Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWhen it hurts so much you can’t breathe, that’s how you survive. (lizy) - Page 2
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When it hurts so much you can’t breathe, that’s how you survive. (lizy)

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Personnellement, lorsque j'ai un patient aux urgences, contacter la famille est la première chose que je fais pour que mon patirnt ait un support moral. Alors je devine que Sloan est déjà contacté, mais je n'en suis pas sure. J'crois ouais... Liz se dépêche à formuler un plan, je l'écoute parler en hochant la tête. Une amnesie sélective... je devais penser à tout ça en conduisant, puis quand la voiture a dérapé, mon cerveau a décidé de me protéger pour mon propre bien en effacant les souvenirs traumatisant... je baisse la tête, puis prend une grande inspiration. À partir de maintenant... j'peux plus pleurer à cause de lui... j'suis libre, putain. J'suis libre. Le mal est fait... maintenant il ne me reste plus qu'à guérir mes blessures.
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« Une amnésie sélective... je devais penser à tout ça en conduisant, puis quand la voiture a dérapé, mon cerveau a décidé de me protéger pour mon propre bien en effaçant les souvenirs traumatisant... » J’hoche lentement la tête, c’est le meilleur plan avec lequel on peut travailler je crois. Enfin, celui qui sera le plus crédible aussi. Tu inspires un grand coup et moi j’avale difficilement ma salive. Je déteste devoir mentir comme ça. Je crains déjà l’expression sur le visage de Sloan. Il va vriller, c’est certain. On va lui briser le cœur… mais c’est pour le mieux, pas vrai? « À partir de maintenant... j'peux plus pleurer à cause de lui... » J’attrape ta main dans la mienne et la serre un peu plus fort que nécessaire. « T’es sûr? C’est le moment de changer d’idée. Après, y’a pas de retour en arrière possible. » Je sonde ton regard pour un signe d’hésitation, mais n’en trouve pas –juste de la détermination et de la tristesse. « Ok, let’s do this. » J’hoche la tête à plusieurs reprises et ignore mon cœur qui veut me sortir de la poitrine.
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Je ne peux plus pleurer, c'est fini. Il faut que j'enterre mes sentiments du mieux que je le peux, pour ne pas faire foirer notre plan quand Sloan arrivera. Liz me prend par la main et je prends une grande inspiration. J'suis pas prête. Lorsqu'elle me demande si je suis sure de mon choix, je sens mon cœur se resserrer. Je l'aime... plus que tout. J'imagine que c'est c'que j'dois faire, pour qu'il soit heureux... Je me tais, maintiens un long silence en communiquant avec elle par le regard. Elle fini par hocher la tête et me confirmer que le plan tien la route. Je lâche la main de Liz et m'allonge sur le lit, les yeux fermés. La pilule est difficile à avaler, ma tristesse m'écorche la gorge. D'une minute à l'autre, Sloan peut faire son apparition.
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Un accident. Encore un. Sloan était dans tous ses états suite au coup de fil de l'hôpital. Suzy avait heurté un arbre avec sa bagnole, quelques heures après avoir quitté l'appartement qu'il occupait. Fatalement, à chaud, il se sentait coupable. Dans la précipitation, il manqua de se casser la gueule dans les escaliers. Il dévala les marches trois par trois pour gagner sa voiture de luxe, garée juste devant chez lui. Sans même chercher à comprendre quoi que ce soit, il grimpa à l'intérieur et enfonça la clé dans le mécanisme, d'une main tremblante. L'ancien Eliot était mal, le stress l'avait gagné, il paniquait littéralement mais ne pouvait pas faillir, pas maintenant. Il enclencha le contact qui ne prit pas de suite. « Démarre saloperie. » grogna-t-il agressivement en retentant maladroitement de démarrer sa putain de voiture. Lorsque celle-ci daigna s'allumer, il démarra sur les chapeaux de roues et fit crisser les pneus. Plusieurs minutes suffirent à Sloan pour débouler, en trompe, à l'hôpital. Il s'approcha de l'accueil pour avoir la chambre dans laquelle la femme se trouvait et grimpa les escaliers pour la retrouver. Il y avait pas mal de mouvement dans le couloir, il bouscula un mec et ne prit pas la peine de s'excuser. Il courrait presque mais, lorsqu'il vit le numéro sur la porte, il s'arrêta net. Son coeur battait à la chamade. Sloan ignorait ce qu'il allait trouver à l'intérieur. Il pensait inévitablement au bébé .. et si Suzy avait fait une deuxième fausse couche ? La panique atteignait des sommets, il tremblait de tous ses membres et avait du mal à respirer. Non Sloan, n'ouvres pas cette porte, t'es pas prêt à affronter ce qu'il y a derrière. Pars. Fuis. Tant que tu le peux encore. Préserves toi du choc que tu t'apprêtes à affronter.

Dans un élan de courage incontrôlé, il entra sans même frapper. Son regard se posa directement sur Suzy et sa respiration se coupa. Son sang pulsait dans ses veines, le stress était à son comble, c'était oppressant. Sloan approcha de quelques pas mais garda une certaine distance en sentant l'atmosphère électrique de cette pièce dix fois trop petite pour lui. « Qu'est ce qu'il s'est passé ? » demanda-t-il, la voix presque coupée par le manque d'oxygène. Quelque chose clochait, quelque chose d'anormal et de posant. « Comment tu te sens ? T'es blessée ? » Mais Suzy ne semblait pas assez rapide à répondre pour lui. Il tourna brusquement sa tête vers la cousine. « Liz, elle est blessée ? » C'était quoi ces têtes d'enterrement ? L'ancien Eliot ne tenait pas en place, il voulait des réponses et vite. Ce suspense était insoutenable.
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« Je l'aime... plus que tout. J'imagine que c'est c'que j'dois faire, pour qu'il soit heureux... » Ok, alors on le fait. Même si j’vais regretter, même si ça me tue de devoir faire ça à Sloan. Putain, c’est comme mon frère, comment j’suis supposé lui mentir comme ça? Le regarder se briser sans rien pouvoir faire? J’sais pas. Mais avant que j’me pose plus de question, c’est lui qui débarque dans la chambre comme un putain d’ouragan en se jetant presque sur le lit où Su s’est installé, yeux clos pour je-ne-sais-quelle raison. « Qu'est-ce qu'il s'est passé ? » Je pince les lèvres, reculant instinctivement d’un pas comme pour leur laisser de l’espace. « Comment tu te sens ? T'es blessée ? » C’est le moment ou jamais d’ouvrir les yeux et de jouer les meufs qui comprennent pas Suzy… Allez, t’es pas supposé t’en souvenir, t’es supposé faire genre y’a un inconnu à ton chevet.  « Liz, elle est blessée ? » Je secoue lentement la tête. « Non.. enfin, oui… mais physiquement elle va… bien. Le bébé va bien. » Que je précise parce qu’il me semble que c’est sûrement la première chose qu’il veut savoir. J’avale de travers, refais un pas vers le grand brun. « Elle mmh… elle a eu un choc à la tête. » Je pince les lèvres, une boule dans la gorge, envie de dégueuler mon déjeuner. Suzy, help, j’vais pas y arriver….
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Allongée sur le lit, les yeux fermés, je me recentre quelques secondes. Mais il est déjà trop tard, Sloan entre en trombe dans la chambre, se jette près de moi sur le lit. Voilà les 30 questions auquel je m'attendais, j'en étais sure. J'ouvre les yeux, observe Sloan paniquer et Liz lui répondre, sans trop donner de détails. Elle lui parle d'un choc à la tête lorsqu'il lui demande si je suis blessée. J'observe la scène, puis commence à pratiquer mes talents d'actrice... Je ne suis pas une bonne menteuse, je n'en suis vraiment pas une. Je ne ferais pas de mal à une mouche et jamais je n'oserais mentir... mais là ? Je ne sais pas qu'est-ce qui m'a piqué pour avoir autant de courage, mais j'suis parvenue à copier la tête d'une fille complètement perdue. Liz me regarde, elle ne sait pas quoi ajouter, alors j'ouvre la bouche. Uuh... mh.... Dr. Underwood... ? Je balaye la pièce du regard, l'air paniquée, puis laisse promener mes yeux sur Sloan un instant, avant de regarder mon "médecin"... Je fronce les sourcils, puis retiens mon souffle avant de lâcher : Je... qui c'est ? Je, je sais pas... Je sais pas qui c'est. C'est qui ? Je me redresse sur le lit et rapproche mes jambes de mon torse, pour les serrer contre moi et me faire toute petite dans mon coin.
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