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ALIPER ξ I'ma drink the pain away

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I'ma drink the pain away
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• Dans cet état, je ne sais même pas si je serais capable de pouvoir tenir une conversation intelligente sans m'embrouiller avec moi-même. J'ai déjà débattu pendant des heures, assis dans un canapé ou sur une chaise de jardin à regarder les étoiles, à refaire le monde en me prenant pour un philosophe. Pendant ces moments-là, je me suis toujours senti illuminé par une lumière divine qui m'apportait le savoir et des réponses à toutes les questions que je me posais, comme si j'allais tout pouvoir faire, tout pouvoir résoudre. Débattre sous l'emprise de l'alcool c'était comme une seconde nature à cette période de ma vie, comme si j'étais fait pour être un philosophe et tenir des conférences devant un amphithéâtre entier d'étudiants qui seraient assis à boire mes paroles. Mais bon, je pense que tout ça, c'était seulement dans ma tête, qu'il n'y avait rien de bien vrai, rien de censé dans mes paroles, et qu'on me comprenaient car on était tous dans un état second, un putain d'état qui nous rendait vulnérable, con, abruti. Ce soir, je ne débat pas, enfin, je sors quelques phrases assez philosophique comme la référence au légos. Ouais, Piper et moi sommes des légos fait pour nous emboiter. Vachement charmant, on est pas des pièces qu'on assemble dans Tetris, mais voilà, c'est sortie quand même, l'alcool et la drogue, surement. "AHAH ! Ça t'a fait rire !" Ouais, elle qui voulait rester sérieuse, elle n'a pas tenue longtemps, et ça même si elle essaie de se rattraper. "J'ai des mains pas assez grandes pour mon petit légo... Y'a que toi qui peu l'utiliser tu vois..." J'trouve ça plus charmant dit de cette façon en fait, comme quoi, l'alcool me rend charmant dans mes paroles. Bref, je finis par lui avouer le pourquoi du comment je suis comme ça, et sa réaction ne se fait pas attendre. C'est limite si elle ne me hurle pas dessus, et j'ai même droit à un coup de pochette. "Mais arrrêttte de me taper !" Même si je ne sens pas grand chose en fait, l'alcool, encore. Mettant les mains devant moi pour me protéger, je reprends. "Déjà, j'vais appeler sos homme battu, et déjà deux, c'est pas ma faute, j'ai fait confiance et j'me suis fait baiser ! Moi j'croyais vraiment c'était une clope hein..." Haussant les épaules, j'ai envie de rire, j'vous jure, j'ai envie de rire, mais je me retiens, elle va croire que je me fous de sa gueule alors que c'est pas du tout le cas, c'est juste que dans les situations ou il faut pas rire, bah j'ai envie de rire, c'est nerveux je crois. •

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Le voir comme ça, ça me donne envie de le taper, mais aussi de l'enfermer dans une pièce. Pas pour le punir, mais en mode, pour faire une expérience quoi. Lui seul avec un miroir, il serait capable de se parler seul, en croyant qu'en fait, il y a quelqu'un d'autre dans la pièce avec lui. Ca pourrait être marrant, pour moi, et peut-être que ça ferait avancer la médecine, pour la rechercher des gens qui deviennent débiles à cause de l'alcool. Non là, sérieusement, j'ai l'impression d'avoir un adolescent avec moi. Merci mon dieu, il ne semble pas avoir l'étape gamin attardé, sinon, là, je l'aurais déjà assommé depuis un petit moment. Mais bon, là j'en suis loin vu que ce petit con, bah il arrive à me faire rire. Ah, bah, là, je suis foutue, parce qu'il va s'en servir pour encore plus faire le fier, alors qu'il ne devrait pas. "Oh la ferme !", je lui répond, le fusillant du regard, parce que ce n'est pas drôle, même si je me retiens de rire. Non, il ne faut pas que je rigole. Je suis là pour lui mettre la misère, le gronder parce qu'au lieu de m'amuser et de danser, je suis entrain de m'occuper de mon copain bourré. "Et bien désolée, mais je ne compte pas toucher à ton petit légo avant un bon moment", je continue dans ma lancée, pour finir par le taper avec ma pochette. Ce mec est inconscient !. Non mais je vous jure, parfois, je me demande bien s'il est vraiment le père de Quincy. Je pense qu'ils ont dû échanger les corps, genre Quincy est en vrai le père, et Alek, le gamin. Vais-je arrêtée de la taper ? Non, non, pas tant qu'il continuera à m'annoncer ses conneries. Un joins, voilà qu'il se met à prendre de la drogue. Bon, il a dû faire pire quand il était sur le campus, mais de là à confondre un joins et une clope, non, même moi, je peux faire la différence. "De un, sos homme battu ne voudront pas de toi, de deux, d'où tu fais confiance à n'importe qui ? Et trois, d'où tu ne sais pas faire la différence putain ?", je lui demande, me retenant de le taper à nouveau avec ma pochette. "Bon...tu te sens mieux, ou bien tu as encore quelques bêtises à faire ?", je lui demande, croisant mes bras, mais en gardant bien ma pochette pour le taper. Oui, on ne sait jamais.

© LOYALS
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