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don’t be shy, take control of me (violoup)

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J’avais plié bagages tellement vite et fais des aux revoirs rapides que j’avais à peine eu le temps de réaliser ce qu’il s’était passé. J’étais partie en colère, déçue et j’avais besoin de me changer les idées même si j’aurais d’abord voulu pouvoir m’expliquer avec Zora sur toute cette affaire. Mais elle m’avait dégagée de sa vie, elle voulait plus me parler parce que j’étais d’après elle "comme les autres Eliot". La blague... Résultat des courses : j’ai juste besoin d’anesthésier mes sentiments. Oublier Noah, oublier le reste. Et c’est à peine étonnant quand j’envoie un message à Loup : dans ce genre de moment, il n’y a que lui qui peut me comprendre et m’accompagner dans ce genre de besoins. Loup est un peu comme moi et dans le fond je suis sûre qu’on a une certaine connexion. J’avoue que coucher avec lui était un plus, jusqu’à ce que je me range... mais lui ça n’a pas l’air de l’embêter plus que ça de son côté. J’avais pris une voiture et j’avais fais la route jusqu’à l’aéroport, retour express à Boston. J’ai à peine foutu le pied par terre que je commande un taxi en direction du penthouse, chemin que je connaissais bien et que j’avais pas assez pris ces derniers temps à mon goût. N’importe qui aurait pu me reprocher mon amitié avec Loup, trop de choses nous séparaient au regard des autres mais pas pour moi. Je m’annonce à peine, et j’en ai plutôt rien à foutre, j’ai la rage au ventre et une sale envie de m’enfiler la fameuse bouteille de whisky. S’il y a quelques cachets avec, c’est encore mieux. Entrée triomphale, je débarque avec un grand sourire et mes bagages encore en mains que je jette presque à mes pieds quand je vois le Mather. Je prends ma voix la plus profonde, comme pour le titiller : « J’adore quand tu m’attends avec une bouteille. » J’approche pour me coller à lui avant de continuer sur un ton plus léger : « Tu m’as manqué ! » Putain de bouffée d’air frais.

@C.-Loup de L. de Monpezat
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Je n’avais rien prévu ce week-end sinon de voir cette mystérieuse Olympe le lendemain soir, une jeune femme que j’avais rencontrée à la boxe et qui portait le même prénom que ma soeur. Ma curiosité malsaine était telle que mon envie de la connaitre davantage et d’assouvir mon besoin de prédateur l’emportait sur ma raison. Je l’avais courtisée par sms avec de belles paroles dignes de Shakespeare lui-même, rien que ça, avant qu’elle n’accepte un restaurant en ma compagnie. Bientôt, elle ne sera plus vierge. Mais un sms de Violet me coupait dans mes songes. Elle me proposait de sortir ce soir, elle avait l’air contrariée. Je me doutais qu’elle devait être avec cette clique de batârds lorsque j’entendis le mot ‘Hamptons’. Oui, il fut un temps où moi aussi j’étais convié chez Harper avec les autres, mais ça c’était avant qu’ils ne me rejettent dû à mon entrée chez les Mathers. J’invitais donc Violet à me rejoindre à l’appart pour finir la bouteille de whisky que je venais à peine d’entamer. D’autres étaient à notre disposition ce soir, si notre soif se faisait trop grande. J’avais hâte de la voir, bien que je ne puis plus jouir des plaisirs de la chair avec elle, depuis qu’un idiot avait la main mise sur son corps. Tant pis. Dommage. Violet me satisfaisait pas mal je dois dire. Même pas une heure après son dernier sms, le réceptionniste m’annonçait son arrivée alors qu’elle faisait son entrée fracassante, bagages en main. J’arqua un sourcil, un petit sourire aux lèvres, verre de cristal en main affalé sur mon fauteuil qui donnait sur la grande baie vitrée de mon large salon. Je me levais immédiatement à sa rencontre. « Tu sais à quel point j’aime partager mes bouteilles avec toi. » disais-je en guise de réponse avant qu’elle ne s’approche de moi. Je glissa ma main libre au creux de ses reins avant de l’embrasser sur la joue, à la limite de la commissure de sa lèvre. « Tu m’as manquée aussi bébé. Alors raconte moi ce début de week-end ? J’imagine que tu étais avec ces enfoirés pour débarquer aussi vite ! » Oui, je prenais encore un peu mes aises avec elle. Je lui désignais le canapé avant de prier Victor, mon majordome de monter ses bagages dans la chambre d’amis, si elle souhaitait rester dormir ce soir. J’allais ensuite lui servir un verre de whisky avant de me retourner vers elle lui demandant. « Avec ou sans glace chérie ? »

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Amis, amants, la limite était tellement fine qu’on ne savait plus comment la définir. En soit, je ne me privais de rien hormis de relations charnelles pures et dures mais est ce que cela signifiait la fin du flirt pour autant ? Pas avec Loup. Je me sentais bien et j’avais aucune gêne à avoir une proximité physique avec lui, bien qu’elle frôlait parfois la décence et les limites que je nous avais imposées depuis le début du mois. Il m’accueille avec le ton attendu, j’ai l’impression d’être à la maison quand il me saisit par la taille et me présente la bouteille promise. « Sans, s’il te plaît. Vite et bien. » Il approche et je pose ma tête sur son épaule, le visage caché dans son cou alors qu’il attaque d’emblée, totalement à l’aise (et heureusement pour moi) « Hmm... » Quel dommage d’avoir coupé court à cette excursion, le cadre était agréable, mais j’aurais pas pu rester un instant de plus sur place. Je relève les yeux vers lui : « Ouais, j’étais le +1 de Noah sinon j’aurais jamais mis les pieds là bas, tu penses bien. » Je connaissais peu les amis de Noah et tout leur cercle ; j’avais eu l’occasion de discuter un peu avec Hadès avant de partir et ça avait été enrichissant. Malgré tout, je savais que Loup leur portait une haine viscérale depuis son entrée à la Mather, chose que j’avais du mal à comprendre tant on s’entendait bien. Je trinque avec le prince et avale cul sec. « Wow ! Ça donne chaud. » Sur ces mots, je retire mon pull. Bah quoi ? La vache, il était vraiment pas mal ce whisky. C’est la colère ou le fait que je boive alors que j’étais en désintox ? J’allais devoir me re servir. Mais bref, je n’allais pas échapper à quelques explications... et de toute façon j’avais besoin de le déballer. « Noah s’est dit que ça serait une excellente idée de contacter une amie à moi afin de l’insulter en mon nom après avoir fouillé dans mes messages sans autorisation. Du coup j’ai fais mes affaires et je suis partie rejoindre mon véritable amour. » Je termine sur une note d’humour, mais je suis toujours estomaquée par la trahison, J’espérais avoir résumé ça du mieux possible... Même si je pouvais deviner ce que Loup allait en penser.
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— with @VIOLET D. GOLDMAN  

Violet avait ce que j’appréciais chez les femmes. Une bonne dose de répartie, de la profondeur, un petit côté sauvage, et … un cul d’enfer. Même si ça me faisait un peu chier qu’un pauvre type m’ait volé un plan cul du tonnerre, il ne me l’avait pas volée entièrement, à ma plus grande satisfaction. Et puis même si je n’avais plus la main mise sur ses magnifiques courbes, je me délectais de jouer à mes petits jeux sordides avec elle lorsque nous sortions, m’amusant à jouer avec son consentement, ses limites. Alors que je lui versait son whisky sans glace, je me retournais vers elle pour le lui offrir tandis qu’elle vint déposer son visage dans le creux de mon cou. La jeune femme avait-elle été malmenée à ce point ? Je glissa mes doigts dans sa chevelure, caressant son crâne, son verre encore dans mon autre main, avant de lui murmurant presque sérieusement. « Qui dois-je torturer ? » Bien que j’avais déjà une idée de qui exactement. Elle ne tarda finalement pas à me donner un nom, me laissant un sourire à la limite du machiavélique. « Noah dis-tu … » J’arquais un sourcils furtivement avant de m’installer à ma place alors qu’elle prenait son verre en main. Je trinqua avec elle. Voir Violet boire cul sec son whisky me fit doucement sourire alors que je me releva la resservir tandis qu’elle ôtait son pull. Mmmm on commence déjà à se déshabiller ? Pensais-je de façon sarcastique sans moins de pensées impies qui allaient avec. Je me réinstallais près d’elle. « Il peut … c’est un douze ans d’âge. » disais-je calmement, penchant mon verre de gauche à droite tout en observant le liquide ambré qui dansait à l’intérieur, songeur. Je le bu cul sec à mon tour, fermant les yeux avec un petit rictus. Et à mon tour, je me resservais avec la bouteille que j’avais finalement pris la peine de rapprocher sur la table basse de marbre. La belle Eliot me racontait alors ce qui l’avait fait partir si vite de ce charmant week-end dans les Hamptons. Je l’observais, elle avait l’air si contrariée, mais ce qu’elle me disait ne m’étonnait pas. Il fut un temps où moi aussi, je m’amusais à ces petits jeux là avec Noah. Mais aujourd’hui, je n’étais plus de son côté. « Ton véritable amour … le whisky ou moi ? » demandais-je pour la titiller un peu avant de reprendre mon sérieux. « Laisse tomber ce merdeux. Il se sert de toi. » La question n’était même plus de savoir pourquoi il avait agit de la sorte avec elle, je le connaissais, il avait été mon meilleur ami, mais plutôt de savoir pourquoi Violet avait fait confiance à ce batard. « Mais si je peux faire quelque chose … tu le sais bien Vi, je suis ton homme. »

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Parler ouvertement me faisait le plus grand bien, j’avais besoin de me défouler. Ce n’est pas tant que je n’avais pas pu me décharger sur Noah lors de notre dispute mais plutôt que l’ambiance était déjà électrique au manoir et que je doutais fortement de trouver un allié parmi les invités dans une histoire qui ne concernait que moi et mon président. Je ricane à la remarque de mon hôte « Tu en torturerai pour moi ? » Comme c’est flatteur. Pas forcément de la clique... Il rebondit sur ma plaisanterie et j’en rajoute une couche, non contente d’ajouter un brin d’ambiguïté à notre conversation : «  Je te laisse choisir. » À la base je parlais bien de lui, mais quitte à le faire mariner... c’est tout aussi amusant. Tout était confortable chez le prince et je prends mes aises un peu comme si j’étais chez moi. Mais c’était presque le cas, non ? Il se sert de toi. Je tressaille à cette phrase, élément déclencheur de l’histoire qui m’avait fait quitter les Hamptons aussi vite. «  C’est marrant que tu dises ça... C’est exactement ce qu’on m’avait dit et qui lui a pas plu » Ouais. Mot pour mot, Zora m’avait dit ça et Noah ne l’avait pas accepté. Il l’avait d’ailleurs bien appuyé dans son dernier sms. Tu laisses une personne m'insulter, dire que je t'utilise alors que c'est pas vrai du tout putain Vee. Je finis par me redresser du fauteuil un peu brusquement alors que je fais tournoyer un peu le liquide dans mon verre, comme un préambule. «  Oh bébé, t’en fais pas, tu seras le premier au courant s’il se passe quoi que ce soit. » Ouais mon allié. S’il le faisait plus pour moi ou pour se venger j’en savais rien mais ça me soulage un peu de me sentir soutenue. «  Et au final, je t’ai même pas demandé comment t’allais.  » Je finis encore une fois mon verre d’une traite, j’emmerde mon foie et mon taux d’alcoolémie pour ce soir, je me fous de devoir tout assumer demain matin. «  Tu me laisses dormir avec toi ? » Je joue avec le feu, j’ai pas peur et je sais qu’il se laissera entraîner, qu’on testera les limites, qu’on se laissera piéger. Je me lève pour me rapprocher de lui : «  Cela dit je compte pas aller me coucher de suite. On a toute la nuit devant nous pour s’éclater. » C’est carrément une invitation, ça !

@C.-Loup de L. de Monpezat
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« Tu me tortures déjà depuis un mois … j’ai bien le droit de me défouler sur quelqu’un non ? » Ouais elle me torture à se pavaner devant moi comme ça, cette fille tout droit sortie de l’enfer. L’enfer qu’elle manie à la perfection avec moi avec sa capacité arrogante à l’ambiguité, qui me laisse tout de même le sourire aux lèvres. « Mmm … tu connais déjà mon choix, je crois. » Ouais, moi aussi je sais manier l’équivoque ma belle. Je sens que ma phrase la fait tiquer. Je l’observe. Chaque mouvement de sa peau. « Je le connais, c’est tout. » finis-je par dire en haussant les épaules, buvant une nouvelle gorgée tout détachant mon regard pour contempler un instant la vue. Cet idiot avait un projet en tête avec elle. Je ne connaissais pas ce projet, mais je savais ce qu’un coureur pouvait avoir en tête. Je la regardais de nouveau, souriant à ses dires. Elle pouvait m’appeler à n’importe quelle heure, elle savait que je serai toujours là. Mon sourire s’effaça très subtilement à sa question. L’esprit de ma soeur me hantait jours et nuits et seuls les plaisirs païens me donnaient répit dans les abysses de ma mélancolie. Mais c’était personnel. Je n’en parlais à personne de ma soeur, elle était bien trop précieuse pour être partagée avec qui que ce soit. Vi y compris. J’esquivais alors le sujet, répondant simplement. « Ouais enfin tu me connais quoi. Ca va toujours. » finissais-je par sourire franchement. Je m’empressa de resservir mon invitée de marque avant de doucement sourire devant sa question. Cherche t-elle à me piéger sous ses petits airs faussement innocents ? Elle me connait, elle sait pertinemment à quoi s’attendre avec moi. « Ca dépend … ça t’ennuie si je dors nu ? » demandais-je un brin sarcastique mais tout à fait sérieux, amenant mon verre à mes lèvres sans la quitter du regard. Parce que ouais clairement, je la connais, moi aussi. Très profondément même. La jeune eliot s’approche de moi, je ne la quitte toujours pas du regard, presque happé par sa beauté insolente. « Tu sais quoi ? Je pense qu’on peut même faire notre petite soirée ici, en fait. » dis-je tout en reposant mon verre, glissant mon index le long de son épaule. Un magnifique coucher de soleil inondait le penthouse alors que l’idée de mettre un peu de musique me vint à l’esprit. Je me leva aussitôt pour me diriger jusqu’à mes enceintes et les alluma, mettant un peu de musique bossa nova depuis mon iPod. Quoi de plus sensuel pour se mettre dans l’ambiance. Après tout, nous avions bien l’air tous deux d’âmes déchues dans ce bas monde, alors autant agir en tant que tel. Je me tournais ensuite vers elle, mon air éternel impassible au visage, lui tendant la main qu’elle vienne me rejoindre pour une danse. Elle était ma faiblesse et elle le savait pertinemment vu comment elle en jouait. Aussi, je ne voyait aucune raison de ne pas moi aussi me laisser tenter par un rythme chaud en sa compagnie.


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« T’en fais pas, il y en a d’autres pour te satisfaire. » Je vais jouer et je vais peut être perdre, peut être me brûler les ailes. Mais je me sens plus vivante que jamais, je suis incapable de m’arrêter et j’adore lui faire miroiter l’espoir de pouvoir encore me posséder. J’ai l’impression d’être un coup de vent qui vient caresser la peau mais qu’on ne peut pas attraper. Et j’devrais pas mais c’est ce qui rend le tout plus excitant, l’interdit. « Tu veux me récupérer ? » Je pose les mauvaises questions, des questions dont je ne veux pas  vraiment les réponses mais faut croire que j’adore me jeter tête la première dans les problèmes. Je ricane et je secoue doucement la tête : « Non ça m’dérange pas mais j’arrive à retenir mes plus bas instincts. » Et Dieu sait que lorsque je pouvais faire ce que je voulais de mon corps j’avais des amants qui en ferait pâlir plus d’une ; il suffisait de voir le prince du Danemark... Finalement, la soirée se déroulerait ici même. C’est loin de me déranger : le penthouse a tout ce qu’il faut pour nous assurer un bon moment et je peux même céder à mon petit côté exhibitionniste quand j’ai un peu bu. La musique s’excite et Loup m’invite à danser. Encore un verre et je m’élance sur notre piste de fortune, les mots sont inutiles alors que je laisse parler mon corps sans me soucier de notre proximité. En réalité j’en joue même, lui laissant deviner mes courbes à chaque mouvement et finalement je me retrouve face à lui. Ah bon sang... C’est quoi cette torture ? Je passe les bras autour de ses épaules et j’approche mes lèvres de son oreille pour lui glisser avec amusement : « Si tu veux que je craque, il va falloir me faire boire un peu plus. » Je suis encore trop sobre pour céder à sa belle gueule et puis j’aime bien lui résister un peu. Je finis par réimposer une certaine distance entre nous parce que c’est comme ça qu’on se teste : on s’attire et on se repousse comme des aimants. Ouais, on est décidément plus proches qu’on veut l’admettre. Je décide de changer de sujet pour enrayer le jeu de séduction que j’ai moi même installé : «  Votre majesté, j’ai fais long voyage pour rejoindre votre demeure... Puis-je vous demander le gîte, le couvert et une douche chaude ? » C’est rare que je me montre "docile", c’est amusant ce contraste.

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A sa remarque, j’esquisse un petit sourire en guise de simple réponse. Elle n’a pas tort, mais nul besoin de m’étaler sur mes conquêtes. Du reste, chaque femme et différente mais elle … Nos ébats torrides me manquaient il fallait l’avouer, elle avait le caractère qui allait avec, et savait totalement y faire avec moi. Jouer au chaud et au froid, l’ambiguïté constante, le doute, le trouble. Avec elle la vie était un jeu éternel. D’ailleurs, elle me posait cette question tendancieuse. Je me tournais un peu plus vers elle, m’accoudant au dossier du canapé, déposant ma mâchoire sur mon poing pour mieux l’observer, avant de lui dire droit dans les yeux avec un petit sourire. « Non. » Je l’aime mieux lorsqu’elle ne m’appartient pas. Je peux alors m’amuser à mes petits jeux sordides avec elle, sans jamais être certain de me retrouver satisfait au bout de la nuit. Son rire vibrant résonne dans toute la pièce apportant de la vie à mon penthouse si morne habituellement. Je l’accompagne suite à ce qu’elle me dit, riant aux éclats. « Bébé … mes draps se souviennent justement encore à quel point tu as su retenir tes plus bas instincts avec moi … » lançais-je sarcastiquement avant de continuer, descendant mes yeux petit à petit sur ses attributs. « Je crois en fait que nos deux corps ont été fabriqués pour se réunir inlassablement. » Je me levais finalement, mettant un peu de musique sensuelle, lui tendant la main. « Approche. » La jeune femme s’exécute à pas lents, venant me rejoindre tandis qu’une main vient glisser lentement mais avec tact sur sa taille, puis ses hanches. Elle vient me susurrer quelque chose à l’oreille. Je souris faiblement avant de prendre son autre main de mon épaule, la faisant tourner magistralement avant qu’elle ne vienne atterrir de nouveau presque violemment contre mon torse. Nez à nez, je la regarde droit dans les yeux, l’air sérieux. « Je n’ai pas besoin d’alcool pour te faire craquer et tu le sais. » Cette tension … si sensuelle, si … sombre. Elle met fin à cette étreinte me demandant le gîte et le couvert, m’appelant majesté. Je l’observe avec le sourire. « Victor ! Veuillez je vous prie préparer de quoi dîner pour ma reine pour ce soir. Oh .. et nous aurons aussi besoin de croissants frais pour le petit déjeuner demain matin. » ordonnais-je chaleureusement. Pour ce qui est du reste, je la prend par la main, montant à l’étage, traversant les couloirs qui mènent jusqu’à ma chambre pour enfin la diriger jusqu’à la salle de bain. Une immense baignoire à jets trônait au beau milieu d’une pièce de marbre blanc immaculé. Elle avait aussi une douche italienne si elle le souhaitait. Je lui indiquais les serviettes, ainsi qu’un placard spécialement dédié aux femmes de passage chez moi où était rangées … toutes sortes d’affaires féminines. Je la regardais ensuite. « Je pense que pour le reste, tu sauras te débrouiller seule ? Je t’attends dans la chambre. » J’étais certes un coureur, j’en étais pas moins galant.

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Est-ce que c'est moi qui le dresse ou lui qui me dresse? Est-ce qu'on se laisse aller et venir l'un à l'autre, ou est-ce qu'au contraire on se repousse mutuellement pour au final se chercher ? On avance à tâtons dans ces jeux étranges et probablement malsains. Mais au fond, on se mérite probablement l'un l'autre alors on se jette à corps perdu dans cette exploration. On teste, on se frôle, on rit, on redevient sérieux quitte à se frustrer jusqu'à nos prochaines entrevues. Go away, come back, go away, come back. Il rit à mes réponses et je prends ça comme un compliment venant de lui qui avait souvent un air impassible accroché au visage. Et quand ses yeux se posent sur moi, je refrène un frisson. C'est dans l'air, c'est électrique, ça ne demande qu'une étincelle pour s'embraser. Notre danse n'arrange strictement rien à notre cas parce que c'est une métaphore même de notre jeu : on se rapproche, on s'éloigne, on tournoie autour de l'un et de l'autre pour finir planté face à face, les yeux dans les yeux. Je souris en coin et secoue la tête : « On verra bien. » J'étais pas prête de céder mais je pouvais toujours lui laisser une chance d'essayer, bien qu'il aie plusieurs points d'avance dans cet exercice. Je ne retiens pas mon sourire éclatant lorsqu'il accède ma demande sans plus attendre ; de toute façon, dès que la nourriture entre en jeu, je ne réponds plus de rien surtout quand c'est aussi spécifique que des croissants frais pour le petit déjeuner du lendemain qui nous serait probablement servi au lit si je le demandais. Je n'avais pas peur de trop en demander avec lui, probablement parce que j'avais tellement vécu sans les moyens que je possédais aujourd'hui que le moindre excès, même un petit déjeuner au lit, me semblait exagéré. « Ta reine, hein... » Oh je devais pas être la seule à avoir droit à ce genre de petit surnom, mais que voulez-vous, on peut pas s'empêcher d'être flattée par une telle attention. « Merci pour cette délicate attention. » J'ai à peine le temps de réaliser que me voilà dans la chambre, puis dans l'immense et magnifique salle de bains. Je retiens un petit rictus amusé à ses mots : « Quoi, tu ne viens pas avec moi ? Tu me connais par cœur pourtant. » Chaque foutue parcelle de peau, et peut-être chaque petite faiblesse. Mon regard s'arrête sur la douche qui m'accueillerait les prochaines minutes. Je me tourne vers Loup : « Je ne serais pas longue. » Ouais, je cacherai pas que j'étais un peu déçue mais ça faisait partie du jeu aussi. Je me déshabille une fois qu'il est sorti et je profite de cet instant pour laver la journée que j'avais passée, toute les disputes et les conflits que j'avais laissé aux Hamptons. Ça faisait un bien fou... C'est presque vingt minutes plus tard que je retourne dans la  chambre simplement habillée d'une serviette et les cheveux un peu humides. « J't'ai pas trop manqué ? » De la provocation ? Non. A peine. Ok, un peu. J'avais juste pris soin d'enfiler une culotte, sait-on jamais. « Je dois m'habiller un peu plus pour le repas ? » Oh non, j'ai pas oublié. J'ai une faim... de loup ?

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Elle me cherche. Elle est en couple certes, mais tant pis pour lui. Ces moments que nous vivons ensemble ne leur appartiendront jamais, sinon à nous, et je m’en régale sournoisement presque autant que j’eu me régaler de sa chair quelques semaines auparavant. Elle est mienne pour ce soir, et ce, que je l’aie entièrement ou non. Son corps est presque mien d’ailleurs, au vu de la manière dont je le manie de mes mains au rythme de la bossa nova. Ses hanches … seigneur. Fais de moi un de tes damnés si ce n’est pas déjà le cas, si je ne puis plus m’exercer avec elle à la procréation. Est-ce péché que de la regarder inlassablement onduler sous mes yeux ? ‘On verra bien.’ Bien-sûr qu’on verra Violet. Nous verrons, et nous aimerons. Alors que je me mets au défi de me la posséder pour cette nuit sans alcool et en couple, la jeune eliot me fait adorablement comprendre qu’elle a faim, ainsi que le besoin de se rafraichir sous une eau chaude. Mon majordome s’occupera de tout dès lors que je lui aurai donné les instructions, puis je la guide jusqu’à ma salle de bain à l’étage. Ma reine ? Je souris, avançant doucement mon poing vers son abdomen, la poussant délicatement contre le mur de ma salle de bain. Je la regarde droit dans les yeux, presque happé par son regard. « Ouais … tu veux pas jouer au roi et à la reine avec moi ce soir ? » demande-je de façon extrêmement tendancieuse. Je sens son souffle chaud heurter le mien, son odeur qui m’a tant enivré, mais me recule. Ma galanterie l’emporte sur mon envie folle d’une douche améliorée avec elle, je sais que ça paiera pour plus tard. « En effet. Il n’y a pas une seule parcelle de ton corps que ma langue n’ait effleurée … mais je te laisse un peu de répit parce que je suis sympa. » Je lui adresse un petit clin d’oeil avant de quitter la pièce, traversant le dressing vers ma chambre, me laissant tomber sur mon lit, puis sort mon iPhone histoire de checker mes mails et derniers sms reçus le temps qu’elle prenne sa douche. Quelques minutes passées, elle en sort éclatante, toute fraiche. Je l’observe. « Terriblement, Vee. J’ai pensé à toi … toute nue sous cette eau bien chaude, tu sais … » J’esquisse un petit sourire avant de me lever, me dirigeant vers le dressing, pour lui indiquer mon placard à chemises si elle le souhaite. Ses valises ont été montées dans la chambre, sinon. c’est comme elle le souhaite. Victor a l’habitude de voir des filles dans cet appartement. Pas toujours bien vêtues d’ailleurs. « Ici c’est chez toi. Mets-toi à l’aise, bébé t’as l’habitude. » lançais-je simplement. Ce n’était pas la première fois qu’elle venait, elle connaissait la maison, bien que cette fois-ci me paraissait étrangement différente, même hors le fait que nous n’étions plus censés nous adonner aux plaisirs charnels. Nous redescendions finalement, une douce odeur de blanquette de veau nous attendait dans la salle à manger. Le cuisinier avait encore fait des merveilles en bien peu de temps. Je l’installais en face de moi, tirant sa chaise qu’elle puisse s’asseoir, songeant que parfois, je n’avais plus vraiment les allures d’un mather, mais bien encore celles d’un véritable eliot. Je sorti une bouteille de petit Chablis que j’ouvris, la lui servant avant d’en faire de même pour moi, puis m’installais. « Bon appétit ma reine. » Parce que non, je n'avais pas fini de jouer au roi et à la reine avec elle.

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