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ID CARD
Nom : Rønning ◇ Prénom : Alv ◇ Âge : 22 ans ◇ Date et lieu de naissance : 29 février 1996 à Oslo ◇ Nationalité : Américo-Norvégienne ◇ Orientation sexuelle : Bisexuel ◇ Statut amoureux : Célibataire ◇ Statut social : Classe moyenne ◇ Job étudiant : Serveur ◇ Études majeures : Médecine ◇ Études mineures : Art
- Code:
Alv Rønning - 22 ans - 4ème - Médecine chirurgicale - Serveur
Alv Rønning
feat Freddie Highmore
feat Freddie Highmore
GROUPE 1
La maison Winthrop pour la camaraderie entre chacun des élèves. Pour un groupe de jeune homme tous différent, qui s'acèptent tous et qui s'entendent bien. Car la maison ne regarde pas sur toute les personnes mais sur un tout.
GROUPE 2
POur la liberté de penser et d'être comme on veux, et comme les Winthrop, une aceptation des différence. Des élèves fêtar et qui suivent pas beauoup de règles, qui sont un peu anrchiste tout en conaissant leur limites.personnes
TON ADMISSION À HARVARD
C'était il y a quatre ans, alors que je venais d'arriver un an plus tôt en Amérique, que je me retrouvais devant l'université d'Hadvard à Boston. Je me souvins encore du stress ressentit, de mon cœur battant à toute allure entre mes côtes. J'étais ici pour passer le test d'entrée et réaliser le rêve de mon père avant qu'il ne s'exile pour la Norvège. On n'avait peut-être pas beaucoup d'argent, mais ma famille avait tout fait pour que je réussisse. Mon grand-frère, Njål resté dans notre pays de naissance avait tout donné pour que je réussisse à y rentrer. Il avait travaillé dès qu'il avait pour que j'ai assez d'argent et éviter que je fasse un emprunt.
C'est avec ses pensées en tête que j'étais entré dans le grand bâtiment qui me faisait de l'ombre depuis le début. J'étais venu ici pour faire des études de médecine et espérer sortir de ma famille de ces petites phases où nous avions parfois peu d'argent. Mais tout reposait sur mon test et ma note. À l'école, j'avais toujours bossé en silence, ayant de bonne en anglais puisque mon bilinguisme anglais/norvégien me donnais des avantages en cours. J'avais parlé l'anglais depuis que j'étais petit, un léger accent me restait et il ressortait lorsque je suis stressé ou en colère.
J'avais toujours été un élève sérieux en cours mais parfaitement auto-didact et un brin anarchiste sur les bords. Je travaillais rarement, faisant le strict minimum. Ma mémoire photographique m'avais alors aidé à réussir mes examens avec succès. Au collège, je m'étais perdu dans les arts pour fuir la mort de mes grands-parents et le départ de frère de la maison. J'adorais dessiner, surtout les grands paysages glacés et enneigé de mon pays natal.
C'est avec les souvenirs de ces années dures que j'avais passé mon test d'entrée. J'étais ressortis, la pleine pleine et une migraine pointant, mais au fond j'avais le sens du devoir accomplis. J'avais attendu les résultats, impatient et excité comme un enfant la veille de Noël. Lorsqu'ils sont arrivés, c'est avec toute ma famille, par Skype pour ceux en Norvège, que j'avais ouvert ma lettre. La joie, le bonheur et le soulagement m'avaient alors envahis.
Peu de temps avant le début du premier semestre, j'avais quitté les miens pour partir dans l'université. L'angoisse me nouait le ventre, mais j'avais hâte de commencer. Je savais que je pouvais être râleur, colérique, têtu comme dix troupeaux de mule, mais je sentais que j'allais bien me plaire là-bas. Certes le petit clan que l'on formait, la famille Rønning allait me manquer, mais c'était un nouveau départ...
C'était il y a quatre ans, alors que je venais d'arriver un an plus tôt en Amérique, que je me retrouvais devant l'université d'Hadvard à Boston. Je me souvins encore du stress ressentit, de mon cœur battant à toute allure entre mes côtes. J'étais ici pour passer le test d'entrée et réaliser le rêve de mon père avant qu'il ne s'exile pour la Norvège. On n'avait peut-être pas beaucoup d'argent, mais ma famille avait tout fait pour que je réussisse. Mon grand-frère, Njål resté dans notre pays de naissance avait tout donné pour que je réussisse à y rentrer. Il avait travaillé dès qu'il avait pour que j'ai assez d'argent et éviter que je fasse un emprunt.
C'est avec ses pensées en tête que j'étais entré dans le grand bâtiment qui me faisait de l'ombre depuis le début. J'étais venu ici pour faire des études de médecine et espérer sortir de ma famille de ces petites phases où nous avions parfois peu d'argent. Mais tout reposait sur mon test et ma note. À l'école, j'avais toujours bossé en silence, ayant de bonne en anglais puisque mon bilinguisme anglais/norvégien me donnais des avantages en cours. J'avais parlé l'anglais depuis que j'étais petit, un léger accent me restait et il ressortait lorsque je suis stressé ou en colère.
J'avais toujours été un élève sérieux en cours mais parfaitement auto-didact et un brin anarchiste sur les bords. Je travaillais rarement, faisant le strict minimum. Ma mémoire photographique m'avais alors aidé à réussir mes examens avec succès. Au collège, je m'étais perdu dans les arts pour fuir la mort de mes grands-parents et le départ de frère de la maison. J'adorais dessiner, surtout les grands paysages glacés et enneigé de mon pays natal.
C'est avec les souvenirs de ces années dures que j'avais passé mon test d'entrée. J'étais ressortis, la pleine pleine et une migraine pointant, mais au fond j'avais le sens du devoir accomplis. J'avais attendu les résultats, impatient et excité comme un enfant la veille de Noël. Lorsqu'ils sont arrivés, c'est avec toute ma famille, par Skype pour ceux en Norvège, que j'avais ouvert ma lettre. La joie, le bonheur et le soulagement m'avaient alors envahis.
Peu de temps avant le début du premier semestre, j'avais quitté les miens pour partir dans l'université. L'angoisse me nouait le ventre, mais j'avais hâte de commencer. Je savais que je pouvais être râleur, colérique, têtu comme dix troupeaux de mule, mais je sentais que j'allais bien me plaire là-bas. Certes le petit clan que l'on formait, la famille Rønning allait me manquer, mais c'était un nouveau départ...
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Aiglon et j'ai 15 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Je l'ai bien aimer alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Freddie Highmore comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Internet. Je fais environ 200 mots mots par RP et mon personnage est un personnage inventé
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
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si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8280]►[/url] ► <span class="pris">>Freddie Highmore</span> ◊ “ Alv Rønning ”[/size]
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ◊ “ Pseudo ”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
Je suis né un 29 février, dans le pays glacé de la Norvège. Si je suis né à Oslo, j'ai passé le plus clair de ma vie dans les steppes gelées du Nord de mon pays natal à poursuivre les renards dans la neige et à peindre les aurore boréale qui maquillait le ciel. Je vivais avec mon père Håvard Rønning, dont mes grands-parents lui avaient donné ce nom avec l'espoir qu'il rejoigne l'université du même nom, car mon arrière-grand-père paternel, Alv Rønning (j'ai été nommé en son honneur), en as fait partie. Avec nous vivait aussi ma mère, Kaia Olsen et mon grand-frère, Njål Rønning de huit ans mon aîné.
La famille du côté de mon père vivait aux États-Unis depuis mon-dit arrière-grand-père. Malgré tout, c'était de tradition familiale d'apprendre le Norvégien et de donner un nom de cette origine à son enfant. Mon père, de nationalité américaine, s'exila dans mon pays natal peu de temps après avoir échoué à l'entrée dans l'université Harvard et il y rencontra ma mère. Il avait monté son propre bar et nous faisait vivre pendant que ma mère terminait ses études.
Ma mère, Kaia, avait toujours vécu dans la plus grande tradition des anciens Vikings et leur croyance polythéiste. Elle n'avait jamais quitté la Norvège et sa rencontre avec le chrétien qu'était mon paternel, ainsi que le début de leur relation, la fit quitter sa famille. Ma mère suivait des études d'institutrice lorsqu'elle tomba enceinte de mon frère, Njål et dû stopper ses études pour l'élever. Peu de temps après, mes parents se marièrent et mère fit la paix avec mes grands-parents. Elle réussit à reprend ses études et à les finir peu avant ma naissance.
Mon nom, comme dis plus tôt, viens de mon arrière-grand-père. Le jour de ma naissance, il décéda d'une crise cardiaque et mes parents décidèrent de me nommer en son honneur. J'ai grandi au côté de mon père dans son bar. J'allais l'école, mais une fois rentré, mes six ans passés, je faisais le service. Je ne travaillais pas, ne révisait pas mes cours, aidé par une mémoire photographique. À l'école, je me bagarrai souvent, ma colère démarrant d'un coup sans que je ne la contrôle. Sans compter mon côté rebelle qui m'est venu très jeune et qui me faisait faire n'importe quoi. Depuis mes douze ans, j'ai une cicatrice sur le torse suite à une fracture ouverte d'une côte après avoir sauté du toit de mon école sans écouter personne. Je n'étais pas tombé de bien haut, mais cela m'avais bien refroidis.
Au collège, je me suis découvert une passion pour les dessins, la peinture et tout ce qui rapproche de près ou loin. La science humaine m'avais aussi plongé avec des rêves pleins la tête. Me servant de ses passions, je me perdais et fuyais un monde où Toril et Dagfinn, mes grands-parents maternels, étaient décédés. Puis, un beau jour, nous dûmes repartir pour les États-Unis. Mon père était tombé malade, un cancer du cerveau nécessitant les soins d'un spécialiste. À dix-sept ans, je quittais la neige immortels de chez moi pour rejoindre Boston, laissant un frère marié sur place.
J'y passais ma dernière année de lycée avant de suivre le rêve de mon père. Je postulais à Havard, ayant travaillé pour la première fois de ma vie. Je voulais que mon père soit fier de moi avant qu'il ne meure. Heureusement, je fus pris et je quittais les miens, pour rejoindre l'université, un prêt sur les bras pour pays ma scolarité. J'avais réussi là où mon père avait échoué et j'étais prêt à doré le blason de ma famille.
La famille du côté de mon père vivait aux États-Unis depuis mon-dit arrière-grand-père. Malgré tout, c'était de tradition familiale d'apprendre le Norvégien et de donner un nom de cette origine à son enfant. Mon père, de nationalité américaine, s'exila dans mon pays natal peu de temps après avoir échoué à l'entrée dans l'université Harvard et il y rencontra ma mère. Il avait monté son propre bar et nous faisait vivre pendant que ma mère terminait ses études.
Ma mère, Kaia, avait toujours vécu dans la plus grande tradition des anciens Vikings et leur croyance polythéiste. Elle n'avait jamais quitté la Norvège et sa rencontre avec le chrétien qu'était mon paternel, ainsi que le début de leur relation, la fit quitter sa famille. Ma mère suivait des études d'institutrice lorsqu'elle tomba enceinte de mon frère, Njål et dû stopper ses études pour l'élever. Peu de temps après, mes parents se marièrent et mère fit la paix avec mes grands-parents. Elle réussit à reprend ses études et à les finir peu avant ma naissance.
Mon nom, comme dis plus tôt, viens de mon arrière-grand-père. Le jour de ma naissance, il décéda d'une crise cardiaque et mes parents décidèrent de me nommer en son honneur. J'ai grandi au côté de mon père dans son bar. J'allais l'école, mais une fois rentré, mes six ans passés, je faisais le service. Je ne travaillais pas, ne révisait pas mes cours, aidé par une mémoire photographique. À l'école, je me bagarrai souvent, ma colère démarrant d'un coup sans que je ne la contrôle. Sans compter mon côté rebelle qui m'est venu très jeune et qui me faisait faire n'importe quoi. Depuis mes douze ans, j'ai une cicatrice sur le torse suite à une fracture ouverte d'une côte après avoir sauté du toit de mon école sans écouter personne. Je n'étais pas tombé de bien haut, mais cela m'avais bien refroidis.
Au collège, je me suis découvert une passion pour les dessins, la peinture et tout ce qui rapproche de près ou loin. La science humaine m'avais aussi plongé avec des rêves pleins la tête. Me servant de ses passions, je me perdais et fuyais un monde où Toril et Dagfinn, mes grands-parents maternels, étaient décédés. Puis, un beau jour, nous dûmes repartir pour les États-Unis. Mon père était tombé malade, un cancer du cerveau nécessitant les soins d'un spécialiste. À dix-sept ans, je quittais la neige immortels de chez moi pour rejoindre Boston, laissant un frère marié sur place.
J'y passais ma dernière année de lycée avant de suivre le rêve de mon père. Je postulais à Havard, ayant travaillé pour la première fois de ma vie. Je voulais que mon père soit fier de moi avant qu'il ne meure. Heureusement, je fus pris et je quittais les miens, pour rejoindre l'université, un prêt sur les bras pour pays ma scolarité. J'avais réussi là où mon père avait échoué et j'étais prêt à doré le blason de ma famille.
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