if i die young bury me in satin lay me down on a bed of roses (hae-wook)

@hae-wook choi
t’es bouleverser, non pire que ça t’es en miette. ça faisait 72h que Wook avait pas eu de tes nouvelles, portable décharger et aucun moyen de communiquer avec le monde extérieur, t’es rester avec Violet tout le long, dans les couloirs horrible de cet hôpital, t’as juste prévenu ses proches avec son portable, prévenu les siens qu’elle est malade et t’as sagement attendue 72h avant de pouvoir la voir de nouvelle. entre la vie et la mort. c’est ce que les médecins ont dit, cette overdose va lui couter la vie, c’est ce qu’il a continuer à murmurer. mais tu refuses de pleurer devant elle, même endormis, elle reconnais le bruit de tes sanglots, alors tu portes tout sur tes épaules et t’es rentrée chez wook. entre les cartons et les affaires en vracs, tu te sent étrangement à ta place. tu claques la portes et laisse Albert te sauter dessus, vidée de toute énergie. « amour.. je suis là. » après 72h, t’aurais pété un cable à sa place, mais t’arrives même pas à tenir sur tes jambes, tu te laisse couler le long de la porte d’entrée, Albert se pose finalement sur tes genoux, en attenante de calin sur le ventre, et tu lâches les vannes. épuisée, fatiguée et triste, tu te met juste à pleurer. quand ton âmesoeur entre dans la pièce, tu le stop d’un geste de la main, parce que même dans cet été t’as toujours en tord, on préviens zora quand on rentre pas, tu connais la règle, carte sur table. « attend, attend. t’es fâcher? je suis désolée. je sais, j’ai pas prévenu, mais… violet… est entrain de mourir. et je suis juste dépasser par tout ça. à quelques nuits près j’aurait été a Séoul Wook. qui l’aurait sortit de là? » t’arrives plus à parler, tes larmes étaient trop grosses et ça glisser trop vite sur ton visage. « sert moi fort s’il te plait, parce que tout ça est trop lourd à porter, j’y arrive juste plus. »

Où elle était ? Où elle avait disparu ? L'a t'on tué ? Kidnappé ? Violé ? Tous les pires scénarios se forment dans ta tête, l'autre plus perturbante que la précédente. Tout avait commencé d'abord par sa non-réponse à tes sms. Au début, tu croyais que c'était une question de quelque minutes. Puis ses minutes se sont vite transformées en heure. Ce n'était pas dans son habitude. Au moindre de tes sms, elle te répondait la seconde suivante. Même quand elle conduisait quand tu l'as réprimandé plus d'une centaine de fois à propos du danger qu'elle recourt en faisant cela. Mais rien. Une journée s'est passé, toujours pas de réponse. Tu t'es demandé si tu lui avais dis quelque chose qui l'avait blesser et qu'il la pousser à ne plus te parler. Mais en regardant vos derniers sms, chaque mot était que des mots d'amour et aucune trace de colère ou de reproches. Alors que lui est-il arrivé ? Tu es allé à la villa, mais ses colocataires sont au même point que toi et n'ont toujours pas vu Zora dans les environs. Alors tu commences à la harceler d'appels, mais tu tombes toujours sur son répondeur. Au bout d'un moment, ça boite vocal est saturée et tu ne peux plus lui laisser de messages. Alors ces trois derniers jours, tu restes chez toi, à remuer , essayer de la tracé dans les hôpitaux de la ville, mais aucun n'ont une patiente à son nom. Puis, alors que tu t'apprêtes à aller à la station de police pour signaler sa disparition, elle apparaît à ta porte. Enfin, après 72 heures, sa voix douce te parvient à tes oreilles, retirant le poids lourd qui s'était installé sur ton cœur. Non loin, un torrent de colère était prêt à frapper. À peine, tu eus le temps de prononcer un mot qu'elle te coupe la parole. Tu l'écoutes et remarque le piètre état dans lequel elle se trouvait. Ses vêtements étaient froissés, légèrement sales, son maquillage avait presque disparu à part les traces des mascara qui avait coulés sur ses joues. Sa fragilité apparente fis disparaître, comme un souffle sur une bougie, ta colère et tu allas la serrer contre toi, écrasant presque sa petite forme sous tes bras musclés. " Putain, ne me fait plus jamais ça Zo'. J'ai failli mourir d'inquiétude." Le soulagement de voir vivante en chair et en os était le comble du bonheur.

tu le sent énervé et tu le serai aussi à sa place, t’arrête ses pas lourd d’un geste de la main, comme un bouclier pour contrer cette futur dispute. t’étais pire que fatiguée, ton corps entier demander le pardon et une pause pour ce surplus émotionnelle et physique que tu venais de vivre. trouver ta meilleure amie, a moitié morte sur le sol de sa chambre, la porter jusque dans la baignoire pour la faire vomir avant de courir après la mort pour lui dire de dégager. ton corps palpite et tu t’effondre, tout simplement. jusqu’à ce que son corps vienne a toi, chaud, doux, comme une caresse. son odeur s’engouffre dans tes narines tandis que tu sent ses bras t’enlacer. sa présence, son être, un seul geste et tu te sent déjà mieux. tu fermes les yeux, niche ta tête dans sa nuque, abimant son tee-shirt de tes larmes, une main poser sur son épaule. « désolée. » murmure tu à travers son tee-shirt. tu te dégages doucement de son entrainte, tes doigts remontes jusqu’à son visage, cale ton pousse contre sa joue avant de venir y poser un léger baiser. « j’le refait plus, conejo. » à quel moment est-ce que tout ça est arrivé? a quel moment est-ce qu’il est devenu si important pour toi? que ses bras sont devenue un endroit réconfortant, que son odeur t’apporte de la joie. t’en sais rien, tu sais plus, ici c’est chez toi, en fait, là ou il sera, ce sera chez toi. « merci d’être là. » de me supporter surtout. « t’as pas appeler la police j’espère? je suis sûre que t’as déjà appeler mes parents pour leur dire que j’ai été kidnapper. » un léger rire s’échappe de tes lèvres, il en est capable c’est ça le pire. tu te sent soudainement fatiguée, partager entre l’envie de prendre un bain ou de dormir enrouler dans un tee-shirt de monsieur choi.

Tu resserres tes bras autour d’elle, incapable de la lâcher, car tu avais peur qu’elle disparaisse encore. Tu avais tellement de questions à lui poser, mais tu ne voulais pas la brusquer, car elle semblait pouvoir s’effondrer d’ici quelques secondes. « Viens. », chuchotes-tu contre ses lèvres. Tu lui tires sur le bras pour la faire asseoir sur le canapé de ton salon. Malgré les nombreuses boites éparpillées dans l’appartement, c’était la seule place libre qu’il y avait. Tu encercles sa petite main avec ton énorme paume, caresse le dos de sa main avec ton pouce. « T’inquiètes, tu peux toujours compter sur moi. » T’espérais qu’elle le dise par elle-même ce qui lui arrivé sans que tu la pousses à le faire. C’est vrai que tu étais impatient de le savoir, mais tout d’abord, tu devais la laisser prendre son souffle, car son visage montrait clairement une extrême fatigue. Donc, tu devais prendre sur toi pour ne pas la brusquer. « J’étais sur le point de le faire avant que t’arrives. Ça fait plus de 72 heures que t’a disparue, c’était mon seul recours. C’est tes parents qui m’ont contacté, ils étaient convaincus que j’étais un proxénète qui t’avais revendu. » t’essaies de faire une petite blague pour relâcher l’atmosphère aussi. « Essaie de kidnapper un téléphone plutôt pour donner des nouvelles la prochaine fois » même-ci, tu refusais qu’une autre situation pareille se reproduise. Jamais au grand jamais tu n’as été aussi rongé par l’anxiété.

@HAE-WOOK CHOI

il avait appeler tes parents ? tu manques un sanglot quand tu entend cette réflexion, puis un fin sourire se dessine sur le reste de ta phrase. tu essuie tes larmes du revers de ta main avant de te déplacer jusqu’au canapé, trainant des pieds avant de te laisser tomber tel une masse. les jambes enrouler contre ta poitrine, tu te laisse ta tête dans l’épaule de wook, les larmes s’estompant avec douceur. sa présence, rien que ça, son souffle, ses mots, son odeur, sa voix, rien que ça, ça a le don de t’apaiser. « c’était pas vraiment le premier échange que j’aurais aimer que tu es avec les padrés. » un rire s’échappe de tes lèvres avant de retrouver une petite mine, la fatigue été présente, mais juste de l’avoir à tes côtés te suffisait. tu secoues la tête positivement à sa remarque, oui, déjà tu devrais du devrais apprendre son numéro par coeur histoire de ne plus te retrouver dans une tel situation et oui tu l’appelais sans hésité si cela venait à se reproduire. « Violet a fait une overdose, mais elle va mieux. je l’ai retrouver chez elle après qu’elle m’est envoyer un message, inerte, au sol, j’ai crus qu’elle été morte. alors je l’ai trainer jusque dans la baignoire pour l’arroser et lui faire vomir les deux trois trucs qu’elle avait avalé. » des réflexes que t’avais acquis après avoir regarder Grey’s anatomie, thanks god. le truc c’est que tu pensais pas que ça serai aussi grave, qu’elle serait aussi mal en point, heureusement elle est sauver. tu laches un long soupire et passe une main dans tes cheveux en bataille, ton mascara n’avait fait que couler et tu devais probablement ressembler à un déchet. « elle va bien, je vais bien, on va tous bien et j’ai besoin d’une douche…. voir même d’un bain. » pourquoi se priver d’utiliser une dernière fois la baignoire high tech de Wook?

Tu ne mentiras pas sur le fait que t'as presque chié dans ton caleçon en entendant la voix grave de son père qui se présentait à toi. Tout aussi inquiet que toi, ce dernier t'avais fuser de question dont tu n'avais pas la réponse ni pour une ni pour la suivante. Tu lui avais assuré que tu n'avais pas de nouvelle d'elle et que t'étais sur le point d'aller rapporter sa disparition à la police, ,mais elle avait apparu devant toi bien avant que tu n'aie eu le temps de prendre tes clés. "Tu devrais les appeler avant qu'il ne rapplique ici avec toutes la ribambelles que forme ta famille, et venir me tabasser" tu rigolais peut-être, mais l'idée que cela se réalise en vrai te terrifiait. Les dernières parcelles de ta colère s'évanouit quand finalement, elle te révèle la raison de sa soudaine disparition. Tu ne dis rien et l'écoutes attentivement. Sa voix se prise légèrement quand elle se remémore la scène et tu lui serres les mains pour offrir ton support. Tu n'aimais pas la voir dans cet état, celui dans lequel un visage grave se plaque sur ses traits délicats et que les larmes menace de tomber. Tu voulais retrouver cette Zora joyeuse qui souriait sans arrêt. " Tout va bien allez Babe. On ne partira pas du autant que tu sois sûre que son état est stable et qu'il y a quelqu'un pour la surveiller. " Tu ne voulais pas qu'elle parte d'ici, avec l'esprit complètement perturbé et les idées ailleurs. Tu voulais qu'elle profite à fond votre aventure à Séoul, sans qu'elle ne soit sans cesse torturée à l'idée de savoir comment allait Violet. " Je vais te préparer ça, viens avec moi." tu lui prends encore une fois la main et l'entraîne dans la salle de bain. Tu la fais asseoir sur le rebord de la baignoire, tandis que tu préparais le bain. Tu tournes les robinets et contrôle la température de l'eau. Tu t'assures qu'elle le bain soit un peu plus chaud que l'habitude,car tu sais oh combien elle aimait se relaxer dans un bain bien chaud. Tu n'avais pas encore mis en boite quelques effectif de ta salle de bain, alors tu retrouves facilement le sel de bain, le savon et une bath bomb. Tu mets le tous dans la baignoire et retournes les robinets quand l'eau se trouve à un niveau correct. Comme si elle était vidé de tout sa force, tu l'aides à se déshabiller. Non, tu ne restes pas inaffecter de la voir nue. Cela fait 72 heures que tu ne l'as pas vue nue. 72 heures de trop. Mais tu savais bien que le cœur n'y était pas de son coté, alors tu conserves ta libido pour toi et l'aide à rentrer dans la baignoire. Tu relèves les manches longue de ton chandail noir, prends Zora dans tes bras, puis la glisse doucement dans l'eau pour qu'elle s'ajuste tranquillement à la température. " Ça va mieux maintenant ?" tu lui demandes quand elle est confortablement installée dans le bain.

@Hae-Wook Choi


tu lâches un rire à sa remarque, c’est très probable, beaucoup trop probable même, c’est pour ça que t’évite d’aller te confier à Magnus ou Alex à chaque fois qu’y a un soucis dans ta vie amoureuse, parce que ça ferai longtemps qu’ils seraient venu chopper Wook et t’avais pas vraiment de faire de conflit. il été si doux et attention envers toi que tu ne peux t’empêcher de lui raconter les détails morbide de cette soirée horrible, un frisson d’effroi te traverse une nouvelle fois quand tu te revoit enfoncer tes doigts dans la gorge de ta meilleure amie pour la voir refouler ce qu’elle venait de prendre. t’avais passer la soirée à attendre, le lendemain aussi et toute ton énergie étaient partit dans l’inquiétude et la peur de perdre un être cher. Wook semblait le comprendre et dans un geste délicat il propose de te faire couler ton bain. tu secoue positivement la tête et le suit jusque dans la salle de bain, évitant les cartons déjà emballer et les affaires en vrac qu’il été temps de ranger. tu t’assoie sur la rebord de la baignoire pour le laisse faire, essayant de démêler ta chevelure pour pas mettre de cheveux partout. cette relation été étrange, t’avais l’impression de connaître Wook depuis des années, bien que ça fasse moins de 3 mois que vous êtes ensemble, il complété tes attentes et avait le même sens de réflexion que le tiens. Puis cette tendresse, t’avais pas l’habitude d’avoir un conejo aussi tendre que ça, les mots qu’il avait pu te dire dans le passer avait été chasser par la centaine d’autre qu’il avait pu te dire à présent, chasser par ses baiser tendre le long de ton être, par ses câlins aux réveilles, par ses petites attentions qui ne semble être rien mais représenter tout pour toi. tu co-opère lorsqu’il t’aide à te déshabiller, bien que vous le faisait souvent, cette fois-ci semblait étrange quand il ne venait pas recouvrir ton corps de baiser ardent ou réchauffer ton être du sien, tu t’installer dans le bain, sentant tout les muscles de ton corps se libéré dans un craquement, collant ton dos contre le rebord de la baignoire. « merci. » tu dis oui de la tête avant de mettre de la mousse sur le bout de son nez. « tu restes avec moi? » maintenant, ici et pour le reste de mes jours aussi ? tu tires doucement sur son haut pour l’attirer contre toi, pressant tes lèvres contre les siennes, avant de coller ton front contre le sien. « je te fais confiance. c’est beaucoup plus que je t’aime pour moi, parce que ça veux dire que je pourrais tomber demain je sais que tu sera là pour me rattraper. j’espère que je suis aussi importante pour toi que tu l’est pour moi, parce qu’actuellement je serai pas grand chose sans toi. »

Quand son corps glisse dans l'eau , tu vois son expression se radoucit et finalement les traces de sa tristesse s'amoindrir. Elle aura toujours derrière sa tête son inquiétude envers Violet, mais pour le moment, elle se laisse aller et lâcher toute cette pression qui s'est accumuler sur ses épaules. Tu n'imagines pas la frayeur qu'elle a du avoir en découvrant le corps inerte de sa meilleure amie chez elle. Tu savais comment les deux jeunes femmes étaient soudées à l'une et l'autre, et retrouver Violet dans cet état, à traumatisé au plus haut point Zora. Tu essaies de ton mieux de lui changer les idées et la faire sentir mieux. "Tu croyais que t'allais te débarrasser aussi facilement de moi. Je ne te lâche pas d'une semelle maintenant Underwood." Bien que c'était sous le ton d'une blague, tu veux l'avoir dans ton champ vision et refuses de ne pas être à un centimètre de loin d'elle. Elle tire sur ta chemise pour te rapprocher et pose ses lèvres sur les tiennes. Tu ne te contentes pas d'un simple baiser, mais réclames cette bouche en attrapant sa mâchoire d'une main et approfondis le baiser. Reprenant votre souffle par après, tu caresses sa joue, sentant tout l’émotion qui traversait ce petit corps qui est le sien. "Tu es mon monde Zora, ne l'oublies pas. Ces trois derniers jours ont été horribles à traverser. Putain Zo' ça me crève le cœur de savoir si quelqu'un t'a fait du mal ou que tu sois blessé. Alors, oui, tu es importante pour moi, plus que je ne le croyais. " Jamais tu t'es tant attaché à quelqu'un de cette manière. Ce que vous avez entre vous deux était tellement spécial que ça t'effrayait parfois les sentiments énormes que tu as pour elle. Ennuyé de ne pas sentir sa présence plus proche de toi, tu décides de te déshabiller et la rejoindre dans le bain. Tu glisses dans le côté opposé du sien, mais l'attrapes par ses hanches pour la faire s'asseoir en califourchon sur toi. Tu poses ta main sur sa nuque pour attirer sa lèvre sur les tiennes, puis descends pour déposer une traînée de baiser le long de son cou, sur le haut de sa poitrine et t'arrête avant d'aller plus loin. " Tu ne sais pas l'effet que tu me fais, Zora. J'en perds presque la tête." Murmures-tu contre sa peau.

@Hae-Wook Choi


et ton amour pour lui n’avait jamais été aussi beau qu’aujourd’hui, aussi fort qu’aujourd’hui. comme si toute les fois ou vous vous êtes déchirez avant n’exister pas, que toute les fois ou vous vous êtes abimer ne comptait plus. il te murmure des mots qui te touche au plus profond de toi même, est-ce que quelqu’un t’avais déjà regarder ces yeux là ? personne, personne n’a jamais eu une tel tendresse à ton égard. « wow, j’ai le droit a un striptease carrément? ça c’est du boyfriend material. » tu pouffe de rire alors qu’il commence à se déshabiller, il aurait tenu sa libido une vingtaine de secondes à tout casser, après une caresse et une tendresse le voilà déjà parait a faire des galipettes. non pas pour te déplaire. il se glisse à tes côtés faisait bouger l’eau dans tout les sens, un vrai tsunami à lui tout seul ce gosse. il n’attend pas une seconde de plus pour venir te tirer contre lui, ses doigts le long de tes hanches qu’il glisse avec tendresse, tu te met en califourchon sur le jeune homme, calant son dos contre le rebord lisse de la baignoire. Tes doigts sur son torse, tu presses tes lèvres sur les siennes pour savourer ses lèvres avec tendresse, avant qu’il vienne caresser ton corps avec ses lèvres, laissant des marques bleuté sur ta peau velouter. un frisson traverse ton être alors qu’il se stoppe pour planté ses iris dans les tiens, ton pouce s’arrêtant sur ses lèvres addictives, t’avais encore envers de l’embrasser, jusqu’à en avoir le souffle couper. tes doigts se balade sur ses épaules puis sur son torse, laissant perler les goutes d’eau sur sa peau si douce. « je t’aime wook. » toi, toi, toi et uniquement toi, toi et personne d’autre. « fais moi l’amour, conejo. » et répare tout ce que cette nuit à briser en moi.