s'il ne restait plus que toi (leslie)

T’etais en osmose totale après cet acte à la fois sensuel et bestial, et ces paroles avant ce baiser t’avaient plus que enchantés. T’etais heureux de savoir ce que ce ne sera pas l’unique fois ce soir, qu’il y en aura encore et encore. Souriant, tu répondais avec passion à ce baiser. Ce n’etait pas qu’un simple baiser, c’était bien plus que ça à tes yeux.. Je.. t’es géniale.. Et c’etait tout. T’étais pas capable de lui avouer tes sentiments, de lui dire que tu l’aimais réellement. C’était encore difficile à avouer bien que l’inceste était fait, la barrière physique franchie. Tu l’aimais, tu ne voulais pas qu’elle sorte de ta vie. J’ai encore envie... on mange et on remet ça ? Lui lançais-tu avec un regard empli de malice.

Te tenant face à ton frère après tout ce qu’il a provoqué en toi, tu ne peux t’empêcher de garder ton regard plongé dans le sien, un sourire au coin des lèvres. T’es particulièrement satisfaite de ce qu’il s’est passé et, évidemment, t’as pas envie d’en rester là. Au fond de toi, t’espères tout comme lui que vous pourrez reprendre cette activité, peu importe quand. Alors quand il te dit que t’es géniale, tu ris quelque peu en secouant légèrement la tête. « Et qu’est-ce que je devrais en dire alors ? » réponds-tu en lui volant un nouveau baiser. Lorsqu’il te propose finalement de manger quelque chose et de remettre le couvert, tu souris en te faufilant vers le frigo à quelques mètres à peine de là sans prendre la peine de te couvrir. « Qu’est-ce qui vous ferait plaisir, Monsieur Ballmer ? » que tu lances en regardant attentivement chaque rayon du frigo, te penchant légèrement en avant pour avoir une meilleure visibilité vers les aliments qui se trouvent plus bas.

Ton deuxième prénom devrait être pervers. Tu avais encore envie d'elle, une envie insatiable et tu lui proposais de manger avant de remettre le couvert entre vous deux. Elle se dirigea vers le réfrigérateur, se penchant pour regarder les aliments frais que vous possédiez. Tu t'approchas d'elle alors qu'elle te demandait ce que tu souhaitais manger, tes mains se posèrent sur ses hanches et... t'étais bien là. Cette position était la même que tout à l'heure, excepté que l'ilôt du bar ne soit pas présent. Toi. Murmurais-tu seulement, finissant par la retourner et l'embrasser fougueusement. Tu la soulevais pour la porter dans tes bras et l'amener jusqu'à la chambre, la première qui arriva sous ta main. T'avais plus faim, du moins pas de nourriture. Tu l'allongeais sur le lit, venant à califourchon sur elle et l'embrassant encore et encore, à n'en plus pouvoir.