Leonaldi ❥ I wanna blow everything right now !

Tu avais envie de mourir clairement ! Depuis le 31 mars, ta vie s'était transformée en un bordel sans nom, à un gouffre sans fond... Tu étais presque mort au final ! Tu avais perdu ton garde du corps, celui que tu considérais à la fois comme un ami et un père... L'homme qui t'avait presque élevé puisque tes parents n'avaient guère le temps pour toi... Il avait eu un accident de voiture avec à ses côtés, ta fiancée. En effet, Nova avait failli mourir dans cet accident aussi. Tu avais vécu ton pire cauchemar et c'était vraiment horrible même si dans ton cauchemar, ta fiancée perdait la vie. Là c'était tout comme puisqu'à son réveil, la jeune femme ne savait même plus qui tu étais. Elle ne reconnaissait plus personne... Qu'allais-tu pouvoir faire putain ? Tu avais envie de te flinguer ! En plus, il y avait tes soucis antérieurs à l'accident... En effet, il fallait encore que tu puisses te rabibocher ou non avec Echo. Celle-ci avait été chassée de ta vie par Nova et maintenant, tu ne savais même plus comment te positionner par rapport à tout ça. Tu tenais beaucoup à la Mather mais au final, tu ne pouvais plus mettre un nom à tes sentiments. Tu étais beaucoup trop mal à l'heure actuelle pour pouvoir réfléchir correctement à cette question. Ce soir, tu ne comptais pas rester au chevet de ta fiancée parce que ça te faisait beaucoup trop mal de la voir surtout que tu avais toujours du mal à te remettre de l'idée qu'elle soit enceinte... de son Nathan... C'était le coup de poignard que tu attendais pour être définitivement hors contrôle. Tes employés présents s'inclinaient devant toi avant que tu les ordonnes de te laisser seul. Tu te mis à regarder ta vitrine aux trophées avant de hurler complètement tout en foutant un gros coup de poing dans la glace. « POURQUOIIIII?! » pleurais-tu alors que tu continuais de frapper malgré le sang qui perlait sur ton poing. Tu ne te rendais même pas compte qu'Echo venait de se précipiter vers toi.

Arthur... je suis sur le chemin pour le rejoindre à la villa. Il ne le sait pas, et c'est peut-être mieux ainsi. Il n'a pas répondu à mon sms, et je comprends totalement qu'il avait besoin d'être seul la veille. Mais aujourd'hui, j'ai besoin de savoir s'il va bien. Cette étrange sensation me tord le ventre, car je suis certaine qu'il est au plus mal maintenant. Georges est décédé, Nova est dans le coma. Et même si je n'aime pas cette petite garce, je ne lui souhaite aucun malheur et arrive à ressentir une pointe de tristesse dans cette histoire. Parce qu'Arthur est malheureux aussi. Le film se repasse dans ma tête, les souvenirs jouent les scènes, et plus ça avance, plus je me dis que je n'aurais jamais du m'accrocher au jeune homme. L'annonce de ses fiançailles m'a terriblement blessée, parce que je ne m'attendais pas à ça. Et je refuse d'être la femme de l'ombre, celle que l'on embrasse pas dans la rue de peur de croiser des paparazzi qui vont tout balancer au monde entier. Alors que je rentrer dans la cours de la villa, je reste dans une sorte d'ambivalence qui m'empêche d'être totalement heureuse de le retrouver. Je salue les gardes à l'entrée alors qu'ils m'expliquent que le jeune prince à expressément congédié son personnel. Les sourcils se froncent, et rapidement, je marche en direction de la maison. Quand je pose ma main sur la poignée de la porte, j'entends la casse à l'intérieure. Sans plus attendre, je me précipite dans le salon alors que le spectacle que je redoutais était en train de se dérouler. Je m'arrête à quelques mètres de lui alors qu'il frappe de nouveau dans la vitre. « Arthur ! » Il n'entend rien, trop dans sa colère, sa tristesse et son désarroi. Je fonce dans son dos, le prends dans mes bras, coinçant les siens pour qu'il ne donne par un nouveau coup. Le calmer, mais la force me manque. Je finis par me mettre devant lui, entre la vitrine et ses poings pour maintenir ses mains en sang. Ne rien dire, parce que ça n'en vaut pas la peine, parce qu'il n'a pas besoin de mots pour le moment. Je me contente de le regarder, caresser son visage avec mes yeux. Je ne devrais pas être là, mais je suis bien trop attachée à lui pour ne pas essayer de lui venir en aide.

Quelle terrible situation dans laquelle tu te trouvais ! Tu venais de perdre l'une des rares personnes à laquelle tu pouvais te confier sans problème, malgré votre différence de statut... Mais tout le monde savait que tu étais très proche de ton garde du corps, et le perdre de cette façon alors qu'il avait encore de belles années devant lui, c'était horrible ! Tu ne pouvais pas l'accepter... Pour ta fiancée, c'était encore pire parce qu'elle avait lutté contre la mort mais maintenant elle luttait avec son amnésie post-traumatique... Dans l'accident, elle avait reçu un coup très violent sur la tête ce qui avait aussitôt causé un grave traumatisme crânien et maintenant, elle ne se souvenait plus de toi, ni de toutes les personnes qui étaient présentes lors de son réveil. Tu étais dégoûté de tout, sachant que ta fiancée était enceinte et elle s'était bien gardée de te le dire... Tu étais triste, tu voulais tout casser afin d'évacuer toute la pression que tu avais subi ces derniers jours alors que tu avais squatté l'hôpital jour et nuit depuis samedi, le jour de l'accident... Tu n'entendais même pas la voix de la personne qui venait de crier ton prénom et tu ne pouvais pas non plus te calmer, alors qu'une personne que tu reconnaissais facilement te prenait dans ses bras, alors que tu étais de dos... « Laissez-moi ! Je veux être seul » disais-tu alors que tu t'apprêtais à balancer un nouveau coup de poing mais Echo t'en empêcha. Elle s'était carrément mise face à toi maintenant. « Que fais-tu là, Echo ? Tu n'es pas avec ton amant... ? Tu es libre non ? Tu n'as plus à te préoccuper de moi... » dis-tu d'une voix rageuse avant de te détacher d'elle.

Sa violence m'impressionne. Ça me fait du mal de le voir comme ça. Son visage plein de larmes, le regard noir de colère. Je peux essayer de comprendre sa douleur, le décès de Georges doit représenter pour lui la perte de l'image paternelle. J'ai cru comprendre qu'ils avaient une relation extrêmement forte. Je n'aurais peut-être pas du venir. Parce que je ne suis rien pour lui, parce qu'il n'a pas l'air de vouloir de moi aujourd'hui. Je ne suis vraiment que l'escort pour toi Arthur ? Une fille avec qui tu as couché, mais avec laquelle tu ne veux rien partager ? Et ses paroles me glacent le sang malgré moi. J'ai voulu le faire réagir avec ce putain de sms, et voilà qu'il se retourne contre moi. Tu me manques tellement Arthur, et cette histoire avec Nova m'a brisé le cœur même si tu ne peux pas le comprendre. Je ne suis pas parfaite, mais je ne brise pas les couples putain, et encore moins un couple qui doit se marier pour la royauté. « Je suis beaucoup moins libre que je le croyais... » Murmurais-je avant qu'il ne nous sépare. Je lâche ses mains, mais reste entre lui et la vitrine. « Je m'inquiète pour toi Arthur, vraiment. Et tu sais très bien que cette histoire d'amant était fausse. » Je suis trop à fond sur toi, je tiens trop à toi. Mais ça, je ne peux pas te l'avouer, encore moins depuis toute cette histoire de fiançailles. J'attrape ses mains de nouveau, avec plus de délicatesse. Pas pour l'empêcher de frapper, juste pour les observer. Le verre l'a coupé en plusieurs plaies différentes. Je prends le bas de mon t shirt pour essuyer ses mains. « Viens, je vais te faire des bandages... » Et je le tire un peu vers moi, lui laissant encore le choix de me foutre dehors...

Tu ne contrôlais plus rien du tout ! Tu étais animé par une colère immense, une frustration qui dépassait l'entendement humain. Pourquoi cela t'arrivait-il ? Pourquoi un prince de ton rang, de ton prestige devait-il subir tout cela ? Tu devais être au-dessus de tout mais au final, tu te retrouvais relégué à un rôle de pacotille et ça t'énervait au plus haut point... Tu brisais donc la vitrine qui protégeait tes prix durement gagnés lors de tes compétitions d'escrime alors que la vitre était réputée pour être difficilement cassable mais comme tu enchaînais une rafale de coups de poing dessus, elle s'était immédiatement fissurée avant de voler en éclat ! Cependant tu avais été dans l'obligation de te calmer parce qu'Echo s'était mise face à toi et tu ne pourrais jamais la frapper... Même si elle faisait partie de toute cette frustration mêlée de colère qui t'animait depuis des heures. « Tu ne devrais pas... Tu devrais me laisser mourir ! C'est bien tout ce que je mérite actuellement. J'échangerais ma place avec Georges si j'avais pu » dis-tu d'une voix haineuse envers toi-même... Echo était témoin de l'un de tes rares moments où tu craquais littéralement. Tu refusais de flancher mais ton corps ne te répondait plus, au contraire il était en train de convulser petit à petit... « Laisses-moi ! Je ne veux pas de ta pitié ! Je ne veux pas tes bandages... Je veux juste qu'on me rende ma vie ». Tu finissais par craquer littéralement en te retrouvant à genoux, et tu pleurais à chaudes larmes... Tu avais bien trop longtemps contenu ce que tu ressentais là ! Depuis le jour de l'accident, tu gardais pour toi, tes larmes mais maintenant c'était impossible... Dans un réflexe psycho-traumatique, tu l'attirais à toi comme si ce simple geste pourrait t'aider à te calmer... « Embrasses-moi... Frappes-moi » lui ordonnas-tu d'une voix brisée, n'ayant plus trop le choix. Tu avais réellement perdu le contrôle... Tu n'étais plus que l'ombre de toi-même.

Je connais chez lui une sorte de violence, de douce violence dans l'amour lorsque nous couchions ensemble. Mais là, je reste choquée de ses gestes et de ses paroles. Un brin dépressif, trop hanté par la disparition de Georges et sûrement aussi par l'amnésie de Nova. Rien que de penser à elle, et mon ventre se tord. J'ai mal, et j'ai bien compris que je ne serais toujours que la deuxième dans sa vie. Mais aujourd'hui, on ne parle pas de Nova, on parle de lui et de sa souffrance. Il me renvoie dans la gueule qu'il aurait préféré mourir plutôt que cela soit Georges, et je me prends une nouvelle claque. C'est dur d'entendre ça, mais j'essaye quand même de lui proposer de lui faire des bandages avant qu'il ne me repousse une autre fois. Ce n'est pas de la pitié, c'est une proposition de soutien, une main tendue vers lui qu'il ne prend pas et qui me blesse encore. Je pourrais tout envoyer valser, le laisser en plan, tout seul dans son salon et me barrer d'ici rapidement. Mais je ne peux pas, trop attachée à ce petit blond, triste de ressentir sa douleur à cause d'une empathie que je ne me connaissais pas vraiment. Je reste silencieuse, parce que les mots ne servent à rien aujourd'hui. Ses jambes flanchent alors que son corps tremble. Il tombe à genoux devant moi et je me mets rapidement à sa hauteur. S'effondrer, c'est le mot. Les larmes coulent alors que je sens monter en moi cette vague de désarroi. Que faire ? Il m'attire vivement à lui, sans que je n'ai le temps de comprendre. Son ambivalence s'exprime, et mon choix est vite fait, au risque de m'en prendre une parce que je n'arrive pas à imaginer ses réactions. J'emprisonne ses lèvres doucement, les doigts s'agrippant dans son dos pour essayer d'être contenante. Et j'ai rapidement l'impression de me servir de son désespoir, d'en profiter, alors je brise notre baiser, le serrant fermement dans mes bras, la tête contre son cou. Mon corps se colle instinctivement au sien, se balance un peu d'avant en arrière, comme un léger bercement de réconfort. Chuchoter. « Arthur... viens avec moi dans la salle de bain. Je vais m'occuper de toi, te couler un bain, ce que tu veux. » Mes doigts massent ses cheveux, en le gardant bien contre moi. Il faut qu'il se calme, tout doucement.

Nul ne te connaissait dans une telle rage ! Tout était accumulé et tu étais en train de littéralement péter un plomb ! Et ce n'était pas la présence d'Echo qui pourrait te calmer... Du moins c'était ce que tu pensais. Non personne ne pouvait comprendre ce que tu ressentais à l'heure actuelle, tu avais perdu l'un de tes êtres les plus chers... Pourquoi avais-tu donné cet ordre de récupérer Nova, bon sang ! Plus rien ne serait comme avant... Tu voulais mourir à la place de Georges parce qu'il méritait beaucoup plus de vivre que toi. Tu n'étais qu'un petit Prince égoïste qui se fichait pas mal de ce que pensaient les autres... Bon sang ! Tu étais en train de craquer, tu ne te contrôlais plus et surtout tes pulsions meurtrières se dévoilaient plus que jamais... Tu ne pouvais même pas crier, tu étais bien trop mal pour ça. Tu ne voulais pas croire que la fille qui était auprès de toi, celle qui t'emprisonnait les lèvres puisse être honnête. Elle t'avait trompé c'est sûr ! C'était une escorte non ?! Alors pourquoi n'aurait-elle pas repris ses activités de « putain »... Tu étais complètement confus, tu ne pouvais même pas réagir normalement. « Je veux pas... Je ne sais même plus ce que je veux ! Et pourquoi tu es là ? Pourquoi tu m'embrasses... » demandas-tu sans la regarder, tes larmes ne cessaient guère de couler sur ton visage brisé. Tu n'étais plus que l'ombre de toi-même.

Il attire, il repousse. Je sais qu'il n'est vraiment pas bien, mais il me fait tourner en bourrique. Je déglutis, cherche une solution pour qu'il se calme mais rien ne me viens à l'esprit. Et pourtant, je ne peux pas le laisser seul. Alors tant pis s'il me balance des choses que je ne veux pas entendre, s'il est méchant avec moi, s'il me renvoie chier et même s'il m'insulte, je resterai plantée dans cette putain de maison. Nous nous embrassons, mais je sens bien qu'il n'est pas vraiment là, pas vraiment consentant, alors je brise tout. Le garder dans mes bras, le soutenir comme je peux malgré la surprise de ses réactions à chaque fois. Il lance des phrases, contradictions, il ne sait plus, il ne sait pas. Et moi je reste là, à le serrer contre moi, un peu perplexe, un peu perdue dans ce que je dois faire. Je vais essayer de me battre, encore et encore, contre son état d'âme. « Je suis là parce que... » Parce que je t'aime trop pour te laisser tout seul après ce choc, parce que je suis trop attachée à toi, parce que j'ai besoin d'être près de toi malgré ce que tu m'as fait. « Parce que je ne peux pas te laisser seul, c'est tout. Et je ne t'embrasserai plus, je te le promets. » Diplomate malgré moi. Je recule un peu, prends son visage dans mes mains couvertes de son sang. « Ce n'est pas de ta faute Arthur, c'était un accident tu comprends ! Rentre toi ça dans le crâne. » Je tape son front avec le mien, comme pour lui faire imprimer cette idée dans sa boite crânienne. « Calme toi maintenant ! » Si la manière calme ne fonctionne pas, autant essayer une manière un peu plus forte. J'aurais voulu avoir la force de le soulever et le porter sur mon épaule jusqu'à la salle de bain. Avoir cette autorité naturelle qui l'aurait forcée à se calmer peut-être plus facilement. Alors j'essaye avec ce que j'ai, essayer de le sortir de ce cercle vicieux.

Tu étais perdu, ta dépression était en train d'avoir raison de toi ! Tu allais craquer, tu allais finir par te tuer si ça continuait mais tu n'avais pas le droit de flancher... Tu devais t'occuper de Nova maintenant, l'aider de ton mieux pour qu'elle retrouve finalement la mémoire... Non pour le moment, tu étais en train d'essayer de repousser Echo ! Tu ne voulais pas qu'elle t'embrasse... Ou peut-être que si ! Tu ne savais plus du tout ce que tu voulais mais une chose était sûre, tu étais pire que perdu. « Tu devrais me laisser seul comme tout le monde... Je suis le grand méchant de toutes ces histoires. Je ne mérite que la pendaison. Je ferais un mauvais souverain... » disais-tu avec détresse, n'écoutant presque pas ce que la jeune femme disait. « Ce n'était pas un accident... J'ai envoyé Georges au casse-pipe ! Je n'aurais jamais dû insister pour qu'il aille récupérer Nova. Il ne se serait rien passer si j'avais accepté de la laisser faire ce qu'elle voulait ! ». Tant de regrets en toi, c'était insoutenable... Tu allais craquer, ta vie était presque entièrement brisée. Elle s'était mise à parler plus fort pour te calmer. Tu déglutis légèrement avant de dire : « Accompagnes-moi dans le jacuzzi... Je veux que tu restes auprès de moi... Je ne veux pas que tu partes aussi. »

Le laisser seul dans cet état ? Il en est hors de question ! Jamais je ne pourrais l'abandonner comme ça. Pour le retrouver mort le lendemain ? J'ai bien l'intention de passer le reste de la journée avec lui, à le surveiller comme un gamin s'il le faut ! Il n'écoute rien, dans sa bulle de souffrance. Et il ne me laisse pas entrer. Il pense que tout est de sa faute, mais ce n'est pas parce qu'il a demandé à Georges d'aller chercher Nova que l'accident s'est produit. Mais ça, je n'arriverai pas à lui faire avaler. Je finis par hausser le ton, autant que je le peux. Laisse moi entrer Arthur, on pourrait être deux dans ta bulle de tristesse, et je pourrais t'aider à la briser. Il ouvre la bouche, ne me repousse pas une nouvelle fois, me demande même de rester avec lui. Son ambivalence va me rendre folle aujourd'hui. Foncer tant qu'il y a une brèche. « Allez viens. » Calme, mais ferme. Hors de question que je le laisse par terre ici, et je sens que le bout de verre dans mon genou droit me fait souffrir. Je me redresse en l’entraînant avec moi. D'un mouvement de main rapide, je retire le débris de verre de ma jambe en grimaçant. Mon bras autour de sa taille, je l'emmène avec moi vers le jacuzzi. Je l'allume rapidement avant de me retourner vers le jeune homme couvert de sang. Je retire son haut, sans grande sexualité, essuie ses mains avec, puis retire son pantalon. Le laisser en caleçon me semble être une bonne initiative. Je me mets en sous-vêtements et le pousse pour qu'il entre dans le jacuzzi. Je m'installe derrière lui, les jambes autour de son corps. Mes mains s'occupent d'abord de ses épaules, essayent de le détendre avec un massage, avant de passer à son crâne.