Let's play a love game - Clario

❝Let’s play a love game❞
ANTONIO & CLARY

En tant que dragueur aguerri, j’aime jouer de mon corps, de mon charme et même si autant elle que moi savons que nous allons finir la soirée ensemble pour encore plus de folie, en ce moment c’est l’heure de se chercher, de jouer et ce que j’aime c’est qu’elle est sur la même longueur d’onde, pas de cris parce que je suis accompagné, non juste de la compétition pour pousser l’autre dans ses derniers retranchements afin que la victoire en soit plus belle. Elle sait de quoi je suis capable au lit c’est indéniable et si elle m’a rejoint ce n’est pas pour rien mais il y a un tas de chose qu’elle ne sait pas. Malheureusement son partenaire lui propose d’aller sur un terrain qui m’est acquis, la danse n’ayant pas de secret pour moi, ce don inné dû à mes origines comme quoi ça paye de se déhancher dès le plus jeune âge sur des musiques aux rythmes latino. Je rigole au fond en voyant son partenaire danser, c’est même jouissif surtout que j’en garde tout de même sous le pied. Une fois son calvaire fini, je la rejoins et l’embarque avec moi pour qu’elle puisse s’amuser enfin même si j’avoue que je ne pensais pas m’attendre à un niveau de danse aussi soutenu mais je suis agréablement surpris justement puisque cela permet de faire monter crescendo la température et je raffole de cette ambiance. Elle n’hésite pas à se montrer bien plus tactile avec moi et elle se donne comparé à ce qu’elle faisait avec son partenaire précédent mais sans être mégalo, à vrai dire c’est tout à fait normal puisqu’il n’y a pas photo entre les deux. Elle me taquine et j’avoue m’être fait avoir bien que ça n’en soit qu’une bonne nouvelle. Je ne peux m’empêcher de regarder ses lèvres pulpeuses mais je ne fais rien non, ça sera à elle de venir chercher son dû mais pas à moi. Nos corps s’unissent à la perfection, restant en accord complet du début à la fin de la musique et alors que la suivante allait démarrer la voilà qui me jette un pic qui me fait sourire car je sais ce qu’elle attend et je vais le lui donner pour le coup. « Tu trouves ? Laisses moi te montrer comment on danse chez moi » Je sais d’avance que tout cela va faire polémique et que l’on va se faire fusiller du regard mais chez moi c’est une danse typique et je compte bien lui montrer. C’est alors que Despacito résonne dans la boite créant un mouvement de foule « Elle tombe bien celle là » Je souris malicieusement avant de la mettre au défi « J’espère que tu déhanches bien ton corps car là c’est autre chose » Je me déhanche accélérant le rythme à certains moment de la musique comme prévu dans la chorégraphie alors que je suis en face à face avec cette dernière. Puis je me mets dans son dos recommençant les mêmes mouvements avec encore plus d’intensité. Je ne réponds plus de rien, je ne fais qu’un avec elle, laissant la musique nous guider. A la fin de cette dernière je la retourne vivement avant de l’approcher au plus proche de moi alors que nos lèvres sont à quelques millimètres les unes des autres. Je souris malicieusement me mordant dans le même temps la lèvre inférieure « Pour une non hispanique tu te débrouilles bien, mais c’est pas encore ça » Je la provoque puisque bien entendu qu’elle se débrouille parfaitement bien mais c’est manière de jouer encore un peu plus
© LOYALS.

@Clary Bushnell

(Invité)

Je ne m’attendais pas à voir un danseur aussi bon que toi. De nos jours, les hommes ne savent pas danser et mes pauvres pieds en souffrent atrocement. Trouver une personne qui a un minimum de rythme et de talent, c’est tellement rare. Le plus, avoir cette alchimie avec l’autre, cette électricité quand on danse et là c’est l’extase. Tu viens jusqu’à moi sans que je ne lève le petit doigt. Par pitié de me voir accompagné par un danseur avec deux pieds gauches ou alors par envie, je l’ignore. T’es là, c’est le principal. T’es sans doute surpris de voir que je ne suis pas novice dans ce domaine et que la danse n’a aucun secret pour moi. T’es doué, je le suis tout autant ça ne peut que matcher une nouvelle fois même si ce n’est pas dans le même domaine. J’suis pas déçu, j’suis agréablement surprise de te voir danser avec autant de facilité. Tu marques des points et sache que tout est à prendre. Tu regardes avec insistance mes lèvres, celles que je mordille doucement. Ta façon de les regarder peut donner des idées, céder à une envie, une pulsion, mais je me retiens. Pas tout de suite, c’est trop tôt pour combler ce vide entre nous. Je préfère te taquiner, m’amuser un peu plus comme on le fait si bien depuis que t’es arrivé. Tu ne fais pas le difficile, tu entres même dedans pour mon plus grand plaisir. « Montre-moi, j’attends que ça. » Oui, montre-moi comment on danse chez toi, ce que je rate. Je n’ai pas besoin de te demander d’où tu viens, ton visage, ton regard, ta peau mate le fait pour toi alors quand résonne Despacito dans la boite, j’peux pas m’empêcher de sourire. Avoues, tu viens de payer de DJ pour qu’il passe cette chanson ou alors t’as vraiment un coup de chance. C’est LA chanson que tout le monde adore et je sais très bien que cette danse ne va pas être très « chaste ». « Ne t’en fais pas pour mon déhanché. » J’suis pas prétentieuse, mais je sais ce que je vaux et cette chanson est une porte ouverte au rapprochement de nos deux corps. Je laisse la musique, le rythme envahir tout mon corps qui se déhanche proche du tiens. Un rythme soutenu, deux corps bien trop proche, trop collé l’un à l’autre quand tu quittes mon champ de vision pour être derrière moi. Les regards se posent sur nous et c’est le cadet de mes soucis. Nos corps ne font qu’un sur cette chanson, ça peut devenir trop caliente pour certain voir même choquant. Je profite, je m’éclate et j’aime sentir la chaleur de ton corps contre le mien. La musique s’arrête et je fais volte-face en me retrouvant collé à toi. Je reprends mon souffle alors que je sens le tiens sur ma peau à quelques millimètres de moi et tu recommences. Tu te mordilles la lèvre une nouvelle fois sachant parfaitement que ça me plait, ça fait quelque chose. Je pose mon index sur cette dernière comme pour t’empêcher de recommencer. « Arrête de faire ça… » Tu ne vas pas t’arrêter, je le sais bien, mais j’voulais te le dire, te faire comprendre avec des mots que ça, c’est une tentation et que je veux pas flancher. Alors comme ça je ne suis pas à la hauteur ? Bien sûr que si. Trouves une autre nana dans cette boite qui fait aussi bien que moi, que nous juste avant et là, je m’avouerais vaincu. « Tu veux bien te dévouer pour me donner des cours alors ? » Je laisse mes mains glisser jusqu’à ta nuque que je caresse du bout de mes ongles. Tu m’ouvre la porte, j’entre juste dans ton jeu. On a peut-être plus de masque, mais rien ne m’empêche de vouloir jouer avec toi, voir jusqu’où ça peut aller car dans ce genre de situation, ça peut aller très loin et au fond, tu le sais bien.

@Antonio Munoz excuse, ce n'est pas terrible

(Invité)

❝Let’s play a love game❞
ANTONIO & CLARY

En règle général lorsque l’on joue il y a toujours un moment ou l’on se brule les ailes, ou quelqu’un craque mais avec elle je remarque que c’est différent. On est sur la même longueur d’ondes et aucun de nous ne veut laisser de terrain à l’autre étant bien trop fier pour obtenir le rôle du plus faible. C’est pourquoi il n’y a pas de limite entre nous, que tous les coups sont permis et c’est agréable de ne pas tomber sur quelqu’un de friable qui se sent offensé au moindre contact physique. Elle n’est pas du genre princesse et c’est quelque chose que j’aime par-dessus tout. Venant d’Espagne, j’ai toujours l’habitude de danser de façon caliente, coller-serrer et il est vrai que ce n’est pas tout le monde qui apprécie ce genre de danse, alors forcément lorsque je réussi à me retrouver avec quelqu’un qui aime tout autant que moi le contact, je ne peux que me réjouir. Mais je veux voir jusqu’ou elle peut aller dans la danse et c’est pourquoi je lui signale que je vais lui apprendre à danser comme on le fait chez moi. Comme si une bonne étoile veillait sur moi, la musique se faisant à présent entendre s’avère être Despacito et je dois bien avouer que je ne pouvais pas rêver mieux, cette dernière étant une chanson propice au rapprochement. Elle n’a pas froid aux yeux et sa réponse à propos de son déhanché me plait on ne peut plus bien qu’en réalité je n’en doutais pas un instant. Je lui souris malicieusement en guise de réponse puis je commence à danser sans me soucier des autres et des codes. Très vite je sens que ça te plait et je ne me fais pas prier pour continuer sans la moindre gêne, si les autres ne savent pas danser sur ce genre de musique ce n’est clairement pas mon problème et je ne vais pas me priver pour eux. A la fin de cet échange torride, je la rapproche au plus proche de moi, nos lèvres se retrouvant à quelques millimètres, son souffle chaud que je peux déjà sentir contre ma peau. Automatiquement je me mordille la lèvre inférieure tout en la regardant avec beaucoup d’intensité jusqu’à ce qu’elle caresse mes lèvres à l’aide de son index me suppliant d’arrêter, ce qui me fait sourire d’un air provocateur « Pourquoi ça ? » Au fond je sais pertinemment que je ne vais pas arrêter car j’aime la rendre totalement faible et puisque c’est un moyen de la faire céder, je compte bien jouer d’autant plus avec elle et c’est pourquoi je viens mordre gentiment son index tout en la regardant malicieusement. « Je peux toujours t’en donner oui … que dis tu de passer chez moi ce soir pour que je t’apprenne … » Bien entendu je ne parlais plus de danse mais c’était un autre moyen de la provoquer et de faire monter la température, même si au final on savait pertinemment comment tout cela allait se passer entre nous. A l’aide de ma main je caresse son visage délicatement tout en m’attardant sur ses lèvres que je finirais par m’accaparer ce soir. Le contact de ses ongles contre ma nuque me fait légèrement frissonner et c’est pourquoi j’en profite pour laisser une main baladeuse se déposer sur ses fesses avec un large sourire en disant long. « … à moins que tu ne préfères retourner avec ton partenaire et dans ce cas je te laisse finir ta soirée en bonne compagnie »
© LOYALS.

@Clary Bushnell

(Invité)

Si tu veux, on recommence cette danse quand tu veux. J’aime la proximité et encore plus quand il y a du contact. C’est ce qu’il y a de mieux dans ce genre de danse et c’est sûrement ce que je préfère. Faut croire que t’es pas prêt de quitter cette proximité qu’on partage encore plus depuis cette danse. Je suis aussitôt collé à toi, presque impossible de m’échapper et encore il faudrait en avoir envie. Ce qui n’est pas mon cas. Je n’aime pas la distance, à ce stade je n’en veux plus. Je te dis d’arrêter, mais je sais bien que tu vas continuer. Ça te rend encore séduisant quand tu fais ça et quand tes yeux se posent sur moi de cette façon comment rester forte ? C’est difficile, je l’avoue. « Ça gâche le paysage. » rien que ça. Tu crois vraiment que je vais te dire mot pour mot que je deviens faible devant toi ? J’suis pas aussi folle que ça et ce n’est pas mon genre de baisser les armes aussi rapidement. J’peux luter, j’peux encore te résister. Je ne sais pas combien de temps, mais pour l’instant je tiens même si tu mordille ce doigt qui caresse doucement tes lèvres avant de glisser jusqu’à ta nuque. Ta proposition d’apprendre à danser chez toi, c’est très alléchant et je ne serais idiote de refuser une invitation comme celle-ci sachant pertinemment qu’on ne va pas que danser toi et moi. Un endroit caché de tous. Juste toi et moi, chez toi… Pas besoin de faire un dessin pour imaginer la suite. C’est que cette danse te donne envie d’être plus tactile on dirait. Ta main sur ma peau me procure des frissons et quand tu t’attarde sur mes lèvres, je sais bien que t’as envie d’y goûter une nouvelle fois. Tu n’arrêtes pas de les regarder depuis que tu es là. T’attends quoi pour te rappeler de leur goût ? « C’est que tu profites déjà… » ta main glissant jusqu’à mes fesses, prenant même domicile à cet endroit ce qui ne me déplait pas. Vu le moment qu’on vient de passer, tu peux te permettre de poser tes mains n’importe où, j’suis pas difficile tu sais. « Il est déjà très occupé avec ta partenaire à ce que je vois... » Ils sont juste à côté en train de danser comme ils peuvent ce qui n’est pas très beau à voir quand on regarde de plus prêt. Ouais, pas beau du tout même. « J’suis d’humeur studieuse ce soir alors allons chez toi, maintenant. » oui, maintenant. Pas dans deux heures où je risque de changer d’avis. J’veux y aller tant que le fer est encore chaud, que l’ambiance et nos corps se souviennent de la chaleur que ça leur a procurée. Sans attendre ta réponse, je me recule, retrouve mon souffle et attrape ta main pour te tirer avec moi vers le fond de la boite, jusqu’à ce porte où il y a écrit défense d’entrer. La porte des employer et l’endroit où se trouve mes affaires. J’ouvre la porte et t’entraîne avec moi dans ce long couloir avant d’arriver au vestiaire mixte. Ouais, le patron est pour le mélange homme/femme et j’ai jamais compris pourquoi. « J’pouvais te laisser là-bas, mais t’aurais pris la fuite. » ou alors tu serais resté à attendre. Un homme comme toi, ça n’attend pas seul bien longtemps et même si ce petit jeu de te voir avec une autre peut être intéressant, ça marche une fois, mais deux avec moi. « Quoique tu veux peut-être retourner danser. » j’ouvre mon casier pour y prendre mon sac et mes affaires de la journée avant de me retourner vers toi avec un grand sourire sur les lèvres. T’es là sans doute contre ton gré. Finalement, peut-être que tu voulais encore danser.

@Antonio Munoz

(Invité)

❝Let’s play a love game❞
ANTONIO & CLARY

Beaucoup de femmes dans ce pays sont plutôt froides et pas forcément ouvertes d’esprit mais ce n’est absolument pas le cas de cette barmaid dont j’ignore encore le nom et c’est d’ailleurs pour cela que l’on s’entends aussi bien. L’un étant le feu et l’autre le feu tout autant ce qui nous donne un brasier totalement hors de contrôle et inarrêtable à l’heure actuelle et tout le monde l’a compris. Lorsque l’on se retrouve diaboliquement proche, j’en profite pour me jouer d’elle en me mordant la lèvre sachant pertinemment l’effet que cela peut avoir sur elle mais j’aime sa réponse bien que je sais que ce qu’elle dit n’est que mensonge pour ne pas s’avouer vaincue ce qui pour le coup me plait d’autant plus car plus le combat est dur, plus la victoire est belle. Le contact physique se prolonge de plus en plus, nos mains parcourant le corps de l’autre sans la moindre pudeur et c’est agréable à vrai dire surtout que son corps est tout sauf dégueulasse. D’ailleurs je ne prive pas pour m’accaparer une zone plutôt sensible de son corps et sa réaction en dit vraiment long sur ce qu’elle attend. Après lui avoir proposé des cours particuliers chez moi, je la taquine sur son ancien partenaire et sa possible envie de retourner avec et sa réponse ne se fait pas attendre. Je souris largement et malicieusement même si je connaissais d’avance sa réponse et les choses deviennent d’autant plus intéressantes lorsqu’elle me signale vouloir étudier et que l’on aille chez moi. Je n’y vois pas d’inconvénient bien au contraire même et je n’ai pas le temps de répondre ou de faire le moindre signe d’accord qu’elle me tire par la main s’enfuyant vers l’espace réservé au personnel ce qui n’est pas pour me déplaire. Elle semble impatiente et c’est une bonne chose. Nous nous retrouvons devant son casier ou elle m’explique qu’elle ne m’a pas laissé seul pour ne pas que je prenne la fuite et je ne peux m’empêcher de sourire malicieusement ajoutant « Tu ne veux pas me perdre si proche du but » Je la charrie de nouveau, j’aime ça même si je m’attendais à la suite. Je fais mine de réfléchir même si en réalité mon choix est déjà fait depuis belle lurette « Allons pour étudier c’est toujours mieux » Alors qu’elle prend son sac, je la suis vers la sortie et très vite je remarque un taxi vide que j’interpelle « Harbor Area s’il vous plait » Alors qu’il se dépêche de partir je regarde la jeune blonde avec un sourire malicieux « Au moins tu sauras dans quel quartier j’habite et à quel endroit exactement » J’hausse les sourcils malicieusement, laissant ma main parcourir sa cuisse dangereusement durant tout le long du voyage, la narguant alors que je mordillais ma lèvre inférieure langoureusement et longuement. Une fois arrivé je n’oublie pas de payer le chauffeur et c’est à présent à mon tour de la tirer par la main jusqu’à l’ascenseur. Après l’avoir appelé les portes de ce dernier s’ouvrent et j’appuie sur le bouton nous menant au troisième étage avant que les portes ne se ferment. Je regarde la barmaid un air provocateur sur le visage « C’est assez étroit comme endroit, il pourrait se passer pas mal de chose si il venait à tomber en panne » Je n’arrête pas de me mordre la lèvre inférieure, puis la porte s’ouvre quelques secondes plus tard. Très vite nous voilà devant la porte de mon appartement, que j’ouvre sans le moindre accroc avant de me reculer « Après toi » Je la laisse entrer puis je ferme derrière nous pour que l’on ait un peu d’intimité puis je me retourne vers elle avec un sourire en disant long « Les murs sont insonorisés » Cela n’est pas vrai mais c’est juste pour la prévenir qu’elle peut se lâcher comme elle le désire
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@Clary Bushnell Désolé il est vraiment pas ouf du tout Let's play a love game - Clario - Page 2 1779901633

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(Invité)

Tu sais ce que je veux car tu le veux tout autant que moi. Dans le fond, on se ressemble pas mal. On aime jouer, s’amuser avec le feu quitte à se brûler au passage, mais c’est tellement bon qu’on recommence. En te laissant ce masque avec mon numéro l’autre matin, je ne pensais pas te revoir un jour. Un moment agréable, une nuit ensemble et juste pour le défi, le jeu, mon numéro s’est glissé à tes côtés. On est là, tous les deux sur mon lieu de travail. T’as eu cette envie de me trouver, voir qui se cache derrière ce masque et vu ton invitation, tu ne dois pas être déçu. Si c’est le cas, tu ne te montrerais pas aussi proche et tes mains ne se baladeraient pas de cette façon sur mon corps. Je t’entraîne aussitôt jusqu’au vestiaire du personnel pour récupérer mes affaires. J’ai pas besoin de ton accord. Si tu proposes c’est que tu ne veux pas traîner plus longtemps ici et puis ça serait mal vu de continuer à danser le la sorte. Même si je travaille ici depuis des années, on peut vite se retrouver à la porte pour nos danses trop « osées ». « Je dis jamais non à la danse. Maintenant, tu sais quelque chose d’utile à mon sujet. » On ne se connait pas, on sait très peu de choses l’un sur l’autre et c’est sûrement mieux ainsi pour le moment. On est pas là à déblatérer sur nos vies, ce qu’on fait, pourquoi on est là ou sur qui on est. On a pas besoin de ça. Je prends mes affaires et on sort pour voir un taxi qui arrive juste au bon moment. Tu vois ? C’est le destin. Il nous pousse tous les deux jusqu’à chez toi, nous facilite la vie. T’as pas peur de me montrer ton chez toi, j’vais savoir où tu vis et qui sait, je suis peut-être folle. Je suis peut-être cette fille qui harcèle le mec dès le lendemain en squattant sa porte d’entrée ? « À défaut de savoir ton nom, je vais savoir où tu vis. » c’est toujours une information à prendre et je ne cherche pas à savoir comment tu t’appelles. J’sais pas, j’ai envie de garder ce mystère encore un peu plus longtemps. Même dans le taxi tu me provoque. Je ne dis rien, silencieuse et bien trop concentré sur moi-même pour ne pas te sauter dessus alors que tu laisses ta main sur ma cuisse… J’ai trop de respect pour le chauffeur de taxi là, mais je prends sur moi, j’regarde la route pour baisser la température de l’habitacle. À peine arrivé que tu me tire avec toi hors du taxi jusqu’à chez toi. Enfin jusqu’à l’ascenseur très étroit une fois qu’on rentre dedans… On a la même pensée sauf que toi tu ne te fais pas prier pour la dire à voix haute. « Il peut tomber en panne, j’suis ouverte d’esprit dans ce genre d’endroit. » malheureusement, oui malheureusement j’ai jamais eu cet honneur de me retrouver coincé dans un ascenseur avec un mec, qui est en plus séduisant… Les portes de l’ascenseur s’ouvrent en chassant mes pensées pas très chastes de cet endroit et me voilà chez toi. Ton chez toi. Ta remarque me fais sourire, heureusement que tu me le dis, ça serait tellement dommage de réveiller tout le quartier. « Tant mieux pour tes voisins, avec la musique à fond, ils vont avoir du mal à dormir. » t’as bien compris ce que je veux dire. La musique, un cours de danse, ton appartement… Trop d’ingrédients réunis. Je pose mon sac dans l’entrée et j’enlève mes talons. Un soulagement quand je sens le sol sous mes pieds au point de mordiller ma lèvre. Marcher avec des talons, ça devient vite un calvaire derrière un comptoir. J’viens de perdre quelques centimètres quand je m’approche de toi. Mes doigts se posant sur toi, remontant doucement sur ton torse. Mes yeux dans les tiens, je me rapproche doucement pour retrouver cette proximité. Nos visages ne sont qu’à quelques millimètres l’un de l’autre. « Ce cours de danse, ça donne quoi ? » dis-je en gagnant ton oreille juste pour mordiller ton lobe, t’encourager pour ce cours.

@Antonio Munoz

(Invité)

❝Let’s play a love game❞
ANTONIO & CLARY

La provocation ça peut être mal perçu par bon nombre de personnes mais pas elle et c’est justement ce qui fait qu’il n’y a aucune limite que je me fixe car moins on est bridé et mieux les choses se passent c’est connu. Après s’être bien chauffé on quitte définitivement cette boite par la sortie des artistes comme on l’appelle, afin de prendre la direction de chez moi et d’une nuit qui s’annonce sous le signe de la provocation, de la folie. Je ne me prive pas de dire ou j’habite malgré sa présence dans la voiture, à vrai dire il vaut mieux qu’elle sache ou j’habite si elle souhaite repasser un de ces quatre sans prévenir mais elle marque un point en signalant qu’elle ne connait pas mon prénom que je ne compte pas lui donner car il reste cette part intéressante de mystère qui rend les choses bien plus excitante. Dans ce taxi je joue avec ses nerfs et j’aime ça, alors que je la vois se contenir, tenter de chasser ses idées pas très chastes pour ne pas céder et je ne peux m’empêcher de sourire, mordillant ma lèvre longuement et avec beaucoup plus d’intensité que précédemment. A peine la voiture arrêtée devant mon quartier que j’en sors attirant la jolie blonde avec moi. Très vite on se retrouve dans cet ascenseur nous poussant à nous rapprocher quelques peu et je ne me prive pas pour parler de ce qu’il pourrait se passer en cas de panne et sa réponse me plait d’autant plus. Elle est joueuse, ouverte d’esprit, je sens que l’on va vraiment bien s’amuser elle et moi et que l’on va se revoir bien plus que deux fois. Finalement malheureusement les portes s’ouvrent et je la regarde malicieusement « Le coup de l’ascenseur en panne ça sera pour un autre coup alors » J’en profite pour me mordre la lèvre tout juste sous ses yeux pour me jouer d’elle de nouveau avant d’ouvrir la porte de mon chez moi, l’invitant à entrer et prendre ses aises tout en lui précisant que les murs retiennent le son bien que ça ne soit pas vrai. « Parfois la musique peut être vraiment forte, ça dépend des personnes » Je souris, un air provocateur sur mon visage se lisant, ma phrase étant totalement compréhensible du moins pour elle qui voyait très bien ce que cela voulait dire. Elle retire ses talons et son sac pour se mettre un peu plus à l’aise et très vite elle s’approche de moi, ne se faisant pas prier pour découvrir de nouveau mon corps à l’aide de ses doigts, s’arrêtant à quelques millimètres de moi, lançant par ailleurs un jeu de regard des plus intenses avant qu’elle ne se décale pour venir me chuchoter quelques mots au creux de l’oreille tout en mordillant le lobe de mon oreille, me valant un sourire de plus. Je ne suis pas face à une amatrice et j’aime vraiment ça mais je ne suis pas en reste qu’elle ne s’inquiète pas. Je me recule quelques peu tout en la regardant avec beaucoup de profondeur et d’intensité « J’aime être à l’aise donc … » Je ne finis pas ma phrase que je retire mon haut, en profitant pour contracter quelques peu mes abdos afin de la provoquer encore plus et de la rendre d’autant plus faible alors que je commence à mordiller ma lèvre, m’approchant dangereusement laissant à mon tour mes mains trainer sur son corps et sur quelques parties sensibles comme ses fesses et la naissance de sa poitrine « Maintenant plus qu’à mettre la musique »
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@Clary Bushnell

(Invité)

Te revoir ? Peut-être que non, peut-être que oui. On verra où cette soirée va nous mener et ce que cette nuit va nous apporter. On ne va pas se poser devant un film et boire, c’est bien trop banal pour nous deux. On sait ce qu’on veut. Tu sais pourquoi je suis chez toi et même si il y a ce sous-entendu cours de danse, ce n’est qu’un prétexte pour me faire venir dans ton appartement, me faire entrer un peu plus dans ta vie privée. Ça accroche bien entre nous et ça depuis que nos regards se sont croisés lors de cette soirée masquée. Deuxième fois qu’on se voit et le mystère reste intacte malgré nos visages découvert. Je sais bien ce que tu essayes de faire dans ce taxi. Tu me cherches, veut me tenter et me pousser à bout en mordillant cette lèvre qui me fait envie depuis un petit moment. J’veux pas être celle qui flanche en premier. Je veux te montrer que même si t’es séduisant, que t’as tout pour toi, je suis aussi forte que toi à ce petit jeu. L’ascenseur, un endroit que je n’ai jamais exploré et avec toi, j’suis sûr que ça peut faire des étincelle dans cette boite. Tu sous-entends qu’on va se revoir et peut-être que ça sera dans cet ascenseur ou même un autre, mais qui te dis que j’en ai envie ? « Qui te dis qu’on va se revoir après ce soir ? » Arquant un sourcil, je ne te lâche pas du regard. T’auras peut-être pas envie de e revoir après ça ou alors c’est moi, va savoir où ce jeu mystérieux et troublant va nous mener. On entre chez toi, c’est beau, mais je ne suis pas là pour parler déco’ et te dire que t’as bon goût. Y’a du monde qui passe chez toi on dirait et ça ne m’étonne même pas. Un tas de filles effleurant le sol de ton appartement et certaines ne se privant pas de s’exprimer. J’me mets à l’aise sans te demander. J’veux soulager mes pieds et me désencombrer de mes affaires pour être libre de mes mouvements et de mes doigts venant se poser sur ton corps, remontant doucement jusqu’à laisser mes lèvres gagner ton oreille. Tu te recule, ayant ce besoin d’enlever une couche pour te sentir à l’aise. Fais-toi plaisir, mes yeux ne vont pas te dire non, bien au contraire. Je ne rate pas une miette du spectacle, mordillant ma lèvre en prenant grand soin de te regarder de haut en bas. « T’es pas assez à l’aise à mon goût. » T’as encore trop de vêtement sur le corps, mais j’vais faire avec. Tu t’avances comme un prédateur sur sa proie, profitant de poser tes mains sur mon corps sans gêne. « Je t’en prie, fait comme chez toi. » un sourire malicieux au coin de mes lèvres, je peux sentir la chaleur de ton torse contre moi. T’as chaud là non ? Allez, ton regard ne ment pas. T’as les yeux pétillant de désir à cet instant, ce regard qui trahit n’importe qui dans ce genre de moment. « Alors, tu me fait danser ? » Je te l’ai dit, je ne veux pas craquer la première. Mon visage s’approche dangereusement du tien, laissant mes lèvres effleurer ta peau. Mon regard planté dans le tiens avec assistance, toute en provocation, mes bras s’enroulent autour de ta nuque sans cesser ce petit jeu de mon souffle sur ta peau. Je laisse mes lèvres effleurer les tiennes sans pour autant faire pression sur ces dernières. Faire monter la température en te provoquant, c’est ce que je préfère. Lequel de nous deux va craquer en premier ? Tu vas craquer.

@Antonio Munoz

(Invité)

❝Let’s play a love game❞
ANTONIO & CLARY

Quand je sors en règle général les choses sont plutôt flou, j’avise sur le terrain mais cette fois c’était totalement différent et on ne peut plus clair. Nous allons finir entre les murs de chez moi et même peut être contre par instant la concernant et mon appartement va devenir aussi brulant qu’un feu dans une cheminée voire même plus. A peine entrée dans cet ascenseur que je ne me prive pas pour lui dire ce que je pense à propos de ce que l’on pourrait y faire et je laisse par ailleurs sous entendre une possible suite à tout cela mais ça reste que subjectif « On dit bien jamais deux sans trois » Son regard intense me plait mais je ne craque pas aussi facilement même si je dois avouer que pas mal d’idées me passent par la tête. Je la laisse rentrer dans ce qui va être notre ring ou l’on va batailler pour un dernier round et savoir qui finira par flancher et abdiquer. J’en ai envie mais je suis trop fier pour céder, ce n’est pas dans ma nature. D’ailleurs elle ne perd pas de temps et elle me provoque longuement mais je me contente simplement de serrer les dents tout en l’affrontant. Je prends quelques pas de recul pour retirer mon haut et lui montrer ce qui sera à elle pour ce soir au moins et je remarque que ça lui plait et pas qu’un peu mais je n’en suis pas surpris. « Tu trouves ? Et bien fais toi plaisir, mets moi à l’aise et mets toi à l’aise aussi j’ai bien l’impression que tes seins aimeraient bien respirer un peu » Je n’ai pas de gêne et je m’approche de nouveau d’elle, laissant mes mains parcourir son corps et notamment sa poitrine et ses fesses étant des zones relativement sensible. Bien entendu que je fais comme chez moi, et ça pourrait être chez elle que je ferais la même chose. Elle me demande pour danser et je souris largement tout en me mordant la lèvre inférieure alors que je m’avance vers elle dangereusement « Le secret c’est de savoir chevaucher parfaitement » Je la défie du regard, elle comprend très bien ce que je veux dire mais le pire c’est que c’est vrai, il y a beaucoup de vérité. Les espagnoles sont chaudes et savent danser car elles se donnent au lit « Tu penses en être capable ? » Je sens ses lèvres proches des miennes et je dois avouer qu’elle joue bien sa partition elle aussi. Bien entendu ça me fait de l’effet mais à elle aussi sauf que je ne vais pas abdiquer non bien au contraire et c’est pourquoi ma main se trouvant au niveau de sa poitrine descend petit à petit et se rapproche dangereusement vers son intimité que je caresse au travers de ce tissu très peu épais. Techniquement ce n’est pas déloyal ce que je suis en train de faire, non je la déconcentre juste et accessoirement je l’excite « Prête ? » Je m’approche d’elle de nouveau au creux de son oreille « T’es du genre à mettre la musique forte ou pas » Elle sait très bien ce que je veux dire par là et mon sourire provocateur en dis long alors que je mords ma lèvre avant de frôler ses lèvres à mon tour lui donnant un aperçu du gout qu’elles pourraient avoir.
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@Clary Bushnell

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T’es plutôt confiant à une troisième rencontre, à voir. C’est possible. Nous deux, ça match plutôt bien, ça serait bête de ne pas profiter des plaisirs de la vie de temps en temps. Tu peux vite me faire perdre la tête, je te vois venir depuis le début de la soirée, mais j’vais pas craquer. Je résiste, mais tu compliques tout en enlevant ton haut comme pour me narguer, me montrer ce que je peux avoir si je cède. « Tu crois ?! » dis-je en regardant ma poitrine et laissant même mes mains les toucher. J’ai aucune honte à faire ça devant toi, je vérifie juste l’exactitude de tes propos ou je te cherche tout court. Va savoir, il y a tellement de choses qui traversent mon esprit là que j’ai du mal à avoir les idées clairs. C’est encore plus difficile quand tu t’approches de moi de la sorte. « Le problème avec cette robe, c’est que j’peux pas l’enlever. » J’attrape ta main posée sur mes fesses pour la faire glisser le long de mon dos, le long de cette fermeture qui ne peut être remontée et descendu que par une autre personne. Un moyen de faire grimper un peu plus la température. Si tu veux en voir plus, tu vas devoir venir le chercher toi-même. Ça commence. Tu me donne déjà le secret pour une danse parfaite et j’en attends pas moins de toi. C’est sûrement dans mes cordes, mais est-ce que je vais être à la hauteur des femmes qui ont ça dans le sang ? Ça reste à voir. « Si j’ai un bon prof, ça devrait le faire… Mais seulement si le prof est bon et ça, c’est pas gagné. » J’suis exigeante, je veux le meilleur. Mes lèvres te frôlent, mais tu continues de résister. T’en as envie, je peux le sentir, mais je ne m’attends pas à ça. Ta main descendant un peu trop au sud, caressant mon intimité à travers ce tissu. Tu me prends par surprise, je ne t’ai pas vu venir et mes lèvres se pince entre elles pour contenir l’excitation que ça me procure. T’es fort, vraiment fort au point de ne pas vraiment réagir quand tu me demande si je suis prête. Tu me déconcentre, ta main me déconcentre et tu choisi la facilité en allant sur cette zone sensible. Je ferme mes yeux une seconde pour retrouver mes esprits. Mes yeux dans les tiens, mes mains descendent jusqu’à ton jean, déboutonnant sans mal ce dernier que je fais glisser jusqu’à tes pieds. Quoi ? Tu m’as bien dit de te mettre à l’aise non ? Toute façon t’as trop chaud, cette chaleur qui émane de ton torse te trahi, je te rends service. « Tout dépend de comment tu règles le volume. » tu sais ce que je veux dire. Si c’est intense, si c’est sensuel, le volume peut vite monter avec autant de « si » mais il peut vite descendre et finir muet. Tu frôles mes lèvres, une énième tentation pour me faire flancher. Je ne peux pas m’empêcher de poser mon index, cet index que t’as mordillé plus tôt dans la soirée sur tes lèvres. Une barrière à ne pas franchir. Mon autre main sur ton torse, je te pousse vers cette pièce spacieuse que je vois pour la première fois. Juste derrière, il y a cette chaise et j’peux pas retenir ce sourire provocateur plus longtemps qui se dessine sur mes lèvres en te poussant jusqu’à cette dernière. Assis, le spectacle est plutôt agréable à regarder. Je laisse mes doigts remonter doucement le bas de ma robe, mordillant ma lèvre sensuellement, te faisant profiter du petit spectacle en m’avançant jusqu’à toi. Je te chevauche en m’installant sur toi, doucement pour faire monter un peu plus la température dans cette grande pièce à vivre trop froide. Je me colle contre toi, ne laissant aucune distance entre nos corps, quitte à nous étouffer mutuellement et je viens murmurer à ton oreille « Leçon numéro 2 ? » La danse ne fait que commencer, je suis encore bien trop novice tu sais, j’ai beaucoup à apprendre. Une main sur ta nuque, mes ongles au contact de ta peau que je fais glisser délicatement en venant mordiller ta lèvre. Je fais un pas, je craque un peu, mais en feras-tu autant ?

@Antonio Munoz désolé, c'est pas top

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