Let me forget what I have in my mind ► Jaxon

Finalement, si j'étais assez perplexe quand à ma venue dans cette ville, dans ce lieu qui était à l'antipode de ce que j'appréciais - Miami ou Los Angeles s'en rapprochant évidemment le plus - je finissais par en apprécier certaines facettes. J'ai envie de dire merci Tinder pour faire en sorte que les femmes frappent à ma porte les unes après les autres pour me faire passer du bon temps. C'était Elisa la prochaine à passer à la casserole et j'étais certain que ça pouvait le faire. Si à la base j'étais plutôt regardant sur le physique, des fois je me laissais aller sur le reste. Elle n'était pas vraiment dans les critères de recherche que je m'étais fixé mais elle faisait le boulot, du moins, j'osais l'espérer. J'avais mis une chemise propre, un pantalon. Et ouais, je sais, je ne sors pas de chez moi mais c'était pour le principe. Je n'allais pas l'accueillir complètement à poil, si ? Ouais non, c'était assez déconseillé pour le coup et il fallait que je fasse quand même assez bonne impression. Alors vêtements, déodorant, parfum même et j'étais totalement paré à recevoir la jeune femme. Finalement elle était là, frappant à cette porte nous séparant. Heureusement pour moi, aucun des autres de la fratrie n'était présent dans l'appartement, de sortie pour vadrouiller de leur côté. Ouvrant pour la découvrir, décidément bien apprêtée pour l'occasion, j'esquissais un sourire légèrement pervers. « Je peux te retourner le compliment. Entre, je t'en prie » Je m'étais décalé, la porte toujours ouverte, pour qu'elle puisse entrer dans ces lieux qu'était mon appartement. « Tu veux boire quelque chose peut-être ? » demandais-je alors à la jeune femme en refermant derrière elle, non sans la bouffer du regard. Oh oui, tu seras mon quatre heure.

C’était devenu comme une habitude que je prenais. Tinder, le lieu de rencontre de tous les possibles. On pouvait tomber sur n’importe qui. La petite frigide totalement coincée du cul comme la pire des nymphomanes. Là, je ne savais pas trop à qui j’avais à faire mais je me disais bien que je le découvrirai tôt ou tard. Les filles de Tinder, elle était nombreuses sur mon téléphone. Je les likais à la pelle, elles me répondaient en masse et j’avais mes plans cul pour la semaine. Ce soir, il s’agissait d’une jeune fille prénommée Elisa il me semble. Oui bon, je n’avais pas vraiment la meilleure mémoire qui soit, d’où le fait que je n’étais pas un membre honorable de l’université d’Harvard. Au contraire. Je n’étais qu’un chômeur en quête d’un but dans la vie, chose que je n’avais toujours pas trouvé. Enfin si, testeur de fesses dans un lit on peut dire. Elisa arrivait, je lui ouvrais et l’invitais à rentrer. Pas à boire ? Tant pis, l’entrée en matière sera courte alors, parce que je ne voyais pas quoi faire de plus pour atténuer l’entretien qu’on pouvait avoir. « Je ne m’en cache même pas tu sais » Alors oui, je lui matte son cul, moulé à la perfection grâce à la robe qu’elle pouvait porter. Légère mais suffisamment épaisse pour ne pas en dessiner ce qui se passe en dessous. « Je prends. Sans hésiter, je prends » D’ailleurs, je m’approchais d’elle, attrapant sa main pour la faire tourner et en découvrir toutes ses formes. Seins à la perfection, petit cul rebondi et ouais, j’allais pouvoir me la faire dans les minutes qui vont suivre. « Suis-moi, je n’ai pas envie qu’on nous surprenne ici » Dure loi que de vivre en colocation avec sa fratrie. Alors je l’attirais avec moi jusque dans ma chambre, rangée pour l’occasion histoire de ne pas faire trop bordélique. Une fois la porte fermée, je la regardais s’imprégner des lieux avant de me positionner dans son dos, mes deux mains posées sur ses hanches. « Cette robe est certainement de trop, tu trouves pas ? » 

Pour le coup, j’attendais pas grand chose de ce qui allait se passer ce soir. Je savais que ce serait une partie de jambes en l’air, avec ou sans suite dans les jours ou semaines à venir. Mais qu’importe, je savais que j’allais forcément passer un bon moment, si la fille se laissait faire. Des fois, elles pouvaient vraiment être casse-couilles, au point de me frustrer. J’osais espérer qu’elle n’allait pas être de cette trempe, qu’elle irait dans le même chemin que moi, sans qu’il n’y ait la moindre embuche sur ce terrain là. Après, elle était sexy et semblait attirée par moi, par ce que je proposais et c’était tant mieux. Si je matais son cul ? Bien sûr merde, il était d’une beauté sans nom. Il était rebondi et ferme, comme je les aime. « Tant mieux » Parce que sinon, ça ne servait à rien qu’elle soit présente entre ces murs. Quoiqu’il en soit, je l’attirais avec moi jusque dans ma chambre, dans le simple but de la dénuder entièrement, sans qu’un membre de la fratrie Rowan ne soit présent pour voir tout ça. La porte fermée, mon regard posé sur elle et je sentais mon rythme cardiaque monter peu à peu, tout comme la température ambiante. Oui, ça allait être muy caliente ce soir, je le sens. Et surtout que là, sa robe était en trop et elle le validait totalement. M’approchant d’elle avec mes mains posées sur ses hanches, je finissais par les remonter jusqu’à son dos, malgré qu’elle se soit retournée, pour pouvoir dézipper sa robe. « Je » Et aussitôt dit, aussitôt fait. J’avais fait glisser le petit bout de métal vers le bas de la chaine pour défaire la pression exercée autour de son corps. Quand finalement je posais mes mains sur ses épaules, je faisais glisser le tout pour que la robe finisse sa chute sur le sol, la laissant dénudée presque entièrement. Seuls ses sous-vêtements la recouvraient. Mon regard se posait sur son corps avant de remonter à ses lèvres, qui m’appelaient sans vergogne pour l’embrasser. Chose que je ne tardais pas alors à faire, de façon simple et efficace dans un premier temps, avant qu’elle ne vienne m’autoriser à l’embrasser plus langoureusement.

Le but était clair dans ma tête. Coucher avec elle, et passer à autre chose. C’était mon rituel pendant quatre ans et je n’étais pas vraiment certain que ça puisse changer un jour. Alors ouais, ça me convenait très bien comme ça, à la mater en plus avec son fessier rebondi. Je sentais que j’allais passer un très bon moment et qu’on vienne me couper un bras si ce ne serait pas le cas. Personne qui fait la queue ? Alors j’ai raison. Si le début reste timide, dans une séduction presque cachée, je l’incitais à me rejoindre dans ma chambre, où on serait en toute intimité. Faut dire, on est quatre dans l’appartement. Quatre à se marcher les uns sur les autres et il fallait de toute évidence avoir sa propre intimité si on voulait pas se déchirer. Ici, c’était mon endroit, mon temple et c’était ce que les filles que je ramenais voyaient. Et la salle de bains. Mais en général, on ne trainait pas trop dans les parties communes, dans le simple but de pas se faire surprendre par qui que ce soit. Qu’importe, elle était là, Elisa, à ma merci et j’allais en faire qu’une bouchée de cette fille, j’en étais persuadé. Cherchant à la déshabiller, puisque sa robe était clairement de trop, elle m’autorisait à le faire, et je défaisais le zip de sa robe pour la laisser totalement tomber par la suite. Et si c’était pas suffisant, j’allais chercher ses lèvres, histoire qu’elle comprenne que je n’étais pas ici pour blaguer. Les choses sérieuses allaient commencer et je n’avais que ça en tête. « Oh mais tu peux me déshabiller, je n’attends que ça » que je disais entre deux baisers, touchant alors sa peau délicieusement tiédie par l’envie qui montait en elle. J’aimais ça, l’effet que je pouvais avoir sur mes conquêtes et Elisa n’en dénotait pas, au contraire. Comme les autres, elle ne voulait qu’une chose : atteindre le septième ciel. L’aidant dans sa quête, je retirais ce que j’avais en haut, afin de me mettre torse nu face à elle, histoire qu’elle ait de quoi toucher et se mettre en bouche.

Coucher avec des filles me faisait oublier tout ce qui n'allait pas dans ma vie... c'est à dire tout. Si je n'avais pas mon pénis en bonne fonction, clairement, je me serais suicidé. Celle que j'aime ne veut pas de moi, celle qui fait battre mon coeur, aussi petit soit-il. Alors ouais, je comblais le vide de la seule façon que je connaissais et c'était à l'aide de jeunes femmes trouvées dans des bars ou même sur Tinder. La conversation n'avait pas été loin avec Elisa mais ça avait été suffisant pour l'attirer jusqu'à chez moi. J'espérais juste que ce soit pas le genre de fille totalement psychopathe à tomber amoureuse après un premier baiser. Ouais, non, ça se voyait dans les yeux ce genre de choses. Elle était juste ici pour passer un bon moment avec moi et c’était ce que j’allais lui offrir. Dans ma chambre, les vêtements se faisaient rapidement la malle. Que ce soit par mes mains habilles ou les siennes, c’était clairement la même chose. Dans tous les cas, les vêtements se retrouvaient au sol et on se dénudait peu à peu. C’était le but, celui commun à nos deux entités. Voilà que mes mains découvraient peu à peu ses courbes féminines, délicieuses et envoutantes, au point que j’en perde la tête. Mais même elle, elle semblait vouloir aller plus vite, plus loin, rapidement. Et la vitesse ne me faisait pas peur, au contraire. Tout ce que je voulais, c’était aller droit au but. Sans trop attendre, j’étais torse nu face à elle, lui laissant le simple plaisir de regarder mes abdos. « Nope, à ton plus grand plaisir je suppose » Et à toutes celles qui étaient déjà passées dans ce lit. Mais c’était fait exprès de toute façon. Juste pour plaire à ces filles. Rapidement, ses mains s’occupaient de mon pantalon pour que je me retrouve simplement habillé d’un boxer. Ouais, les choses devenaient sérieuses d’un coup. « Qu’importe, ce que tu préfères, je m’adapte » que je disais, sentant l’envie gonfler mon boxer par ses caresses expertes. M’approchant un peu plus contre elle, je cherchais à la faire tomber sur le lit pour la surplomber de tout mon corps, l’empêchant alors de continuer ce qu’elle faisait, à mon plus grand regret. « Je peux être celui qui t’ordonne de me faire des choses.. Comme celui que toi tu maltraites. C’est à tes envies, je suis ouvert à tout » soufflais-je avant d’aller chercher la peau de son cou de mes lèvres, remuant mon bassin contre le sien, pour initier la chose.