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Frozen to myself (Jasper)

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La raison s'échappe de son âme froide. Deirdre regrette. Pour l'appât du gain, pour la promesse ambitieuse, elle a renoncé à ses principes. Elle a trompé son intuition. Quand ce client est venu au Nirvana quelques jours plus tôt, elle n'a vu que son apparence propre et son costume grand luxe. Elle n'a pas écouté cette sirène interne lui hurlant de se méfier. Elle a accepté de faire un show privé lors d'une soirée d'hommes triés sur le volet. L'endroit était tout ce qu'il y a de plus respectable, un yatch classieux au bord de mer sur Harbor Area et tout avait bien commencé. La danse s'était faite lascive, répétitive et Deirdre s'était détestée un peu plus. Jusqu'où tomberait-elle ? S'oublierait-elle complètement dans cet effeuillage macabre ? Les hommes s'étaient fait plus pressants. Deux en particulier, l'avaient entraîné dans une cabine et lui avaient fait boire une flûte de champagne. La réalité tangue, et les veines se défendent du poison. La raison s'éteint, la peur s'anime, sourdement au creux du ventre. Cela faisait bien longtemps que l'Irlandaise n'avait pas ressenti le danger aussi crûment. Alors pendant que les hommes s'éclipsent dans l'attente de l'agonie des dernières défenses de son corps, la Victime rampe jusqu'à une veste posée nonchalamment, attrape le téléphone gisant dans la poche. Deirdre se surprend à composer le premier numéro s'offrant à sa mémoire, la surprise réside en l'interlocuteur. La voix monocorde murmure un besoin d'aide et une localisation approximative. Et puis tout s'éteint, des mains s'attardent sur la peau, enlèvent les derniers lambeaux de tissu progressivement. Les ténèbres la happent cette fois, pour de bon, de son appétit le plus vorace. Jusqu'à une lumière inattendue peut-être. Je n'aurais sans doute pas parié sur toi Jasper et pourtant...  

@Jasper O. Ellington Frozen to myself (Jasper) 2442039969 pleaaaase Help :luv2:
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : Frozen to myself (Jasper) 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
Messages : 24937
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Jasper O. Ellington
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Le rouge devient vert, le stop dit encore, le moteur souffre de vitesses passées sans la moindre souplesse. Le corps fonctionne bien trop vite, rien n'est coordonné, le cœur pompe beaucoup trop de sang, c'est tout l'ensemble de l'Ellington qui réclame davantage d'énergie. L'idée d'une supercherie a été balayée par le principe de précaution, et l'homme se conforte dans la certitude que la détresse était audible, que la belle n'a pas autant de talent. S'enfonce dans les bras tendus de la colère, ce réconfort subtile et dérivant qu'offrent les idées sombres. Le chauffard s'arrête sur le bord de mer, repère le yacht, s'empresse, gagne le pont, passe le vigile. Les visages passent bien trop vite, la musique est bien trop assourdissante, l'esprit s'embrouille entre différentes réalités. Il dit, tonne « où est-elle ?! » plusieurs fois, et eux, ces idiots, ne savent pas qui est elle, ils ne savent pas qu'ils électrisent, peu à peu, la bête sauvage, qu'ils abandonnent, peu à peu, la belle au bois gisante. L'appelle Deirdre, l'appelle Iris, bouscule, menace, se cogne dans les angles, dans les gens, ouvre des portes, ouvre toutes les portes. Ouvre la bonne porte, juste retenue par une chaise branlante qui cède sous une brutalité inhabituel. Jasper est douceur, quand ses vengeances sont faites de cliquetis sur un ordinateur, quand ses poignards sont des virus, ses coups, des mensonges fait de codes. La guerre se fait sans goutte rouge, quand c'est lui aux commandes. Mais il n'y a plus de logique, il n'y a plus de retenue, quand tu présentes ce spectacle. Si c'était un test, il l'échoue avec panache. S'arrête dans l'encadrement de la porte, les coupables font ce même mouvement, cessent et se retournent, délaissant leur repas inerte. L'horreur du jour rejoint celle d'il y a quelques semaines, et l'impuissance ne supportera pas à nouveau d'y être mise à l'honneur. Enfer, tu m'as manqué. Rage, rampe sous ma peau, gagne mes phalanges. Jasper, oublie tout ce que tu es, tout ce qui te constitue, cède au désir de fureur. Il hurle quelque-chose dont il ne se rappellera pas, encaisse bien trop de coups, brise une lampe sur l'un, et ses doigts sur l'autre. Il a apprit a taper dans un sac, il y a quelques semaines, mais tu sais, c'est pas pareil, quand c'est un nez qui se brise sous ta main, c'est pas pareil quand le souffle se coupe, quand la douleur inonde et aveugle. Quand finalement, c'est la raison qui le sauve, et qu'un prétendu appel aux flics est suffisant à les faire quitter la pièce. T'aurais peut-être dû commencer par ça. Se précipite sur la silhouette, la surplombe, la peau rougie posée sur la joue féminine. « Hé.. » Il y a un souffle, mais pas franchement de réaction, au moins peut-être oubliera-t-elle qu'il vient d'insister, de sa main sur sa joue. 
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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Le gouffre l'enlace, semble aspirer chaque méandre de son souffle las. Les paupières s'amarrent solidement aux fières prunelles pour en cacher l'absence. Deirdre sent l'inertie s'emparer d'elle, et c'est bon quelque part. A tout vouloir maîtriser, tu perds tout. Alors lâcher l'ensemble paraît presque jouissant. Dans sa noyade, la Solitaire a émis un dernier cri, la cible est si inattendue, toi l'intrus de ma chambre, l'intrus dans mon existence que je voue en marge des Autres. Elle ne sait pas combien de temps passe ainsi. Plus rien n'existe, même pas elle. Une brûlure vient réchauffer l'exsangue de sa joue, la peau alerte de la réalité de sa présence. Encore. La Perdue lutte, bouge quelques membres, sent sa peau dénudée tandis que le voile de ses paupières veut bien furtivement se hisser, elle entrevoit une sombre lumière et la colère dans ses yeux, la... peur aussi peut-être ? Jasper, tu as peur, Jasper tu ne peux pas redouter ce qui te hante déjà depuis si longtemps, ma noirceur happe la tienne mais elle était là avant. Alors un sourire habille furtivement les lèvres de la Victime. Parce que l'ironie reste sa plus fidèle amie. Elle tente de parler, mais ne le peut. La lutte est trop sourde, les mots trop happés. Les yeux se referment alors qu'elle sent les bras masculins prendre son corps en étau, elle se sent si lègère et c'est si bon de pouvoir se reposer sur un autre. De sentir ce sentiment qu'elle a espéré secrètement des années durant étant enfant. La Protection. Sa tête se pose sur le torse du Prince Déchu, réconfortée par le martèlement régulier du membre noble là au centre. Tu es si charmant finalement Jasper. Et pourtant elle sait que la glace habillera ses mots quand elle retrouvera sa présence d'esprit. Mais peu importe.

Lorsqu'elle ouvre de nouveau les yeux, elle est sur un lit. Machinalement, elle se redresse, passe ses mains sur elle, constate qu'elle a récupéré chaque rempart de tissu. Un peu ahurie, elle ne sait où perdre son regard, elle est dans une chambre dont elle ne connaît rien. Sans doute chez lui. Quelques secondes en suspens avant que le doute ne soit tué. C'est sur la silhouette sombre de l'Ellington que ses yeux se fixent. Une fois de plus, il ramasse les miettes de ce qu'il reste de la Fière Deirdre. Et contemple la Vulnérable, la Chétive. Elle se déteste. Ce guêpier elle s'y est bien mis seule, comme la plus blanche des Oies. « Merci de m'avoir tiré de là. » se décide t-elle à expier finalement. Son visage repose entre ses mains quelques instants avant qu'elle ne se redresse. Elle ne va pas abuser plus longtemps. Le spectacle est terminé. « Désolée pour tout ça, je vais pas t'embêter plus longtemps. » La Brune s'empare de son sac, restée non loin de là, et avance tant bien que mal, sentant ses chevilles s'enfoncer quelque peu dans le sol, mais la fuite reste la meilleure des solutions.
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