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C'est le 8 aout 1989 à Rome, que les membres de la famille Hamilton m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Savannah. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine. OU je travaille en tant que métier depuis nombre d'années. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy House ou les Lowell House. Savannah Dylan Hamilton | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Fêtard Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Coquette Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Assidue Plutôt romantique ou réaliste ? Réaliste Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Sympathique Plutôt altruiste ou égoïste ? Altruiste Plutôt optimiste ou pessimiste ? Optimiste Plutôt extraverti ou introverti ? Extravertie Plutôt sucré ou salé ? Les deux Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Pacifiste Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? plutot mourir Physique... Style vestimentaire Plutôt excentrique. Piercing Un au septum et les oreilles percées. Tatouage 8 tatouages. sur la hanche gauche, le coude gauche, l'intérieure de la cheville droite, derrière l'oreille gauche, 4 autres sur les poignets Je crois... Aux fantômes ? non À l'apocalypse ? non Aux coups de foudre ? oui À l'amitié fille/garçon ? oui Aux sexfriends ? oui À une religion ? non À la magie de Noël ? oui Au destin ? non Aux fins heureuses ? non Je/j'ai... Déjà fait un threesome non Une voiture oui. une mini cooper Bois de l'alcool oui Fume oui Prend de la drogue non Veux me marier oui Veux des enfants oui. 2 ou 3 Une maladie grave non Un lourd secret oui. A avorté en secret Mens souvent non Beaucoup d'expérience au lit non Beaucoup d'expérience en amour non Eu beaucoup de déception en amour non Eu beaucoup de déception en amitié non De la facilité à me faire des amis oui Des envies de meurtres non Peur du noir non Peur de la solitude oui De bonnes notes oui Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de Quincy House J'ai toujours été très proche de la nature, une sorte de hippie aimant participer à toutes les manifestations concernant la protection de la nature et des animaux. Peut-être que mon look plutot original y est pour quelque chose mais, les gens me trouvent plutot sympathique, sans prise de tête et chaleureuse. Si il y a bien quelque chose qui me stresse, c'est que quelqu'un me fasse la gueule ou me déteste. ou de Lowell House Le dessin. Depuis que je suis gamine j'adore dessiner et mes professeurs m'ont toujours dit que j'avais un dont dans ce domaine. Le dessin est une activité qui me passionne et qui me détend. Mais j'ai également une grande passion pour la musique, je collectionne de nombreux vinyles. |
Pseudo/Prénom L. Âge presque 21 ans ._. Pays/Région France Où as-tu connu le forum ? top sites Tes impressions c'est grand Crédits wanderlust Avatar Hayley Williams Scénario ou PI ? PI Facilité à s'intégrer ? l'accueil est plutot chaleureux donc 7/10 j'attends de voir le reste xD Mot de la fin |
Histoire
« Félicitations ! C'est une fille ! » S'exclame l'infirmière avant de me tendre vers les bras de ma mère. Ma génitrice était soulagée, elle obtenait enfin l'enfant qu'elle désirait. Il faut dire que mon frère ainé était une vraie tornade ce qui rendait ma mère complètement folle. J'ai pointé le bout de mon nez dans une clinique de la belle ville de Rome un huit aout mille neuf-cent quatre-vingt neuf. Ma mère étant italienne, cette dernière avait rencontré mon paternel alors qu'il était en voyage d'affaires ici. Ma mère descend d'une famille bourgeoise et mon père a hérité de la boite de publicité de mon grand-père. A vrai dire je ne suis pas restée en Italie très longtemps étant donné que je suis partie vivre aux Etats-Unis lorsque j'avais cinq ans. Mon père avait décidé de retourner dans son pays natal et plus précisément là où était le siège de son entreprise, autrement dit New York. A vrai dire ce changement d'horizon ne me perturba pas tellement. Etant donné que j'étais encore enfant, je ne me rendais pas réellement compte des changements qu'il pouvait y avoir dans ma petite vie. Hormis la langue ca va de soi. Mais comme mes parents m'ont toujours appris à parler couramment l'italien et l'anglais, je n'éprouvais aucune difficulté face à mes nouveaux petits camarades de classe. D'ailleurs j'ai toujours été le genre d'élève sérieuse et ce depuis que je suis petite. Bien que la plus part des autres enfants détestent aller à l'école, faisant des crises de larmes devant leurs parents, et bien moi j'étais ravie de trimbaler mon petit cartable et ma trousse pleine de stylos. Je n'ai jamais vraiment été comme tout le monde je le reconnais.
« Maman ! Tyler a cassé ma poupée ! » Hurlais-je à travers le salon en courant vers ma mère les yeux remplis de larmes. Mon ainé n'a jamais été très tendre avec moi. Toujours prêt à me faire subir tout et n'importe quoi du moment que je versais ma petite larme. Ma mère me prend dans ses bras et passe une main dans ma longue chevelure afin que je me calme. « Ce n'est rien ma chérie. Nous t'en rachèterons une demain. » Je me recule brusquement de ma mère, les joues légèrement rougies par les pleurs. « Je ne veux pas d'une autre poupée ! Je veux garder celle-là ! » M'exclamais-je en la serrant contre ma poitrine. Ma mère a toujours cru qu'elle pouvait tout faire en nous offrant absolument tout et n'importe quoi. Le problème c'est que je n'ai jamais été de cette mentalité là bien que je fus élevée dans une famille où l'argent coulait à flot. Venant d'une famille très - très très - aisée j'ai connu le luxe et j'ai toujours obtenu tout ce que je souhaitais. Mais détrompez vous, je ne suis pas une de ces filles hautaines qui jouent les stars et qui veulent que l'on réalise leur moindre désires. Non, je ne suis pas du tout comme ca. D'ailleurs j'étais assez gênée d'exposer ma richesse quand j'étais plus jeune. L'argent m'a toujours mis mal à l'aise. Mes parents ont toujours eu un grand plaisir à exposer leur fortune aux yeux de tout le monde. Allant à n'importe quel brunch pour que ma mère puisse exposer son nouveau collier en diamants de six cent milles dollars et que mon père montre à ses "amis" sa nouvelle voiture de sport. Tout ce paraitre m'agace plus que tout au monde. Les gens ne vous jugent meme pas pour votre vraie valeur, mais plutot pour le nombre de zéros qu'il y a sur votre compte en banque.
Au lycée je n'étais pas plus populaire qu'une autre. Bien entendu j'avais mon petit groupe d'amis, mais j'aimais avant tout rester discrète, me fondre dans la masse. Chose qui peut s'avérer relativement difficile lorsque l'on a les cheveux orange et un style vestimentaire qui se remarque à quinze kilomètres à la ronde. Mais au lycée il n'y a pas que la "mode", il y a aussi les garçons. Et en particulier un. Andreas. L'amour de ma vie. Le mec pour qui toutes les filles craquaient les unes après les autres. Au début je trouvais ca complètement ridicule. Je ne voyais absolument pas ce que toutes ces nanas pouvaient bien trouver à ce joueur de baseball. Et puis bizarrement j'ai fini par y prendre au goût moi aussi. Et je ne sais même pas par quel miracle j'ai réussi à l'attirer dans mes filets. Moi qui était persuadée que Andreas était le genre de mec qui ne sortait qu'avec les cheerleaders du lycée. En tout cas je fus agréablement surprise du comportement d'Andreas. Tout du moins au début de notre relation. C'est bien connu, au début tout est beau, tout est rose et tout vas bien. Jusqu'au jour où tout se dégrade sans que l'on ne sache pourquoi.
« Ton père et moi allons divorcer. » Me souffle ma mère d'une traite. « C'est une blague ? » M'exclamais-je, les yeux ronds comme des soucoupes. « Non ma chérie... Je suis désolée. » Ce fut surement une des pires nouvelles de ma vie. Même si au final cela ne me surprenait pas tant que cela. Mon père passait beaucoup plus de temps à faire le tour du monde pour son boulot, plutot que de passer du temps avec sa propre famille. Mon père trompait ma mère et ca je le savais. Je n'étais pas idiote au point. Surtout lorsque je le voyais rentrer au petit matin, débraillé. Mon père est alors partit vivre en Angleterre, pendant que mon frère et moi étions restés à New York avec notre mère. Moi qui pensait ne pas me remettre de cette séparation, ma vie prit une toute autre tournure lorsque l'on m'annonça que j'étais enceinte d'un mois et demi. Sous le choc d'une telle nouvelle, je mis quelques jours avant de prendre une décision. Avoir un bébé alors que je n'étais même plus avec Andreas m'était parfaitement inconcevable. J'avais rompu avec lui quelques semaines plus tôt et voilà que les galères commençaient. Ne me sentant absolument pas prête à devenir mère, j'avais décidé d'interrompre cette grossesse sans en informer mon ex petit-ami. Je n'avais pas la moindre envie qu'il me fasse une leçon de morale alors que ce n'était deja pas une décision facile à prendre. C'est seulement quelques jours plus tard que je lui ai annoncé que j'avais avorté. Bien entendu il prit très mal la nouvelle et une dispute éclata entre nous. Désirant à tout prix quitter la Grosse Pomme afin d'oublier tout ce qui avait pu s'y passer, j'ai alors décidé de partir vivre à Cambridge, afin d'aller étudier dans la prestigieuse université de Harvard. Là-bas je savais que j'allais pouvoir tout recommencer à zéro sans être jugée par qui que ce soit.
« Maman ! Tyler a cassé ma poupée ! » Hurlais-je à travers le salon en courant vers ma mère les yeux remplis de larmes. Mon ainé n'a jamais été très tendre avec moi. Toujours prêt à me faire subir tout et n'importe quoi du moment que je versais ma petite larme. Ma mère me prend dans ses bras et passe une main dans ma longue chevelure afin que je me calme. « Ce n'est rien ma chérie. Nous t'en rachèterons une demain. » Je me recule brusquement de ma mère, les joues légèrement rougies par les pleurs. « Je ne veux pas d'une autre poupée ! Je veux garder celle-là ! » M'exclamais-je en la serrant contre ma poitrine. Ma mère a toujours cru qu'elle pouvait tout faire en nous offrant absolument tout et n'importe quoi. Le problème c'est que je n'ai jamais été de cette mentalité là bien que je fus élevée dans une famille où l'argent coulait à flot. Venant d'une famille très - très très - aisée j'ai connu le luxe et j'ai toujours obtenu tout ce que je souhaitais. Mais détrompez vous, je ne suis pas une de ces filles hautaines qui jouent les stars et qui veulent que l'on réalise leur moindre désires. Non, je ne suis pas du tout comme ca. D'ailleurs j'étais assez gênée d'exposer ma richesse quand j'étais plus jeune. L'argent m'a toujours mis mal à l'aise. Mes parents ont toujours eu un grand plaisir à exposer leur fortune aux yeux de tout le monde. Allant à n'importe quel brunch pour que ma mère puisse exposer son nouveau collier en diamants de six cent milles dollars et que mon père montre à ses "amis" sa nouvelle voiture de sport. Tout ce paraitre m'agace plus que tout au monde. Les gens ne vous jugent meme pas pour votre vraie valeur, mais plutot pour le nombre de zéros qu'il y a sur votre compte en banque.
Au lycée je n'étais pas plus populaire qu'une autre. Bien entendu j'avais mon petit groupe d'amis, mais j'aimais avant tout rester discrète, me fondre dans la masse. Chose qui peut s'avérer relativement difficile lorsque l'on a les cheveux orange et un style vestimentaire qui se remarque à quinze kilomètres à la ronde. Mais au lycée il n'y a pas que la "mode", il y a aussi les garçons. Et en particulier un. Andreas. L'amour de ma vie. Le mec pour qui toutes les filles craquaient les unes après les autres. Au début je trouvais ca complètement ridicule. Je ne voyais absolument pas ce que toutes ces nanas pouvaient bien trouver à ce joueur de baseball. Et puis bizarrement j'ai fini par y prendre au goût moi aussi. Et je ne sais même pas par quel miracle j'ai réussi à l'attirer dans mes filets. Moi qui était persuadée que Andreas était le genre de mec qui ne sortait qu'avec les cheerleaders du lycée. En tout cas je fus agréablement surprise du comportement d'Andreas. Tout du moins au début de notre relation. C'est bien connu, au début tout est beau, tout est rose et tout vas bien. Jusqu'au jour où tout se dégrade sans que l'on ne sache pourquoi.
« Ton père et moi allons divorcer. » Me souffle ma mère d'une traite. « C'est une blague ? » M'exclamais-je, les yeux ronds comme des soucoupes. « Non ma chérie... Je suis désolée. » Ce fut surement une des pires nouvelles de ma vie. Même si au final cela ne me surprenait pas tant que cela. Mon père passait beaucoup plus de temps à faire le tour du monde pour son boulot, plutot que de passer du temps avec sa propre famille. Mon père trompait ma mère et ca je le savais. Je n'étais pas idiote au point. Surtout lorsque je le voyais rentrer au petit matin, débraillé. Mon père est alors partit vivre en Angleterre, pendant que mon frère et moi étions restés à New York avec notre mère. Moi qui pensait ne pas me remettre de cette séparation, ma vie prit une toute autre tournure lorsque l'on m'annonça que j'étais enceinte d'un mois et demi. Sous le choc d'une telle nouvelle, je mis quelques jours avant de prendre une décision. Avoir un bébé alors que je n'étais même plus avec Andreas m'était parfaitement inconcevable. J'avais rompu avec lui quelques semaines plus tôt et voilà que les galères commençaient. Ne me sentant absolument pas prête à devenir mère, j'avais décidé d'interrompre cette grossesse sans en informer mon ex petit-ami. Je n'avais pas la moindre envie qu'il me fasse une leçon de morale alors que ce n'était deja pas une décision facile à prendre. C'est seulement quelques jours plus tard que je lui ai annoncé que j'avais avorté. Bien entendu il prit très mal la nouvelle et une dispute éclata entre nous. Désirant à tout prix quitter la Grosse Pomme afin d'oublier tout ce qui avait pu s'y passer, j'ai alors décidé de partir vivre à Cambridge, afin d'aller étudier dans la prestigieuse université de Harvard. Là-bas je savais que j'allais pouvoir tout recommencer à zéro sans être jugée par qui que ce soit.
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