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but darling i am still in love with you (vyder)

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Posté devant la machine à café, j'attendais ma boisson. J'avais veillé pendant des heures près du lit de Violet sans savoir vraiment quand elle se réveillerait. Les infirmières m'avaient toutes répondues la même chose : ça prendrait un peu de temps. Alors en attendant je me prenais à boire, ça m'occupait, ça m'aidait à tenir le coup. Parce que je voulais pas penser à hier soir, à l'état dans lequel elle avait été : prête à s'effondrer dans mes bras. Pendant un instant j'avais cru la perdre et... je voulais plus. Il fallait plus que je la fasse souffrir, que quiconque le fasse. Lorsque j'étais assis à son chevet j'avais eu le temps de réfléchir. Est-ce que je devais quand même me battre pour elle en sachant que je lui faisais autant de mal ? Ou au contraire abandonner une bonne fois pour toute et la laisser tourner la page ? Mes sentiments avaient répondu à la place de ma raison : je l'aimais trop pour partir. Prenant mon café, je me dirigeais à nouveau vers sa chambre, ouvrant la porte avec une mine fatiguée et... elle était là, réveillée. Elle me regardait et mon cœur s'emballait. Automatiquement, comme si quelque chose m'attirait à elle, je fonçais à son chevet. « T'es enfin réveillée » que je lâchais, le soulagement était bien perceptible dans ma voix. « Fais plus jamais ça Vee ok ? Je te l'interdis. Tu peux pas juste te foutre en l'air et penser que ça atteindra personne. » Je la sermonnais à moitié tout en passant une main dans ses cheveux. Au fond j'étais pas en colère, juste inquiet.
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Quand il revient dans la chambre, mon soulagement n’est que de courte durée. Non, j’ai pas oublié notre discussion d’hier, elle m’est revenue comme une claque en plein visage. Oui, j’me souviens de tout et je me souviens surtout que t’es allé voir ailleurs Ryder. Que pendant mon tour à l’hôpital, t’étais dans le lit d’une autre et que tu lui as donné ce que tu supportais pas que je donne à d’autres. J’ai pas oublié et crois moi, si tout à l’heure j’étais pas dans mon état normal, maintenant j’ai les idées claires. Ryder passe sa main dans mes cheveux et je me rallonge dans ces draps rêches et inconfortables qui font de l’hôpital un superbe endroit pour se reposer. Ah non ? Oh tu connais ce ton, Ryder. Je suis pas sûre que tu l’apprécies. Je devrais probablement pas m’énerver et en fait, ramener le sujet sur le tapis ne ferait qu’empirer les choses. Pourtant c’est plus fort que moi. Je fixe le plafond un instant : je suis trop souvent à l’hôpital en ce moment... Aujourd’hui avec ces cachets et l’autre fois à cause de l’accident... Mon regard coule jusqu’à lui et je lâche, parfaitement calme : Mais tu pouvais pas savoir, c’est difficile de se concentrer quand on baise quelqu’un. Et putain, j’aimerais retourner le couteau dans la plaie, te dire que j’ai couché avec Ezra, que je me suis envoyée en l’air comme tu l’as fais sans état d’âme parce que tu préfères faire confiance à tes angoisses plutôt qu’à moi. J’ai envie de te rebalancer dans la gueule ton « une personne amoureuse n’agit pas comme ça » ou pire ton « t’as tout gâché ». Pour le coup, je regrette presque d’avoir stoppé Ez au simple baiser, mais je suis pas adepte du œil pour œil. Je sais que t’as dis que tu regrettais. Je sais que t’as dis que tu t’en foutais, de cette fille et Dieu sait que je devrais ne pas apprendre qui c’était. Mais les faits sont là : au lieu de tout faire pour me retrouver, même de me chercher, t’as préféré tremper ton biscuit ailleurs. Je détourne le regard pour me concentrer sur la porte de ma chambre. Quelqu’un d’autre sait que je suis là ? J’ai évidemment pas donné le numéro de mes parents à joindre en cas de problème. Et je voudrais tant te blesser en te demandant d’appeler Ezra ou Noah. Mais je t’aime trop pour enfoncer le clou, et je sais déjà qui contacter pour me sortir faire d’ici.
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Je voyais bien que t'allais mieux, que t'avais récupéré lorsque j'entendais le ton que t'employais. Je devinais aussi que ça allait chauffer pour moi, que t'avais pas oublié mes confessions de la veille. Tout comme j'avais pas oublié ce que tu m'avais dit, que tu te sentais pas importante et que tu m'aimais tellement. Et à chaque fois ça me fendait le cœur en deux. Parce que je revoyais la douleur dans tes yeux, je te revoyais faible, sur le point de t'écrouler, t'agrippant à moi. « Arrête Vee, je voulais pas ok ? Je pensais que je t'intéressais pas alors je suis parti voir ailleurs, j'ai su pour l'accident que le lendemain en me réveillant ». Je rigolais pas et pourtant ta jalousie m'amusait un peu. Au moins ça prouvait que tu tenais à moi, que tu me voulais encore, même si tu le cachais. Tendrement, je saisissais ta main avec la mienne. Il y avait un risque que tu me rejettes mais je voulais tenter quand même. Peut-être que tu me laisserais m'occuper de toi même après que j'ai dérapé. « T'as pas à être jalouse d'accord ? Je suis à toi, entièrement, je vais plus aller voir ailleurs, je vais plus baiser personne ». J'essayais de te rassurer, de me rattraper mais c'était dur. Parce que je t'avais fait trop de mal et que j'avais pas l'habitude, je savais pas comment agir. J'étais perdu en fait, comme un gosse qui découvre que le père noël n'existe pas. Bah moi j'avais découvert que parfois l'amour ne suffisait pas, qu'il fallait donner autre chose, faire des promesses et les tenir. « Non il n'y a que moi, tu veux que j'appelle quelqu'un ? Je peux te ramener chez toi si tu veux » Même si je doutais que tu veuilles remonter dans ma voiture. Je savais qu'il faudrait des semaines avant que tu me pardonnes. Et pourtant je tentais de détendre l'atmosphère, je m'énervais pas. Il y avait même un petit sourire qui naissait dans le coin de mes lèvres. « Tu sais t'as de quoi te vanter, peu de personnes peuvent dire qu'elles ont le cœur de Ryder Cortes ».
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J’ai envie de te faire mal autant que tu m’as fais mal, et c’est putain de puéril parce que je pourrais tout simplement faire table rase, on a tous les deux faits des choses qui se sont mit en travers de notre route. Et en réalité, j’aimerais pouvoir être aussi calme que quand j’étais en plein trip. Je me reconnais pas à m’accrocher à ce point alors que j’étais normalement volage. Je m’entends rétorquer un : qu’est ce qui va pas chez nous ? Eh ouais, trop, juste trop de bordel. Aller calme toi Vio. Calme toi, tu crois que ça en vaut la peine après tout ça ? Ryder se sent déjà assez mal, inutile d’en rajouter n’est ce pas ? Et puis si tu le rejetais, là, tout de suite, qui te dis qu’il n’irait pas s’empresser de retourner auprès de sa dernière conquête ? Mon coeur se serre à cette idée et je suis partagée entre l’envie de le garder près de moi et celle de l’envoyer balader. Puis finalement je baisse les bras ; on s’était suffisamment battus comme ça. Tu sais t'as de quoi te vanter, peu de personnes peuvent dire qu'elles ont le cœur de Ryder Cortes. Je ricane et immédiatement après, sans oser le regarder, je réplique avec ses propres mots qui m’avaient marquée au fer rouge : C’est pas le comportement d’un mec amoureux. Oh bordel, je l’avais sorti. Trop tard, c’était dit, et ça me soulageait d’une partie de ma colère. Je le regarde de nouveau parce que si le but était de le blesser, c’était pas pour autant que je voulais mettre un point final à nos histoires et je lui prends la main pour la serrer dans la mienne. Tu as le mien aussi. Mais... J’ai besoin de réfléchir. A toi, à nous. Je sais pas comment prendre toute cette histoire. J’suis paumée. J’aimerais te dire que ça n’a aucune importance mais je me connais, ça va me travailler. Je veux pas m’engager dans une histoire où je risque de me laisser empoisonner par l’idée que je te serais pas suffisante, ou que je te prives de ta liberté. Parce que je le pensais réellement. Si tu étais allé voir ailleurs après m’avoir fait des déclarations, c’était que j’étais pas suffisante pour toi, que je le serais jamais et que j’avais pas autant de place dans ta vie que ce que tu voulais me laisser penser. Je laisse un silence avant de reprendre, sans réussir à le regarder : tu peux partir, si tu veux. J’appellerais Poppy. Parce que c’était mon amie, ma sœur et qu’elle m’aide à me hisser au meilleur de moi-même. Peut être qu’elle réussirait à effacer les dernières traces de rancoeur pour enfin pouvoir nous laisser une chance.
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C'est pas le comportement d'un mec amoureux. Ok là elle m'avait touché en plein cœur. Elle aurait pu enfoncer son poing dans ma poitrine et serrer mon cœur dans sa main que ça aurait fait le même effet. Pourtant je disais rien, je continuais de la regarder, refusant de baisser la tête. Je soutiendrais son regard quoi qu'il arrive. Après tout j'étais pas un lâche, fallait que j'assume mes erreurs. Comme si elle sentait ma douleur, ma peine, elle serrait ma main dans la sienne. Mais ça me réconfortait pas. Parce que je savais que j'avais merdé, que j'avais mis notre relation en péril. Elle me disait d'ailleurs qu'elle avait besoin de réfléchir, qu'elle pouvait pas s'engager dans une histoire où elle était pas sûre d'être suffisante. Et mon cœur se serrait un peu plus dans ma poitrine. « Tu me prives pas de ma liberté, tu l'as jamais fait Vee. Je serais d'ailleurs mieux avec toi que tout seul mais... je comprends. T'as besoin de temps et je vais t'en donner. » que je répondais doucement en lâchant sa main. Il était temps pour moi de partir, elle me le faisait bien comprendre. Elle préférait avoir Poppy à ses côtés. Je lui en voulais pas, je lui avais fait trop de mal. « Je vais l'appeler mais je reste avec toi jusqu'à ce qu'elle arrive ok ? » Comme ça si jamais t'avais besoin d'un truc je serais là. Même si ma fierté en avait pris un coup, même si tu m'avais en quelque sorte rejeté pour le moment. Prenant mon téléphone, je composais son numéro puis la passais à Violet. « Je serais dans le couloir le temps que tu lui parles si t'as besoin ». J'esquissais un faible sourire avant de me lever et de partir vers la porte, loin d'elle, loin de cette chambre qui puait le désinfectant. « Ah et Violet, ma promesse tient toujours, je verrais personne jusqu'à ce que tu me donnes ta réponse » que je lâchais, un sourire en coin pour cacher ma douleur, avant de sortir de la salle.
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