ça, c'est un truc de ouf. Tu m'as fait la même pour le bal de promo de notre dernière année au lycée. J'vais finir par croire que j'suis ton aimant à chiottes. » dis-je en riant, avant de l'accompagner aux sanitaires. J'me regardais dans la glace, histoire de me recoiffer un peu, en attendant qu'elle sorte de là. J'avais vraiment envie de regagner la piste, pour une fois. J'suis pas du genre à danser et tout, mais quand j'suis avec elle, j'me sens pousser des ailes. « Vérifie que t'aies pas du PQ collé pour plus tard, on sait jamais. dis-je pour me moquer avant qu'elle sorte de son espace restreint. Et de retour à l'espace de danse, on se retrouvait, on s'unissait à nouveau. J'me sentais plus que bien. « Je t'aime comme jamais, Kim Wiley. Tu m'as tellement manqué, putain. » dis-je dans un chuchotement, contre ses lèvres, avant de les embrasser encore. Je revis, enfin.
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J'étais trop mal, je me retrouvais sans culotte et obligée de trainer Cloé aux toilettes avec moi. J'avais l'impression qu'elle avait envie de rire un peu, mais bon, c'est pas de ma faute si elle me fait de l'effet, et je suis partie tellement vite de la maison que j'ai pas mis de culotte. Je suis sortie de la douche et j'ai enfilé ma robe. « Tu crois vraiment que j'ai fais exprès ? Je suis sortie de la douche, j'ai enfilé ma robe et je suis partie en déloche pour essayer d'être à l'heure. Et puis j'y suis pour rien si t'es super canon et que je te kiffe de fou. » Lui dis-je en mode énervée, on dirait que c'est moi qui l'ai fabriquée, j'y suis pour rien si elle est superbe. Arrivée aux chiottes et en essayant de faire un pipi discret pour pas qu'elle entende. Je l'entendais me dire de faire attention à ce que je n'ai pas du papier collé. Putain, mais elle est sérieuse elle se fout de ma gueule cette pétasse ? « Vas-y fou toi de ma gueule, salope. » Lui dis-je en sortant des toilettes. On retournait sur la piste pour danser plus collées que jamais et là elle venait me dire qu'elle m'aimait plus que jamais et que je lui avais horriblement manqué. « Moi aussi je t'aime Cloé, et toi aussi tu m'as manqué. Je compte plus jamais te lâcher, bébé » Je baissais la tête, honteuse de l'avoir abandonnée. Je ne me pardonnerai jamais ce que je lui ai fait. Mais ce soir on était super proches et j'étais heureuse d'avoir réussi à la faire rire avec mon petit accident, même si sur le moment c'était assez gênant. Je posais ma tête sur son épaule pour me rapprocher d'elle et la prendre dans mes bras puis je venais lui voler un baiser timide.
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J'ai toujours adoré la taquiner quand elle est maladroite, quand elle oublie des trucs, quand elle a un petit bout de salade coincé entre les dents ou que son t-shirt est coincé dans son froc. J'la taquine parce que j'adore la voir rougir de honte, ou s'énerver alors qu'en vrai, je sais qu'elle a envie de rire avec moi. Et quand ce soir elle fait la meuf énervée quand j'lui demande si elle a fait exprès d'oublier sa culotte, j'suis pliée de rire. Elle est mignonne, et je l'aurai quand même pardonnée malgré qu'elle soit arrivée en retard. J'peux pas passer plus de temps loin d'elle, sans m'abandonner à elle, sans m'laisser aller dans ses bras. J'pouvais pas passer plus de temps sans l'embrasser, passer plus de temps avec mon coeur qui souffre loin d'elle. Puis elle est trop belle, j'peux plus résister. J'me retiens, dans cet espace restreint. J'ai envie de la rejoindre dans sa cabine, qu'on s'retrouve, mais j'préfère faire les choses dans les règles de l'art, pas faire du sale dans des chiottes et être bercée de regrets par la suite. « T'énerves pas, corazon. Moi j'aime bien quand t'as pas d'culotte. » dis-je d'une voix suave, avant de rire légèrement. J'savais qu'elle allait sortir de là aussi vite que j'avais dégainé cette phrase. Et si j'avais parié sur sa réaction sur le PQ, j'pense que j'serai millionnaire, là tout d'suite. « Moi aussi je t'aime. » dis-je en riant, bien que cet aveu était bien plus réel qu'une simple réponse pacifique. En étant de retour sur la piste, on était dans notre bulle d'amour, comme je l'avais de nombreuses fois rêvé. Elle disait qu'elle ne voulait plus me lâcher, et je voyais la honte sur sa tête, avant qu'elle ne la pose sur mon épaule et qu'elle ne me vole un timide baiser. « Ca te dit qu'on se tire d'ici et qu'on se retrouve, rien que toi et moi ? » lui demandais-je, timidement.
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Elle était tellement belle ce soir que j'en perdais la tête, je ne savais plus quoi dire ni quoi faire, je me noyais dans son regard comme si j'étais en train de regarder un magnifique coucher de soleil au bord de la mer. J'avais envie de la prendre par la main et de l'emmener le plus loin possible pour l'avoir rien qu'a moi histoire de rattraper le temps perdu. Je revenais sur terre quand elle me disait qu'elle aimait bien le fait que je ne porte pas de culotte . Ca ne m'étonnait pas d'elle, parce que, quand il s'agit de sexe, elle devient une vraie salope. D'ailleurs, je suis sure qu'elle a quelques vilaines pensées qui lui passent par la tête à ce moment là. J'étais face à elle et je ne pouvais pas m'empêcher de rire. « Je suis sure que tu penses à des trucs cochons, je te connais par cœur. Avoue ? » lui dis-je en lui ouvrant la porte qui mène à la piste de danse. On était dans notre petit monde quand elle me proposait de quitter les lieux pour qu'on se retrouve seules et c'est avec plaisir que j'acceptais « Ouais carrément, tu veux aller où, bébé ? Je te rappelle que j'ai pas de culotte » Je lui rappelais bien que j'étais complétement nue sous ma robe et que j'étais pas super à l'aise en public. C'était un truc de fou comment elle arrivait à me donner chaud ce soir. J'avais l'impression d'être un homard dans une marmite sur le feu. « On ira où tu voudras, bébé. Si tu veux on prend une chambre, il y a un hôtel pas loin ? Je ferai tout ce que tu désires ce soir » lui dis-je en prenant sa main pour la poser discrètement sur ma poitrine, avant de lui monter la sortie du regard.

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J'fais la meuf, mais depuis que j'sais qu'elle a pas de culotte, y'a un feu d'artifices dans ma tête. C'est hyper sensuel de me dire que la meuf sur qui j'bave depuis six ans, avec qui j'ai vécu trois ans de ma vie et avec qui j'suis en train de renouer est à poil sous sa robe, alors qu'elle porte quasiment jamais de robe. Alors quand elle me demande si elle me connaît par coeur et si j'ai des idées peu catholiques, j'rigole. « Moi ? Des idées cochonnes en t'imaginant sans robe ? Pas mon genre, j'suis une sainte. On a jamais fait l'amour, ces dernières semaines. » Deux fois, deux fois magiques, comme toutes les fois d'avant. Deux fois où j'me sentais en vie, avant de mourir à nouveau quand on devait se quitter. J'esquissais un sourire amusé, en sortant des WC. Cette ambiance était sympa, mais j'avais envie de passer du temps rien qu'avec elle, dans une vraie bulle personnelle, où on se tape pas les regards de tout le monde. Et j'étais bien heureuse qu'elle accepte qu'on sorte du bal. Elle me demandait où je voulais aller, et elle me rappelait bien qu'elle était nue sous sa robe. Raaaah, vile tentatrice ! « Où tu veux, tant que j'suis avec toi, mon amour. On peut aller chez toi, si tu veux. » proposais-je, sans vraiment réfléchir à un lieu précis. Elle me proposait un hôtel, ce qui n'était pas une mauvaise idée. Elle posait ma main sur sa poitrine, et j'devenais dingue. Un frisson me traversait, avant que je ne la tire vers la sortie. « On a intérêt d'y arriver vite, sinon, j'répondrais plus de rien. » dis-je en riant, en arrivant sur le parking de l'université. Je me laissais guider jusqu'à sa voiture, en direction de notre nouvelle destination, en tant que nouveau couple.
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