(enzla) Tu vas payer pour cet affront.

— Bal fin d'année, 19 mai 2018
Heureusement que tes copines sont là pour remonter le niveau de ce bal craignos. Les années précédentes, tu t'étais régalé avec des cavaliers tous plus beaux les uns que les autres mais cette année, ça fait pitié. Tu t'ennuies et quand tu ne sais pas quoi faire, tu râles. C'est mathématique, tu ne peux pas t'empêcher de râler et de critiquer tout le monde, sinon tu n'es pas bien et tu ne passes pas une bonne soirée. Tu apportes ton verre à tes lèvres mais en le soulevant, tu constates bien vite qu'il est vide. " Il ne manquait plus que ça... " Tu extirpes de l'air de ta bouche d'un air désabusé. Tu regardes ta copine et lui lance un regard attendrissant mais elle ne va pas céder à ton caprice, tu vas devoir lever tes fesses de ta chaise et aller te chercher un nouveau verre toute seule, comme une grande fille. Tu te mets debout et replace correctement ta robe hors de prix. En bonne princesse que tu fais, tu ajustes également tes cheveux, le mot d'ordre est d'être parfaite en toute circonstance. Tu es agaçante. Une fois enfin prête, tu reprends ton verre vide dans tes longs doigts manucurés et tu adoptes une démarche digne d'une mannequin. Du haut de ton mètre soixante cinq, tu regardes le monde de haut. Quelques étudiants t'empêchent de continuer, tu les contournes en les fusillant de ton regard de braise. Tu prends un virage plutôt serré et entre en collision avec quelqu'un. " Putain. " jures-tu en sentant du liquide couler entre tes seins parfaitement dessinés. Tes sourcils se froncent avant que tu ne daignes regarder ton agresseur. C'est avec stupeur que tu découvres une armoire à glace devant toi mais tu ne te démontes pas. " Tu ne peux pas regarder où tu vas ? C'est trop te demander ? Tu sais combien ça coûte ce genre de robe ? Tu n'as pas l'air d'avoir la notion de grand chose, c'est pas vrai ! " Tu aboies comme un chihuahua enragé. Il a beau faire deux têtes de plus que toi, tu lui cries dessus, en colère. Tes yeux se baissent de nouveau sur ta robe, tu fulmines.

@Enzo Angermann

BLACK PANTHER (DRESSCODE):

Pas vraiment la soirée de tes rêves, tu sais pas trop comment ça va se terminer mais pour le moment ça ne présage rien de bon. T'es venu ici avec une amie, une simple amie avec qui tu n'as du tout l'intention de coucher. Waouh, Angermann arrive à s'faire des amies sans avoir envie d'y fourrer sa saucisse, un miracle pour toi. Serais-tu en train de changer ? T'en sais trop rien. Une chose est sûre, ce soir t'as pas envie de rentrer seul. Bizarrement t'as besoins de réconfort. Est-ce que ça a un rapport avec Louison et Pluton qui sont clairement en train de se bécoter sur la piste de danse ? Ouais, sûrement. En les voyant de la sorte, tu n'a pas pu t'empêcher de grimacer avant de te rendre au bar pour te prendre une autre bière. Du courage liquide, t'en as grandement besoins. Tu te décides à te bouger un peu le cul, peut-être que tu vas finir par croiser quelqu'un que tu connais et avec qui le courant passe plutôt bien. Tu essayes de te frayer un chemin parmi la foule, bordel, il y a tellement de monde, c'est presque étouffant et surtout.. Ça t'énerve. Toi qui déteste la foule, t'es servi ce soir. Sans faire attention, tu bouscules quelqu'un. A vrai dire, tu n'saurais même pas dire si c'est entièrement de ta faute ou si c'est plutôt la faute de la demoiselle qui se met de suite à te hurler dessus. Sa réaction te fait rire, t'es littéralement en train d'afficher un large sourire sur ton visage alors qu'elle continue de gueuler. Ok, cette rencontre risque de ne pas très bien se finir pour le coups. Waouuuh, la princesse va se calmer et descendre d'un étage, d'accord ? Tu soupires avant de regarder ton verre qui est à présent presque vide. J'vais devoir aller m'en rechercher une autre maintenant. Bordel. Tu soupires, regardant la demoiselle. Bref, j'vais passer outre ton comportement de merde. Tu veux que je t'offre un verre pour que tu oublies ça ?

— Bal fin d'année, 19 mai 2018
La rage s'est emparée de ton corps et de la moindre de tes pensées. Renverser de l'alcool sur un bijou pareil, c'est signer son arrêt de mort, surtout te connaissant. Tu regardes avec dépit, le spectacle. C'est trop dur à supporter. Le rouge te monte aux joues, heureusement pour toi, tu es assez colorée pour que ça ne se voit pas. Tu relèves ton regard foudroyant vers le jeune homme qui se marrait. " Ça te fait rire en plus ? " Tu as envie de lui coller ton poing dans sa gueule, qu'il fasse 150 kilos de muscles ou pas. Ta mâchoire se serre quand il ouvre sa bouche pour parler. Tu te mords même l'intérieur de la joue pour ne pas le frapper. Tu es sanguine et tu sais qu'il peut te tuer juste avec son petit doigt. " Comment tu veux que je me calme alors que tu viens de ruiner ma soirée ? " Ce n'est pas totalement de sa faute, ta soirée était déjà pourrie à la base mais tu lui mets tout sur son dos. Il a la tête d'une victime. Et là, il te propose de t'offrir un verre en compensation de l'affront qu'il vient de te faire. " Pardon ? Mais quel culot tu as, tu penses qu'un verre dégueulasse va réparer tes conneries. " Ses conneries à lui, pas les tiennes, tu es parfaite toi.  " C'est une robe sur-mesure, elle est foutue par ta faute et toi tu veux m'inviter à boire un verre. C'est la première fois que tu parles à une fille ou quoi ? " Il n'est pas croyable ce type, il sort d'où d'ailleurs ? D'une caverne probablement. Tu ne peux pas laisser passer ça, il en va de ton honneur. " Viens avec moi toi. " Tu poses ta main sur son torse, glisse deux doigts dans le creux entre deux boutons et tire pour l'embarquer avec toi. Tu n'as pas beaucoup de force mais tu mets tout ce que tu as pour le faire suivre. Tu traverses toute la salle comme une furie avec le gars derrière toi et tu entres dans les toilettes pour homme. Les toilettes dames sont pleines à craquer, il y a beaucoup moins de monde ici. Tu le lâches enfin et ferme la porte derrière toi. " Enlèves-moi l'alcool, sèches ça, je ne sais, débrouilles-toi mais fais quelque chose. " Tu lui laisses une mince chance de réparer sa maladresse, tu es trop bonne avec le peuple.

Bordel, si on t'avais dit que t'étais sur le point de faire la rencontre d'une telle furie, tu serais sans doute partie en courant. Ouais, t'aurais pris tes jambes à ton cou parce que bordel, elle a l'air complètement tarée cette nana, c'est pas possible.. Ruiner ta soirée ? Le mot est fort, tu n'crois pas ? Tu te mets à sourire, un sourire moqueur qui prend possession de tes lèvres. Tu ne comptes la laisser faire, il est hors de question qu'elle te rabaisse sans même que t'es ton mot à dire. C'est pas de ta faute si elle t'a foncé dedans, en tout cas, c'est la version que t'as l'intention de retenir même si au final, tu n'sais pas du tout qui est le fautif dans l'histoire. J'voulais être gentil mais si t'en as rien à foutre, j'peux très bien faire demi-tour et te laisser te donner en spectacle seule, chérie. Tu soupires, elle commence déjà à t'énerver. Comment c'est possible de déjà en avoir marre d'une personne alors que tu ne la connais même pas. Où tu veux.. T'as même pas le temps de finir de parler qu'elle empoigne ta chemise pour te tirer avec elle. Tu n'sais pas où elle compte t'emmener mais comme t'as pas envie qu'elle pète les boutons de ta chemise, tu préfères la suivre. D'un côté, ça lui évitera de faire un cinéma devant autant de monde. Vous vous retrouvez dans les toilettes des hommes, tu fronces les sourcils, te demandant c'que tu fous ici, avec elle. Tu comptes déjà m'offrir ton corps ? C'est pas un peu trop tôt pour ce genre de chose ? Tu continue ta provocation, après tout, elle l'a bien cherché. T'es sûre de vouloir que je fasses ça ? Tu hausses les épaules avant de prendre du papier puis de te rapprocher de la demoiselle. J'tiens juste à préciser que j'fais pas ça dans l'unique but de toucher ta poitrine. Tu ris doucement avant de venir essuyer sa robe comme tu le peux, pas sûr que tu fasses ça correctement, tu étales peut-être même plus la tache qu'autre chose. Faut voir le bon côté des choses, tu sens la bière maintenant, ça va peut-être attirer certains mecs présents ce soir. Dis-tu tout en continuant à frotter, ta main appuyant sur sa poitrine pour essayer de sécher tout ça.

— Bal fin d'année, 19 mai 2018
Tu ne sais pas pourquoi tu as emmené cet homme de néandertal dans les chiottes, tu es vraiment bizarre comme fille parfois, tu n'as pas toutes les cases dans ta tête. Mais alors que tu pensais l'emmerder, il affiche un large sourire et te toise de haut. " Ne rêve pas, un corps comme le mien jamais tu l'auras. " La perfection se mérite mon garçon, ce n'est pas en fonçant dans les filles que tu pourras te les faire. Tu hausses les épaules et poses tes deux mains sur tes hanches, impatiente. Tu veux juste qu'il s'exécute. " Trouves un moyen de réparer tes conneries, ma robe est foutue. Peut-être que toi tu t'en fou de l'apparence mais pas moi. " Tu repenses à Florian et tu te dis que tu veux plaire à un mec qui a un harem autour de lui. C'était stupide. Tu lâches prise, tes bras te tombent le long de corps, tu soupires. Qu'il t'achève, ça ira plus vite. Mais l'inconnu se rapproche de toi et pose ses mains virils sur ton buste en prétextant qu'il ne fais pas ça dans l'unique but de te toucher les seins. Tes sourcils se froncent violemment. Mais qu'est ce qu'il fait lui ? Il est sérieux à te peloter comme ça, sans gène ? Tu t'apprêtes à lui balancer une remarque horriblement désobligeante mais tu te stoppes en levant tes yeux vers les siens. Ta gorge se noue, tu n'arrives pas à parler. Il s'applique à étaler la bière sur ta robe, il est pathétique mais toi, tu l'es davantage. Depuis combien de temps ne t'a-t-on pas touché ? Ta respiration se saccade, tu t'es fait prendre à ton propre jeu, c'est hyper malsain comme situation. " Super, j'avais besoin de ça, attirer tous les ploucs de la salle ... " Ta voix est plus calme et plus fébrile qu'avant. Tu baisses ton visage pour voir sa main sur toi. Tu es immobile et un peu crispée, tu te recules avant qu'il ne s'en rende compte. " C'est bon, arrête, tu fais pire que mieux. " Tu fais de grands gestes pour qu'il te lâche même si t'aurais bien voulu qu'il continue un peu. " Merci d'avoir essayé quand même. " Stella tu as de la fièvre ? Tu viens de dire merci ? C'est surprenant de ta part. Tu t'es calmé, tu es redescendue en pression. Tu t'approches des miroirs et replace ta robe correctement, tu essaies même de mettre un peu d'eau pour cacher cette odeur nauséabonde de bière qui va t'entourer le reste de la soirée. Tu sors un petit flacon de parfum de ton sac et te parfume au moins de six pschitts. Tu te retournes et t'approches de ce gars à l'imposante carrure, lui lance un sourire innocent et vint l'asperger de quelques pschitts de ton parfum. " Je sens l'homme, tu sens la femme, on est quitte. " Tu restes sérieuse puis tu éclates de rire. Tu poses une main sur sa chemise, t'approches de lui, te mets sur la pointe des pieds et sens d'un peu plus près son cou. " Hm ouais. Tu sens super bon.  Tu te recules de quelques pas et le regarde, amusée.

Tu hausses les épaules à ses mots, elle se prend pour qui celle-là ? Elle se croit si irrésistible que ça ? Non mais vraiment.. T'as clairement tiré le gros lot ce soir  en tombant sur cette fille. Au moins ta soirée vient de s'animer un peu, c'est peut-être pas plus mal. Tu n'es plus en train de rager intérieurement en regarder Louison et Pluton sur la piste de danse. J'ai peut-être déjà eu bien mieux que toi, tu ne devrais pas te surestimer de la sorte. T'as clairement envie de la voir devenir rouge de colère en disant ces quelques mots et t'espère que ça va suffire à la toucher personnellement. Lorsqu'elle t'ordonne de frotter sa robe, tu décides de lui obéir. Pourquoi ? Eh bien clairement.. La tâche se trouve juste au niveau de son décolleté alors même si tu prétends ne pas faire ça pour lui toucher les seins, c'est peut-être bel et bien le cas. Tu t'appliques à faire disparaitre cette tâche mais tu fais pire que mieux, tu l'étales plus qu'autre chose. Ouais bon... J'avoue que j'sais pas trop quel genre de mecs tu pourrais attirer avec une odeur pareille. Tu souris, t'entends à sa voix qu'elle se détend un peu. La crise est-elle définitivement passée ? T'as un doute là dessus. Pas aussi facilement. Pas de quoi, désolé en tout cas. Ouais, tu décides de tout de même t'excuser de la gaffe, après tout, elle t'a tout de même remercié et vu le caractère de feu de la demoiselle, tu comprends vite que ce n'est pas tous les jours que ce genre de chose doit lui arriver. Tu te mets à fixer la demoiselle, un petit sourire aux lèvres sauf que lorsqu'elle vient t'asperger de son parfum, tu te mets à grimacer. Ouais, tu t'attendais pas du tout à ça, elle t'a bien eu sur ce coups-là. Bon.. J'peux clairement oublier l'idée de repartir avec une fille ce soir en puant. Tu te mets à rire avant de glisser une main dans tes cheveux. Un point partout, balle au centre. Lorsqu'elle s'approche de toi pour venir sentir ton cou, tu sens un frisson te parcourir le corps. Bordel, c'est possible qu'une grande gueule comme elle te fasse autant d'effet ? Ouais, en réalité c'est tout à fait possible vu que c'est ce genre de femme que t'aime. Tu hausses un sourcil en plongeant ton regard dans le sien. Tu trouves vraiment ? Souffle-tu avant de t'approcher de la demoiselle à ton tour, glissant une main sur sa hanches, tu viens sentir à ton tour son cou, effleurant sa peau de ta joue. Ouais, tout compte fait j'avoue qu'il sent plutôt bon ce parfum.. Il cache bien l'odeur de bière.

— Bal fin d'année, 19 mai 2018
Il s'excuse, c'est un bon début. Chacun d'entre vous reconnait plus ou moins ses erreurs. Tu t'avances jusqu'au miroir où tu admires l'étendu des dégâts. Tu soupires bruyamment et t'asperges de parfum. Tu te dépêches d'aller vers l'inconnu et tu fais de même sur lui. Tu éclates de rire à sa remarque. " Fallait y réfléchir avant monsieur le baraqué qui sent la fille. Et il sent bon mon parfum, il ne pu pas. La bière ça pu, pas mon parfum. C'est mort pour toi ce soir, la prochaine fille qui va t'approcher sentira mon odeur. " Tu rigoles de plus belle, il a l'air intelligent maintenant qu'il sent ton parfum. Tu humes directement dans son cou et tu hoches la tête en te reculant. " Oui. Ça fait un bon mélange, ton odeur corporelle et mon odeur superficielle ... Tu dégoulinais de testostérone, c'est bon maintenant. " Tu pouffes de rire, tu te moques mais vu le ton que tu prends, c'est plus taquin que piquant. Mais ce que tu n'as pas prévu c'est qu'il s'approche de toi. Ce mec, cette armoire à glace qui fait dix têtes de plus que toi. Tu te figes, qu'est ce qu'il fait là ? Tes sourcils se froncent, tu t'arrêtes même de respirer. Il pose sa main sur ta hanche, ta bouche s’entrouvre. Tu ne peux pas le pousser, avec ta force de mouche, il ne va pas bouger d'un centimètre Tu fermes les yeux pour mieux appréhender ce qu'il s'apprête à faire. Tu sens sa joue te coller, tu n'oses pas bouger. Tu rouvres les yeux et le regarde s'éloigner. " Mouais. On sent encore la bière. " Tu reprends assez vite tes esprits et reprends ta pochette qui est restée sur le rebord du lavabo. Tu ranges ton parfum et ton portable dedans puis te tournes vers l'inconnu. " Maintenant je veux bien un verre. Au fait, moi c'est Stella. " dis-tu en t'approchant de la porte des toilettes. Tu affiches un mince sourire et replace tes cheveux derrière ton oreille. Tu essaies de faire abstraction de l'odeur de bière qui t'inonde les narines.

Du coups.. On va devoir finir la soiré ensemble j'crois bien. Tu hausses les épaules avant de te mettre à rire. Ouais, tout compte fait, peut-être que passer la soirée en sa compagnie ne serait pas si pénible que ça. Elle a l'air plutôt marrante cette fille si on en oublie qu'elle est assez colérique. Lorsqu'elle vient te sentir, tu ne perds pas de temps pour en faire de même, faisant même exprès d'effleurer sa peau. Si elle te cherche, elle risque de rapidement te trouver, surtout si vous rentrez dans un certain jeu de "séduction" même si on ne peut pas encore dire que ça en soit réellement un. Waouh, tu acceptes ma proposition de tout à l'heure ? Est-tu sûre qu'elle tient toujours ? Dis-tu en souriant afin de continuer de la taquiner. En réalité, bien sûr que t'as envie d'aller boire un verre avec elle. Elle t'intrigue cette fille, t'as envie d'apprendre à la connaître un peu plus. Bon à vrai dire je meurs de soif. Moi c'est Enzo. Tu te mets à la suivre jusqu'au bar. En arrivant enfin à ce dernier, tu te tournes vers elle. Qu'est-ce que tu bois ? Une bière ? Propose-tu en riant.

— Bal fin d'année, 19 mai 2018
Tu as retrouvé le sourire, tu es plutôt bipolaire comme fille, tu montes et descends dans les extrêmes avec beaucoup de facilité. Tu hausses les épaules et regarde ton interlocuteur d'un air amusé. " Pourquoi elle ne tiendrait pas ? Tu as peur de ce qu'il pourrait se passer ? " Tu le défies du regard et passes devant lui en le snobant un peu. Il te dit son prénom et tu es étonnée. " Enzo ? Une armoire à glace comme toi s'appel Enzo ? C'est curieux, j'aurais vu un autre prénom. " Lequel tu ne sais pas mais surement pas Enzo. Tu traverses le couloir et la foule opaque pour finalement te rendre au bar en compagnie de ton nouveau garde du corps. Une fois au comptoir, tu fais un signe discret au serveur pour qu'il s'approche de vous pour prendre votre commande. Tu affiches un sourire et te rapproche de lui, tu n'entends pas grand chose avec toute cette agitation. " Tu sais où tu peux te la mettre ta bière Enzo ? " Tu humectes tes lèvres et exploses de rire. " Un cocktail c'est parfait, surprends-moi tiens, commande pour nous deux. " Tu te tournes et regarde la foule en délire. Tu es sereine, la tempête est passée. Tu regardes ensuite le serveur qui apporte vos deux verres. " Tu as des origines Enzo ? " Evidemment que oui mais tu n'arrives pas à les trouver. Scandinaves, Russes, Germaniques ? Tu sais en tout cas que c'est un pays de l'est.

Et la voilà qui se met à te sourire, à croire que la tornade est réellement derrière vous. Cette soirée à ses côtés risque d'être pas mal intéressante finalement. Tu ne risques pas de t'ennuyer au moins. Peut-être bien, t'as l'air assez imprévisible comme fille. Tu ris avant de te mettre à la suivre, comme un putain de clébard. Tu hausses les épaules lorsqu'elle te dit qu'elle t'imaginait porter un autre nom. C'est pour aller avec mon côté sensible. Réponds-tu sur le ton de la rigolade avant de marcher à ses côtés en direction du bar. Vous vous frayez un chemin à travers la foule, ce qui est loin d'être toujours facile. Il y a vraiment trop de monde à ce bal, t'aurais peut-être mieux fait de rester chez toi tout compte fait. En arrivant enfin au bar, tu tentes une petite blague concernant la bière qui semble faire rire ta compagne, tant mieux. Manquerait plus qu'elle se mette de nouveau à te hurler dessus devant tout le monde. Très bien, princesse. Tu lui adresse un clin d'oeil avant de te tourner vers le barman pour commander deux blue lagoon. Autant laisser tomber la bière pour ce soir, ça a déjà fait assez de dégâts comme ça. Une fois ta commande passée, tu te retournes vers la jeune femme. Ouais, cent pour cent allemand. Et toi ? T'es vraiment curieux de savoir les origines de la demoiselle, elle t'intrigue tellement cette fille. Elle a un tempérament de feu et qu'est-ce que ça te plaît ça. Ton cavalier est dans le coin ? Demande-tu en jetant un regard autours de toi tandis que le barman posait les cocktails sur le comptoir. Tu le remercie avant de payer les consommations et de donner un verre à Stella. J'espère que le choix te plaît. J'ai voulu éviter le basique mojito, histoire de t'impressionner un peu. Dis-tu en riant.