ASTRID DETOURS ► Kristina Romanova

C'est le 20 avril 1990 à New York, que les membres de la famille Walden m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Astrid Evelyn. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis quelques mois à Harvard. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Lowell.

mes parents ont divorcé quand je n'avais que 7 ans. J'ai déménagé en France avec ma mère juste après. ▲J'ai été le visage de la marque haute couture de ma mère, Constance Detours. ▲ Je fais partie de la noblesse française avec le titre de baronne. ▲ Je posais souvent pour le plaisir même si la plupart du temps, je me retrouvais dans Vogue France. ▲ J'ai un métabolisme de merde. Je m'explique: je ne prends pas un gramme peut importe la quantité de nourriture que j'engloutis. Oui, ça c'est un avantage, mais quand je stress ou je tombe malade, je perds d'un coup plusieurs kilo et bonne chance pour les reprendre. Bref, j'ai pas de formes. ▲ J'adore les viennoiseries, les pâtisseries, le café, le chocolat et tout ce qui est gastronomie française. ▲ Je ne suis pas une masochiste. Je tombe juste trop souvent amoureuse d'hommes plus vieux que moi, mariés pour la plupart. Et puis, les gars qui sont en couple, ça prouve bien qu'ils sont géniaux non? ▲ J'adore la photographie, j'ai toujours mon appareil photo sur moi et je peux dépenser des milliers en appareils photographiques. ▲ Je suis une virtuose au violon, ce que peu de personnes savent. ▲ Il m'arrive bien souvent d'être insomniaque et ne pas pouvoir fermer l'oeil de la nuit.

▲ Le jour où mon père a quitté ma mère. Curieuse que j'étais, j'ai été chercher dans le dictionnaire ce que voulais dire le mot "bâtarde". A 7 ans, je savais déjà ce que ça voulait dire... VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Vraiment, il n'y a que les Mathers qui sont capable d'organiser une soirée chaque soir de la semaine. Et bien sûr, aujourd'hui ne fait pas exception. Déjà la veille, je n'y avais pas été, sans doute parce que j'y avais passé 3 nuits d'affilé dans le drap de trois mecs différents, mais là, cette fois-ci, sans hésiter, j'y retourne. Après tout, ce sont les meilleurs pour les soirées déjantées sur le campus!

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

J'aime voyager, j'adore même. Par contre, un voyage humanitaire, je ne crois pas que ce soit mon truc. Oui, aider les autres, c'est bien, mais j'ai pas spécialement envie de passer tout un mois à ne faire que ça. Il n'y a vraiment que les Quicy pour être motivés à ce point. Et puis, j'aime être égoïste de temps en temps. Trop de bonté, ça tue..;

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Peu de personnes savent que je suis une virtuose au violon et j'avoue que j'aimerais bien garder ce talent secret. Donc, je n'auditionnerais pas même si l'envie d'être sur scène est très forte. Je le regretterais peut-être, mais tant pis.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je suis belle, je suis gentille, je suis parfaite! Tout le monde le sait ça. Oh et modeste aussi... Mais bon, je n'ai rien à envier de cette Cabot. De toute façon, je suis sûre que l'on sera bientôt amies, une fois que je serais également membre de cette sororité.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Avoir un des canons de Winthrop comme esclave pendant un certain laps de temps, c'est le rêve. Je n'hésiterais sûrement pas à enchérir et m'en trouver un qui me satisfera sur tous les points. Et pas que sexuellement, voyons...

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je préfère mon cabriolet, désolé. Tes lunettes ne sont même plus à la mode, et tes fringues ne valent même pas la nouvelle collection de All Saint. Vraiment, t'as beau être riche mais il faut aussi avoir le style qui va avec, sinon, out!

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

J'aime la littérature, j'adore l'époque Victorienne, surtout Oscar Wilde qui la dénigre. Mais pendant toute une semaine, je ne sais pas si j'en serais capable. Quoique... En tout cas, c'est sûr, j'irais au moins à deux-trois conférences!

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle MIDNIGHT.HEAVEN/Lou et j'ai 21 ans. Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à j'y étais sous Elysia M-J. Ravenswood. Le forum est toujours aussi canon et puis, il me manquait alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien, enfin, j'espère xD. J'utilise Kristina Romanova comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par fluorescent adolescent.. Je fais environ 15-20 lignes par RP et mon personnage est inventé.

Mot de la fin ? ▲Je vous ai manquée? :luv2: .

J'étais là, cachée dans mon lit, les larmes aux yeux. Je les entendais, encore, toujours, comme tous les soirs. Ils n'arrêtaient pas. J'avais peur, je ne voulais plus les entendre. Mais ils continuaient, inlassablement. « Arrêtes de me mentir Conrad, je sais très bien que tu étais avec ta petite pute, ne me mens-pas ! » « Non mais tu deviens complètement folle ma pauvre ! Lidya est ma secrétaire, pas une prostituée ! Par contre, je ne peux pas en dire moins de ton petit gigolo. 25 ans ? Une vrai cougar. J'aurais honte à ta place. » « Comment oses-tu me faire la morale alors que tu te tape une minette de 20 ans plus jeune que toi ! A peine majeur, te rends-tu compte du risque que du prends ! Pas seulement pour toi, mais as-tu pensé à l'image de notre famille ? » « Image ? Quelle image ? Elle a déjà été ruinée depuis longtemps, depuis ton joli petit scandale lors du gala de charité des McDougall. J'ai tout fait pour étouffer l'affaire, mais non, tu continues à t'afficher avec des hommes à tout bout de champs. Parfois, je me demande même si Astrid est ma fille. » Je fermais les yeux, tandis que j'entendais un bruit de gifle résonnant dans tout le salon. Je savais que ma mère n'allait pas tarder à monter et pleurer, comme tous les soirs depuis des années. Ma pauvre maman. Doucement, je me faufilais en dehors de mon lit, avec mon doudou, me dirigeant lentement vers la cage d'escalier. « Comment oses-tu Conrad ? Tu sais parfaitement qu'Astrid est ta fille ! Le test de paternité que tu as fait dans mon dos te le prouve bien ! » « Qui ne me dis pas que tu as réussi à le falsifier ? Une femme comme toi est vraiment capable de tout ! » Je ne comprenais pas ce qu'ils disaient. Pourquoi est-ce que papa demandait à maman s'il était mon papa ? Bien sûr qu'il l'est, il et toujours très gentil avec moi, à m'offrir tout le temps des cadeaux. Alors pourquoi disait-il qu'il n'était pas mon papa ? J'avais peur. Doucement, je sortais de ma cachette. « Maman, papa, pourquoi vous hurlez ? » Mes parents se figèrent alors. Ma mère me sourit tendrement avant de venir me prendre dans ses bras. Mais papa, lui, il ne me regardait pas. Pourquoi ? Parce que je ne suis pas dans ma chambre ? « Ne t'inquiète pas ma chérie, maman et papa se disputent juste pour une bêtise. Allez viens mon ange, allons dormir. » « Et papa, il vient ? J'ai envie qu'il me lise une histoire. » Enfin, mon père se tourna vers moi. Un sourire crispé, il s'approcha et m'embrassa sur le front. « Pas ce soir mon ange, j'ai encore du travail. » Je le regardais alors se diriger vers l'ascenseur. « Mon avocat t'enverra les papiers de divorce Constance. En attendant, je ne veux plus te revoir toi, ni cette bâtarde dans tes bras. » Je ne comprenais pas. Je le regardais sortir, triste qu'il ne puisse pas me lire d'histoire. Je me tournais alors vers maman. Elle me faisait mal tellement elle me serrait dans ses bras. Et je la vis pleurer. « Maman, pourquoi tu pleures? » Elle essuya rapidement ses larmes. « Pour rien ma chérie, pour rien. Allez, retournons dans ta chambre, maman va te lire une histoire. » Cette nuit-là, mon père nous quitta. Deux jours après, je déménageais en France. Je n'ai plus jamais revu mon père.

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« Je ne vois vraiment pas le problème. Oui, il est plus vieux ; oui, il sort avec ma mère, mais je l'aime ! Est-ce donc de ma faute si je ressens de l'amour pour un homme de 10 ans de plus de moi ? » J'étais là, assise les bras croisés, les jambes croisés, dans ce long fauteuil, à regarder méprisement cette femme. Ma mère avait découvert ma relation avec son amant deux jours auparavant. Je ne voulais vraiment pas la blesser, mais la voir me regarder ainsi me brisa simplement le coeur. Mais ce n'était vraiment pas de ma faute, ce fut le coup de foudre entre nous, dès la minute où nos regards se sont croisés. Comment aurais-je pu croire que c'était lui, l'homme que fréquentait ma mère ?! Deux semaines que nous nous voyons quand ma mère me l'a présenté. Je ne voulais pas continuer, mais je ne pouvais pas arrêter non plus. Jusqu'à deux jours auparavant. Et me voilà devant ce "psychologue". Une bonne à rien. « Vous m'avez dit plus tôt que votre père vous a abandonné à l'âge de 7 ans. Il est donc possible que vous fréquentez ces hommes pour combler cette absence. » Je claquais ma langue contre mon palais. Conneries. « Vous croyez vraiment que je sors avec des vieux parce qu'ils me rappellent mon père ?! Non, bien sûr que non ! Comment pourrais-je ?! Je déteste cet homme, il n'est pas mon père ! Je ne veux plus rien savoir de lui, et certainement pas fréquenter ces hommes parce qu'ils lui ressemblent ! Je ne suis pas une masochiste! » Je me levais en colère. Elle ne savait absolument rien de ma vie, de mon passé. Comment osait-elle faire des commentaires de ce genre ? Je ne pouvais pas continuer, je ne voulais pas me remémorer de toutes ces paroles. Je ne pouvais pas...