MARLEY THÉA GLASWELL ► erin hertherton.

ID CARD

Nom : Glaswell ◇ Prénom : Marley Laora Théa ◇ Âge : vingt-deux ans ◇ Date et lieu de naissance : le vingt-et-un décembre 1996 ◇ Nationalité : belge ◇ Orientation sexuelle : bisexuelle ◇ Statut amoureux : célibataire ◇ Statut social : riche ◇ Job étudiant : écrire ici ◇ Études majeures : architecture ◇ Études mineures : design de mode.

Code:: L. Théa Glaswell - 22 ans - deuxième année - architecture + design de mode.

Marley Laora Théa Glaswell
feat Erin Heatherton

MATHER HOUSE

Elle a beau avoir des origines hautes placées grâce à sa famille mais, aussi parce qu'elle a hérité d'un bon pactole. Elle a toujours eu le cœur libre. Elle fait toujours ce qu'elle désirait dans les moindres détails. Même si elle a déjà fait partir d'une autre confrérie. Son cœur a toujours appartenu à la Mather. Après son départ d'Harvard avec le cœur brisé, elle s'est réfugiée dans l'alcool, les soirées et la drogue. Elle a fait littéralement l'inverse de ses principes de base. Mais, bizarrement elle s'est plu dans cette nouvelle vie. Puis, quand elle se fait des amies c'est pour la vie. Il est impossible pour elle de trahir ses amies. . Elle se plait à s'abandonner dans les relations sans lendemains, cela lui suffit largement. C'est pour cela que la Mather est faite pour elle.

CABOT HOUSE

Cette fille-là, elle est capricieuse et manipulatrice, elle est prête à tout pour réussir à obtenir ce qu'elle désire tant. Mais, derrière cette personnalité forte en couleur, se cache quelques petits secrets. Des secrets pour lesquels elle serait prête à faire n'importe quoi pour qu'ils ne soient jamais révélés au grand public. Souvent considérait comme une fille superficielle et, sans grand intérêt, la jeune femme s'amuse à jouer sur cette apparence. Consciente d'avoir un physique assez avantageux, elle n'hésite pas à s'en servir pour obtenir ce qu'elle veut.

TON ADMISSION À HARVARD
Son dossier scolaire était vachement convaincant, ayant de très bonnes notes à tous ses cours. Puis, le fait d'avoir un bon pactole sur son compte en banque cela aide vachement. Elle a pu compter que sur elle-même pour se débrouiller à intégrer l'université de son choix. Même si elle a déjà été une étudiante à Harvard, elle a dû partir rapidement il y a un an de cela en cause de sa mère qui était malade. Elle ne se voyait pas rester continuellement en froid avec elle alors, qu'elle est malade et, qu'elle n'était pour rien pour sa vie misérable. Elle a tout expliqué en détail à la doyenne. Elle ne fait pas ça pour être prise en pitié. Ce n'est pas son genre.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle mélissa et j'ai la vingtaine passée. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Le forum est mgnifique alors je suis déjà présent sur le forum sous les traits de maxence atwoodth (+ student) et fabio a. corleonesi (+ eliot house). J'utilise erin heatherton comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par MORPHINE.. Je fais environ 100-1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
 adhérer un flood d'intégration (?)
 je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] ► <span class="pris">ERIN HEATHERTON</span> ◊ “ L. Théa Glaswell ”[/size]

(Invité)

MORE OF YOUR OWN STORY

Un bébé, n'est-ce pas la plus belle chose au monde ? Un petit-être qui arrive dans notre vie, qui nous comble de bonheur et d'amour en un temps record, qui malgré des cris et des larmes insupportables améliorent considérablement notre vie, n'est-ce pas ce qu'il y a de plus merveilleux ? Pourtant, Mme Glaswell avait eu l'habitude des couches culottes, des pleures de bambin, les biberons à des heures horripilant à trois reprise déjà. Mais, celle-ci dû tout réapprendre puisque Marley Théa Glaswell arriva dans la famille un soir glacial de janvier. Le 24 décembre 1991, à Mouscron tout exactement. Théa était la quatrième et, certainement la dernière de cette grande fratrie. Elle ne manquait de rien, ayant assez d'argent pour faire vivre une belle et magnifique vie, la famille Glaswell n'avait pas à avoir peur, de rien. Étant très entourée de ses parents ainsi que ses trois grandes sœurs, la blondie croquait la vie à pleine dent. La vie dans le domicile familial n'était pas de tout repos, surtout quand les quatre filles se retrouvaient autour de la même table. Théa avait absolument toutes les cartes en main pour vivre une vie comme elle rêvait de la vivre. Une vie de princesse, comme elle les aimes. En grandissant, elle n'avait plus aucune notion de l'argent. Elle dépensait sans compter, faisait la fête quand bon lui semblait. Mais, elle sait très vite rendu compte que sa vie dans les moindres détails n'étaient pas celle qu'elle aurait tant désiré. Pensant qu'elle était en sécurité simplement parce que Théa est aimé de tout. Elle n'aurait jamais cru, ô grand jamais qu'une chose pareille aurait pu l'atteindre. Ceci dit, elle a voulu prendre exemple sur son aînée qui avait trouvé un petit emploi dans la restauration. Rien de bien valorisant, on est bien d'accord. Ne voulant pourtant ne pas tomber aussi bas que son aînée qui avait trouver ce travail, contre son grès. Théa se décide enfin de prendre sa vie en main et, de se faire de l'argent, de l'argent facilement certes mais, cela restait de l'argent quoiqu'il arrive. Ça lui permettait d'être indépendante, une chose qu'affectionne Théa, elle avait toujours rêver de l'être. En conséquence, la demoiselle réussie à trouver du fil en aiguille mais, essentiellement par du bouche à oreilles. Un métier d'accompagnatrice d'hommes plus âgées et, fortunés à des soirées caritatives, des repas d'affaires ou simplement pour des tête-à-tête. Cependant, à c'est tout débuts, elle rencontra un homme en particulier, néanmoins il avait l'âge de son grand-père. Ce n'était qu'un minuscule détail aux yeux de la demoiselle, surtout quand on apprend qu'il peut vous offrir la vie qu'on désire tant. Le deal dans tout ceci ? Ce n'est juste qu'elle doit accepter de vivre chez lui. Au final, ce n'était pas vraiment un désagrément quand on peut avoir tout ce qu'on souhaite. Ainsi à ses dix-huit ans, elle vint à quitter ses proches, faisant ses valises sans se retourner. Si Théa avait rencontré cet homme, c'est que le destin l'avait prédit. Elle ne voyait pas l'utilité de laisser passer cette chance qu'on lui file sous le nez. Une nouvelle vie, bien friqué attendait Théa. Ayant toujours rêvé de ça depuis qu'elle est née, elle ne pouvait pas laisser cet opportunité qu'elle avait réussi à se ligoter. Ce n'était pas idyllique, puisqu'elle n'aimait pas l'homme en question mais, l'argent peut rendre heureux. Du moins, elle le pensait secrètement jusqu'à qu'elle ouvre enfin ses petits yeux de poupée pourri gâtée.

Théa rentre pour sa première année à l'université, elle était heureuse de retrouver ses amies, les fêtes tous les week-ends etc. Si elle fait toutes ses soirées, c'est pour éviter de penser au manque affectif qu'elle s'est créer en abandonnant sa famille à Mouscron. C'était un samedi soir, elle avait une fête d'organiser. Elle se prépara comme tous les samedis soirs et, quand elle arriva enfin à la soirée elle fit une rencontre qu'il l'a bouleversa. Elle venait de vivre son premier coup de foudre, si on puis-je dire. Sauf que ce n'était pas un homme fréquentable comme elle a l'habitude de voir. Non lui il était plutôt gangster, homme de rue dirons-nous. Elle pouvait s'empêcher de penser à lui a longueur de journée. Ainsi, une énième fête était organisé, le soir même elle retomba sur cet homme qu'elle n'arrête pas de penser. Pour éviter de faire comme la dernière fois, elle prend son courage à deux mains et va l'aborder. « Puis-je t'offrir une consommation ? » Meugla-t-elle en lui souriant de plus belle. Elle venait de l'accoster bizarrement certes mais, ayant jamais fait ceci. Elle ne savait pas comment s'y prendre. Elle espérait une quelconque réponse de sa part, mais rien ... pas un mot pendant plus d'une dizaine de minute. Il la regarde plutôt pour finalement qu'il laisse sortir ses paroles. « Pourquoi moi ? Y a pleins d'autres hommes à cette soirée, des hommes largement plus intéressant que ma présence. » Ce qu'il venait de dire n'était pas faux mais, de l'autre côté Théa pensait qu'elle venait de vivre son premier râteau. Elle ne prend pas le temps de lui répondre, qu'elle fit demi-tour sur ses talons et commença à partir quand le jeune homme réplique soudainement. « Néanmoins, j'accepte ta proposition. » C'est ainsi que la jeune femme retourne vers le jeune homme pour commander des cocktails alcoolisés. Une fois les cocktails en leurs possessions, elle donne le verre au jeune homme, pour ensuite lui prendre la main et l'embarqué dans un coin plus calme que seule Théa connaissait. Une fois dans un coin calme, apaisée, Théa le regarde dans les yeux en buvant quelques gorgées de son verre et lui répondit. « Pour répondre à ta question de tout-à-l'heure. Si je suis venue vers toi et, non vers un autre comme tu le prétendais. C'est pour la simple raison et, bonne réponse que je t'avais déjà remarquée à la fête précédente. Mais, je n'ai jamais eu le courage de venir te voir. » Puis après ses paroles, ils continuèrent leur discussion tranquillement, sans le moindre dérangement. À la fin de la soirée, le jeune homme raccompagna la demoiselle jusqu'à chez elle. Mais le plus bizarre dans tout cela, c'est que ce n'était pas dans l'intention du jeune homme de prêter autant d'attention à une demoiselle. Mais avant de rentrer chez elle, Théa s'approche de Julian pour l'embrasser sur la bouche, puis finit à rentrer chez elle. Suite à ce baiser échangé, ils se revirent plusieurs fois et très souvent en compagnie des amis de Julian qu'elle appréciait. Mais, elle était loin de se douter ce qu'il allait ce passé dans un futur proche.

C'est un après-midi après avoir passé plus d'une heure à la bibliothèque de son université, qu'elle rentra. Sur le chemin, l'un des amis de Julian, agressa Théa. Une agression sexuelle, sous les yeux de Julian qui étaient en train de filmer la scène. Même si Théa essayer de se débattre et, qu'elle fut en larmes. Elle finit à trouver la force nécessaire pour dégobiller ses paroles. « Tu es le pire nigaud que j'ai connu dans ma propre existence. » Mais finalement elle aurait dû incontestablement s'abstenir, le laisser faire. Puisque qu'après les paroles qu'elle venait d'articuler, il l'a fracassa hargneusement. Théa fini par rejoindre le domicile de l'homme qui a voulu de Théa dans sa vie, rouée de bleus, avec des vêtements déchiqueté, elle se sentait souiller. Heureusement que cet homme n'était pas encore rentré. Pour voir cette scène terriblement horrible se produire sous ses yeux. Ces quelques jours plus tard, après avoir mener sa petite enquête qu'elle comprend que Julian était le fils unique de l'homme qui l'entretient. Depuis, elle s'était éloigné de cet homme. Petit à petit sans qu'il s'en rend compte. Puis, finalement il a fait une crise cardiaque un jour, il n'a jamais réussi à revenir. Théa reçoit le pactole du père de Julian. Une chose que le jeune homme n'a jamais apprécié.

Sous la brise fraîche de la soirée, Théa conduit. Sa voiture et roule aussi vite qu'elle peut. Elle ne voit plus rien ni la route, ni même la direction qu'elle prend. Elle a uniquement besoin d'aller le plus loin possible pour oublier, oublier qu'aujourd'hui c'est le jour ou Hadès, son premier petit ami, l'a largué parce qu'elle n'avait aucun d'argent. Qu'au final elle fait semblant d'aller mieux auprès d'autrui alors, qu'au fond la douleur est encore plus forte que jamais. Elle se laisse balancer au rythme du vent et pendant un bref instant elle se sent bien à cette place, dans cette impala qu'elle s'est achetée y a même pas un mois. Elle était fière de sa voiture. Sous cette nuit d'été ou la chaleur est pesante, elle semble ne plus la sentir comme si son esprit était parti ailleurs comme si elle était dans un cocon pendant l'espace d'un moment elle a l'impression d'être libre, d'être elle sans aucune conséquence. Que tous les soucis s'envolent à mesure que Théa avance sur cette nouvelle vie. Par moment, quelques phares éclairent son visage apaisée. Et pourtant, elle se sent léger, dans cet endroit. Elle se sent vivante. Les paupières à demi closes, elle s'imprègne de cet instant. Sa voiture continuait à rouler à vive allure, se préoccupant pas, des autres voitures qui étaient présentes. Voulant à tout prix rejoindre Cambridge avant l'aube. Elle avait enfin décidé de s'affirmer et, d'être la femme qu'elle est sans que personne ne la juge. Il était temps, que Théa fait ce choix, elle en est pleinement consciente. À croire, qu'il faut vivre de mauvaises expériences pour qu'on décide de faire le grand saut. Elle n'avait plus personne sur qui se raccrocher à Luingne, n'ayant même plus de famille, étant donné qu'elle les a abandonner, elle avait besoin de se reconstruire. Après avoir conduit plusieurs nuits pour rejoindre Cambridge, la demoiselle voyait enfin la ville, ce nouveau départ qu'elle attend avec impatience mais, aussi une grosse appréhension. Théa en arrivant en ville, elle a postulé pour rentrer dans la prestigieuse université d'Harvard. Elle a passé quelques examens pour pouvoir voir si elle pouvait convenir à cette université. Juste avant de s'envoler pour le summer camp au Cap Breton, elle a reçu une lettre qui stipulée qu'elle était acceptée à l'université à la rentrée 2016-2017.

Un an. Un an que Théa est parti d'Harvard précipitamment sans se retourner. Elle avait le cœur brisé, le cœur anéanti. Mais, ce n'est pas pour ça qu'elle est partie. Elle a dû retourner en Belgique pour aller voir sa mère ainsi que ses sœurs. Puisque sa mère est malade, elle est atteinte d’Alzheimer. Elle voulait la revoir une fois pour lui pardonner d'être partie comme une voleuse à l'époque. De la voir une fois avant qu'elle oublie Théa. Elle est restée un an aux côtés de ses sœurs et de sa soeur, sans vouloir voir une seule fois son père. Il reste un père incapable aux yeux de Théa. Une personne ingrata. Bref, elle revient après un an de silence radio. Elle a donné de nouvelles à personne. Elle préfère revenir en tant que surprise. Surtout que certain personne s'attendent absolument pas à ce qu'elle revienne. C'est un peu, une petite revanche pour elle. Un moyen de mettre un peu de pression dans la vie des gens qu'elle connaissait avant de partir.

(Invité)