AZRIEL CHARLIE RAREWELL ▲ Lyndsy Fonseca.

C'est le 25 décembre en mille-neuf cent nonante-deux à Dallas, que les membres de la famille Farewell m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Azriel en premier lieu et Charlie en second. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisé. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy House ou les Cabot House.

elle est très maladroite et aime rire de tout et de rien Ҩ son rêve est d'aller en Russie Ҩ trahit une fois, elle ne pardonne jamais Ҩ ses amis vous diront qu'elle fait partie de ces filles qui ont un cœur énorme mais qui savent pas où le placer, elle fait partie des filles qui ont tellement de choses à donner sans rien demander en retour, elle fait partie de ces filles qui ne se sentiront jamais belles mais qui rassureront toujours celles qui doutent à ce sujet. Et surtout, elle fait partie de ces filles qui ne se rendent pas compte à quel point elles sont exceptionnels et à quel point le monde a besoin de filles comme elles Ҩ ne fait confiance qu'à quelques personnes Ҩ elle est nerveuse et ne tient jamais en place mais son pire défaut est la maladresse, du moins l'un des pires. Elle n'en rate jamais une mais heureusement qu'elle arrive à se contrôlée dans certaine situation Ҩ toujours stressée, c'est dingue Ҩ blessée au niveau des hommes Ҩ un super humour Ҩ parfois trop fêtarde Ҩ indomptable.

▲ Aujourd’hui, nous avons un professeur remplaçant en cours de sport. Après lui avoir expliqué mon problème cardiaque, il m'a quand même forcé à faire de l'escalade parce que, selon lui, "un tel problème lui aurait été signalé". Il a dû appeler une ambulance dix minutes plus tard. VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'y vais sans hésiter ! J'aime sortir et me changé les idées après une dur semaine de boulot. Ce retrouver entre potes et déconner comme pas possible, rien de tel. Il est très rare de ne pas me voir à une fête, si c'est la cas c'est qu'il y a un gros problème ou alors c'est que je suis malade et encore.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

C'est vraiment une question à poser ? Mon premier voyage humanitaire, je l'ai fait à l'age de seize ans. Mes parents n'étaient pas vraiment d'accord me trouvant trop jeune mais je suis quand même partie pendant deux mois au Kenya et je ne regrette absolument pas à tel point que j'en fais dès que je le peux. Alors oui, j'irais quitte à encore perdre quelques kilos en me sacrifiant pour donner plus de la moitié de mes provisions à chaque enfants ou adultes qui sont dans le besoin. C'est sans doute aussi pour ça que mes parents ont peur de me laisser partir, parce qu'ils savent que je me prive à chaque voyage.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Non. C'est trucs là ne sont pas faits pour moi. Je suis le genre de fille qui n'aime pas du tout ce monde là, la célébrité machin... Faut pas exagérer.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Pourquoi vouloir ressembler à une autre ? C'est n'importe quoi. Personnellement, je ne recherche ni la reconnaissance, ni la bonté des autres. Je suis quelqu'un de vrai, de franc et d'authentique.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Là je dis oui ! Pourquoi se priver alors qu'on a le droit ? Pour une fois que je pourrais avoir un mec à mes ordres... le pied !

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

"Vas-y crache ta Ferrari que je rigole un peu". Je pourrais aussi avoir tous ce que je demanderais mais c'est pas pour autant que j'abuserais de l'argent de mes parents. Au contraire, je fais très attention à mes dépenses et je suis assez radine en fait.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Tous les soirs ? Non quand même pas mais j'irais un soir ou deux juste par curiosité.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle burning bridges et j'ai 21 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à bazzard. Je le trouais super cool et bien fait alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Lindsy Fonseca comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 1500 à 2000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲

Elle n’avait jamais aimé les grandes communautés. Elle préférait surtout le charme des petites villes où on se sentait à l’aise, cohabitant avec le calme du monde. Pourtant, Azriel fut mise au monde dans uen de ces villes qu’elle désapprouve à présent: Dallas. Ses parents étaient tous les deux tombés amoureux de cette ville dans leur jeunesse: jeune étudiante en médecine, sa mère aimait le calme, mais surtout la proximité culturelle mondiale qu’on retrouvait dans chacune de ses ruines. Son père, lui, était émerveillé par la beauté de l’architecture, mais aussi la représentation du système de justice américaine qui était réellement très différent de celui qu’il connaissait tant. Car oui, Azriel fut élevée ainsi que sa petite sœur, dans une véritable famille aisée. Alozya, sa mère, était issue d’une grande famille parisienne. Et comme toute bonne française, elle aimait les arts et les lettres. Toute l’aristocratie française lui reconnaissait ce don et ce charme: une beauté à l’intellect percutant. Bien que très strict sur les traditions familiales, la famille Rousseau était aussi connue pour être une des familles les plus militantes pour le droit des pauvres dans la société, ainsi que le respect des animaux et aussi pour sa richesse. Des idéaux qui firent que la belle Alozya était elle aussi très marquée par cet idéal, et depuis petite déjà, elle s’est jurée de défendre ses idées. Durant ses études supérieurs, elle déménagea en Amérique et c’est sur le nouveau continent qu’elle rencontra son futur mari: Zacharya. Le père d'Azriel et de Charlie avait tout de suite été charmé par l’innocence et le franc-parler d’Alozya. Lui aussi élevé dans une famille aisée, on lui avait donné une éducation très fermé sur la vision des pauvres, éducation contre laquelle il n’a jamais été pour. Quand il parla pour la première fois avec la belle française, se fut comme une bouffée d’air frais. Une liberté d’esprit, un rire de cristal: il était tombé amoureux d’elle dès le premier instant où il avait perçut sa voix. Leur histoire commença ainsi, un amour fusionnel dans le manoir familiale de celui-ci, où il vivait d’amour, d’études et d'eau fraiche. Mais, par un heureux destin, on leur fit un cadeau qui changea leur vie: la venue d’une petite fille: Azriel Charlie Farewell. Un an après, le destin leur fit un deuxième cadeau: une autre petite fille, Charlie Astor Farewell.

On connaissait déjà cette famille par l’alliance qu’elle représentait de deux grandes familles mais surtout par la joie de vivre qu’elle dégageait à chaque instant. Déjà petite, Azriel ressentait cette amour familiale intarissable autour d'elle. Le visage de ses parents était chaque jour éclairé d’un sourire et il était bien rare les moments de crises, où des vases explosaient au sol. Car ses parents s’aimaient chaque jour un peu plus. Leur vie était chaque jour animé: son père s’amusait souvent à faire voler les jouets de la petite fille à travers la maison pour qu’il puisse admirer le rire de l’enfant, un rire qui ressemblait comme par magie à celui de sa mère. Zacharya Farewell était surement le plus heureux des hommes à cet instant précis. Malgré son travail difficile de pilote de chasse, il était heureux de voir sa magnifique femme au soir, leur enfants dans les bras, l’accueillant souvent encore vêtu de sa blouse d’infirmière. L’argent n’était pas un problème, il n’avait à se soucier de rien, excepté le fait de rendre sa famille heureuse. Et, même aujourd’hui Azriel peut en témoigner: Zacharya était un excellent mari et un merveilleux père. Chaque soir, il s’asseyait à côté de son adorable petite fille, qui ressemblait chaque jour un peu plus à sa femme, et lui racontait une histoire devant ses yeux brillants. Étrangement, elle adorait que son père lui raconte l’histoire de soldats, ces courageux soldats qui avaient bravés tant d’épreuves pour sauver le monde. Et à chaque fois, la petite Azriel demandait la même chose: « Dis Papa, est-ce qu’un jour, je vais pouvoir les rencontrer ? » et comme à chaque fois son père lui répondait qu'elle n’aurait cette chance que si elle travaille bien à l’école. Comment lui dire que tous ses héros sont à présent mort, pour rééquilibrer la balance de la vie ? La relation entre Azriel et Charlie fut toujours dès plus douce. D’un an son ainée, Azraël avait prit l’habitude de protéger sa sœur de tout. Elle représentait à ses yeux une protectrice imbattable. Et pour Azriel, Charlie était la prunelle de ses yeux.

douze ans, sa lettre pour le lycée arriva. Elle se souvient encore des cris de joie de sa famille, et de ses mains tremblantes, serrant l’enveloppe contre elle. Azriel avait attendu ce moment avec impatience: c’était pour, elle, le moment de commencer à faire ses preuves. Dans le bus la menant à son école, elle lâcha un petit sourire en pensant au dernier signe de main de ses parents sur le quai et du regard plein de larmes de sa sœur, qui devait attendre encore un an pour la retrouver. Mon dieu, ils allaient lui manquer terriblement. Contre toute attente, le collège se passa merveilleusement bien. Surtout grâce à un garçon: Samael, celui qui deviendrait son meilleur ami, son plus grand confident pour ensuite devenir son âme sœur. Une amitié fut aussi solide qu’un roc. Inséparable, il était rare d’en voir l’un sans l’autre. Pendant les cours, ils ne pouvaient s’empêcher de rire ensemble. Les disputes ne duraient jamais longtemps entre eux deux, bien trop proche pour s’ignorer plus de deux heures. Malgré son envie incessant de rire, Azriel se révéla être une élève extrêmement talentueuse et surtout très travailleuse. Elle n’oubliait son objectif principale, et était poussée par une vraie volonté de feu. Ses camarades du lycée l’appréciait beaucoup pour son caractère direct, et son intelligence. Il y avait même quelques bruits de couloirs qui s’émerveillaient sur sa beauté. Mais elle n’y prêtait guère attention -enfin c'est ce qu'elle prétextait-.

En dernière année, elle ne se posa même pas de question sur son avenir: la médecine et à Harvard et nul part ailleurs. A l'université, on connait surtout Azriel pour être une jeune femme qui n’a pas sa langue dans sa poche: elle déteste voir des élèves être des souffres douleurs des élèves sans cerveau, même si il faut bien l'avouer, malgré son rang, elle se mêle toujours avec les plus pauvres comme les plus riches. Bornée, Azriel n’hésite pas à tenir tête devant d'autres élèves imbu d’eux même. Beaucoup d’élèves n’hésitent pas à dire qu’'elle représente à merveille la flamme des Quincy. Futée, espiègle, courageuse et téméraire: elle fonce tête baissée vers le danger quand un des siens a besoin d'elle. Mais bien qu’elle fut très nette sur sa vision des élèves hautains à Harvard, il y en a qui n’ont toujours pas saisi cette idée.