promise me no promises (vioah)

 
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( @Noah M. Ferrari   )
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Je plaide coupable : je suis revenue pour moi avant autre chose. Non pas que je souhaitais particulièrement revoir Noah au contraire, j'avais encore son dernier coup bas en travers de la gorge et ses messages ne m'avaient absolument pas convaincue quant à ses regrets encore moins pour me laisser en plan après un message énigmatique. L'intervention d'Hadès n'avait rien arrangé, surtout que j'avais honnêtement du mal à croire tout ce qu'il m'avait raconté ; mais quelque part j'étais quelqu'un de fidèle en amitié alors je m'étais repointée. J'avais passé la nuit chez Loup et ça avait suffit à me calmer pour le moment. J'avais quitté le penthouse dans la journée en promettant à mon hôte de revenir bien vite parce que soyons honnêtes, j'avais vraiment envie de passer du temps avec lui. Non, ce qui m'avait vraiment convaincue c'était les messages d'Harper. Noah n'avait clairement pas fini d'emmerder son monde ; après moi c'était le tour de son amie. Au lieu de s'en prendre à ceux qui devaient vraiment se reprocher quelque chose, ils se retournaient contre nous... Et clairement, je voulais pas laisser passer. Ca pouvait paraître puéril, mais j'avais besoin de me venger. En temps normal, je ne me serais pas gênée pour tout lui balancer à la figure mais il s'agissait des plans d'Harper, pas des miens. Alors ouais, j'avais fais le trajet dans la nuit et n'importe qui aurait pu se dire que c'était simplement par grand attachement mais j'allais y trouver mon compte. Harper m'avait accueillie et expliqué la situation ; j'allais devoir faire tampon pendant quelques temps jusqu'à ce qu'elle trouve de quoi contrer cette soudaine envie de contrôler sa vie sentimentale. Après mes derniers sms, je monte les escaliers et je débarque dans la chambre. L'endroit est un peu d'humide, après tout il m'avait dit sortir de la douche... Je pose mon regard sur lui, en espérant au moins qu'il ne m'aie pas menti sur sa fameuse cuite de la veille : je ne supporte déjà plus ses mensonges et ses manipulations. « Honey, I'm home. » Super original comme entrée mais je sais pas quoi dire d'autre. Je devrais être plus enjôleuse, histoire de remplir mon rôle mais j'ai d'abord besoin de tâter le terrain.

Tu n'avais pas prévu ça en fait, tu avais bu toute la nuit avec Hades pour ton plus grand plaisir, être accompagné de ton homme t'aidait pas mal à réfléchir et à te sentir bien, donc autant dire que tu étais heureux de le voir enfin à tes côtés, et non pris dans le vent de la panique de sa tête. Alors oui, réveil compliqué, surtout quand on te connait, le monde t'avait envoyé sous les roses. Hades n'était plus là, les bouteilles si et le silence encore plus. Petite gueule de bois quand ton téléphone sonna et tu en profitas pour passer à la douche. Violet était là. Il fallait quand même éviter qu'elle voit ton état. Sauf que quand tu sortis, tu la découvris dans ta chambre, tu la regardas même avant de sourire faiblement. Vee... ton regard sur la jeune femme,même si tes yeux indiquaient clairement ta nuit blanche, tu la regardas. Il devait être quoi, seize heures, et encore et tu avais l'impression qu'elle t'avait réellement quitté pendant des années c'était horrible. Tu ne savais pas trop quoi faire, tu préférais te rendre directement au niveau de ton lit pour ramasser les bouteilles de whisky qui vous aviez emprunté à long terme sans date de retour à Harper avant de les mettre à la poubelle. Fallait éviter de voir le carnage mais c'était quand même une chouette soirée. Et voilà que tu t'approchas finalement d'elle, tu hésitas une seconde mais ta main passa dans ses cheveux, tu avais besoin d'un câlin et d'un café aussi..

 
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Je suis presque soulagée qu’Hadès ne m’aie pas menti même si je ne devrais pas me réjouir du malheur de Noah. Il a beau blesser tout son monde, c’est un être humain. Il a des cernes et s’il n’avait pas prit une douche, je l’aurais pris pour un zombie. Il s’élance pour jeter les bouteilles et je perds le compte. Je parle doucement parce que je veux pas lui vriller le crâne, il doit avoir une gueule de bois... Peut être même que mon rôle en sera plus facile. « Laisse, assied toi. Je m’en fiche. » Qu’importe les bouteilles qui jonchaient le sol. Il fallait qu’il se repose. Il murmure mon nom et mon coeur se serre : ok ça me fait vraiment de la peine. Mais c’était peut être aussi un peu disproportionné ? Il passe sa main dans ses cheveux mais je garde encore mes distances « Qu’est ce qu’il t’as pris ?  » Boire à outrance, m’envoyer tous ces messages... Je refusais clairement de croire qu’il était effondré. Il avait fait du chantage à Harper à défaut de, je sais pas, venir me chercher ? Je pose ma main sur sa joue pour venir passer le pouce sous les petites marches violacées ou bleuâtres qui témoignaient de la nuit qu’il avait passée puis le regarde droit dans les yeux. Le temps se suspend... mais je la retire bien vite et détourne le regard. « Assied toi. Je vais demander à ce qu’on t’amènes de l’eau et un café.  » Je tourne les talons pour retourner à la porte, dans l’espoir de trouver un domestique dans le coin. On devrait parler, mais je voulais pas lui prendre la tête sans qu’il soit en pleine possession de ses moyens et peut être aussi que j’étais pas prête. J’étais peut être trop gentille aussi... allez savoir.

Peu de gens te connaissait sur ce terrain là. Hades était sans doute le seul pour connaître ton malheur, surtout depuis que tu avais laissé Anastasia. Donc autant dire que tu étais au plus bas. La voir, lui sourire faiblement, savoir qu'elle est là, cela te faisait du bien, elle pouvait changer d'avis ? Ou juste rester pour toi ? Tu la regardes alors, tu en profites pour finalement venir vers elle. Tu aurais juste pu la laisser repartir et elle s'en va une nouvelle fois. Tu la laisses faire, sauf que tu ne bouges, tu restes debout, comme figer la première fois qu'elle est partie et quand elle passe la porte, tu soupires fortement. Fais chier elle vient de repartir, elle vient de partir te chercher un café alors que tu n'en as pas besoin, et encore moins besoin d'eau. Tu déposes tes mains sur tes hanches, tu viens d'oublier que tu étais en caleçon et ton regard se pose sur le monde autour de toi, où sont passés tes clopes ? Tu regardes autour de toi, tu fronces les sourcils et tu vois tes affaires sur la chaise, tu t'avances pour fouiller dedans. Merde de merde, Hades ! Tu vas le tuer, tu vas vraiment le tuer, sérieusement et tu soupires fortement Fais chier ! Et cette fois-ci c'est de l'italien, tu vas finir vraiment par le tuer sérieusement. Mais tu tournes la tête, tu as entendu la porte et tu vois Violet dans l'encadrer, elle est revenue, elle est de nouveau là. Tu as surtout l'impression de rêver, tu aurais mieux fait de prendre une douche de deux heures au lieu d'une heure sérieusement. Tu la regardes Dis moi que tu restes.. Tu ne veux pas qu'elle s'échappe non mais oh ! et tu lui demandes gentiment aussi..

 
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Je fais n’importe quoi et je vais probablement tout foutre en l’air mais je disparais aussi vite que je suis arrivée, je prends la fuite pour mieux revenir quelques instants plus tard après avoir donné mes ordres. Noah est agacé, et à moitié réveillé j’en ai bien peur. Je l’entends parler italien quand je passe l’encadrement de la porte et je la ferme derrière moi pour nous laisser seuls. Je sens comme un vague arrière goût de désespoir dans sa voix et c’est de pire en pire parce que ça me touche en tant que personne mais ça me dit de me méfier. Harper me l’a dit et répété, Zora tout autant : c’est un manipulateur. Pourtant je cède : « Je reste. Je reste, cette fois, promis... » Je m’approche de lui et je passe mes bras autour de sa taille comme pour confirmer ma présence. Je ne quitterai plus cette chambre pour ce soir... Du moins c’était ce que j’étais censée faire. « Il faut vraiment que tu te reposes. » On dirait qu’il est à bout de nerfs et j’essaye d’être la plus douce possible. Probablement une habitude prise avec lui en dehors de nos coucheries : avec moi, il va a son rythme. Pas de pression, aucune. Mais là, il faut vraiment qu’il arrête de tourner dans cette chambre, j’utilise ma prise sur ses épaules pour l’attirer jusqu’au lit qu’on était censés partager ce week end et je l’oblige à s’y asseoir avant de venir m’installer derrière lui. Je passe mes mains autour de ses épaules et pose ma tête dans le creux de son cou, mon souffle venant s’écraser contre sa peau. Je sais pas par où commencer, encore moins quoi lui dire. Je lui en veux toujours et... ouais, en temps normal j’aurais débarqué en lui balançant tout ce que j’avais sur le coeur mais les circonstances avaient changées. Au fond je le trahissais un peu, mais c’était une trahison douce. « Ça va..? Je peux faire quelque chose ?» Ouais premier truc qui me vient. Je me doute que la réponse n’est pas oui, mais il faut bien amorcer nos explications.

Tu l’observes. Elle reste, elle reste avec toi, elle ne bouge pas, elle ne partira pas, tu es tout content de la chose mais d’un côté tu as peur. Si tu t’endors, elle va partir comme un rêve qui s’efface pour le cauchemar. Elle enroule ses bras, tu ne peux qu’approuver la chose et tu te laisses guider jusqu’au lit. Ton soupire se faire entendre, tu fronces les sourcils à ses mots. J’ai pas besoin de repos, juste de toi Parce que Vee avait réussi à tout briser en toi, elle avait réussi à rentrer comme ça et laisser ce vide dès qu’elle s’échappait à toi. Tout le monde pourrait dire du mal de toi, te traiter d’enfoiré ou de connard, elle te défendait toujours, même si tu étais l’abrutit de service ou le gros connard dans l’histoire. Parce que tu avais confiance en elle, et tu lui avais toujours dis qu’elle pouvait compter sur toi. Mais cette fois-ci, c’est toi qui a besoin d’elle. Tu sens ses mains sur ses épaules, tu sens tout absolument et tu en frisonnes. Tu tournes la tête, sentant son souffle sur ta peau pour lui caresser légèrement ses cheveux. Tu finis par embrasser sa tempe lentement. Ses paroles te font humecter les lèvres, tu as l’impression d’être encore légèrement bourré de la veille, sans doute à cause de l’alcool que tu as pris avec Hades. Mais tu n’en tiens pas rigueur. Enfin pas à lui mais aux bouteilles oui, surtout que ce con c’est barrer comme un enfoiré. Tu vas finalement le tuer et tout est de sa faute. Tu viens tourner la tête vers elle, tu en profites même pour tourner ton corps alors que tu la fixes. Je vais toujours bien moi, surtout quand t’es là Vee… Tu caresses sa joue doucement, tu t’en voulais de tes paroles ou même des sms, le simple fait de voir ton prénom dans cette conversation t’avait énervé. Alors tu avais joué par impulsivité comme toujours. Tu finis par t’allonger sur ce lit, juste la tête contre les jambes de Violet, tu étais bien là. Simplement bien, sans penser à rien, juste à elle.

 
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Noah a cette attraction sur moi, cette domination invisible qui me pousse à revenir en courant même lorsque je m’enfuis. J’ai le coeur en vrac et le cerveau en détresse, je sais plus quoi faire ni comment réagir face à mon président. J’ai la profonde impression que quelque chose ne tourne pas rond alors qu’il se déverse des preuves d’affection, un baiser par ci, une caresse par là. Finalement il s’allonge sur mes jambes et je reste silencieuse quelques instants. Je profite du calme soudain de la pièce, comme si une bulle s’était formée autour de nous. Je passe une main dans ses cheveux avec douceur tandis que je le laisse s’imprégner de ma présence, il a visiblement une peur panique de l’abandon que je ne peux que comprendre. « T’es pas obligé d’aller toujours bien. » Personne ne va toujours bien. Moi, je suis le catalyseur, je suis la sécheuse de larmes. Je suis le plan B, l’épaule sur laquelle on pleure, le roc sur lequel on s’accroche quand la tempête approche. Il a beau me dire et me répéter que je suis importante à ses yeux, que je suis essentielle, je n’en crois pas un mot. Je sais qu’à l’instar de ce que m’a dit Zora, je n’en suis qu’une parmi tant d’autres. Ce n’est pas grave : je l’ai accepté. Je me penche un peu au dessus de lui et l’arête de mon nez vient frôler la sienne, presque comme si j’allais l’embrasser. Parfois, ses lèvres me manquent. « Tu n’as rien à me dire ? » Pas d’explications ? Pas d’excuses ? « J’ai fais tous ces kilomètres pour toi... » Je le lui rappelle une dernière fois. J’ai fais ça pour lui, c’est pas la première fois que je me déplace pour le soutenir malgré tout. Et il me connaît : je suis une sale gosse. Par ego, j’aurais pu ne jamais revenir et bloquer son numéro. Je l’ai pas fais : putain d’exploit.

Elle est enfin là avec toi, comme si ton monde entier c’était écroulé pour ne rester que poussière. Tu aurais du partir mais tu avais fait un effort pour Hades, il n’était pas bien non plus et donc tu avais décidé de rester. Ton regard se pose sur elle, tu es allongé sur ses jambes et tu sens ses mains, c’est un plaisir parfait, tu as l’impression de l’avoir retrouver, qu’elle ne t’a jamais quitté finalement. Il faut bien quelqu’un qui doit aller toujours bien ici Parce que tes problèmes s’enterrent, toi tu es celui qui a toujours la banane , à faire chier son monde, toujours le petit rebelle. Tu es celui qui va toujours bien, enfin par devant. Après c’est différent. Elle s’approche de toi, tu fermes les yeux quand tu sens son nez, tu la regardes ensuite, tu caresses sa joue lentement. Tu humectes tes lèvres lentement à ses paroles, tu décides de te redresser légèrement pour te mettre face à elle, tu la fixes, ça doit être malaisant, mais tu t’en fous, tu veux la regarder dans les yeux. Et finalement tu ajoutes Je suis un idiot et j’ai besoin de toi dans ma vie Vee plus que tu ne le crois … Parce que tu es honnête, et qu’elle sait que c’est une forme d’excuses, parce que tu ne le prononces jamais ce mot, tu ne le dis jamais, sauf à ton homme et encore. Là c’est la même chose. Tu viens caresser sa joue doucement, tu caresses le bout de son nez avec son doigt puis ses lèvres mais tu te contentes de lui embrasser le front lentement. Tu veux t’en aller ? Tu veux partir ? là tu ne sais pas trop si tu le supporteras en fait, si tu arriveras à accepter la chose non …

 
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J'ai peur de mes gestes, j'ai peur de mes mots. J'ai peur de le brusquer, de tout faire foirer. J'aimerais être pleine de confiance mais c'est impossible avec Noah, il est trop imprévisible. J'essaye de lui tirer des phrases qu'il ne dit jamais, de comprendre ses intentions. En réalité, je lui laisse une chance de remonter dans mon estime mais c'est un exercice dans lequel il excelle en temps normal. Je me contente d'hausser les épaules lorsqu'il finit par se redresser et me fixer droit dans les yeux. C'est le mieux qu'il puisse faire... Bah, je m'en contenterai. « D'accord. Si tu le dis, je te crois. » Moi, indispensable ? Lui, avoir besoin de moi ? C'est le monde à l'envers... Ses preuves d'affection essayent d'enfoncer un clou qui n'est même pas posé au bon endroit. Je baisse les yeux : il faut absolument que j'arrête de lui faire croire que je pourrais partir à n'importe quel moment. Mais surtout, je dois lui donner une raison de rester ici avec moi jusqu'au lendemain matin. Alors ouais, sa gueule de bois aiderait probablement un peu mais pas suffisamment. Je passe ma langue sur mes lèvres, pose ma main sur sa joue et sourit doucement : « Non, je pars pas. Promis, je pars pas. On a du temps à rattraper, toi et moi, hein ? » Je fixe ses lèvres. Je sais pas si je dois aller jusque là, mais... « On a qu'à rester ici. » Aller, Violet. « On pourrait rester au lit et oublier tout le reste. » Pour appuyer mes propos, je l'attire contre moi alors que je m'allonge sur les draps alors que ma voix se faire presque comme un murmure : « Je suis revenue pour toi, je compte pas repartir. Je serais toi, je me séquestrerai, juste au cas où. » Juste au cas où.

Et dire que d'habitude tu n'es pas aussi fort face à une femme. Mais elle ne te croit pas, tu soupires doucement. Tu as merdé, tu le sais très bien que tu as merdé mais elle ne te crois pas, elle n'essaye même pas. Tu te trouves pas enface d'elle, elle caresse ta joue doucement, tu pourrais presque tomber pour elle, là maintenant. Mais tu ne le fais pas, tu n'as pas très envie qu'elle te repousse ou qu'elle s'en aille pour ça. Mais voilà. Elle est douce et gentille, tu as merdé, tu le sais très bien. Elle promet de rester, elle vient de te le promettre mais aussi de rattraper le temps, tu t'excuses alors Je suis désolé Vee, c'est ma faute si t'es partit tu viens de lui dire, elle pourrait faire un petit effort, un léger. Tu ne le dis à presque personne, et elle vient de l'entendre, sans doute pour la première fois de sa vie. Alors elle peut être cool non ? Elle te propose de rester là, tu aurais t'allonger sur le matelas, tu aurais pu dormir pendant des heures aussi avec elle, et seulement elle. Mais elle a un tout autre programme, elle t'attire avec elle, tu n'as pas le temps de réagir. Tu vois ses lèvres, tu vois son corps, ok t'es plus du tout fort là, tu déposes tes mains contre le matelas, tu la regardes, tu humectes tes lèvres doucement Je suis pas trop en état Vee .. Mais ses murmures te font de l'effet, en même temps, elle te fait de l'effet tout court hein. Et tu la regardes dans les yeux, tu souris faiblement, tu as l'impression que ce soit les mêmes mots que tu lui as dit la première fois que vous avez couché ensemble. T'es trop nostalgique maintenant, l'horreur avec les gueules de bois en fait, mais cela te fait sourire, comme un idiot. Tu veux faire quoi alors ? Quoi ? T'as la gueule de bois, et t'es légèrement tout légèrement mal réveillé donc autant dire que tu as pas tout compris. Et puis aussi fallait pas que ça prenne trop de temps hein, t'avait des trucs à faire après les gars, que tu as juste failit oublier ..