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on entre pas dans un monde meilleur sans effraction (romeo)

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@matteo raffaelli & romie barclay
titre trop long et trop profond

Quatre heures du matin. Il était 4h de putain de matin et un bruit retentissait au rez-de-chaussé à la maison et comme par hasard, cette nuit là, Romie se retrouvait seule. Elle ignorait où était passé le reste de la colocation mais ce qu'elle savait c'est qu'elle allait remonter les bretelles à celui ou celle qui avait oublié de fermer cette foutue porte. Sûrement Pluton ou Matteo. C'était même sûrement Matteo. Ugh. Voilà où ça la menait maintenant : 4h du matin, bruit incessant dans la cuisine, Romie en nuisette légère et pour seule arme de défense, une poêle à frire qu'elle a attrapé sur la route dans le salon, du reste du dîner d'hier. Ca servait à quelque chose de ne pas débarrasser, ah. Doucement, sur la pointe des pieds, elle avançait vers la source du bruit, prêt à assommer le cambrioleur ou le psychopathe tueur en série en un coup de poêle bien efficace à la Raiponce. L'homme -vu ses pas lourds, ça ne pouvait qu'être un homme- se déplaçait aisément dans la cuisine et elle inspira un bon coup, à deux pas de l'ombre. un, deux, trois. Et elle fonça sans équivoque dans le tas, criant et brandissant son arme vers l'individu. « AHHHH PRENDS TOI CA SALE CAMBRIOLEUR PSYCHOPATHE VIOLEUR DE MES DEUX ! » Un bon coup de poêle dans le dos et l'affaire allait être vite réglée. Ou pas.

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matteo raffaelli & romie barclay
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Travailler de nuit, ça avait des avantages comme des inconvénients, mais surtout des inconvénients. Ok, Matteo avait peut-être toutes ses journées de libres mais pensez bien que ce n'était pas en se levant à deux heures de l'après-midi parce qu'il était trop crevé de la veille qu'il allait pouvoir être productif. Ajoutez à ça le fait qu'il doive affronter ce silence de mort qui régnait dans la maison à son retour et se la jouer ninja pour ne pas réveiller ses colocataires endormis et voilà, vous avez le quotidien de l'italien. Donc non, y avait pas vraiment d'avantage au final... M'enfin, depuis trois semaines, qu'il était là, il s'y était habitué l'italien. Tellement habitué que traverser le salon, la cuisine et même monter les escaliers sans faire le moindre bruit était devenu un jeu d'enfant pour lui. Du moins, jusqu'à aujourd'hui... Marchant dans la pénombre à travers le salon, il retira sa veste qu'il balança sur le canapé avant de se diriger vers la cuisine pour boire un coup. Oui oui, dans le noir, s'armant juste de la lumière de son téléphone pour s'éclairer un minimum, easy. Sauf qu'au moment où il ouvrit la porte de l'étagère pour en sortir un verre, ce n'est pas un ni deux mais trois verres qui lui glissèrent dessus. Il en rattrapa deux de justesse par réflexe mais le troisième lui... s'écrasa malencontreusement sur le sol. "Merda !" Great, il ne savait pas qui avait rangé aussi mal mais maintenant, c'est qui qui allait devoir se taper du nettoyage à quatre heures du matin au lieu d'aller dormir ? Bah c'était lui. Le pire, c'est qu'il ne savait même pas où se trouvait ce foutu ramasse poussière alors le balai ? Même pas en rêves. Et comme si ça ne suffisait pas, fallait en plus que quelqu'un ne vienne l'agresser par derrière en le traitant de tous les noms. Pour la discrétion, on repassera. Tournant vivement la tête vers l'origine de ce cri - qui l'avait d'ailleurs bien fait sursauter - il recula d'un pas, découvrant sa colocataire qui lui faisait un remake de Raiponce. "Wow ! Romie ?!" Oui, c'était bien elle, et à en juger par le regard qu'elle lui lançait, il venait de lui foutre la peur de sa vie. "C'est juste moi, Matteo." ajouta-t-il en plantant ses yeux bleus dans les siens, sa main venant doucement frôler la sienne pour lui extirper l'objet des mains. "Tu permets...?" lança-t-il, un fin sourire naissant au coin des lèvres. Non, il ne tenait pas à se faire assommer par une poêle, merci mais non merci.

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@matteo raffaelli & romie barclay
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Romie n'était pas de nature peureuse, qu'on se le dise. Seulement, lorsqu'un individu s'introduisait chez soi à quatre heures du matin, il était on ne peut plus normal de réagir à la défensive en s'imaginant tous les scénarios inimaginables sur le déroulement de la soirée. Elle y allait donc à reculons, faut l'avouer, une poêle à la main même si les chances que son arme soit réellement bien efficace soit proche de néant. Mais elle avait au moins quelque chose, faisant avec les moyens du bord. Nota bene : elle devrait contacter son père ou son frère un jour pour lui fournir et apprendre à utiliser une vraie arme. Pour l'instant, sa poêle était sa meilleure défense et elle n'hésita pas une seule seconde pour foncer droit sur l'inconnu en brandissant l'ustensile de cuisine. Elle était parée, criait même comme une folle.. jusqu'à ce la voix du présumé cambrioler/violeur/psychopathe retentit et l'arrêta net dans sa course. Matteo ?! Evidemment qu'elle l'avait reconnu juste à sa voix. « MATTEO ?! PUTAIN DE MER.. QU'EST-CE QUE TU FOUS ?! » Il avait machinalement reculé - à juste titre et Romie faillit l'étrangler sur place, vu la frayeur qu'il lui avait donné. Faillit. Parce qu'instantanément, lorsqu'il plongea son regard dans le sien, elle perdit toute décontenance et reprit un souffle régulier. Elle se laissa même faire lorsqu'il prit de sa propre main sa poêle meurtrière. Il était étrangement calme pour la situation et si Romie n'avait pas été étrangement bercé par... lui, elle lui aurait encore sauté dessus, de frustration. Ugh qu'elle détestait l'effet qu'il lui faisait. « Je.. Tu.. » Ah, voilà qu'elle en perdait ses mots maintenant. Elle détestait vraiment. Inspire, expire, inspire, expire. « Il est 4h du mat', qu'est-ce que tu fais à rentrer si tard en douce comme ça putain ? » Son ton était plus calme, moins hystérique mais cela n'empêchait pas qu'elle était encore à bout de souffle, tentant de retrouver un rythme cardiaque à peu près normal. Puis se rendant compte qu'elle était maintenant hors danger, elle fit un pas sur le côté pour allumer la lumière de la pièce. Là, c'était beaucoup mieux.

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