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Archi fiche;- terminée C'est le 27/10/1988 à Londres, que la famille Greywood m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Archibald Lance. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bi-sexuel et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en Mathématiques appliquées et astrophysique depuis maintenant 8 ans je travail comme . Et pour terminer, je fais partie des dunster house. |
Études Comment j'en suis venu aux maths et au reste ? Réponse: pas d'autre alternative. Le truc c'est que je ne suis doué que pour ça ! Les équations à 20 inconnues, les dérivés, les axiomes, l'équation de Schroedinger tout ça me parle, aussi fou que cela puisse paraître au reste du commun des mortels. C'est un second language pour moi que je maîtrise plus habilement que ma langue natale. De plus j'adore ce petit goût d'énigme et de défi qu'il y a dans un problème de maths. C'est une des seules matières qui m'absorbent totalement. Pour ce qui est de l' astrophysique, c'est une passion. La seule chose que moi et mon père ayons partagé et puis c'est tout à fait en rapport avec mon caractère tête en l'air. Plus tard j'espère bien arriver à finir ma thèse et à décrocher un poste en tant qu' élève-enseignant et pour plus tard intégrer le corps enseignant de cette prestigieuse faculté. Sur le campus, on me trouvera généralement dehors sur l'herbe entrain de ruminer je-ne-sais-quel problème de maths ou encore à la bibliothèque. Intello un jour, intello toujours. Sinon, je sais aussi m'éclater et même si je ne suis pas le leader de la soirée, vous serez sûr de me retrouver dans un des bars voisins du campus en fin de semaine. Je fais un peu de sport mais faut pas pousser quand même ! Oubliez le gymnase, je fuis ce genre d'endroit comme la peste. | Caractère Lunaire : Je vis sur une autre planète. Les horaires, les obligations, les préoccupations mondaines...connais pas. Ce qui m'a causé quelques soucis, mais maitenant les gens me connaissent plus ou moins et savent qu'il ne faut pas s'attendre à un grand sérieux de ma part. Je planne ! Je vis dans mon monde rempli de formules et d'étoiles. Joyeux: c'est bête à dire mais j'ai en permanence des lunettes roses sur le nez. Je ne prends que la vie du bon côté, no stress, no soucy !Be happy, don't worry mon credo ! Je pousse même le trait et je force les gens que je cotoie à adopter cette philosophie là. Tête en l'air : Ne me confiez rien d'important, je risque de l'oublier n'importe où et de ne pas me souvenir où je l'ai mis. Gaffeur: je suis extrêmement maladroit. Heureusement que je n'ai pas choisi la chimie comme domaine d'étude, j'aurais fait exploser le campus dès la première semaine. Généreux: je pense d'abord aux autres et ensuite à moi. |
Everyone Has Their Own Story
Mon père est ambassadeur de la courronne et dans quelques mois, il reprendra du service pour sa majesté ! Ma mère quant à elle est devenue de par ma naissance, une ex-reporter télévisée. En gros, je suis tombé dans une famille de globe-trotters invétérés.
Mes premières années, je les ai passé en Afrique du Sud, je n'en garde que très peu de souvenirs mis à part la prèsence de Mikko, un petit singe qui me servait d'animal de compagnie et qui remplissait fort bien le vide créé par l'absence de mes parents courrant de safaris en dîners mondains avec le grattin de Pretoria.
A 5 ans, j'ai déménagé. Direction, Tokyo et là c'est le choc. D'abord, on commence à m'envoyer à l'école. C'est nouveau, c'est chouette. On m'a mis un uniforme bleu marine et j'ai eu mon propre cartable. Je suis avec d'autres camarades anglais, on ne mélange pas s'il vous plaît. Enfin, j'apprends tout de même un peu de japonais et puis notre majordome ne parle que cette langue là. Je commence à me faire à cette vie plutôt facile dans un pays que je ne connais que de l'intérieur d'une salle de classe. Bien sûr, mes parents m'enmènent de temps en temps avec eux pour visiter les splendeurs de l'île du soleil levant mais je ne suis encore qu'une chose encombrante pour eux.
4 ans plus tard, nouvelle affectation de mon père. C'est bête, je venais juste de me faire quelques amis hors la communauté britannique et je suis juste en âge de m'intéresser à la culture millénaire qui s'étale à mes pieds. Nous partons pour un tout autre continent, l'Amérique du Sud, direction Caracas et le Vénézuela.
Cette foi ci mes parents m'inscrivent dans une école huppée de la capitale. Le choc culturel est rude, très rude. Déjà, il me faut apprendre cette nouvelle langue qu'est l'espagnol pour moi et puis je ne me fais pas ni au climat, ni au caractère de ce pays en proie à divers troubles politiques. Les journées sont longues pour moi, je ne m'amuse que lors des cours de mathématiques dispensés par un vieux sage qui préfère nous donner des énigmes plutôt que de nous rabattre les oreilles avec le théorème de Pythagore. C'est de là d'où me vient mon goût pour les mathématiques, je pense.
Au bout de la deuxième année, je tombe malade. Quelque chose de sérieux, les adultes ne me disent rien et se contentent de sourire bêtement à mon chevet. Je ne vais plus en cours, quelqu'un vient m'en donner à la maison. Ma mère s'occupe un peu plus de moi et mon père a décidé de partager sa passion avec moi: l'astronomie.
Finalement, je remercie cet étrange virus qui me permet de me rapprocher de mes géniteurs et de partager d'agréables moments dans le jardin à écouter mon père nommer les différentes constellations.
Pour mon 12 ème annivesaire, je reçois un téléscope en cadeau, je n'en décolle plus, je reste pendant des heures à regarder le ciel, bravant par là même les prescriptions du médecin qui m'interdisent de rester très longtemps dehors.
Mon état empire, on me rappatrie en Angleterre, ce pays que je n'ai pas connu mais qui est soit-disant le mien. Là, je me rétablis peu à peu mais je m'ennuie. On m'a envoyé en pension dans un de ses établissements chics et huppés. Je déteste mes condisciples et ils me le rendent bien. Je suis petit pour mon âge et j'ai toujours l'air d'être malade. Les plaisanteries vont bon train et les maîtres laissent filer. Dans mon infortune passagère, je rencontre Jack. Lui aussi est plutôt du genre solitaire, il a quelques kilos en trop et n'est pas des plus rapides lorsqu'il s'agit de courire derrière un ballon de rugby alors lui aussi il fait partie de la caste des intouchables. Nous nous plaisons tout de suite, je suis le fort en maths, le scientifique, Jack a une âme de poète et un don pour les thèmes et les version latins.
Pour les vacances de Noel, je vais rejoindre mes parents. Je passe peu de temps avec eux mais cela me va, peu importe, j'y suis habitué. J'en profite pour m'absorber dans mon livre de maths, contempler les étoiles ou écrire à Jack.
Notre relation devient de plus en plus fusionnelle. Jusqu'au jour, où nous franchissons le pas.Un simple baiser derrière la cantine mais c'est assez pour nous faire renvoyer tous les deux. Mes parents ne sont ni furieux, ni ravis juste embarassés. On étouffe l'affaire, j'ai 15 ans. On nous interdit à Jack et à moi de nous revoir ou même de nous contacter. On parle d'une crise d'adolescence, des hormones, je m'en moque. On me change de lycée et cette fois-ci, je suis en pension chez mon professeur de mathématiques, un vieil hermite ami d'un de mes oncles.
C'est là, où je pousse mon amour des mathématiques à la perfection, le professeur Winglet m'a accueilli comme une sorte d'écuyer qu'il enmène en voyage dans le monde merveilleux des mathématiques. Il est fou mais je l'adore et je me crée un univers copié sur le sien où seules mes formules adorées ont place. Je finis mes études avec un excellent niveau en mathématiques et en sciences en général.
Je ne sais pas vraiment que faire à ce moment là. Je doute de tout. J'ai commencé à fréquenter un cercle plutôt libertin d'esprit comme de moeurs, j'ai goûté à tous les plaisirs sexe avec des filles comme des garçons, drogues, alcool, j'aime cet état d'insouscience qui me permet de vivre dans mon monde sans rendre de compte à personne.
Cependant la période d'émancipation n'est que de courte durée.Mes géniteurs me rappellent à eux, aux Etats-Unis, c'est là bas que j'irais continuer mes études. Mon dossier a été retenu par toutes les facs de l'Ivy League, une chance ! Je choisis celle qui me tente le plus : Harvard.
J'ai des clichés et des rêves plein la tête et je ne suis pas déçu en arrivant. Tout d'abord, le caractère américain me plaît beaucoup plus que la frigidité anglaise. En peu de temps, je sors de mon côté solitaire et me fais quelques amis. Je change de style aussi, le côté rêveur me va plutôt bien. La vie d'étudiant me réussit. Soirées, études, soirées, études voilà à quoi se résume mon quotidien et j'aime ça.
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