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(madano) fragile

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Je posais la caisse de bouteilles vides en haut de la pile avant de souffler en me frottant les mains. Putain, il n'y avait pas un mec galant dans les lieux qui aurait pu le faire à ma place hein. Enfin bon, j'avais fini mon travail pour ce soir et le Nirvana allait pouvoir s'endormir pour quelques heures avant qu'on ne recommence le soir même. C'est seulement quand je me tournais pour sortir du local situé derrière le bar que je remarquais que je n'étais pas seule dans le fameux local. Le mec aux gros bras, c'était l'un des videurs et ces derniers temps, il passait plus de temps à me coller au cul plutôt qu'à faire son boulot. Déjà ce soir, il n'avait pas arrêté de faire la navette entre le bar et la porte et j'avais pris sur moi pour ne pas me ruer sur lui de manière féroce. Enfin, sa carrure de molosse était aussi là pour me rappeler que de toute façon, je ne ferais pas le poids. « Tu t'es perdu ? » que je lui demandais avec mon air peu aimable tant réputé. Faut croire que non puisqu'il fermait la porte et qu'il se jeter sur moi pour me plaquer contre le mur. Je vous épargne le langage fleuri qui sortait de sa bouche. Mes courbes, mes longs cheveux blonds et mes multiples piques avait finalement eu raison de moi. Ses mains me tenaient fermement tout en se baladant sans gêne. Je n'étais pas à l'aise avec les hommes et ce genre de traitement avaient tendance à me faire paniquer très vite. Je résistais au mieux et je poussais un hurlement avant que celui-ci ne soit étouffé par sa main. Je commençais vraiment à me demander comment j'allais pouvoir me sortir de cette merde.

@Gabano Wolfgang
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J'passe tellement plus de temps au Nirvana qu'au Asgard ces derniers temps. J'saurais pas dire pourquoi mais je m'y sens mieux. Toujours pas de nouvelles d'Alaska, faut croire que j'vais devoir me faire à l'idée, elle ne reviendra jamais et ça me fait chier. Voilà pourquoi les sentiments ça pu, c'est de la merde en boite et que je n'en ai jamais voulu. Ça me revient maintenant mais devoir m'en souvenir comme ça? Bah je m'en serais passé. Alors je dors encore moins, je travaille toujours plus et ce soir je reste jusqu'à la fermeture, sans raisons. Les affaires marchent, les transferts sont ok, l'argent se porte à merveille. J'pourrais rentrer et profiter de Luzia mais j'en ai pas le cœur et j'veux pas que ça déteigne sur elle. Mais bon, il est l'heure. Un dernier verre et j'y vais sauf... Qu'en allant au bar personne. Bizarre, me semblait que Maddox était encore là, elle devait faire la fermeture avec les deux derniers gars. C'est là que j'entends du bruit, derrière le bar dans le local à boissons. Je fronce les sourcils et décide de m'y rendre et là surprise... Je vois l'un de mes agents de sécurité, plaquant Maddox contre le mur, à la tripoter, commençant limite de la déshabiller. Ni une ni deux j'approche et tir sur le col de sa veste pour l'attirer en arrière afin qu'il heurte brutalement le mur à l'opposé d'un "J'peux savoir ce que tu fais?" le regard plus mauvais que jamais. J'me tourne alors vers la blonde apeurée, m'approchant d'elle pour voir si elle n'avait rien tandis que ce porc s'excusait de tout son mieux, finissant sur un "je ne recommencerais plus". Fronçant à nouveau les sourcils, je me retourne alors vers lui pour lui mettre un coup de poing, puis deux et profitant qu'il se soit penché en avant par la douleur, lui mettre un gros coup de genou dans le ventre, le laissant s'étaler au sol avant d'me pencher au dessus de lui d'un froid "T'es viré, je ne veux plus jamais te revoir ici est-ce que c'est clair?" il hoche la tête, terrifié avant que je n'approche de la miss pour lui prendre doucement le bras d'un "Viens avec moi." l'emmenant avec moi jusqu'à mon bureau à l'étage signalant à l'autre agent d'aller chercher et sortir son pote par la peau du cul.

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Il n'y avait rien de plus gerbant que de sentir les sales pattes de ce type en train de glisser sur ma peau. J'avais l'impression que mes vêtements, ils n'allaient pas résister à leur passage. Mon t-shirt glissait tellement que j'avais l'impression qu'il allait finir par me le retirer. Si je faisais en sorte d'être féminine et "sexy" - à ma manière - pour venir travailler, je crois bien que désormais, c'était terminé. Hors de question que je reçoive ce genre de traitement. Puis, j'avais jamais osé dire quoi que ce soit, parce que je ne voulais pas me faire virer et avoir à trouver un nouveau boulot. Trop bonne, trop conne. Je me retrouvais plaquée entre le mur et le videur dans le local à boisson derrière le bar et tout ça s'en qu'on m'ait demandé mon autorisation. J'allais me faire violer. C'est clairement ce à quoi je commençais à penser quand mon cri fut étouffé par sa main. C'était moi qui m'occupais de la fermeture. Je n'étais pas seule, mais nous étions pas nombreux. Chacun avait son occupation afin de pouvoir rentrer dormir au plus vite et ouais... Personne ne m'avait entendu. C'est ce que je pensais jusqu'à ce que le patron déboule dans le local. Ni une, ni deux, il attrape le gars et j'en profite pour me décaler et me mettre du côté de la porte, réajustant mes vêtements en regardant la scène. J'allais bien. Je venais de passer un moment désagréable, mais ça aurait pu être pire. Mon regard angoissé s’apaise en croisant celui du patron. Le videur regrette instantanément ces actes, mais je ne crois pas un seul mot de ce qu'il dit. Wolfgang non plus. Un coup, puis un deuxième, un troisième et le type ne répond plus de rien. Simple et efficace. Je ne pensais pas que ma soirée allait aussi mal tourner et je ne bougeais plus, ne sachant plus quoi faire. Les doigts de Wolfgang attrape mon bras pour me tirer doucement vers la sortie. Une délicatesse qui dénotait avec la folie dont il venait de faire preuve. « Viens avec moi. » Je ne bronche pas, ne dis pas un mot et je le suis, j'attrape ma veste et mon sac au passage et je monte un escalier métallique en jetant des coups d’œil derrière mon épaule. J'entre finalement dans un bureau qui surplombe le club. « Merci » que je dis sans trop oser bouger, enfilant simplement mon vêtement, même si en réalité, j'avais surtout envie de prendre une... douche. J'me sentais sale avec ce qui venait d'arriver. « Je ne pensais pas que vous étions encore là... En fait, je pensais qu'il n'y avait pratiquement plus personne... » Je pensais surtout que j'allais y passer.
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Si il y a bien un truc qui m'fou hors de moi... C'est que mes employés merdent. Que ce soit me désobéir, le non respect de mes règles ou encore ce genre d'extrême là, tentative de viol sur un autre employé. C'est un non catégorique. Et encore... Que celui s'estime heureux qu'elle soit encore dans la pièce sinon... Il aurait très mal fini sa nuit croyez moi. Mais il méritait quand même une branlé et comme ça m'donnait l'occasion de me défouler un coup? Je ne me suis pas gêné. Que mon autre videur s'occupe de lui et que plus jamais je ne revois sa sale gueule dans mon établissement. Doucement, je prends le bras de Maddox pour la faire monter dans mon bureau et elle me suit sans lutter en prenant ses affaires. Une fois en haut, je ferme derrière elle, allant vers mon bureau pour en sortir une bouteille de whisky et servir un fond de verre à la miss et le lui tendre "Tiens, ça te fera du bien.", un minimum du moins. Figée elle ose à peine bouger « Merci », et je secoue légèrement la tête d'un "Pour ça y'a pas de merci qui tienne, bois." il avait pas à la toucher. « Je ne pensais pas que vous étiez encore là... En fait, je pensais qu'il n'y avait pratiquement plus personne... », et je restais à la regarder "Il t'a blessé?" je me permettrais pas de t’ausculter sans ton accord donc...


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C'est sûr que je ne m'attendais pas à ce que ma soirée se termine aussi mal. Prise entre un mur et un tas de muscles. La panique me gagnait rapidement, mais le soulagement arrivait tout aussi vite en voyant Gabano apparaitre dans le local. Grâce à lui, je n'allais pas mourir ici. Quoi que je ne serais peut-être pas morte, mais je n'aurais certainement plus de dignité non plus. Le patron jouait son rôle à la perfection, attrapant le mec pour lui en coller plusieurs à la suite. Pour ma part, je me décalais sans détourner le regard, ajustement mes vêtements de façon à ce que ma peau soit à nouveau totalement couverte. Une légère pression sur mon bras et voilà que Wolfgang m'emmenait dans son vaste bureau qui surplombait le club. « Tiens, ça te fera du bien. » - « Merci » que j'articule faiblement en acceptant le verre de Whisky. Je n'osais pas le boire ce verre, tout comme je n'osais pas bouger. J'avais de la chance d'être ici dans le fond, quand on y pense. Alors je le remerciais à nouveau. « Pour ça y'a pas de merci qui tienne, bois. » J'haussais les sourcils en regardant mon verre. Mais je continuais à parler à la place. J'avais un peu de mal à me remettre de mes émotions. Un échange de regard et je me décidais enfin à boire mon verre cul sec, grimaçant légèrement au passage de l'alcool. J'étais pas assez habituée pour le boire comme du petit lait. Mais ce n'était pas désagréable non plus. « Il t'a blessé? » J'haussais les épaules. « Il m'a touché » C'était un peu pareil. « Il y a un crochet dans le mur, je l'ai pris dans l’omoplate. » Je crois, enfin je voyais rien de toute façon. Je venais poser mon verre vide sur le bureau et je me tournais un peu pour lui montrer mon dos, baissant légèrement la veste que je venais d'enfiler en gagnant son bureau. Je portais un débardeur alors ma peau était à nue.
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Une fois dans le bureau, le calme et le silence prennent possession des lieux quelques instants. Le temps que j'aille lui servir un verre et que je lui tende. Un petit « Merci » et elle reste là, figée encore un moment, toujours sous le choc de ce qu'il venait de se passer. Elle ne boit même pas le verre, elle ne bouge plus du tout à vrai dire et je reste quelques secondes à la regarder. Il n'y a pas de merci qui tienne, pas pour ce qu'il s'est passé. Je devais agir point final. Impossible que je reste de marbre devant ça, encore moins dans mon établissement et pire, de la part d'un des employés. Je sais que dans ce que je fais tout n'est pas rose mais si je mets un poing d'honneur sur quelque chose, c'est bien sur le respect de mes filles. C'est la base de leur succès, de leur productivité. On y touche pas. C'est quand elle se décide enfin à me regarder dans les yeux, qu'elle trouve le courage de boire son verre cul sec, grimaçant un peu ce qui me fait sourire en coin avant que je ne lui demande si elle était blessée. Elle hausse les épaules d'un « Il m'a touché » et je la regarde en détail quand elle ajoute « Il y a un crochet dans le mur, je l'ai pris dans l’omoplate. » m'approchant à nouveau quand elle pose son verre pour me tourner le dos et me montrer la zone touchée. Je me permet donc de poser ma main sur son épaule, tirant sur ses vêtements un peu plus de l'autre pour mieux regarder "Tu as un bel hématome... Il faudra mettre de l'anti inflammatoire.", je regarde mon bureau d'un "En attendant..." et je me lève pour aller prendre dans le mini frigo quelques glaçons que je mettais dans une petite serviette en tissu noir, revenant derrière elle pour lui poser "Garde ça quelques minutes que ça dégonfle un peu." penchant la tête pour la regarder "Je suis désolé... Ça n'aurait jamais dû arriver." pas ici, pas chez moi.


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Il ne voulait pas de merci et pourtant, c'était le deuxième qui sortait de ma bouche en seulement quinze minutes. C'était tout moi. Je n'étais pas du genre à m’apitoyer, j'avais connu pire par le passé. Il suffisait d'attendre, le temps faisait la part des choses, bien souvent. Un jour, j'aurais surement ma revanche sur les hommes et sur les personnes qui ont pues me blesser. Je reste figée quelques instants, prenant quelques secondes de plus pour me remettre de ce que j'avais vécu. Un type venait de m'agresser tout de même et j'avais assisté à sa punition sans même lever le regard. Mon regard croise celui du patron et je m'anime à nouveau, buvant le verre qu'il m'avait donné cul sec. Je n'étais pas une grande habituée, mais le goût ne m'était pas inconnu pour autant. Je m'approchais du jeune homme, son bureau en l'occurrence, et j'y déposais le verre vide tout en lui annonçant les "dégâts". Le pire était certainement d'avoir ses mains sur moi et ce simple souvenir me donnait la chair de poule. Et puis, il y avait aussi ce fameux crochets dans le mur que j'avais pris à l'omoplate. Je prenais l'initiative de lui tourner le dos, baissant un peu ma veste pour lui montrer. « Tu as un bel hématome... Il faudra mettre de l'anti inflammatoire. » qu'il me dit après avoir posé ses mains sur ma peau. J'crois que j'avais été assez touché pour ce soir, définitivement. « En attendant... » Il allait me chercher des glaçons dans son mini bar, enveloppé dans du tissu. « Garde ça quelques minutes que ça dégonfle un peu. » Je jetais un coup d’œil par dessus mon épaule avant que ma main du côté opposé ne vienne attraper le tissu pour maintenant le froid en place. Mon regard croise le sien quand il penche la tête et je lui offre un sourire qui se veut rassurant. « Je suis désolé... Ça n'aurait jamais dû arriver. » - « Ce n'est pas de votre faute... On ne peut pas tout contrôler dans la vie. » Sinon, l'ennuie. « Ça arrive souvent ? » Que je sache au juste à quoi m'attendre. Parce que les types louches, j'ai tendance à les attirer.
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