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(andilla) countdown

Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : (andilla) countdown 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

(andilla) countdown SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 192
Messages : 53944
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Les lumières éblouissent mon champ de vision, la musique perce mes tympans et mes jambes ne cessent de bouger. Je suis au Royale avec des copines, Megara et Vega et on s'amuse comme des petites folles. On nous appelle les supernanas, vous saviez ? Au début j'étais pas trop chaude, j'avais une tonne de travaux à faire mais je suis faible, que voulez-vous, impossible de leur tenir tête à mes copines. Alors j'ai enfilé ma plus belle robe, mes escarpins, des paillettes partout et on a pris une limousine pour se rendre au Royale, the boîte de nuit assez classe. Ne t'avise pas d'essayer de rentrer en jogging, tu te feras remballer en deux secondes à l'entrée. Ça fait du bien de décompresser, de penser à rien, enfin rien est un grand mot, il y a bien quelque chose qui ne quitte plus mon esprit. Ou plutôt, quelqu'un. Andrew. Mon Andrew à moi. C'est difficile de l'aimer, vraiment, de s'interdire de franchir le pas. Je le veux, je le veux tout entier mais mon esprit bloque sur le fait que ça ne marchera pas. Je désespère, je tombe amoureuse, je suis un cas perdu. Je n'en ai pas encore parlé à mes amies, je ne suis pas très bavarde là-dessus et puis, j'ai trop peur que ça s’ébruite même si je leur fait confiance. Alors je garde tout ça pour moi, jusqu'à ce que j'en puisse plus et que tout m'explose au visage. Je vais au bar chercher la commande des filles lorsqu'un homme, assez âgé pour le coup, insiste pour me payer à boire. Je suis pas spécialement dans mon état normal pour refuser et même si j'ai de l'argent à flot, ça m'épargne au moins un verre. J'ai donc accepté et au fil de la soirée, je suis restée collée à lui. Je m'amuse, je me lâche, je me dis pourquoi pas si je peux plaire à un autre homme. Je sais que cet inconnu je le reverrai jamais, je ne suis pas intéressée par quoi que ce soit mais vu la façon dont il me touche, me caresse, se déhanche contre moi, je ne dirais pas non pour qu'il m'emmène dans un coin tranquille. Je l'embrasse, il me prend la main et je le suis à l'extérieur de la boîte. Pendant que je rigole hilare avec mon compagnon, je n'ai même pas remarqué la présence d'Andrew à l'intérieur, je n'ai pas remarqué qu'il a vu me donner en spectacle avec cet étranger, je n'ai pas vu la jalousie dans ses yeux... Je n'ai rien vu de tout ça et peut-être qu'il aurait été préférable qu'Andrew ne me trouve pas non plus. Assise sur un banc, mes jambes sur ses cuisses, le garçon me glisse des mots doux à l'oreille et je souris jusqu'à ce que je le vois, Andrew, sortir de la boîte de nuit, balayant son regard de droite à gauche à la recherche de quelque chose. Mon coeur se serre et je repousse illico presto le pot de colle qui met sa bave dans mon cou.

@Andrew T. Koch
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

(andilla) countdown UqVihWUg_o
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Andrew toujours fidèle à lui même, rat de bibliothèque la semaine, homme de la nuit le week-end. Les études vont bien, même très bien puisque c'est notes n'ont jamais été aussi élevé, au niveau des plans culs tout va pour le mieux, il enchaine toujours autant, sans s'attacher comme il a toujours voulu et comme il aime.  Bien sûr plus le temps passe plus le jeune homme s'attache à cette vie, cette vie de célibataire où l'on ne rend de compte à personne, mais voilà plus le temps passe plus il se dit qu'il ne serait pas mal non plus avec une fille dans son lit, une seule et unique. Il murit, lui qui pensait être touché par ça vers trente ans est surpris qu'à l'aube de ses 24 ans il commence à penser à se poser, peut-être pas pour la vie, mais pour une petite partie. Enfin rassurez vous ses états d’âmes ne changent rien, nous sommes samedi, les filles vont se mettre sur leurs 31 et il va repartir en chasse d'une nouvelle conquête. Comme à son habitude il sort seul, comme à son habitude il est sapé comme il faut, ni trop voyant, ni trop classique, juste ce qu'il faut pour être élégant, juste ce qu'il faut pour être dans l'air du temps. Un chino rouge en bas, bien moulant comme à son habitude, une paire de chaussures de ville de grande marque, un petit polo pour changer de la chemise et surtout pour pouvoir se dépenser sans trop que cela se voit au niveau des dessous de bras.
Enfin dans la boite le jeune homme va pouvoir tranquillement faire comme à son habitude, déjà première chose saluer les gens qu'il connait, la plupart du temps barmaid, barman, serveur et serveuse, ensuite quelques habitués du carré VIP et ensuite les gens qu'il connait. C'est à ce moment que ses yeux se posent sur Willa, la belle Willa, parler d'elle et des sentiments qu'il éprouve pour elle pourrait lui prendre trop de temps. Déjà d'une parce qu'il n'en sait rien, il est dans un flou plus que totale, puis parce que le sentiment qu'il éprouve là est quelque chose qu'il ne connait pas. La jalousie, celle qui vous prend dans le bas du ventre et qui peut vous faire déraper ou mal, lui part plutot sur la première solution, il s'imagine déjà en train de frapper ce vieux mec avec elle. Hors de question de faire la fête, il discute un peu et sort de la boite.
Attendant que le voiturier arrive il pose encore une fois ses yeux sur la jeune femme, cette fois-ci sur un banc en train de se faire sucer le cou par ce connard. Son sang ne fait qu'un tour, il ne va pas le frapper, mais il voit qu'elle le repousse en le voyant. Il s'approche d'elle et lui lance « Ne te gènes pas pour moi... » avant de retourner talon pour rerentrer dans la boite, elle n'est plus là alors autant l'oublier dans une autre femme...
(c) sweet.lips


@WILLA M. CAVENDISH
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Ottis Heimann

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
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Je me sens... bête ? Je sais que je n'aimerais pas le voir avec une autre fille, comme ça devant moi. Et c'est tout à fait ce que je fais. Je peux pas expliquer ce qu'il y a entre nous mais je sais que c'est réciproque, on le sent ces choses-là. C'est comme si j'avais l'impression d'avoir fait quelque chose de mal. J'ai peur de son regard, je ne le connais pas. Il est remonté comme jamais et mon coeur en pince. Je déglutis en l'écoutant me lancer une remarque qui ressemble plus à un reproche et je fronce les sourcils en le voyant faire demi-tour. Drew et moi on ne dispute jamais. Jamais ô grand jamais il n'a utilisé ce ton avec moi. Je regarde l'homme sur qui je suis assise en me mordant la joue d'un air désolé puis je me lève pour rejoindre mon ami, mon amant, j'en sais rien. « Drew ! » que je hurle pour qu'il ralentisse le pas mais il était déjà rentré dans la boîte. Je grogne et je dépasse quelques personnes pour aller plus vite. Dans la boîte, tout est trop sombre et je peine à retrouver mon blond. Je fais au moins deux fois le tour de la salle avant d'enfin le retrouver, près du bar, et en bonne compagnie. Rien à foutre, il me doit une explication là. Je l'attrape par le bras et le tire de toutes mes forces pour l'éloigner de sa nouvelle conquête. J'étais contente de le voir, même s'il n'a pas l'air du même avis. « Tu peux me dire pourquoi tu utilises ce ton avec moi ? Et pourquoi tu me regardes comme si j'avais fait quelque chose de mal ? » que tu me regardes comme une inconnue, comme quelqu'un qui te dégoûte en fait. Parle-moi, dis-moi quelque chose car t'es vraiment en train de me rendre barge. Je jette un coup d'oeil à la fille avec qui il parlait et je me concentre de toutes mes forces pour ne pas rougir de colère ou de jalousie. Je réalise que ça me rend malade de le voir si proche des autres femmes, surtout quand je vois ce canon qui fait deux fois ma tête et qui a des formes bien là où il faut. Je me rends compte que je serre tellement mes doigts autour de son biceps que j'en ai ma circulation coupée. Je le lâche distraitement et je baisse le regard. Je crois qu'il n'a pas besoin de me répondre, je viens de trouver la réponse toute seule. Il est jaloux, je suis jalouse et on est bien con à ne pas se l'avouer.

@Andrew T. Koch
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Qu'elle se rassure tout de suite, sur ce coup là Andrew est certainement encore plus perdu qu'elle. Willa qui au départ est la jeune fille qui n'a pas confiance en elle, la jeune fille qu'il a prit sous son aile si l'on peut dire ça. Une jeune fille a qui il reproche tout le temps d'être à l'aise avec lui, très à l'aise avec lui, mais pas avec les autres. Il devrait être content de la voir comme ça avec un autre mec, elle commence à s'ouvrir, il est plus âgé qu'elle et alors ? Elle a surement bu et alors ? Enfin il ne lui reproche pas ça du tout, au contraire il ne peut rien lui reprocher alors que lui aussi enchaîne les femmes comme on enchaîne les sushis dans un restaurant à volonté. Non il y a quelque chose d'autre, cette jalousie n'a pas ça place dans la vie de Drew, dans la vie qu'il a choisie, celle ou l'on enchaîne les femmes sans s'attacher. Mais voilà malheureusement pour lui il s'est certainement attaché à Willa plus qu'il ne le pense. Sur ce coup sans savoir si c'est réciproque il s'est montré en spectacle, alors c'est aussi pour ça qu'il fuit se réfugier dans la boite de nuit. Trouver une fille pour se venger et qu'elle voit qu'en gros sa réaction était une erreur, mais surtout fuir cette image d'elle sur les genoux d'un mec devant tout le monde en train de se faire baver dans le cou. Les appels de la jeune femme n'y feront rien, il était maintenant dans la boite et n'avait pas mit longtemps pour sympathiser avec une nana qui ne demandait qu'une chose, qu'on la colle et qu'on la baise ensuite.

Il pensait que l'affaire était close, qu'il allait se remettre de tout ça dans les bras d'une autre et que l'alcool retombée il aurait tout oublié et Willa aussi. Mais non la jeune femme arrivant déterminée, éjectant la jeune femme avec qui il était tout comme il l'avait rattrapé en rentrant dans la boite. Andrew un peu con sur ce coup là et surtout ne voulant pas avouer qu'il avait eu une pointe de jalousie répondit du tac au tac, un mensonge propre et qui pouvait être totalement vrai quand on le connait « Franchement j'ai mal réagit, non mais le mec à deux fois ton age. Tu mérites dix fois mieux, ça me fait chier de voir une pote dans les bras d'un dégueulasse comme ça. » Andrew est fort, très fort pour blesser les gens et surtout cibler les points faibles. Le mot pote allait faire des dégâts, tout autant qu'elle en avait fait en lui quand il l'avait trouvé sur ce banc, alors oui ce n'est pas fair-play, oui c'est totalement méchant, mais c'est Andrew et elle le connait comme ça. « Alors si mon intervention t'as fait quitter ses bras j'en suis heureux, tu as des mecs qui ne demandent que toi et qui valent mieux que lui ici » dit-il en montrant les gens sur la piste avant encore une fois de faire du grand Andrew. La jeune femme qu'il avait rencontré depuis deux minutes et qui était surement une fille facile était encore là, non loin espérant le rattraper. C'était l'heure de porter le coup de grâce, de montrer qu'il n'avait pas été jaloux, il s'approcha de la belle blonde et la prenant par la taille lui roula une bonne grosse pelle des familles, attendant maintenant la réaction de la jeune femme. Il était ivre, enfin il avait bu un verre ce qui veut dire pareil.
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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Allez, c'est peut-être la porte d'entrée des aveux, des explications. Même ivre, je m'en fous, je veux qu'on clarifie une bonne fois pour toute ce qu'on représente l'un l'autre, ce que je suis pour lui, et ce qu'il est pour moi. Le retrouver en compagnie d'une fille bien mieux foutue que moi me faisait mal. Je sais très bien qu'il voit d'autres femmes mais c'est encore plus dur de le constater en vrai. Sans hésiter, je l'arrache de sa sensue botoxée et je le confronte. Ouais j'ai le cran de le faire. Je suis au bord des larmes de rage, de tristesse ou de jalousie tout compte fait. Le mot 'pote' me frappe en plein coeur. Me pétrifie sur place. Je me sens détruite en mile morceaux, humiliée, blessée. Alors c'est ça entre nous Drew ? Des potes ? Tu te comportes comme ça avec toues les filles que tu te fais ? Je serre les dents, je renifle et je me concentre pour pas lui en coller une. « Je rêve ! Tu ne le connais même pas ! Moi je dis rien quand tu te tapes des nids à mst. » je grogne. C'est sorti tout seul, trop la rage. Je sens toujours cette douleur qui déchire un peu plus mon âme et je ne sais pas pourquoi je reste là lui parler. Parce que je ne veux pas qu'il m'échappe. Je sens une larme m'échapper quand il insiste pour que j'aille voir d'autres mecs. Mai bordel, quand est-ce qu'il aura fini ce discours ? Le voir embrasser cette pouffiasse était la goûte de trop. Mon mascara coule, je ressemble plus à rien, je me sens moche de l'extérieur et de l'intérieur. Regarde comme tu m’abîmes Andrew. J'attends qu'il ait fini de lécher la barbie girl pour venir lui foutre une gifle, trop petite à mon goût mais j'ai jamais frapper un garçon. Je sens un picotement dans ma main et je le repousse de mes points contre son torse. « Je te déteste ! La prochaine fois que tu me verras avec un garçon, aie les couilles de dire que t'es jaloux plutôt que de jouer l'enfoiré avec moi ! Va te faire foutre, va te faire foutre, va te faire foutre ! » que je lui lâche en plein visage. Je ne voulais pas qu'il me voit si faible, mais il me rend barge. J'ai mal au coeur, j'ai du mal à respirer, alors je m'éloigne en titubant, tout en cherchant la sortie mais ma vision était floue avec mes larmes chaudes.

@Andrew T. Koch
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La porte d'entrée des aveux avec un Andrew qui refuse tous sentiments qui pourraient le coller ? Je ne pense pas à moins qu'un gros électrochoc vienne le frapper en pleine gueule. Oui le jeune homme est une vraie tombe, le genre de tombe ou tout rentre mais rien ne sort. Crier qu'il tombe amoureux de la jeune femme serait la plus grosse erreur à ses yeux, elle compte pour lui comme rares sont les femmes qui comptent, en quelques mois elle a prit la tête, le cœur du jeune homme, sans elle il lui arrive de s’ennuyer. Elle est à la fois une amie, une amie proche avec qui il rigole, à qui il se confie et surtout avec qui il partage des moments importants, le genre de moments que l'on oublie pas. Elle est aussi son plan cul, le genre de nana qui lui donne des frissons dans le bas ventre, le genre de nana qui arrive à le réveiller en pleine nuit même quand elle n'est pas là. Le genre de nana qui en plus d'agir sur sa tête arrive aussi à agir sur son second cerveau. Oui, mais voilà elle arrive quelques années trop tôt et c'est surement pour ça qu'Andrew le mec qui planifie tout est si dur avec elle ce soir. Elle arrive 7 ans trop tôt exactement, lui qui n'a pas prévu de ce mettre en couple avant 30 ans, lui qui veut tout simplement profiter de sa belle gueule pour enchainer les femmes. Alors oui la phrase de la jeune femme lui arrache un sourire en coin, elle a le don pour employer des mots, des phrases qu'il adore et qui le font rire.

Sauf que voilà électrochoc arrive et il va arriver de la manière la plus affreuse à ses yeux. Ceux qui le connaissent le savent, la seule chose qu'il ne supporte pas ses voir un enfant ou une femme pleurer, c'est ce qui l’énerve au plus haut point. Alors quand c'est ça faute c'est encore pire. Et là tout va aller vite, trop vite à son goût et il va rapidement perde pied. Il embrasse la jeune femme sans prendre le moindre plaisir, mais pour simplement pousser la jeune et belle Willa, celle qui se sent moins belle que cette blonde et qui pourtant aux yeux du jeune Koch l'est beaucoup plus. Puis tout s'accélère, une baffe, des larmes, une Willa dans un état qu'il ne veut pas voir. La main sur la joue il la regarde s'éloigner, titubant, ne sachant que faire. Tout siffle autour de lui, plus de musique, plus rien n'existe à part ce sifflement et la jeune femme qui prend la poudre d'escampette.
Les derniers mots résonne avant que la réalité arrive une nouvelle fois, la musique sourde et forte à la fois arrive d'un coup, la foule revient et il voit la jeune femme non loin de lui. Accélérant le pas il l'attrape par le bras de manière forte avant de la coller contre un mur non loin des toilettes, là ou la foule est moins dense. Le jeune homme est triste, mais une seule larme, plus de l’énervement qui sort de sa bouche « Tu veux quoi ? Que je t'avoue que tu me troubles ? Que t'avoir vu avec ce mec m'a fait aussi mal que ce que tu ressens maintenant ? Que quand tu n'es pas là je pense à toi. Je ne sais pas, je ne sais plus, on est quoi l'un pour l'autre ? Des amis ? Mais quand on est jaloux de ses amis il se passe quoi ? »
(c) sweet.lips


@WILLA M. CAVENDISH
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Je suis blessée, voilà. Je le savais que ça arriverait plus vite que prévu. Dès que je m'attache à quelqu'un, je fais tout foirer, je suis maudite. Je ne vois pas ma vie sans Andrew, le perdre me serait insurmontable. Non mais qu'est-ce que j'espère en fait ? J'aimerai juste lui suffire, j'aimerai être la seule à le combler. Mais son truc à lui, c'est de voir en gros et je doute qu'il ait envie de se réserver que pour moi. Les mots qu'il emploie me cogne la tête. Je ne veux plus le voir, plus jamais, je veux quitter cette boite à tout prix, si je reste une seconde de plus, je m'effondre. Alors je laisse mon beau blond avec cette meuf, ma main en feu et je me tire, j'essaye de marcher vite mais je me fais bousculée par la foule. Jusqu'à ce que quelqu'un m'attrape et me plaque d'un coup sec contre un mur. J'étais prête à me défendre, à lui en mettre une mais impossible de bouger face à Andrew. Il me tient fermement, comme s'il voulait m'empêcher de m'envoler. J'ai du mal à l'entendre avec ce bruit mais je lis sur ses lèvres. Je porte ensuite mon regard dans ses yeux et je déglutis. Ouais, c'est exactement ce que je voulais entendre. Je veux que tu te livres, je veux que tu m'éclaires. J'ai mon coeur qui se remet à battre et ma respiration qui s'emballe. Trop d'émotions, je suis partagée entre la colère, la joie, le dégoût, la passion...« Mes amis ne me blessent pas comme tu viens de le faire. » que je dis dans un sanglot, un peu plus calme et détendue après ses aveux. Je baisse la tête et j'essuie mes larmes. Je suis ridicule. « Désolée pour la gifle, c'est sans doute ma façon de te montre que moi aussi je suis jalouse. » j'hausse les épaules et je me pince les lèvres. L'alcool triste, ça craint putain. Je plonge mon regard dans les iris du jeune homme et je pose ma main sur son torse, en jouant avec le col de sa chemise. « Je te ne suffis pas Andrew ? » qu'est-ce que j'ai fait de mal ? Qu'est-ce qui n'est pas assez ? Pourquoi je ne suis pas suffisante ? Je glisse le bout de mes doigts sur son menton et je cherche, je cherche une explication à tout ça.

@Andrew T. Koch
(Ottis Heimann)


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Elle est tout aussi blessée que lui, mais bien plus capable que lui de fournir des explications, là où il fuit, là où il trouve des moyens détournés de cacher sa peine et surtout d'en créer un peu plus, elle arrive à mettre des mots sur tout ça et même la main quand on voit la gifle qu'elle lui a mise. Gifle qu'il méritait amplement et qu'il aurait du prendre bien plus tôt, elle venait de lui remettre les idées en place, mais encore une fois il ne savait pas quoi penser. Ils étaient maintenant loin du bruit, enfin plus loin qu'en étant sur la piste juste à côté du DJ. Le jeune homme s'en voulait, mais ne savait pas quoi dire, il ne savait pas quoi faire et n'était surement pas sûr de pouvoir lui donner une réponse claire et attendue. Alors ses explications étaient floues, mais convaincantes quand on voit le visage de la jeune femme. « Mes amis ne me rendent pas aussi jaloux que je ne l'ai été en te voyant avec ce mec » bon en plus de ça la vision était franchement dégueulasse, un mec plus âgé de pas mal d'année en train de la bécoter sur un banc comme un adolescent ce n'avait pas été la plus belle vision de la soirée, pire que ça c'est la vision qui avait tout troublée et qui était à la base de tous ses mauvais choix qui avaient suivit. Dans l'histoire Andrew aurait pu lâche un beau un partout avec un sourire en coin, mais ce n'est pas l'heure ni l'endroit, c'est l'heure des explications, aussi compliquées qu'elles puissent être. « Bah je pense que je la méritais sur ce coup non ? » dit-il en souriant, l'atmosphère était plus détendue et elle avait arrêté de pleurer, passant sa main sur le visage de la jeune femme pour la caresser et lui enlever les dernières larmes et traces de mascaras il écoutait la jeune femme. La phrase qui suivait provoqua un étouffement passager du jeune homme. Elle n'avait pas de face sur ce coup là, c'est elle qui avait lancé l'assaut non ? C'est elle qu'il avait surprise dans les bras d'un autre non ? Alors bon « Willa, tu te fou de moi non ? Ce mec là ? C'est pas la preuve que moi je ne te suffis pas ? » Pas prêt à avouer ses sentiments le beau blond ?
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : (andilla) countdown 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



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Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
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Warnings : maladie/cancer, sexe

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Je déteste passer du chaud au froid comme ça, et du froid au chaud. Émotionnellement, c'est dur. Mon corps m'envoie des signaux, des signaux de danger, je pense. Mais j'arrive à un stade ou je peux plus faire semblant. Je craque. Je me suis retenue tellement longtemps, je me suis fait petite quand j'entendais de sa bouche qu'il ramenait un nombre incalculable de filles par semaine. J'ai pas osé m'imposer car, honnêtement, comme est-ce que je peux faire la différence ? Andrew peut avoir des filles à la pelle comme il veut, mais pas moi. Tout simplement car je ne suis pas comme ça et je n'aime pas me partager à tout va. Le moment confession est arrivé, sans doute le moment qu'on redoutait le plus tous les deux. Andrew reconnait que mon geste était mérité et rien que pour ça, je déculpabilisais. J'affichais même un petit sourire. J'espère pour toi que j'aurais plus à le refaire car je suis le genre de personne qui n'utilise pas la violence, ça m'a juste échappé. « Alors, c'est que nous ne sommes pas amis. » dis-je en me mordant la joue. Je me montre plus tactile, plus à l'aise et ouverte. Même si j'ai encore cette image du baiser passionné qui m'a poignardé le coeur. Celui-ci s'en remet tout doucement. Je fronce les sourcils en secouant la tête. Lui ne me suffit pas ? Woaw, y'a vraiment trop de mal entendu, perçons l'abcès une bonne fois pour toute. « Tu me suffis Andrew, tu l'as toujours été. » suffisant, largement même. Je me perds dans ses yeux bleus et je me lèche les lèvres, complètement envoûtée. « Je ne sais pas ce qu'on est ou ce qu'on va devenir mais... t'es le seule homme dans ma tête, le seule qui me fasse vibrer, qui me rende vivante et... je suis complètement accro à toi. » je mets sur la pointe des pieds pour venir jouer avec ses lèvres, les effleurant en écrasant mon souffle contre sa peau. « J'ai du mal à te partager... »

@Andrew T. Koch
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Qu'elle se rassure lui non plus sur ce coup là ne sait pas sur quel pied danser il est dans une position inconfortable qui ne lui plait pas, l'ascenseur émotionnel n'est pas le genre de sensation qu'il aime et pourtant c'est ce qui est en train de se passer pour les deux Eliots. Il ne sait pas ce qu'il veut et ne veut pas que cela fasse de mal à la belle, il ne sait pas s'il est prêt à tout arrêter pour elle, s'il est prêt à prendre le risque de la décevoir et de la perdre. Pour le moment c'est tout bénéfice pour lui et normalement pour elle, des amis, qui font l'amour quand ils en ont envie, quand ils en ont besoin sans forcement se rendre des comptes à côté, si l'amour n'avait pas pointé le bout de son nez, la jalousie et le manque ne seraient jamais venus s’immiscer dans le couple d'ami. Mais voilà dans la vie tout ne se passe jamais comme prévu et ce soir encore la preuve est là, Andrew qui prévoit tout, qui calcul tout n'a pas vu venir ça et il prend en pleine figure comme un avion dans une tour, voilà pourquoi timidement et presque innocemment il demande à la jeune femme « On est quoi alors ? » aussi inquiet de la réponse que pressé de l'avoir.

Il peut bien se passer n'importe quoi, les deux sont dans une bulle, elle doit certainement lui en vouloir encore un peu pour le baiser auquel elle a assisté, mais lui aussi lui en veut énormément de l'avoir attrapé sur un banc à la vue de tous. Voilà la seule chose qu'il lui demandait, qu'il s'imposait, d'être discret, parler des plans culs ensemble est une chose, mais le faire devant tout le monde en est une autre, c'est surement ça qui a déclenché la fureur chez le jeune homme. Quand elle lui annonce qu'il lui suffit, il ne sait pas quoi répondre, quand il est avec elle tout va bien, quand il est avec elle tout est bien, quand elle n'est pas là il pense à elle, mais arrêter tout avec les autres femmes en est il capable ? « Je ne sais pas quoi te dire Willa, quand tu es là je suis heureux, quand tu n'es pas là je ne suis pas malheureux, mais je pense fort à toi, tout le temps je me demande ce que tu fais, avec qui tu es. » Mais je ne sais pas si je suis prêt à me mettre en couple avec toi, voilà ce qu'il manque à la phrase. L'envie est là, il veut qu'elle soit l'unique, mais entre vouloir et pouvoir vous le savez tous, le gouffre peut être tellement large. Quand elle joue avec ses lèvres il ne peut s’empêcher de lui prendre la bouche en la serrant contre lui, comme un couple, mais voilà couple ils ne sont pas, ou du moins pas encore...
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@WILLA M. CAVENDISH
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