Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityShe was his queen, and God help anyone who dared to disrespect his queen (vega)
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She was his queen, and God help anyone who dared to disrespect his queen (vega)

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J'arrivais pas à y croire. J'étais sur le parking d'Harvard et j'allais la voir. Enfin. Après une multitude de sms échangés, après avoir révélé des choses que je pensais ne jamais dire, après avoir écouté ses confessions d'une oreille attentive, après l'avoir laissée entrer dans ma vie, j'allais enfin la voir. Au départ, elle et moi, c'était pas supposé se passer comme ça. Non, j'étais censé la draguer, lui dire que je trouvais ses yeux magnifiques, ce genre de conneries à deux balles pour lesquelles toutes les filles tombaient. Je devais lui sortir les plus beaux mensonges de la terre, lui faire croire que ses rêves étaient réalisables, lui jurer qu'elle était la seule à qui je disais avant d'envoyer un message à une autre fille en disant le même truc. Mais, en fait, elle s'était imposée dans ma vie, dans mon quotidien. Et je l'avais laissé faire. Parce que je l'ai tout de suite trouvé cool. Pas cool comme on trouve qu'un milkshake est cool parce qu'il est bon. Non, cool du style je vais graviter autour d'elle comme la terre gravite autour du soleil et ce, jusqu'à ce que la lune me cache et fasse une éclipse. Jusqu'à ce que quelqu'un d'autre prenne ma place et la fasse sourire comme j'en ai l'habitude. Et je laisserais pas ce rôle à n'importe qui. Lorsque la scène s'éteindra, que le rideau tombera et que je devrais retourner en coulisse, je ferais gaffe à ce que le prochaine acteur interprète une pièce du même niveau. Alors ouais, après avoir vu tout ce que je ressentais pour elle, à quel point elle comptait pour moi, n'importe qui pourrait comprendre pourquoi j'étais stressé à ce point là. Stressé et impatient.

@Vega Avgeropoulos
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FREGA, she was his queen ❀ je crois que jamais encore je ne m’étais senti dans un état pareil. c’était encore pire que d’avoir un rencard. encore pire qu’avoir un entretien d’embauche. parce que là, c’était pas n’importe quoi et surtout, ce n’était pas n’importe qui. non. j’allais rencontrer freddie. le freddie. et de base, c’était une histoire plutôt basique. on avait commencé à discuter via twitter par apport à un top tweet plutôt débile -j’me souvenais plus du sujet mais je ne commentais que le trucs dont tout le monde se foutait- puis petit à petit on était parti en privé. à parler de tout, de rien, de la vie, de la pluie. twitter était devenu facebook ce qui en soit était un grand pas dans l’intimité. facebook était devenu skype parce que c’était quand même vachement plus facile pour les audio. c’était le genre de mec qui avait eu le loisir de me voir l’appeler à 3h du mat, absolument pas fraîche, juste pour lui raconter la blague de l’année. puis j’avais fini par lui donner mon numéro. et là ? là, tout avait commencé. les messages tous les jours, les appels à n’en plus finir. si bien qu’à partir d’un moment, il ne se passait pas une journée sans qu’on échange pendant au moins une heure. et j’avais appris à me confier à lui. lui dire ce qui allait, ce qui n’allait pas. lui parler de ma vie, de mes déceptions, de mes rires. j’crois que c’était la première fois que je vivais autant de chose avec une personne que je n’avais jamais vu. alors ouais, il était mon meilleur ami, mon freddie et j’avais toujours dit que je déplacerais des montagnes pour lui. sauf que.. là, j’allais le voir en vrai et j’avais la trouille. pourquoi ? j’en savais rien. j’avais juste la trouille. pourtant, je me rendais jusqu’au parking d’harvard -lieu étrange, je l’accorde, c’était même assez creepy- et j’bouillonnais intérieurement me demandant comment est-ce que je devrais agir. puis j’le voyais, au loin et mon premier réflexe, c’était me planquer derrière une voiture. bravo vega, ça c’est beau. ouais mais j’faisais quoi ? j’disais quoi ? j’savais pas moi. inspire, expire. je sortais de ma cachette avançant doucement vers lui, sourire timide à l’appui et.. ok, adieu les bonnes manières, j’lui sautais au cou. « putaaaain, j’suis trop contente » vrai de vrai.
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Elle me sautait au cou et je sursautais avant de rigoler. J'avais l'impression de l'avoir toujours connu, qu'on avait grandi ensemble et pourtant elle arrivait encore à me surprendre. D'ailleurs, à l'instant où j'avais senti ses bras entourer mon cou, tout le stress était parti. Toutes les appréhensions que j'avais pu avoir, toutes les peurs, tout ça n'était plus là. Maintenant, je voulais juste profiter d'elle et de notre journée. Qu'on fasse les cons ensemble, qu'on s'amuse, qu'on rigole de tout et de rien comme des meilleurs amis étaient supposés le faire. Parce que c'était ce qu'on était non ? Des bff. « T'as souvent l'habitude de sauter au cou des inconnus comme ça ? » Forcément je la charriais, comme toujours. Que ce soit par messages ou en vrai, on changeait pas les bonnes habitudes, pas vrai ? Je replaçais une mèche de ses cheveux derrière ses oreilles après m'être décalé pour l'observer. Forcément, quand je croisais son regard, un sourire se dessinait sur mon visage. Pas un sourire cool, du genre mystérieux. Non, plutôt un sourire de gamin, de quelqu'un qui vient de recevoir son cadeau de Noël. « Putain ça fait bizarre de te voir en vrai. Mais vraiment. Mais bon on va pas s'éterniser dessus, t'es là, je suis le mec le plus heureux du monde, on va pas faire dans le sentimental tu me connais donc je te propose de te faire visiter ta future université ? » Joignant les gestes aux paroles, j'entourais son épaule de mon bras afin de la guider vers le campus. « Alors là c'est la Winthrop, le truc des beaux gosses donc si tu veux draguer tu vas là bas » que je lâchais en montrant un grand bâtiment au loin, sourire moqueur au visage. Ouais, les confréries c'était pas mon truc, je détestais ça. Se coller une étiquette et appeler des mecs qu'on connaissait à peine des « frères ». Il n'y avait pas plus hypocrite.
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j’avais limite l’impression que c’était pas réel en fait. parce que ouais, ça faisait tellement longtemps qu’on se parlait que de te voir là, en vrai, ça me semblait être.. un mirage ? j’veux dire, j’avais attendu ce moment pendant tellement longtemps et j’savais bien qu’on en avait parlé plus d’une fois mais jamais on avait sauté le pas. sauf que là, forcément, à être tous les deux sur boston, on ne pouvait pas faire autrement. et j’avais l’impression que toute l’angoisse que je pouvais ressentir s’était envolé à l’instant même où je t’avais sauté dessus. « les inconnus ne sont pas capable de me dire quand acheter des tampons parce que mes règles are coming » que je répondais d’un haussement de sourcil amusée. donc ouais, clairement, on était proche sur tellement de point que même si c’était la première rencontre physique, j’pouvais pas me comporter comme si je ne te connaissais pas. « et moi qui croyait que tu ferais un effort pour moi » que je ronchonnais pour l’embêter. mais ouais, j’savais que freddie, c’était pas le mec le plus sentimental du monde. si on partait du principe que tu m’avais abordé avec un « t’es plutôt bonne », j’pouvais clairement affirmer que t’étais pas le genre de mec à faire des trucs romantiques. une chance que tu ne sois que mon meilleur ami en fait. « j’ai une tête à draguer ? » j’drague personne moi. je laisse les choses faire. et si je suis célibataire depuis quatre ans, j’crois pas que ça soit une coïncidence. disons juste que.. je laisse peut être un peu trop faire justement. mais j’aime pas forcer les choses, j’fais pas du rentre dedans aux autres et comme la galanterie c’est plus vraiment un truc qui existe, j’ai juste fini par me conforter dans l’idée que j’étais pas née dans la bonne époque.
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