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dégages d'mon lit (arieban)

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Trop chiant, trop lourd ou peut-être, tout simplement, trop insupportable, son ancien colocataire avait foutu Esteban hors de la chambre. Il l'avait tout simplement viré pour prendre une chambre seul, le jeune Lindley l'avait dégoûté de la cohabitation avec un autre Mather. Ne pouvant rester dans cette chambre-là, il dû quémander une nouvelle chambre auprès de la présidence de sa confrérie. Par chance, il restait une place quelque part. La mixité des chambres ne vous pose aucun problème j'imagine mr lindley ? Evidemment que non, il était même ravi de se retrouver avec une femelle. C'était bien la première fois de sa vie qu'il allait cohabiter avec une fille, espérons juste qu'elle ne soit pas trop moche ou trop casse couille. Après avoir préparé ses deux sacs remplis de fringues en tout genre, il alla se renseigner sur le numéro de chambre qu'il allait, désormais, occuper. Il se tapa la discute avec la femme pendant une bonne demi heure avant de daigner monter à sa chambre. Nous étions lundi soir, dans ce laps de temps juste après les cours et avant le début de soirée. Le Mather grimpa les escaliers de sa confrérie et se pointa devant la porte de la chambre comprenant le bon numéro. Il mit les anses de ses deux sacs dans la même main et tapa de l'autre. En voyant que personne ne lui répondait, il attrapa la poignée et la tourna pour ouvrir la porte. « Salut j'suis le ... » commença-t-il avant de se stopper net. Esteban regarda Arielle de haut en bas avant d'exploser de rire. « C'est trop beau pour être vrai. La petite Richards dans ma chambre ! J'aurais pas pu espérer mieux ! » Ouais, c'était déjà sa chambre. Le Mather avait une facilité plutôt déconcertante à s'approprier les choses. Sans chercher à comprendre plus loin, il balança ses deux sacs par terre et se tourna vers elle, un sourire malicieux sur les lèvres. « Bah alors, tu m'fais pas un câlin, t'es pas contente d'me voir ? » s'amusa-t-il à dire, pour la provoquer un tant soit peu.

@Arielle Richards
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Habituée à ma solitude, j'avais fait de cette chambre mon refuge. Les chambres seules étaient rare. A croire que j'avais eu ce privilège de pouvoir m'adapter comme il fallait à la vie d'harvard. Prenant le temps de laisser derrière moi mon lourd passé pour pouvoir tout recommencer. Effacer une vie n'était pas facile, pour preuve, je me battais encore avec mes vieux démons. Mais ici, je me faisais une petite place chez les mather, confrérie que je ne regrettais pas d'avoir rejoint. J'étais bien et comme à mon habitude, j'étais assise à la fenêtre. Un joint à la main, je savourais cette tranquillité précieuse. Tout était très silencieux et j'adorai sa. La fumé s'échappait d'entre mes lèvres tandis que mon regard s'attardait sur le poison que j'avais entre les doigts. Cette merde était aussi utile qu'inutile. Alors que je m’apprêtais à reprendre une bouffé, quelqu'un frappa à la porte. Mon regard se reporta sur mon réveil. Vingt et une heure, qu'elle était l'abruti qui me dérangeait dans mon semblant de méditation. Je me levais surprise et complètement paniquer à l'idée qu'on me voit fumer. On avait beau être à la mather house, la drogue restait interdite. Mes mains se mirent à brasser l'air comme pour faire fuir l'odeur, totalement paniqué, la porte s'ouvrit. Mon regard se reporta sur la porte avant de me stopper net. Il releva son visage et là... mes mains se figèrent. « Salut j'suis le ... » avais-je trop fumer ? je me mis à regarder mon joint peu consumer. Il se mit à rire alors que je le regardais. J'étais complètement figé, ne comprenant absolument rien à la situation. « C'est trop beau pour être vrai. La petite Richards dans ma chambre ! J'aurais pas pu espérer mieux ! » dans sa chambre ? non. Mes mains se baissèrent et je m'avançai vers Esteban. Une vieille connaissance qui semblait tout droit sortit de mon passé. Une fois à sa hauteur, je relevai la tête. J'avais toujours été plus petite que lui. Très silencieuse, je ne disais rien. Comme confronter à ce que je voyais sous les yeux. « Bah alors, tu m'fais pas un câlin, t'es pas contente d'me voir ? » mes yeux se froncèrent et comme pour savoir que je ne rêvais pas. Mes mains se posèrent sur ses deux joues. Une caresse aurait pu suffire... mais non mes doigts étiraient la peau de ces joues comme pour lui soutirer une grimace. " Putain ! il m'a vendu de la merde l'autre ! " dis-je en parlant de la drogue que j'avais acheter un peu plus tôt. Persuadé d'être face à un complot, je me mis à dire " Franchement... j'aurai jamais pensé que tu serais ma première hallucination. T'es peut être le dernier souvenir heureux que j'ai eu mais comme même." dis-je en haussant les épaules. Persuadé que je perdais la boule. " j'avoue que s'était kiffant et que j'aurai pas été contre un deuxième round mais bon ! N'empêche " dis-je en m'approchant encore plus de Esteban. " T'es aussi beau que dans mes souvenirs ! la barbe des 3 jours te va bien " dis-je en rigolant et en lui claquant les joues avant de reprendre le joint entre mes mains. " pourquoi je pense à toi hein ? " dis-je en le contemplant. BRAVO ARIELLE, BRAVO !

@Esteban Lindley
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Les deux sacs à dos foutus en vrac sur le côté du lit, Esteban se tourna vers Arielle pour la taquiner un peu. Il était vraiment surpris de la croiser ici mais c'était plutôt bon de la revoir, surtout après toutes ces années. Il ignorait qu'elle était à Harvard et qui plus est, dans sa propre confrérie. C'était bien la preuve qu'il ne s'investissait pas trop dans la vie de sa maison. Il était bien content d'aller aux beuveries organisées mais dès qu'il s'agissait de donner un peu de sa personne, il faisait preuve d'un peu de mauvaise foi. Bref. Il se retrouvait dans la chambre d'Arielle et s'était tout ce qu'il voyait pour l'instant. La délicate odeur de shit vint rapidement chatouiller ses narines lorsqu'elle s'approcha de lui. Son regard vacilla entre le joint et le regard clair de la belle blonde, rapidement il comprit son état lamentable. Esteban ne pu s'empêcher de rigoler légèrement. « Attends, t'as pris une latte et t'es déjà dans cet état-là ? Fais partager ton truc là ! » Il attrapa le joint qu'elle tenait entre ses longs doigts fin et vint l'apporter à sa bouche pour aspirer longuement dedans. Il ferma les yeux et garda la fumée dans ses poumons avant de la recracher légèrement. Le Mather lui rendit son joint et croisa les doigts contre son torse en cogitant un peu sur ce qu'elle venait de dire. Il ne pouvait absolument pas laisser filer une telle occasion, c'était trop beau. Beaucoup trop beau pour être vrai. Arielle le prenait pour une hallucination, il allait donc jouer les esprits quelque temps. « Tu penses à moi parce que la nuit qu'on a passé ensemble était torride .. à tel point que tu cherches cette chaleur dans les bras d'autres mecs mais .. nan, toi et moi on sait que tu ne la retrouveras pas. » Il s'approcha d'elle, juste pour voir les limites de son hallucination. Sans chercher à comprendre plus loin, il enleva son pull pour se retrouver torse nu. Il attrapa les mains d'Arielle et vint les poser sur son torse qu'il caressa doucement. « Tu sens cette chaleur Richards, elle est dans ta tête, elle ne t'a jamais quitté. » Bordel, il avait envie d'exploser de rire mais gardait quand même, un semblant de sérieux. « Déshabilles-toi, mettons-nous à poil et faisons l'amour comme des bêtes, laisses-toi aller, tout ça est dans ta tête. » murmura-t-il sensuellement. C'était amusant, vraiment très divertissant.
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Mes pensées me jouaient des tours. Tandis que la fumé s'échappait d'entre mes doigts. Je le regardais, contemplent un souvenir lointain. J'approchai une dernière fois le joint à mes lèvres pour en tirer une nouvelle latte. Ce poison enivrait mes narines.
Impossible d'arrêter, les effets étaient bien trop fort. J'adorai sa, j'aimais être défoncé. « Attends, t'as pris une latte et t'es déjà dans cet état-là ? Fais partager ton truc là ! » Avant même d'avoir le réflexe nécessaire, il s'empara du joint que j'avais dans ma main. Je lâchais un soupire et lui fis : " Et oh prends pas tout Lindley ! " dis-je en boudant presque. Mon regard s'était noircis pour finalement me mettre à sourire. Je croisais les bras en le regardant et en scrutant le moindre de ces gestes. Il semblait tellement réel, s'était hallucinant. Il apporta le joint machinalement entre ces doigts. Je le regardais détaillant le moindre de ces gestes, l'interdit le rendait irrésistible. Je me pinçais les lèvres alors qu'il me rendit mon joint, l'amenant encore à mes lèvres. Je gonflais mes joue de cette fumé toxique. « Tu penses à moi parce que la nuit qu'on a passé ensemble était torride .. à tel point que tu cherches cette chaleur dans les bras d'autres mecs mais .. nan, toi et moi on sait que tu ne la retrouveras pas. » il n'avait pas tord. Cette nuit avait été parfaite, un adieu qui avait été au dessus de mes attentes mais c'était bien la première fois que j'y repensais. Je restais silencieuse attarder par la main qu'il portait à son torse. Son visage se retrouva non loin du mien et son pull vola par terre. A moitié nu devant moi, il attrapa ma main et la déposa délicatement sur son torse. Mes doigts suivaient le chemin de ces abdos allant de ses pectoraux à "v" qu'il cachait. Estaban était encore plus beau que dans mes souvenirs. Mes souvenirs étaient brouillés comme par une semblant de réalité. " Bordel... j'ai envi.." envie de baisé était le mot. Ce rapprochement titillait mes envies avant d'approcher mon visage du sien pour libérer le peu de fumé qu'il restait dans ma bouche. « Tu sens cette chaleur Richards, elle est dans ta tête, elle ne t'a jamais quitté. » mes sourcils se froncèrent. Jamais quitté ? voilà une nouvelle. « Déshabilles-toi, mettons-nous à poil et faisons l'amour comme des bêtes, laisses-toi aller, tout ça est dans ta tête. » une idée qui ne semblait pas si déplaisante que sa, mais couché avec une simple hallucination me dérangeait. Mes yeux restaient obnubilés par son torse. " J'ai pas le souvenir qu'il était aussi bien... sculpté à l'époque. " dis-je en effleurant le bas de son ventre. J'approchai encore un peu plus collant ma joue à la sienne. " Tu parais si réelle ! " Effleurant la réalité, je continuai à croire malgré tout à une hallucination. Je pris un bouffé du joint qui reposait dans le cendrier et approcha mon visage du sien. Mes lèvres s'entrouvraient et effleuraient celle d'Esteban. La fumé s'échappa pour passé de ma bouche à celle de l'étudiant. " baisé avec mon passé ? est-ce raisonnable ? je ne pense pas. " dis-je en chuchotant dans un semblant de lucidité.
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Arielle était pareille que lui, elle n'arrivait pas à se fondre dans la masse et à entrer dans un moule comme le voudrait notre société actuelle. Elle avait ce goût de la liberté, exactement comme lui. Dotée de ce grain de folie qui la suivait partout où elle allait, cette fille envoyait du lourd, du très lourd. La nuit qu'ils avaient passés ensemble restait un bon souvenir pour Esteban, il la voyait encore, à califourchon sur lui, à se tortiller pour intensifier le désir entre eux. Cette nuit-là fut torride. Et ce soir, Arielle avait l'impression de voir Esteban en rêve, en hallucination. C'était plutôt plaisant de se dire qu'elle pensait à lui et au gros gourdin qu'il avait dans le slibard. Il lui prit ses douces mains, pour les poser sur son torse diablement musclé. Il voulait voir jusqu'où la blondinette était prête à aller dans son délire. « Je sais .. écoute ton envie Arielle, ne la laisse pas filer, tu en meurs d'envie .. » murmura-t-il en caressant son propre torse. La blondinette semblait être obnubilé par lui et par l'image qu'elle avait devant les yeux. Une image pourtant bien réelle. « Disons que j'me suis mis au sport depuis, le résultat te plait ? » lui demanda-t-il calmement, comme s'ils étaient plus que tous les deux sur terre, dans cette bulle. « Peut-être que j'le suis Arielle, t'as pensé à ça ? » répondit-il dans un chuchotement. Elle prit une nouvelle taffe dans son joins et se colla à lui. Leurs lèvres se frôlèrent. Arielle laissa échapper un fin filet de fumée de sa bouche. Esteban ferma les yeux et vint inspirer délicatement cette douce fumée blanchâtre. Il prit une grande inspiration pour en inspirer le maximum et ouvrit les yeux tout en la recrachant par le nez. « J'suis réel tu sais, tout ce qu'il y a de plus réel, regarde .. » Il enroula ses mains dans son dos et vint glisser une de ses mains sous son jean, pour agripper l'une de ses fesses. Esteban lâcha un hmmm amusé. Il palpa sa fesse légèrement pour lui faire comprendre qu'il n'était pas une hallucination.
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Il n'était pas difficile de se laisser guider par ces envies. Habitué à suivre mes envies, j'avais toujours répondu au moindre de mes désirs. L'amour, l'argent, la drogue, le sexe, la fourberie, la paresse. J'avais toujours su m'écouter au détriment des autres. Déterminé à rester dans mon monde imaginaire, je me posais aucune question sur la possible réalité de ce moment. Esteban était un lointain souvenir. « Je sais .. écoute ton envie Arielle, ne la laisse pas filer, tu en meurs d'envie .. » bien sur que j'en mourrais d'envie. Difficile de dire non à quelque chose que vous aviez apprécier. Esteban faisait partie de ce que j'appréciais et aimais de mon passé. Le poison entre mes lèvres, je flirtais avec le mal sans aucune gêne. « Disons que j'me suis mis au sport depuis, le résultat te plait ? » au sport ? je fronçais bizarrement les sourcils comme perturber par cette réponse si réaliste. Le Esteban que je connaissais, ne faisait pas de sport ou n'en faisait que très peu. Ma lucidité semblait vouloir reprendre le contrôle et il était temps. La drogue se mélangeait à mon sang mais quelques choses me disait que tout ceci n'était pas normal. « Peut-être que j'le suis Arielle, t'as pensé à ça ? » sa voix douce raisonnait encore dans mes oreilles. Ses lèvres frôlaient mes oreilles et ma bouche s'entrouvrit. Confuse, je me laissais entraîner, perdant complètement le contrôle. « J'suis réel tu sais, tout ce qu'il y a de plus réel, regarde .. » ses mains emprisonnaient les miennes tandis que son autre main se glissa sous mon pantalon. Un frisson parcourut mon corps et mon regard fixa ces lèvres. Il agrippa une de mes fesses fermement me rapprochant un peu plus de lui. Il faisait atrocement chaud, mes joues se mirent à rougir et mon silence lui montrait mes doutes. J'approchai mon visage sur sien et lui dis : " Sa veut dire que si jte fou un coup dans les couilles t'aura mal ? " dis-je en souriant diaboliquement. J'avais le choix entre lui broyer les couilles ou profiter tout simplement du moment qu'il m'était donné. Rêve ou pas rêve. Mes envies semblaient s'être multiplier. Je collais un peu plus ma poitrine à son torse et lui fis droit dans les yeux tendis que nos lèvres se frôlaient. " Alors je dois t'appeler comment ? colocataire ? je suppose ? " dis-je en essayant de me défaire de son emprise. Une de mes mains y arriva avant de s'introduire dans son pantalon pour lui attraper son entrejambe. " t'es pas le seul à pouvoir toucher ce que tu veux Esteban Lindley "
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Les deux anciens amis jouaient à un jeu dangereux là mais en même temps, en les connaissant, cela ne pouvait pas en être autrement. Esteban s'amusait avec l'hallucination qu'il incarnait. Ils échangèrent la fumée weedée avec sensualité et intensité. Esteban se plongeait dans cette ambiance sans demander son reste. Il aimait ça, il savait surtout à quoi s'en tenir avec la petite Richards. Pour l'avoir possédé une nuit, il savait de quoi elle était capable et n'avait pas oublié la nuit torride qu'ils avaient passés ensemble. Ce fut chaud et inoubliable. Ouais, même pour lui. Sa main se glissa malicieusement sous son jean et il vint lui attraper une fesse pour la palper. « Bien sûr que j'aurais mal, tu vas même m'coucher sur le sol si tu fais ça .. mais pas sure que ça soit ce dont tu ais réellement envie en ce moment même. » Ses doigts caressaient sa fesse tandis que son autre main vint rejoindre sa jumelle. Forcément, cette situation ne laissait pas le Mather indifférent. Il sentait le désir monter en lui, c'était presque inévitable. La blondinette se colla toujours un peu plus à lui, attisant le feu qui semblait prendre entre eux. « Colocataire c'est parfait. » Quoi d'autre ? Colocataire c'était bien et nettement plus approprié que n'importe quel surnom. Puis contre attente, Arielle vint glisser sa main sous son pantalon pour l'attraper. Il lâcha un faible rire, ne s'y attendant pas vraiment. « Fais toi plaisir alors .. » Peut-être qu'elle voulait jouer, peut-être qu'elle s'amusait de lui. Au diable les questions, Esteban n'était pas du genre à s'en poser. Sans attendre plus longtemps, il vint enfouir son visage dans son cou pour l'embrasser sensuellement. Bah ouais, fallait pas le chercher.
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Trop réfléchir ne me ressemblait pas. « Bien sûr que j'aurais mal, tu vas même m'coucher sur le sol si tu fais ça .. mais pas sure que ça soit ce dont tu ais réellement envie en ce moment même. » un fin sourire se dessina sur mes lèvres. Il avait raison, j'avais tout sauf envie de lui faire du mal. Aussi réelle qu'irréelle, je me laissais embarquer dans ces vieux fantasmes. Esteban était bien plus beau qu'à l'époque et plus personne n'avait d'emprise sur moi. J'avais décidé de rentrer dans le jeux. Ses mains vagabondes caressaient mes fesses. « Colocataire c'est parfait. » j'avais bien du mal à y croire. Quelle pouvait être les chances de partager ma chambre avec une ancienne connaissance ? elle était moindre. Ne réalisant pas encore ce que cela signifiait, je me laissais embarquer par mes envies. Un main sur son entrejambe, j'affichais un petite sourire satisfait. Consciente que j'avais en mes mains le cerveau principal de ce cher Lindley. « Fais toi plaisir alors .. » je me mis à rire avant de subitement m'arrêter lorsque ces lèvres touchaient ma peau. Écartant de plus en plus ma nuque, mes yeux se fermèrent tandis que ma main commençait à faire des va et viens. Mes lèvres s'entrouvraient, laissant échapper un soupire. Difficile de garder toute raison. Voilà l'effet premier que m'avait procuré Esteban. Aussi surprenant qu’inattendu. Sa peau était chaude et son sexe lui durcissait au fur et à mesure. " quelle note tu me donnes pour ton accueil ? " tu m'étonnes. Tandis qu'il continuait à m'embrasser, je me mis à avancer pour le plaquer légèrement contre le mur. " un petit dix sur dix ? " dis-je redressant ma nuque. Mes lèvres frôlaient sa joue, puis ses lèvres, puis son cou, pour finalement descendre un peu plus bas. Accroupi face à lui, mes mains pouvaient sentir le sexe dur d'Esteban. " hum... je garde ce lit là. " dis-je en pointant du doigt le lit derrière moi. Mon autre main desserrait sa ceinture. Finalement s'était pas plus mal comme sensation, j'avais l'impression de tout pouvoir demander. " Et pas de copine dans mon lit, c'est la règle. " dis-je en l'embrassant à la frontière de son caleçon.
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Ses lèvres plongées dans son cou, Esteban profitait des retrouvailles et reprenait les droits qu'il avait eu sur elle. Il l'embrassait langoureusement tandis que la petite Arielle s'amusait avec son érection, elle jouait avec sans la moindre retenue. Elle poussa en arrière pour le caler contre le mur le plus proche. « Nan pour l'instant j'te donne un huit, ça se mérite un dix princesse. » répondit-il, amusé par la situation. L'ambiance devenait de plus en plus chaude, ils avaient du mal à résister au désir qui planait entre eux. Arielle s'amusait de lui, elle jouait avec son corps et ce n'était pas vraiment pour lui déplaire. Le Mather se prêta au jeu et de ne bougea pas lorsqu'elle parcouru son torse de ses lèvres. Il la regarda s'abaisser, il n'allait certainement pas manquer ça. Elle parla du lit mais il ne capta pas vraiment où elle voulait en venir. « Ouais ouais. » Elle le manipulait et lui, il ne grillait rien du tout, obnubilé par ce qu'elle s'apprêtait à faire. Ce ne fut qu'à la deuxième règle qu'il capta un truc. Sans chercher à comprendre plus loin, Esteban lui agrippa le bras et l'obligea à se relever pour lui faire face. « T'essaies de me soudoyer c'est ça ? Aucune fille et aucun mec n'entrera ici. Le seul sexe qu'il y aura, ça sera entre toi et moi, rien d'autre. » grogna-t-il, en plissant les yeux. Il regarda quelques secondes mais cette conne l'avait excité. Sans attendre plus longtemps, il glissa sa main dans sa nuque et vint capturer sauvagement ses lèvres. Elle l'avait cherché, elle assumait maintenant.
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