Cecilia A. O'Dariens ► Pyper America

Il était une fois, dans la ville de Boston, se rencontrèrent deux étudiants en économie, Carmela Alvarez-Lombardi, une américaine d'origine espagnole et italienne, et un américain nommé Daniel O'Dariens. Cette rencontre n'était pas anodine car ils étaient promis l'un à l'autre depuis longtemps par leurs familles respectives. Carmela était l'héritière d'un magnat de la mode et Daniel était l'héritier d'un empire financier. Ils se marièrent, très amoureux de l'un de l'autre, à la fin de leurs études à Boston. Mais, avant tout, il s'agissait d'une union d'intérêts pour faire fusionner deux empires importants et d'une grande influence dans l'univers des affaires.   

Par une magnifique journée d'été du 18 juillet 1998, naquit un très beau petit bébé dans une clinique privée de l'Upper East Side, en New York. Le bébé fut nommé Cecilia en hommage à la grand-mère du côté maternel. Les deux parents très occupés, confièrent leur enfant à une armée de nourrices puis de servantes. La petite fille grandit avec, durant les trois premières  années de sa vie. Ensuite, elle fut confiée à des tuteurs qui lui apprirent la lecture et les mathématiques. Elle se révéla très douée dans ces apprentissages. Dès son plus jeune âge, une pression lui fut mise sur les épaules à cause du fait qu'elle était l'héritière de deux grands empires.

Dès ses premières années de scolarité, dans un établissement huppé, elle se révéla être une des meilleures  élèves de sa classe, exceptionnellement douée en mathématiques. En plus de l'école, elle fut soumise à des activités sportives intensives et régulières. Elle commença, dès ses 5 ans, de la danse classique et se démarqua par une élégance naturelle dans cette discipline. Elle fit rapidement de la danse à haut niveau. Elle faisait également du tennis avec sa famille.


Très tôt, s'instaura une compétition entre Cecilia et son cousin germain James, le fils du frère de son père pour l'héritage de l'entreprise paternelle. Ils ne se faisaient aucun cadeau car la jeune fille était comparée en permanence à son cousin. Ils étaient aussi brillant l'un que l'autre mais James avait le fait d'être de sexe masculin en plus. Cecilia devait donc toujours surpasser pour montrer qu'elle méritait autant que James, sa futur place à la tête de la compagnie. Ils furent dans les mêmes établissements de l'Upper East Side dès L'Elementary School jusqu'à L'High School.

Ils étaient toujours en compétition pour la meilleure en place dans les concours de sciences ou les compétitions sportives. Si ce n'était pas l'un, c'était l'autre qui gagnait. Ce fut de là, que vint l'ambition, l'envie de réussir à toute épreuve de Cecilia.Elle visait depuis sa plus tendre enfance, la prestigieuse université de Harvard et mit tout en oeuvre pour y entrer .Ce fut la seule victoire dont elle put  vraiment se vanter, car sa réussite fut largement supérieure aux SATS avec 2250 points pour elle contre seulement 2000 pour James. Durant ses années lycées, elle s'engagea dans de nombreuses associations autant sportives que caritatives ce qui lui permit d'accroître ses chances d'entrée à Harvard. Elle eut de nombreuses lettres de recommandations de ses professeurs et des présidents des associations dont elle était membre. Elle fut même présidente d'une association militant pour les droits des femmes.

Un des souvenirs de Cecilia peut parfaitement illustrer la relation entre elle et ses parents. La jeune fille était très solitaire car elle voyait très peu ses géniteurs très pris par leurs travaux respectifs et avait peu d'amis à cause d'un emploi du temps très chargé. .Malgré ça, elle leur avait demandé d'être présents à une compétition de danse très importante pour elle. Ses parents lui avaient promis leur présence mais, au dernier moment, ils ne purent venir. Cecilia ressentit, à la suite de cet événement, une grande frustration et une grande colère. Elle ne leur parla pas pendant plusieurs jours.

En début d'année scolaire, elle s'installa dans un joli appartement du centre de Boston payé ses chers parents;