Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility I hear the ocean from far away (eloan) - Page 2
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I hear the ocean from far away (eloan)

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( @Eloan D. Bezos-Park  )
crédit/ Euphoria ✰ bangtan boys


« Très drôle, t’es tout ce soir, un super acteur, un humoriste hors du commun, tu bats des records dit moi. » tu laches un rire en faisant semblant d’être offusquer. c’était un très beau cadeau et tu ne savais pas comment tu allais pouvoir lui rendre un jour. wook n’avais pas encore le gout pour l’aventure, mais tu ne doutes pas que ça allait commencer à venir, à force de suivre la tempête que tu es. l’amour été un mot trop large et trop vaste pour le comprendre, tu acquiesces les paroles de ton meilleur ami en secouant positivement la tête. c’était la solution la plus simple mais également la plus difficile. comment tu pourrais aborder le sujet ? comment tu pourrais mettre à nu tes sentiments et tes émotions ? comment tu peux donner de ta personne en te livrant totalement à un autre être ? c’était inimaginable. « Sur papier ton plan est parfait tête de poulpe, mais en vrai je sais très bien que je vais finir par flancher et fondre en larme en le suppliant de ne pas me laisser tomber. » tu l’as déjà fait, il n’était que ton ami quand tu l’a supplié de ne pas te quitter, comme si une part de ton âme aller disparaître avec lui. « je vais laisser les choses ce faire. j’pense que le plus important c’est qu’il aime ma présence, et j’aime sa présence aussi. » chercher des réponses ou il n’y a pas lieu d’être n’avait aucun interêt. tu l’aimes, tu as beau le nier, c’est réel, tu l’aimes. lui et chaque partit de son corps et de son âme. tu ramènes le sujet Hermès, de ta propre volonté, parce que cette relation t’intrigue et te passionne. comme attirer par la réel raison de la question : pourquoi eloan n’est pas avec hermès? il fini par avouer que ce n’était pas que physique, qu’y avait bien autre chose. ses mots sont lent et indécis, peut être que ses idées étaient pareille ? peut être qu’il été lui même incapable de répondre à cette question? tu t’apprêtes à surenchérir quand il te demande de ne plus en parler, alors tu secoues la tête de manière positif et garde ton regard devant toi pour perdre tes yeux dans l’horizon. « C’est dingue quand même. Tu me donne des conseilles en amour mais t’es pas capable de les suivre, tête de poulpe. » simple déduction. « C’est toi qui m’a dit de me lancer. tu sais dans le café, la dernière fois, tu m’as dit que je devrais dire à Wook ce que je pense, quitte à me faire rejeter. et j’me suis fait rejeter, c’était vraiment gênant, sur la plage après avoir bu, on avait rien à se dire après ça et j’ai passer le reste du trajet à me demander si je devait pas l’embrasser au feux rouges et courir hors de la voiture. Alors.. alors peut être que tu devrais juste arrêter de refleurir. arrêter de dire que c’est pas la bonne personne, que t’es pas la bonne personne, que c’est pas le bon moment, pas le bon timming. tu devrais juste lâcher prise et laisser ton corps, ton âme et tes tripes faire le travail. » pour une personne comme toi, comme lui, comme vous, l'impulsivité est la cles de tout, il devrait le laisser faire le taf pour une fois.
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« -Ouais, je sais, je me cherche une vocation mais finalement je crois que j'ai toujours été un artiste dans le fond » lançait-il sur le ton de la plaisanterie. Il fallait bien détendre un brin cette atmosphère plus ou moins étrange dans laquelle il était profondément entrain de se noyer. En l'écoulant, un sourire amer venait naître sur ses lèvres ; il ne comprenait que trop bien les craintes de Zora. « -Quoi qu'il en soit, te prends pas trop la tête et lance-toi quand tu te sens prête, c'est ça qui est important crapaud », à partir du moment où elle refusait d'admettre être amoureuse, elle n'aurait sûrement pas pu dire clairement et platement les choses à Hae-Wook, c'était une évidence. Tout ce dont elle avait besoin, c'était de temps. Elle avait vécu des choses difficile et il se doutait que ça ne devait pas être réellement facile pour sa meilleure amie que d'être profondément attachée à quelqu'un et d'être terrifiée à l'idée délaissé. Dans élan désespéré, Eloan saisissait maladroitement son paquet de cigarette, sans jamais quitter la route des yeux, seulement voilà, il était vide. Il le balançait alors à l'arrière, agacé à l'idée de ne pas pouvoir calmer son esprit vagabond à l'aide de douces bouffées de nicotine. Sa main regagnait alors le volant qu'il serrait à nouveau fermement, freinant doucement au feu rouge tandis que Zora elle, ne semblait pas vouloir lâcher l'affaire ; « -Putain, non mais sérieusement », grommelait le sud coréen avant de repartir au constat du feu qui venait tout juste de passer au vert, encore trois petites rues et il les aurait ses frites. « -C'est plus compliqué que ça Zora, d'accord ? La première et dernière fois que j'ai été profondément attaché à quelqu'un ça m'a rendu dingue, je suis devenu complètement.. Je me suis pas juste cassé la figure, tu comprends ? J'en parle jamais parce que ça me fait pété les plombs et je deviens quelqu'un d'autre, mais y'a des trucs que je t'ai pas dis, il y a des choses que tu sais pas et que personne ne sait, j'en parle pas, j'en parle jamais alors évoquer Hermes c'est comme si je remettais les pieds en plein dedans, c'est un peu comme si je retournais dans le passé, ça me donne juste envie de », crever aurait été le terme exacte, malheureusement sa phrase restait suspendus dans le silence, impossible pour lui d'énoncer ça à voix haute. Rare était les fois où il mettait des mots sur ce qui faisait défaut, même si ça n'était pas tellement clair, il faisait juste l'effort de lui faire savoir que c'était vraiment compliqué pour lui de penser à quelqu'un, d'y penser constamment, mais Zora le connaissait sûrement mieux que personne alors il se disait qu'elle comprendrait que oui, il supporterait pas de se casser la figure une deuxième fois. « -Tu vois, je suis persuadé que s'il me demandait de me jeter d'un pont avec lui, je trouverais l'idée super cool, mais c'est pas cool du tout Zora, c'est pour ça que je m'obstine à dire que c'est un ami, parce que l'amitié c'est quelque chose que je peux contrôler et je lui ai même pas encore parler de tout ça que ça me rend déjà dingue, alors je préfère juste.. Ouais, je préfère juste me taire et aller manger des frites », cette fâcheuse capacité de ressentir les choses démesurément l'avait déjà poussé au fond du gouffre et il peinait déjà à en sortir alors avec Hermes dans les parages, ça sentait la rechute et il ignorait s'il était capable d'accepter ces choses irrémédiable qu'il ressentait lorsqu'il était avec lui. Eloan avait confiance en son acolyte et c'est probablement la raison pour laquelle il osait vraiment parler de ce sujet là, au fond, il espérait juste clore le sujet de cette manière. « -Hermes c'est quelqu'un de solaire qui apaise les gens qui l'entour, il mérite quelqu'un qui sache lui donner tout autant et même s'il voulait bien de moi, je serai incapable de lui apporter ça, alors s'il te plaît, n'en parlons plus et allons juste manger des frites », et sur ces mots, il garait le véhicule imposant sur le parking du fast food aux allures de restaurant des années 50. Eloan en sortait, claquant vivement la portière avant de tendre la main à son alliée, un sourire qui se voulait rassurant aux bords des lèvres ; « -Allez viens, on va manger, tu vas me parler de ce que t'as envie qu'on fasse maintenant que t'es là ».
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et les mots te manques quand il hausse le ton, sert le volant entre ses doigts, les yeux écarquiller, tu connais assez ton meilleur ami pour savoir que ça n’allait pas, que c’était un sujet à ne pas aborder, pourtant des sujets t’en avait déjà fait pas mal avec lui. t’avais démêler les ficelles de sa tête, les noeuds de son corps, t’avais déjà regarder un par un les étoiles qui habiter ses veines, les idées tourmenter qui habiter sous son crâne. et peut être que ce n’était pas assez, peut être que ce n’était pas profond, pourtant tu avais l’impression d’avoir déjà plonger dans les abysses de sa personnes, à plusieurs reprise, à plusieurs essaie. mais ses mots te tranche comme une lame de rasoir, comme debout sur ses dits lames, tu te coupes les veines, tu perds le nord et tu fais face à cette personne que tu n’as jamais pu connaître.. D’autre démons que tu n’a jamais chassez, des êtres noirs qui ce sont camoufler, ou été-ils tout ce temps ? pourquoi tu ne les avaient jamais remarquer ? pourquoi ce n’est que maintenant que tu les remarques, alors quels étaient déjà là? ils refont surfasse, juste un petit bout d’eux, un bout de nez, une pointe de cheveux et avant même que tu es eu le temps de répondre, de discuter, de les faire taires ou les chassez ils étaient déjà partit. forcer par le jeune coréen à se cacher sous ses paupières trop lourde et sous sa voix beaucoup trop rauque et lente pour une personne qui est censé d’esprit. tu poses ton regard sur lui, tes pupilles sur sa personne. combien de temps il va encore tenir ? combien de temps est-ce qu’il compte garder tout ça cacher sous sa peau, sous sa chaire, sous son être. c’était un barrage contre le bonheur et tu ne pouvait même pas les chassez. car a présent le sujet été clos et tu ne pouvait plus débattre. tu descend de la voiture quand il t’ordonnes de ne le faire, prend sa main pour rejoindre le sol. ses doigts fébrile et tremblant, même si il essaie de le cacher, son manque de sommeil évident était la preuve qu’il n’arrêter pas de faire un tête à tête avec ces créatures de la nuit. alors tu suit son pas, lent mais pourtant déterminer dans cette espèce de fast food low cost du nord des Etats-Unis, ils se ressemblaient, tout ceux que vous aviez pu faire. un clicher sur patte, des tables entourer de banquette, une serveuse mal réveiller, un menu beaucoup trop cher pour la qualité médiocre des produits. tu te glisses sur une banquettes, fait mine de lire le menu même si tu sais très bien que tu vas prendre un éternelle cappuccino ou café noir pour bien te réveiller et surement un truc sucrée pour un gout léger dans ta bouche. mais dans ta tête résonne encore ces mots lacher à vif, comme un coup de couteau te traversant dans tous les sens. qu’est-ce que tu pouvais faire ? qu’est-ce que tu pouvait dire ? est-ce que tu as le droit de poser des questions? est-ce que tu as le droit de débattre ? alors quoi ? alors comment ? alors ? tu claques ton menu contre la table et laches un soupire, tes iris plongé sur sa personne, comme si t’étais capable de voir à travers sa chair, mais rien du tout, tu ne peut rien de ça, tu n’es qu’un être humain et autant d’être humain tu as envie de sauver les gens que tu aimes, et lui, lui tu l’aimes à en crever. « Je doit faire quoi? » question stupide, réponse stupide, tes mains malmène le tissu de ton sweet-shirt, angoissée. « Tu es une étoile. Tu t’en rend juste pas compte. Tu brilles, tu illumines, tu guides et tu veilles. Tu as l’impression de ne servir à rien, d’être inutile, mais l’étoile non plus ne sait pas qu’elle fait tout ça pour les gens qui la regarde. Tu te rend pas compte de ce que tu es parce que tu peux pas te voir toi meme. T’es l’être le plus merveilleux de cette planète, parce que tu sais quoi faire quand il y a trop de chose à porter sur les épaules, qu’y a trop de silence, trop de non dit. tu sais me réveiller, m’épauler, m’aider à garder les pieds sur terre mais aussi à m’évader quand j’en ai besoin. Tu sais me donner un coup de pied au fesses quand il le faut, mais aussi me rassurer quand les choses vont mal. » tu tapes une nouvelle fois sur la table, attirant le regard de la serveuse et un froncement de sourcil du routier basique qui été venue prendre une dose inexplicable de café avant de reprendre la route. mais Zora a pas fini, quand elle dit ce que son coeur et son corps lui ordonne de dire, elle n’a pas fini en troisi secondes. « Tu apportes le bonheur à toi tout seul, être de lumière, brillant et fantastique que tu es. Ton âme est un ciel étoile, chaque partit de toi brille et aide les autres à se sentir meilleurs. et quand tu t’en rendras compte tu te diras que c’est débile de t’interdire de vivre de belle chose. tu te dira que t’as été débile tout ce temps là, parce que toi aussi tu mérites l’amour, la patience et le bonheur d’une relation saine et heureuse. et tu verras que les autres sont capable de t’aimer à la même intensité que tu les aimes. » tu marques une pause, par manque d’air, mais aussi parce que tes yeux pleurer tout seule, comme émue par ton propre discours d’amour. « comme moi je t’aime. »
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