Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Et moi ?) Un gout dément déconseillé aux mineurs - Page 2
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(Et moi ?) Un gout dément déconseillé aux mineurs

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Tu la vois face à toi, elle vient d’embrasser la joue lentement et toi tu souris comme un idiot. Tu la regardes même t’échapper. Ta main s’échappe lentement de la sienne, tu l’observes, elle était vraiment magnifique ce soir, d’une magnifique beauté et tu n’en reviens pas qu’elle était à toi. Tu lui souris alors à sa remarque, tu humectes même tes lèvres. Mais voilà qu’elle te fait cette question. Elle te la pose réellement, genre à toi, vu comment elle t’a excité durant tout le trajet, elle a vraiment envie de plus en fait, alors tu hésites une seconde et sa remarque te fait rire légèrement. C’est pas de l’appartement dont j’ai envie d’être charmer tu souris un peu plus et tu t’approches d’elle lentement pour fermer la porte. Tes lèvres rejoignent les siennes une seconde, une seule seconde mais tu as trop envie de l’embrasser encore et toujours. Alors tu ne te gênes pas d’un poil. Tes lèvres se déposent à la perfection sur les siennes, plaisir divin que possède ce geste mais ce n’est qu’un baiser, un simple baiser entre les deux jeunes personnes qui ont envie de plus non ? Parce que oui ce soir tu n’avais d’yeux que pour elle, simplement pour elle. Comme si à chaque fois que tu dansais avec une personne tes yeux se posèrent toujours sur les siens. C’était un plaisir, une envie de le faire et puis elle ne voulait plus, alors tu dormiras avec elle, simplement sans plus sans rien, juste vous deux, comme tu l’as déjà fait plusieurs fois.
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Le plaisir divin de sa compagnie, l'envie de le savoir près de toi, l'envie de l'avoir près de toi même. Noah Ferrari est un connard qui te fait chavirer à chaque fois qu'il pose ses yeux sur toi. Quand il te voit, c'est comme ci personne d'autres n'était là. Il a cette façon de te regarder que personne d'autres n'a. Il a cette faculté à te rendre bien, alors que t'étais au fond du trou il y a pas si longtemps, alors non, tu veux pas que la soirée se termine maintenant, tu veux pas que tout s'arrête là maintenant tout de suite. Tu le veux. Entièrement. Même si ce n'est que pour une nuit et qu'il finit par se casser. Tu le veux, lui et lui seule. Alors c'est avec ce sourire des plus charmeurs que tu l'invites à rester un peu plus, pour visiter ton appartement un peu plus en détail. Sa réponse t'arrache un large sourire alors que tu le fixe, tu le regarde faire. Il referme la porte et t'embrasse de nouveau. Intensément. Doux plaisir. Envie d'interdit. Tu colles ton corps au sien, pour lui rendre ce qu'il te donne. Tu détache tes lèvres des siennes un instant pour murmurer à son oreille Je croyais que tu étais déjà sous mon charme. au timbre de ta voix, on devine que tu as ce sourire joueur et satisfait. Tu mords légèrement le lobe de son oreille Dis le et je suis à toi... que tu susure à son oreille alors que tes mains se baladent sur son torse. Tu veux l'entendre dire, qu'il a envie de toi, qu'il est sous ton charme. Tu veux pas de promesse que ça sera toujours le cas, mais tu veux savoir que ce soir, alors que tu es rien qu'à lui, il est rien qu'à toi.
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C'est terminé, tu viens de tomber sous son charme le plus ultime. Elle avait déjà la robe la plus belle de toutes les femmes présentes ce soir. Et maintenant elle te chauffait littérallement pour rentrer chez elle. Alors tu ne te fit pas prier, tu rentras, oh jamais tu laisses une femme sur le pallier de sa porte non mais oh. Ainsi, une fois la porte fermée, tu te tournas pour l'embrasser. Mais pas ce baiser des années d'enfance, non, ce vrai baiser comme celui que tu as envie qu'il ne s'arrête jamais. Elle commence à te donner chaud et son corps contre le sien, cela ne t'aide pas du tout. Tu finis par fermer les yeux, ses paroles te provoquent de l'excitation, encore plus que tout à l'heure. Tu vas finir par devenir dingue, vraiment dingue si elle continue. Et finalement, tu penches la tête vers le bas. Tu relèves ton regard, tu l'observes, tu souris un petit plus et tu t'approches finalement. Tes lèvres se perdent au niveau des siennes une nouvelle fois, t'es obligé de le dire pour qu'elle te lâche ou tu peux vivre avec ce secret. Quoi qu'elle a envie de le savoir, elle veut le savoir, alors tu vas pas te gêner d'un poil. Tes lèvres se déposent lentement au niveau de son oreille, toujours ce sourire en coin de satisfait ou de bourreau de torture en fait Tu m'excites.. Et j'ai tellement envie de toi.. J'avais déjà envie de toi à l'instant où t'es rentré dans la voiture tout à l'heure.. J'avais envie de toi pendant cette danse.. Et j'avais envie de toi dans cette voiture.. J'aurais pu coucher avec toit tellement de fois dans cette soirée.. Que là, crois moi, ça va durer toute la nuit et à chaque blanc que tu as déposé, ta respiration était coupée, comme si tu soupiras, comme si tu étais presque en train de souffler de plaisir. Mais t'es un enfoiré qui joue très bien, la preuve, t'es super fort au poker et en matière de mettre les filles dans ton lit. 20/20. Un vrai connar bourreau des coeur. Mais cette fois-ci c'était bien plus vrai et cela se sentait à la voix, tu n'avais plus ce sourire satisfait mait tu avais ce petit ton de voix qui en disant loin. Soit à moi Lia.. Cette nuit et toutes les autres Elle t'a quand même galéré, tu as le droit d'avoir une récompense.
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T'es plus le genre de fille qu'on a dans son lit en quelques belles paroles. Tu l'as été, t'as enchainer les relations quand t'as sombré dans les démons, mais plus maintenant, c'est pas parce que t'es barmaid que tu t'envoie en l'air tous les soirs. Aucun homme n'a réellement trouvé ton attention jusqu'à lui. C'était peut être son air un peu perdu alors qu'il jouait au billiard qui t'as attiré, ou bien son air de con, ou bien un tout. Tu saurais pas l'expliquer, mais dès le début, tu le savais dans le fond, toi et lui, ça serait plus qu'une simple histoire. Vous allez probablement vous déchirer, vous faire du mal. Parce que c'est toujours comme ça les relations, mais pour le moment, il te fait tellement de bien. Il te rend dingue, avec sa répartie à toute épreuve et sa sexytude. T'es entrain de tombée. D'avoir une Noalyte aigue et sévère, foudroyante. Au placard tes principes, tu l'as assez fait galéré comme ça. Là, t'as plus envie. Tu l'invites à rentrer, mais comme toujours, avec tes paroles et tes sous entendus. Un léger sourire aux lèvres. Il finit par entrer, avec toi et referme la porte derrière lui. Le monde n'existe plus. Les autres sont gommés. Il t'embrasse, te laissant voir toute cette envie qu'il a. Là vous êtes plus au petit bisou, c'est plus, plus intense, plus fort. Plus tout. Ca compte plus. Tu le torture encore un peu, rien qu'un peu. Douce joueuse, tu es la rose, sublime et piquante, tu le cherches, tu veux lui faire perdre pieds, mais plus ça avance, plus c'est toi qui tombe un peu plus sous le charme Ferrari. A ce sourire joueur alors qu'il parle à ton oreille et te procurre un long frisson qui travers tout ton corps. Il te le dit, de la façon la plus crue possible : il a envie de toi. Tu l'excites. Et l'entendre, ça te plait. Lui, il va droit au but. Et c'est ça que t'aimes chez lui. T'es mains balladeusent partent à la rencontre de son corps et notament au niveau de son anatomie que Tu n'as encore jamais vu. Ta main prolonge un peu son passage sur cette zone, ta caresse est plus lente et plus insistante, constatant qu'effectivement tu semble lui faire de l'effet et savoir cela te donne encore plus envie de passer le cap. Tu te mords la lèvres inférieur à l'entente de ses paroles. Il a l'air tellement sincère. Que t'y crois. Je ne compte aller nulle part. que tu lui réponds en un souffle alors que ton coeur s'emballe. Il bat trop vite, trop fort, parce que vous êtes trop tout. Vous êtes dans les prémices de la passion. Dévorante et enivrante. Tu finiras par l'avoir dans la peau ce gars là. J'ai envie de toi.. que tu avoue au creux de son oreille avant d'embrasser son cou, et de laisser tes mains glisser sur son torse retirant avec habileté sa cravate et s'attaquer aux boutons de sa chemise, Et si je te liberai un peu de tout ces vetements ? tu as ce sourire en coin rempli de malice et t'arrive aux boutons de sa chemise, t'en défais un, mais t'as pas la patience de les défaire un à un, ça fait trop longtemps que tu te contiens, en véritable sauvage, tu ouvres sa chemise pour caresser son torse, pour sentir sa peau, pour le sentir près de toi.
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Tu ne sais pas si c'est une chance ou un cadeau. Tu as tellement galéré après Ana, tu as joué, tu t'étais éclaté, t'es passé pour un con mais t'as fini par souffrir. Tu as décidé que jamais cela ne t'arriverait mais pourtant, c'est ce qui est en train de se passer. Une attraction pour Emilia. Une simple attraction ou plus. En fait, tu as promis de ne plus t'attacher. Violet et Tessy c'était déjà trop tard mais ce n'était qu'un détail, tu ne voulais plus souffrir, terminer les heures à boire ou à voir ces femmes danser. Là, tu avais juste envie de coucher avec une femme superbe et pourquoi pas plus ? Plus dans autre sens, parce qu'elle ne te rend pas indifférent, toi le bloc celui que tout le monde appelle le joueur et même l'enfoiré avec les femmes, parce que tu es comme ça et tu adores ça. Sauf qu'avec elle c'est différent, avec Lia c'est bien plus que ça, tu ne veux pas lui faire de mal, tu ne veux pas la faire souffrir, tu ne veux pas la perdre. Alors oui, tu joues avec elle quelques secondes parce que c'est toi, parce que tu l'as décidé, tu veux t'éclater toi, tu veux t'amuser mais tu veux aussi l'avoir. Et c'est compliqué d'avoir une femme comme elle, différente, qui fait peu attention à elle mais qui arrive à faire des efforts, comme ce soir. Tu caresses sa joue doucement, elle ne compte aller nul part et ça te va, alors tu l'embrasses, comme il se doit, tu déposes tes lèvres sur les siennes, tu en caresses même la nuque. Elle ne partira pas, du moins ce soir, t'es chez elle, donc c'est toi qui partira. Mais non. Depuis Ana tu as peur de partir des lits des femmes, comme si elle t'avait changé. Tu t'es réveillé un matin sans l'avoir à tes côtés et elle a réussi à te briser à cet instant, alors oui depuis tu flippes ne plus pouvoir revoir Lia, qu'elle te quitte comme elle. C'est différent de cette peur de l'abandon mais peut-être pas en fait. Tu as senti sa main, sa main qui glisse sur ton corps et finalement ça te fait du bien, ça t'excite encore plus, elle va te rendre dingue, totalement dingue. Et cette phrase tombe, elle t'envoie des signaux, tu l'embrasses une nouvelle fois, de façon différente, avec beaucoup plus d'envie et de certitude que tu vas réussir à l'avoir, parce que tu la veux. Et ses lèvres qui glissent sur ton cou, elle commence à retirer ta cravate qu'il faudra que tu rendes d'ailleurs à Hades, et enlèves ta chemise, enfin enlève sauvagement les boutons de ta chemise, c'est pas possible, elle vient de te détruire une chemise. Petit sourire en coin d'ailleurs quand elle te pose la question Fais toi plaisir, je vais me gêner non plus. Le seul bon côté, c'est que t'as pas un poil sur le torse avec ton côté italien imberbe, merci la famille. Et voilà que ta chemise se pose par terre, tu décides de l'embrasser, tes deux mains sur ses joues, elle t'a chauffé pendant trop longtemps, hors de question de faire machine arrière. Tes lèvres dérivent sur son cou, tu caresses sa hanche et tu la tournes pour enlever la fermeture de cette robe combien magnifique même si tu la préfères sans et voilà que tu fais glisser les manches sur ses bras. Tes lèvres commencent à embrasser sa nuque puis ses omoplates, tu fais glisser réellement les manches pour qu'elle tombe ainsi par terre. Et la voilà en sous vêtements juste pour le plaisir de tes yeux et de tes yeux, seulement de tes yeux et aussi de ton envie mais ce n'est qu'un détail.
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Tu ne pensais plus vouloir fréquenter quelqu'un, après le départ d'Adam qui t'as laissé dans le silence et la peine, tu voulais juste du silence, du calme et de la solitude mais Noah a fait voler tout ça en éclat. Il t'a rendu l'envie. L'envie de tout. T'aurais dû t'en rendre compte que votre rencontre n'était pas anodine. T'aurais dû le savoir qu'après ça, Noah risque de rythmer ta vie, en bien, en mal, en tout. Parce qu'entre vous, c'est foutrement hypnotique, foutrement simple et compliqué à la fois. Entre vous, c'est le chaud, le froid. Mais ce soir, c'est brûlant. Je pense qu'au fond, tu as su que tu allais lui céder dès que tu as enfilé cette robe bleue éliot, pour lui faire honneur. Tu as su que tu voulais plus dès que son regard s'est posé sur toi au début de soirée. Parce que Noah t'as rendu le sourire, il t'a donné le goût du rire, de la séduction. Tu as attendu avant de passer le cap avec lui. Tu as attendu pour être différente de ces filles qui s'offrent à lui dès le premier soir et ne sont pas grand chose dans le fond. Tu aspires à plus. Alors t'as appris à le connaitre, à le comprendre, mais d'un côté c'est comme ci tu le connaissais depuis toujours tellement il te comprend. Il arrive quand même à t'impressionner, à chaque fois. Ce soir encore, son comportement était adorable en public. Et même en privée, car sans ton aval, il n'aurait rien tenté, il aurait probablement dormi avec toi, encore une fois, sans rien dire, sans se plaindre ou être lourd. Tes plans sont simplement différent. Son corps t'attire. T'as envie de lui et t'as plus envie de lutter contre cette instinct primitif. Son corps entier semble prêt quand tu l'inspecte et ça te plait, de plus en plus. Tu lui murmure quelques paroles à l'oreille, pour lui faire comprendre ton envie, ton besoin. Ton corps entier répond à votre proximité physique, ton coeur qui s'accélère, le frisson qui te parcoure. L'excitation fait battre tout ton être. Sa cravate s'écrase au sol sans ménagement, sa chemise la rejoint peu de temps après, juste le temps de la lui retirer. Tes mains redécouvrent ce corps d'une autre façon. Il t'embrasse de nouveau, de façon plus intense, plus intime, ses baisers glissent vers ton cou et ta respiration s'emballe un peu plus. Ses mains descendent à la rencontre de tes hanches et il fait en sorte que tu sois dos à lui pour s'en prendre à la fermeture de ta robe et la descendre. Tu fermes les yeux et profite de son contact, de ses gestes. Les manches de ta robe glisse lentement le long de tes bras et ses baisers rejoignent ta nuque, tes omoplates et le tissu rejoint le sol, lui offrant la vue de tes sous vêtements en dentelle, bleus, assortie à la robe, autant faire les choses bien jusqu'au bout. Lentement, tu lui fais face de nouveau, histoire qu'il constate jusqu'au bout l'effort que tu as fais, mais aussi de t'assurer que ce qu'il voit lui plait toujours. Dans le fond, on ne peut pas dire que tu ai une confiance en toi sans faille, le départ d'Adam l'a ébranlé, méchamment, et tu fais juste en sorte de la retrouver peu à peu. Tu lui adresses un sourire tout en le poussant légèrement afin qu'il se retrouve dos au mur et tes lèvres rejoignent son torse pour l'embrasser avec envie alors que tes mains glissent et s'attaquent à la ceinture de son pantalon, que tu retire sans mal. Et c'est avec douceur, que, sans te presser, comme pour faire monter encore un peu la pression ou pour profiter un peu plus de l'instant, tu descends son pantalon et son boxer en une seule fois, les faisant rejoindre le sol de ton appartement miniature. Tu le découvre dans son plus simple appareil. Tu le découvre entièrement, sans artifice. Tu cesses tes baisers un instant pour le regarder ou plutôt l'admirer entièrement, tout son être et tu lui glisses, yeux dans les yeux pour qu'il voit que tu ne mens pas Je suppose qu'on vous l'a déjà dis, Présent Noah Ferrari ... mais ... vous êtes la parfaite alliance du séduisant, beau et sexy. et encore, t'as pas encore mater le côté face. Un léger sourire et tu t'empare de nouveau de ses lèvres pour l'embrasser. Ton être entier est en feu. Et tu le sais, tu ne regretteras pas une seconde cette nuit avec lui.
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Ok, le jeu est terminé, tu as bien compris la chose, surtout le jour où tu l'as invité à ce bal pourri. Parce que tu avais juste besoin d'une présence que tu connais, une personne devant qui tu ne pouvais pas t'énerver comme un mal propre, parce que tu en aurais donné des claques sinon, tu en aurais niqué sinon des gens, dans le terme violence mais elle était là, donc tu te devais d'être respecteux, calme et simplement gentil. Elle t'avait aidé à passer ce cap à oublier le côté impulsif et violent sauf peut-être à l'heure instant ou tu t'approchas d'elle pour l'embrasser parce que tu en avais envie tout autant qu'elle. Découvrir ce corps que tu as tant de fois toucher, caresser mais jamais gouter de tes lèvres de ta chair, de cet affrontement vital. Alors ouais, tu lui enlèves cette robe si lentement que tu ne te reconnais pas toi même mais ce n'est qu'un détail. Quand elle est enfin enlevé, tu peux gouter à cette peau, à cette blancheur si délicate, à cette porceleine que tu gardes si précieusement dans ton placard. Cette fille tu as galéré chaque seconde, dès la première seconde jusqu'à aujourd'hui, comme si elle avait besoin de ton attention. Tu n'avais ton regard sur elle toute la soirée et personne d'autre, même quand tu dansais avec ta soeur ou même Ana, ce n'était qu'elle que tu regardais. Et elle t'a changé, quoi qu'elle dise, elle a réussit ce soir. Tu as été examplaire, alors que tu aurais vu une connerie arrivée dès la première seconde. Mais elle finit par t'enlever ton pantalon, puis finalement ton boxer tout en même temps. T'as aucune gêne pour ton corps, mais le fait qu'elle soit loin te rend un peu fruster. Tu la regardes, tu souris en coin, tu te mords la lèvre inférieur encore, comme si elle te donnait envie juste comme ça. Et c'est finalement le cas, elle y arrive en un regard, elle arrive à te faire monter en pression en bas en un seul regard sur ton corps. Tu t'approches d'elle, parce que tu en as plus qu'envie là maintenant tout de suite Maintenant que tu as bien observé et détaillé mon corps, tu risques d'en rêver pendant des années taquinerie alors que tu l'embrasses aussitôt, et finalement c'est un baiser d'envie voir plus, sauvage et délicat à la fois, l'alliance parfait entre elle et toi en fait Tu t'échappes pas hein, pas ce soir il n'y a que toi pour lui dire ça, parce que tu flippes encore qu'elle se casse de son propre appartement et finalement tes lèvres rejoignent les siennes, tu dégraffes son soutien gorge d'une main habile, l'habitude quoi et voilà que tes lèvres descendent, non tu vas pas laisser sur cette fin ou sur cette faim en fait suivant le contexte t'as pas encore totalement décidé de comment elle est. Et ça descend encore. Et tu t'éclates à tout embrasser, plus longuement certaines parties. Parce qu'elle t'a chauffé toute la soirée à sa façon, parce qu'elle a continué dans cette voiture et parce que là, sa culotte vient de glisser sur ses chevilles et tu contrôles plus rien. Et t'as aucune gêne à dire que t'es accroupi devant une femme pour lui faire plaisir. Mais ça, ça reste entre elle et toi et comme toute la partie de jambes en l'air qui suit en fait. Une nuit torride et démentielle comme elle n'en a jamais connu, sans doute dans toutes les pièces de son appartement. Mais ça tombe bien, y'a qu'une pièce principale et une chambre, rapide le tour du proprio.
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Si tu devais définir votre relation, tu dirais qu'elle est intense, hors norme. Il est très différent de toi sur beaucoup de point et tellement pareil sur d'autres. Vous vous tournez autour depuis un moment, un long moment. Vous avez jouer au chat et la souris. Tu l'as torturé, le laissant entrevoir ton corps sans jamais qu'il n'ait le droit d'y goûter. T'as été une vraie sadique, à le chauffer pour ensuite le faire redescendre. Et il a tenu. Et plus il tennait, plus t'avait envie de goûter au fruit interdit. Plus t'avais envie de connaitre entièrement son corps. Alors ce soir, tu craques, tu te laisses aller vers ce doux plaisir. Dans la voiture, tu le chauffe et t'arrête pas. Tu l'invite chez toi, tu le gardes à tes côtés, et c'est ton envie qui prend le dessus, ta passion et ce besoin, ce besoin qui te ronge : t'as besoin de l'avoir pour toi, même si ce n'est qu'une fois, t'as besoin que rien qu'une fois, il soit à toi. Juste une fois, rien qu'à toi. T'as besoin de le sentir contre toi. T'as besoin de te sentir rien qu'un peu importante pour lui. Ta raison est partie aux oubliettes, tu ne réponds plus d'elle. Ton coeur bat fort quand il retire ta robe, de manière lente et douce, pour lui laisser la vision de ce corps qu'il connait pour le moment, mais auxquels il peut goûter. Auxquels tu veux qu'il goûte, tu veux qu'il soit proche. Son regard sur toi te fait du bien, parce qu'il a l'air d'apprecier de te regarder. Tu lui fais face pour l'embrasser de nouveau, comme ci t'étais pas rassasier de ses lèvres, de sa peau. T'as cette envie folle en toi. Tes mains à la rencontre de son corps, à la découverte de son être entier. Tu l'avais déjà touché, en dormant ou bien en rigolant avec lui mais là c'est différent. Totalement différent. Tes mains glissent le long de son torse pour finir par lui retirer ses derniers vêtements, pour le voir, lui, sans rien pour cacher. Tu le regardes, tu l'admires, rien qu'à voir son excitation, la tienne monte en flèche, tout ton corps répond à ce qu'il est entrain de se passer entre vous. Tu le regarde dans les yeux pour le complimenter, c'est simple, il a un corps parfait. Et t'as envie ce soir, de connaitre chaque grain de beauté qui parselle sa peau. Tu souris à sa réplique et il revient t'embrasser, avec cette passion qui vous animme ce soir, avec cette envie qui vous dévore l'un comme l'autre. Un cocktail entre la douceur et la sauvagerie. Tu te colles à son corps nu, sans artifice, tu lui rends son baiser, tu profites du moment. Alors que t'as qu'un désire : ne faire qu'un avec lui. Entre deux baisers, tu réponds à sa demande Promis. tu lui souffle ce simple mot à l'oreille, une promesse solennelle, demain matin, tu seras là, tu ne seras pas partie comme tu as pu le faire parfois, comme tu as pu fuir parfois. Là tu n'as pas envie. Vos lèvres se scellent, encore une fois alors que vous vous découvrez de nouveau lui et toi. Sous un nouveau jour. Il retire ton soutiens gorge, il tombe par terre et ton souffle s'intenssifie quand tu le sens embrasser ton corps, il descend peu à peu, passant de ton cou à ta clavicule, visitant ta poitrine pour aller vers ton ventre, tu t'adosses au mur, alors que tes soupires se font plus fort. Une de tes mains caressent ses cheveux alors qu'il prend soin de toi à sa façon. Il intenssifie sa présence quand il sent que tu aimes plus particulièrement et il finit accroupie face à toi, pour ton plaisir alors que tes gémissements, qui se transformeront au long de la nuit en cri, brisent le silence de la nuit. Dans le noir, alors que Boston la magnifique, l'américaine, dort, vous ne dormez pas. Ca sera votre secret, à toi et lui. Rien qu'à vous. Vos ébats briseront le calme de la ville endormie. Passant par chaque recoint de ta propriété. Faisant une visite approfondie du propriétaire, pour une nuit qui se prolonge jusqu'au petit matin, sans pause, sans arrêt. Juste entre vous. Toi et lui. Ensemble. Et dans un certains sens, ne formant plus qu'un.
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