Nolin - Need to speak

Endroit cool ou presque, surtout quand il s'agit de faire finalement des confessions. Tu décides d'emmener Franklin, parce qu'il a des choses à te dire, des confessions à te faire. Parler, discuter, apprendre des choses, t'es le meilleur pour ça. Surtout quand c'est ton pote. Tu as bien vu le soucis sur What's app et tu vas pas passer à côté de ça, ça non, surtout pas en ce moment. Tu veux avoir la tête pleine pour éviter de penser à Ana ou toutes ses conneries de bal débile. Tu soupires en sortant de ta voiture, en profite pour fermer la porte et marcher en direction du Starbucks ou tu dois voir Zephyr, et tu t'approches de la porte. Un endroit peu fréquenté à cette heure-ci, parce que tout le monde est partit en cours à cette heure ci. Tu rentres mine de rien, tu passes commande pour un café italien, et heureusement qu'ils en ont. Tu décides de prendre même un truc à manger, parce que t'es un gourmand mais surtout parce que tu ne sais pas pour combien de temps il en a. Tu soupires pour t'asseoir. Bien sur tu as payé entre temps.

@Franklin Z. De Spoelberch

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Destruction d'un moment et facilité de méchanceté. Le seul moment tranquille ? La mort de l'ennemi.
— with @Noah M. Ferrari

Starbucks avec Noah. Passer du temps avec le président. Mais aussi être avec lui. C’est bizarre. Nous sommes souvent tous ensemble. Tous les cinq. Mais jamais comme ça. Comme si je trompais Zeus. Mais j’avais accepté de venir. Je regarde Franck dans la voiture. Et j’en soupire. J’avais juste à ajouter. Y’a Noah. Tu peux aller faire du shopping. La bonne blague. Jamais il me laissera. Même pas avec Noah. C’est sans doute l’homme le plus violent que je connaisse. Quoi que. Mon père n’est pas mal aussi. Parce que c’est choquant de dire ça ? Mais il m’a quand même mis une raclée. Je sors de la voiture. Je suis silencieux. Et j’en remets ma veste. Je soupire. Je passe la porte de l’enceinte. J’observe les lieux. Je vais commander. J’ai besoin d’un café. Long. Fort. Sucré. Sans mousse. Juste un café. Et j’avance. Je prends la commande. Je prends ma chaise. Je me pose dans un coin reculé. Noah en face de moi. Je regarde. Nous aurions pu marcher tu sais. Je le regarde. Même s’il mange sur la route. Cela passe non ? Mais voilà que je le regarde. Il me regarde. Je lâche. Comment tu vas ? C’était bizarre. Nous n’avions pas la même conversation tous les deux. Qu’en groupe. C’était bizarre. Très bizarre. Je n’aimais pas ça. Les situations où je n’étais pas en confiance finalement.

Tu allais pas mourir d’être mourir, ça va, ce n’était qu’un côté négatif encore de la vie du petit peuple qu’était les autres. Bon et puis honnêtement, tu n’étais pas déçu non plus, Franklin venait de débarquer, donc tu n’allais pas t’échapper. Tu écoutes attentivement ses paroles, il veut aller marcher. Bah allons’y alors. Tu décides de te lever pour prendre ton gobelet et également ta nourriture et vous quittiez le Starbucks. Ca va ecoute et toi ? Tu vas bien ? Ou mieux que la dernière fois ? Faut dire que la conversation What’s app avait été mouvementé putain, tu n’aurais jamais cru dire ça un jour, mais tu avais regretté d’avoir invité tout le monde. Mais bon, chose faite. Tu continuas d’avancer, tu n’avais aucune envie de marcher mais lui il avait envie, donc autant partager. Marcher puis s’asseoir et finalement tu ajoutas Bon tu m’expliques réellement ses conneries, je te rappelle juste que je suis pas là pour te juger, enfin s mais d’une autre façon et puis tout le monde était au courant sauf toi c’était certain, c’était obligé. Alors tu allais pouvoir discuter réellement de ses problèmes à haute voix au moins.

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Destruction d'un moment et facilité de méchanceté. Le seul moment tranquille ? La mort de l'ennemi.
— with @Noah M. Ferrari

Je regarde Noah. Il se décide à sortir. Enfin. Je n’avais pas envie de passer mon temps enfermé. Surtout avec ce soleil. Et puis. Etre enfermé. J’avais déjà donné. Je soupire. Je passe ma main dans mes cheveux. Je quitte le Starbucks. Café long en main. Je peux souffler. Et les questions commencent. Oui ça va. Ne t’inquiète pas. Juste fatigué, c’est tout. Oui. Evitons de parler sur ce terrain-là avec lui. Il s’agit quand même du président. Autant dire que ce n’était pas rien. Ni n’importe qui. Et je ne voulais pas qu’il soit mis au courant. Je soupire doucement. Je continue de marcher. Main dans la poche. L’autre au niveau de mon café. J’écoute encore. Il insiste. Je soupire lentement. Quelles conneries ? Zeus a fait sa petite crise du mois c’est tout. Tout le monde est vivant. Tout le monde va bien. Valait mieux en fait. Je le regarde. Je souris faiblement. Je prends net néanmoins à ses paroles. Il ne me jugera pas. En tant qu’ami ? Ou en tant que président ? Parce que je ne comptais rien lui dire. Ni à lui. Ni à Hades. Hors de question. La guerre sera déclarée sinon. Et je ne veux pas de ça. Pour moi. Pour ma famille. Pour mon père. Tes révisions se passent bien au fait ? Oui. Examens bientôt. J’avais envie de prendre de ses nouvelles aussi. Autant être honnête. Et aussi le faire réellement. Je souris même. Faiblement. Mais je souris à ma façon.

Tu n'avais aucune envie de bouger, mais il n'avait pas envie de rester là. Tu soupires doucement, sortir, marcher, vivre tout ça, c'était pas pour toi, la seule chose que tu aimais vivre à 100 à l'heure sur au bord de ta moto. Tu fronces les sourcils à ses paroles, tu n'as aucune envie de péter un câble pour x ou y raisons et puis fallait être honnête, la fatigue ne faisait pas tout. Tu hoches la tête doucement alors que tu commences à boire légèrement ton café et voilà qu'il continue de te faire miroiter monde et merveille. Et tu soupires une nouvelle fois. Pas vu comment Abelard et Harper étaient sur la conversation, tu t'es pris la tête avec eux, donc dis moi ce que c'est sérieusement, tu vas pas mourir Ou peut-être que si, t'en sais rien. Bon et puis fallait être honnête, tu n'étais pas con non plus, tu le connaissais au bout d'un moment. Tu passas ta main dans tes cheveux, il change de sujet mais tu ajoutes rapidement Ouais ça va, bon tu me parles ou je me tire, j'ai l'impression de servir à rien en fait Il va te le cracher ce petit bout de vérité, tu en réfléchis meme avant de sourire en coin, tu as très envie de savoir aussi, tu enbois ton café. Mais il ne va pas le cracher, tu le connais, c'est de Franklin que l'on parle, pas de n'importe qui. Franklin c'était la tombe à l'état pur, autant dire que c'était compliqué pour lui de se livrer.

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Destruction d'un moment et facilité de méchanceté. Le seul moment tranquille ? La mort de l'ennemi.
— with @Noah M. Ferrari

Je tourne les yeux vers Noah. Je lui souris doucement. En coin. Comme il se voit. Mentir. Ou dire la vérité. Tu sais très bien que Zeus et Harper sont toujours sur mon dos. Mais ça va t’inquiète. La fatigue. Et puis le fait que je suis un peu à la traine en cours c’est tout. Je n’avais pas besoin d’apprendre mais de voir. Juste une vision de mon cours. Et le tour était joué. Autant dire que le mensonge était violent. Mais je soupire faiblement. Je devais lui dire. Lui dire pour une chose mais pas l’autre. Ok. Très bien. Je soupire doucement. Je continue de boire mon café. Je le regarde même. Mes parents divorcent en ce moment. Et c’est galère c’est tout. Je n’ai pas envie d’en parler. Je ne veux plus en parler. C’est clos. Voilà pourquoi ils étaient bizarres sur l’application. Je suis honnête. Je soupire. Je sais que ses parents ont divorcé. Mais il était gamin lui. Moi j’ai vingt-quatre ans. Et ce n’est pas la même peine. Je pense que j’arriverai à le surmonter. Enfin petit à petit. Mais ça risque d’être dur. Parce que j’étais proche de mon père. Enfin jusqu’à ce qu’il me frappe. Mais je suis très proche de ma mère. Et je lui ai promis que ça allait s’arranger.

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