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Nom : SUPIOT ◇ Prénom : Apolyne Magdalena◇ Âge : 22ans ◇ Date et lieu de naissance : Paris, 12 février 1996 ◇ Nationalité : Française ◇ Orientation sexuelle : Hétéro ◇ Statut amoureux : Célibataire ◇ Statut social : Aisé ◇ Job étudiant : bénévole en refuge animalier ◇ Études majeures : Architecte ◇ Études mineures : Anglais
- Code:
Apolyne M. Supiot - 22ans – quatrième année - Architecture - bénévole en refuge animalier
Apolyne Magdalena SUPIOT
feat Ebba Zingmark
feat Ebba Zingmark
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Apolyne est une guerrière silencieuse. Exigeante et perfectionniste, elle aime que son travail soit bien fait quand l'inspiration l'emporte. Elle préfère passer du temps à la bibliothèque, profiter du soleil sur le campus, plutôt que de suivre bêtement un bizutage pour plaire à des élèves plus populaires. Indépendante et déterminée, la rouquine ne mâche pas ses mots, et pourtant, petite parisienne fraîchement arrivée, elle ne tenait ni à vivre sur le campus, ni à rentrer dans une confrérie qui l'empêcherait probablement d'être elle-même. Pour cela, elle utilisa l'argent de sa grand-mère pour louer un appartement à Boston près de l'université, mais ça ne l'aidait pas à faire des rencontres ni à se trouver une place au milieu de tant d'étrangers.
TON ADMISSION À HARVARD
Comme toutes les collégiennes de sont âges, Apolyne aimait regarder les séries américaines telle que Véronica Mars ou Beverly Hills. Mais ce qu'elle préférait par dessus tout, c'était les récits de sa grand-mère sur sa jeunesse à Harvard. Elle y avait fait des études de psychologie pour obtenir son doctorat, et y avait rencontré l'amour de sa vie, Henry Supiot, étudiant en droit. Tous deux de nationalité française, ils avaient préféré s'installer à Paris après leurs études, et n'avaient jamais quitté la ville romantique par la suite.
Très proche de sa grand-mère, Apolyne rêvait de passer par la grande université. Elle lui disait sans cesse qu'un jour, qu'elle y aurait sa place elle aussi. Mais la vie en avait décidé autrement, alors le rêve américain termina au placard. Ainsi, lorsque la rouquine reçu la lettre de Magdalena après sa mort, elle ne pu retenir ses larmes. Elle ne pouvait pas la décevoir, alors malgré la peur de l'inconnu, Apolyne pris son envole pour Boston.
Quelques semaines plus tard, Apolyne Magdalena Supiot débarquait aux États-Unis, devant l'imposante université d'Harvard. Les mains tremblantes et la boule au ventre, la jeune femme s'attela pour trouver la salle d'examens qui lui était attribuée. Après avoir béni son année passée à Londres après son bac, elle obtient 2387 points, un score très noble et inattendu par la petite française. S'en suivit un entretient interminable où Apolyne expliqua son parcours, ses motivations pour devenir une grande architecte, et son intérêt personnel pour l'université. Par miracle, elle fut accepté. Et c'est le cœur battant, qu'elle fit ses affaires pour déménager à l'autre bout du monde et quitter sa famille. Mais, la vie étant bien différente à Boston, la rouquine dû rapidement se faire à l'idée que la réalité était très différente des récits de sa grand-mère. Et qu'Havard était moins idyllique que sa réputation.
Comme toutes les collégiennes de sont âges, Apolyne aimait regarder les séries américaines telle que Véronica Mars ou Beverly Hills. Mais ce qu'elle préférait par dessus tout, c'était les récits de sa grand-mère sur sa jeunesse à Harvard. Elle y avait fait des études de psychologie pour obtenir son doctorat, et y avait rencontré l'amour de sa vie, Henry Supiot, étudiant en droit. Tous deux de nationalité française, ils avaient préféré s'installer à Paris après leurs études, et n'avaient jamais quitté la ville romantique par la suite.
Très proche de sa grand-mère, Apolyne rêvait de passer par la grande université. Elle lui disait sans cesse qu'un jour, qu'elle y aurait sa place elle aussi. Mais la vie en avait décidé autrement, alors le rêve américain termina au placard. Ainsi, lorsque la rouquine reçu la lettre de Magdalena après sa mort, elle ne pu retenir ses larmes. Elle ne pouvait pas la décevoir, alors malgré la peur de l'inconnu, Apolyne pris son envole pour Boston.
Quelques semaines plus tard, Apolyne Magdalena Supiot débarquait aux États-Unis, devant l'imposante université d'Harvard. Les mains tremblantes et la boule au ventre, la jeune femme s'attela pour trouver la salle d'examens qui lui était attribuée. Après avoir béni son année passée à Londres après son bac, elle obtient 2387 points, un score très noble et inattendu par la petite française. S'en suivit un entretient interminable où Apolyne expliqua son parcours, ses motivations pour devenir une grande architecte, et son intérêt personnel pour l'université. Par miracle, elle fut accepté. Et c'est le cœur battant, qu'elle fit ses affaires pour déménager à l'autre bout du monde et quitter sa famille. Mais, la vie étant bien différente à Boston, la rouquine dû rapidement se faire à l'idée que la réalité était très différente des récits de sa grand-mère. Et qu'Havard était moins idyllique que sa réputation.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mademoiselle et j'ai 23ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à BAZZART ♡ . Il est très beau et il a l'air vraiment complet et détaillé ce que j'aime par dessus tout sur les forums alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Ebba Zingmark comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par angie. Je fais environ 250 à 280 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainée par Louve Perol
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8319]►[/url] ► <span class="pris">EBBA ZINGMARK</span> ◊ “ Apolyne M. Subiot ”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
« Ma chère Apolyne,
Je serais sans doute plus de ce monde quand tu liras cette lettre, mais ne sois pas triste mon ange car je pars en paix.
Je me souviens du jour où je t'ai vu pour la toute première fois, je n'osais pas te prendre dans mes bras tant tu me semblais fragile. Puis tes grands yeux bleus se sont posés sur moi, et mon cœur s'est rempli d'un amour indescriptible. Tu auras été le plus beau cadeau que Dieu m'ait offert. Je ne te remercierai jamais assez pour tout le bonheur que tu m'as apporté. Tes premiers pas à cheval, tu était si excitée que tu hurlais « hu dada » dans tout le manège ; ton premier gâteau fait seule pour mon anniversaire, où tu avais confondu le sucre et le sel ; ou encore la fois où tu t'étais cassée le poignet au judo et que tu m'as raconté que tu avais gagné ta ceinture noir, tu n'avais que dix ans. Tous ces souvenirs me font sourire malgré la douleur. Encore aujourd'hui, tes yeux pétillants et ton sourire d'ange transmettent tant de douceur et de curiosité qu'ils m'aident à rester positif malgré ce qui m'attend.
Ma petite Apolyne, toi qui rêve d'une vie poétique, remplie d'amour, d'aventures, de rencontres, ne laisse personne te voler ton avenir. Tu termineras ta licence d'Arts Plastiques dans quelques mois, et j'espère que ce que tu feras ensuite, te feras vibrer. N’oublies pas de vivre mon ange, la vie est courte, croque-la pleine dents. Les rencontres sont fortuites, alors ne sois pas avare de confiance mais ne perds pas ton temps avec les menteurs. Tu es jeune et jolie, tu respire le parfum de l'espérance, ne cesse jamais d'apprendre pour devenir meilleure. Souviens toi qu'il y a toujours plus sage que soi.
La ville de Paris est l'une des plus belles, mais si tu veux un petit conseil, ne t'enferme pas dans la routine et va découvrir le monde. Il renferme tant de merveilles, se serait un crime de ne pas en profiter. C'est pour cela que je t'ai inscrite à Harvard. J'espère que tu ne m'en voudras pas trop. J'ai envoyé ton dossier d'inscription il y a quelques mois avec ta thèse de fin d'année, et tu as été reçu pour passer les tests d'admissions. Ci-joint tu trouveras un aller-retour pour Boston. Tu voulais étudier l'architecture après ta licence d'art, tu as maintenant la possibilité de rentrer dans l'une des plus grandes universités. A toi de travailler dure pour pouvoir y entrer. J'ai confiance en toi Apolyne, je sais que tu en es capable. Tu aimes la photographie et la mode ; tu as fait du piano, du judo, de l'équitation, de la danse ; tu lis beaucoup depuis ton plus jeune âge, et tu gardes toujours ta collection de Disney avec toi. Tu es une véritable artiste et une jeune femme incroyable malgré ton fort caractère et ton manque de confiance en toi.
Je sais que c'est soudain, et je m'excuse de ne pas t'en avoir parlé avant, mais c'est une chance inouïe qui s'offre à toi aujourd'hui, tu te dois de ne pas la laisser passer. Après ton année sabbatique à Londres lorsque tu avais 18ans, tu es revenue quasiment bilingue, et malgré leur accent, les américains ne sont pas bien moins compréhensibles. De plus, tu es indépendante et assez mûre pour pouvoir vivre seule loin de chez toi. Je regrette de ne pas pouvoir être là pour te soutenir, mais comme tu le dis si bien, il est temps quitter le nid. Je te laisse la totalité de ma fortune bancaire, ton père et ta tante auront bien assez des maisons et des sociétés que nous leurs avons légué de notre vivant Henry et moi. C'est pourquoi je choisis de te donner cette petite fortune pour que tu ne manques de rien. J'espère que tu partiras vivre ta vie, et que tout le monde connaîtra bientôt l'artiste que tu es.
Garde ton esprit grand ouvert, et ne laisse jamais la vanité ni l'orgueil te faire perdre ton honnêteté.
Avec toute ma tendresse.
Magdalena.
Ta grand-mère qui t'aime. »
La larme à l’œil, Apolyne replia la lettre dans la poche arrière de son jeans. Elle avait suivit les conseils de sa grand-mère, et avait décidé de quitter sa famille pour s'installer au États-Unis durant l'été. Après avoir cherché un appartement, elle avait commencé à emménager, et avait adopté un chat prénommé Newton pour se sentir moins seule. Ce matin là, c'était la rentrée. Il faisait doux, le soleil brillait comme pour encourager les étudiants. La jeune femme remonta les manches de sa veste, ajusta son sac sur son épaule, et pris une profonde inspiration. « Harvard me voilà ! »
Je serais sans doute plus de ce monde quand tu liras cette lettre, mais ne sois pas triste mon ange car je pars en paix.
Je me souviens du jour où je t'ai vu pour la toute première fois, je n'osais pas te prendre dans mes bras tant tu me semblais fragile. Puis tes grands yeux bleus se sont posés sur moi, et mon cœur s'est rempli d'un amour indescriptible. Tu auras été le plus beau cadeau que Dieu m'ait offert. Je ne te remercierai jamais assez pour tout le bonheur que tu m'as apporté. Tes premiers pas à cheval, tu était si excitée que tu hurlais « hu dada » dans tout le manège ; ton premier gâteau fait seule pour mon anniversaire, où tu avais confondu le sucre et le sel ; ou encore la fois où tu t'étais cassée le poignet au judo et que tu m'as raconté que tu avais gagné ta ceinture noir, tu n'avais que dix ans. Tous ces souvenirs me font sourire malgré la douleur. Encore aujourd'hui, tes yeux pétillants et ton sourire d'ange transmettent tant de douceur et de curiosité qu'ils m'aident à rester positif malgré ce qui m'attend.
Ma petite Apolyne, toi qui rêve d'une vie poétique, remplie d'amour, d'aventures, de rencontres, ne laisse personne te voler ton avenir. Tu termineras ta licence d'Arts Plastiques dans quelques mois, et j'espère que ce que tu feras ensuite, te feras vibrer. N’oublies pas de vivre mon ange, la vie est courte, croque-la pleine dents. Les rencontres sont fortuites, alors ne sois pas avare de confiance mais ne perds pas ton temps avec les menteurs. Tu es jeune et jolie, tu respire le parfum de l'espérance, ne cesse jamais d'apprendre pour devenir meilleure. Souviens toi qu'il y a toujours plus sage que soi.
La ville de Paris est l'une des plus belles, mais si tu veux un petit conseil, ne t'enferme pas dans la routine et va découvrir le monde. Il renferme tant de merveilles, se serait un crime de ne pas en profiter. C'est pour cela que je t'ai inscrite à Harvard. J'espère que tu ne m'en voudras pas trop. J'ai envoyé ton dossier d'inscription il y a quelques mois avec ta thèse de fin d'année, et tu as été reçu pour passer les tests d'admissions. Ci-joint tu trouveras un aller-retour pour Boston. Tu voulais étudier l'architecture après ta licence d'art, tu as maintenant la possibilité de rentrer dans l'une des plus grandes universités. A toi de travailler dure pour pouvoir y entrer. J'ai confiance en toi Apolyne, je sais que tu en es capable. Tu aimes la photographie et la mode ; tu as fait du piano, du judo, de l'équitation, de la danse ; tu lis beaucoup depuis ton plus jeune âge, et tu gardes toujours ta collection de Disney avec toi. Tu es une véritable artiste et une jeune femme incroyable malgré ton fort caractère et ton manque de confiance en toi.
Je sais que c'est soudain, et je m'excuse de ne pas t'en avoir parlé avant, mais c'est une chance inouïe qui s'offre à toi aujourd'hui, tu te dois de ne pas la laisser passer. Après ton année sabbatique à Londres lorsque tu avais 18ans, tu es revenue quasiment bilingue, et malgré leur accent, les américains ne sont pas bien moins compréhensibles. De plus, tu es indépendante et assez mûre pour pouvoir vivre seule loin de chez toi. Je regrette de ne pas pouvoir être là pour te soutenir, mais comme tu le dis si bien, il est temps quitter le nid. Je te laisse la totalité de ma fortune bancaire, ton père et ta tante auront bien assez des maisons et des sociétés que nous leurs avons légué de notre vivant Henry et moi. C'est pourquoi je choisis de te donner cette petite fortune pour que tu ne manques de rien. J'espère que tu partiras vivre ta vie, et que tout le monde connaîtra bientôt l'artiste que tu es.
Garde ton esprit grand ouvert, et ne laisse jamais la vanité ni l'orgueil te faire perdre ton honnêteté.
Avec toute ma tendresse.
Magdalena.
Ta grand-mère qui t'aime. »
La larme à l’œil, Apolyne replia la lettre dans la poche arrière de son jeans. Elle avait suivit les conseils de sa grand-mère, et avait décidé de quitter sa famille pour s'installer au États-Unis durant l'été. Après avoir cherché un appartement, elle avait commencé à emménager, et avait adopté un chat prénommé Newton pour se sentir moins seule. Ce matin là, c'était la rentrée. Il faisait doux, le soleil brillait comme pour encourager les étudiants. La jeune femme remonta les manches de sa veste, ajusta son sac sur son épaule, et pris une profonde inspiration. « Harvard me voilà ! »
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