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Rain bring the rain {ft Rain

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Le soleil me réchauffait rien qu'en le voyant et j'en avais vraiment marre de rester enfermer. De vivre dans une routine boulot, couche et vomis. J'aurais bien dit dodo, mais je ne dors pas tant que ça. Alors, Madisson avait gentiment accepté de garder nos deux petits monstres tandis qu'elle essaiera aussi de réviser de son côté. Aujourd’hui, après les cours, je ne rentrais donc pas chez moi, mais partait à la connaissance ou plutôt une ancienne -amie?- d'enfance. Je l'avais revu que via Facebook et des années entière nous séparaient. Autant dire que nous n'étions plus les gamins d'autre fois du petit ghettos de Cleveland et se serait hyper drôle de voir ô combien on a changé. Et dire qu'il y a dix ans de cela j'étais du genre intenable, con et à sauter toutes les filles qui auraient pu succomber à mon charme.

C'est donc un joint à la bouche -on ne change pas les bonnes vieilles habitudes quand même- que j'arrivais dans les gradins du stade d'Harvard. Il y a tellement d'histoire derrière ses simples gradins, tellement de choses s'y aient passées. Appuyé sur une des barrière en ferraille, mon joint qui faisaient des aller/retour entre mes doigts et mes lèvres, je souriais en voyant la jolie demoiselle monter les marches. « Toujours aussi belle » Ouais, bon, je ne peux pas m'empêcher de faire mon charmeur et mon gentleman, c'est dans mes gênes de portugais on va dire. « Alors, comment ça va ? » Au final, ce n'était pas si bizarre que je l'aurais imaginé.
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Qui l'aurait cru. Austin Da Silva, à Harvard. Le gamin avec lequel tu avais l'habitude de faire les 400 coups, gamine, t'avais retrouvé sur Facebook, et était entré en contact avec toi après ... plusieurs années de silence radio. En acceptant son invitation, tu avais remarqué son appartenance à Harvard, et après un scroll sur son mur, tu t'étais rendu compte que vous étiez dans la même maison.

Un petit pincement t'avais alors tordu le coeur. Minime... Juste le fait que tu n'aie pas su qu'il était la, dans le même immeuble que toi. Tu t'étais rappelé ce sentiment d'impuissance, que tu avais sentit après le kidnapping. Toi qui te targue d'être tellement prudente, et au courant de tout ce qui t'entoure.
Mais, c'est vite oublié... Tu te dis que, pour une confrérie, les Mathers sont super nombreux, tu n'as donc pas à connaitre tout le monde. Tu te promis tout de même d'étudier de plus prêt la liste des étudiants.

Refermant ta veste, y toquant tes mains, tu t'approche du brun que tu vois plus loins.
Austin Da Silva ... à Harvard.
Qui l'eu cru !
Il n'avait même pas eu besoin de faire du chantage, au petit ami de sa mère, lui, pour que ce dernier lui paie ses études.
Il avait aussi les cheveux plus longs, note tu.
Il avait grandit.
Ses yeux semblent plus ... Rieurs ? Non... Satisfait? Tu ne sais pas encore.
"Toujours aussi Charmeur" réponds tu, arrivé à son niveau. Tu t'approche de sa joue, y dépose un baiser, et reprends "Oh ! ça va super bien, et toi ? " Demandes tu. Remarquant le joint entre ses doigts, tu le pique, en tire une bouffé, et ...
Oh My God
Ca t'avais manqué. Ca faisait au moins autant d'année, que tu ne t'étais pas autorisé un joint, te laisser aller, autrement qu'avec sexe ou l'alcool.
Et ça te manquais tellement.


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Je souriais alors que je lui faisais la bise. « Comme quoi, il y a certaines choses qui ne changent pas » riais-je avant de l'a laisser prendre mon joint. « On ne change pas une équipe qui gagne à ce que je vois ! » je reprenais à la voler mon joint pour reprendre mon dut. « Alors, on ne t'as pas appris les bonnes manières ? » riais-je. Rien de bien sérieux entre nous, comme d'habitude. « Et bien ma foie, super aussi ! Il fait beau, les cours son fini et je souffle un peu pour m'éloigner des couches et des biberons » Je les aimes mes bébés, mais parfois, ça fait un bien immense de décrocher de tout ça. De même que parfois je les prends pour que Madi' puisse aller voir ses amies, ce qui me semble logique. « Tu me raconte quoi alors ? Futur mather ! J'sais pas pourquoi, ça ne m'étonne même pas de toi » Je m'appuyais de dos contre la barrière afin de lui rouler sa propre conso et de lui tendre. « Tient, en signe du vieux temps ! »
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On ne change pas une équipe qui gagne. En effet non. Même si une équipe peut s'éloigner, pour une raison ou une autre. Ou plusieurs raisons. Ca reste encore une équipe.
Tu n'as pas du tout l'impression que vous vous étiez éloigné, retrouvant instantanément votre complicité d'antant, tandis que tu lui souriais en lui rendant son joint. Posant tes affaires sur le sol à coté de lui, tu te sens instantanément. Etait ce le poids de ton sac que tu était heureuse de perdre? "Les bonnes manières c'est pour les jeunes filles de bonnes familles, et celles qui veulent le paraitre" expose tu. Avec lui, tu n'as besoin de n'être ni l'une ni l'autre. Et ton regard narquois lui rappelle que tu ne l'es pas.
Il te réponds, continue même par te poser des questions sur ton bizutage, alors que tout ce que tu capte c'est les mots "couche" et "biberons" ... Oula...
Tu as raté un épisode.
"T'éloigner des quoi ???" Demandes tu, criant presque de surprise, omettant de répondre à sa question initiale... Même si tu n'oublie pas de prendre le joint qu'il te tends, presque machinalement.
Les habitudes ont la vie dure.

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J'aime bien sa façon de voir les choses et en même temps, entre nous on n'a jamais fait de chichis. Jte pique ta bouteille, ton joint, jte fou à l'eau et j'en passe des vertes et des pas murs, mais se sont des petits trucs qui, entre nous, nous on toujours fait mourir de rire. Je m'apprêtais à lui répondre, mais je fu pris d'un fou rire en voyant sa réaction. Je pouvais m'y attendre, car le Austin qu'elle avait connu autrefois n'aurait jamais pensé être père un jour. J'étais plus coup d'un soir et byebye à jamais ou plus tard si t'es vraiment un bon coup, vas y qu'on se tronche la gueule et j'en passe. Je reprenais mes esprits lui répondre calmement. « Ouais le grand Austin Da Silva est père figure toi ! De deux petits jumeaux ! » j'en étais fier, se sont mes précieux si vous voulez, alors même si c'était un accident, je ne les regrettais absolument pas !
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Tu revois Austin ! ça se fête. Avant, c'était toi qui ramenait ta propre réserve. Tu faisais tourner, parce que tu avais la meilleur came. Mais ça c'était avant. Aujourd'hui c'est lui qui invite.
Automatiquement, tu ramène le joint entre tes lèvres, tirant dessus une longue inspiration. Tu fermes les yeux, profite de la sensation apaisante de la fumé. Ce n'est pas tant la substance récréative, que la fumé elle même. Depuis des années que tu ne l'as pas fait, ça te manques. Alors tu en profite. Tu n'en profites pas totalement assez, pour perdre le fil de la conversation, étouffant presque cette fois, tu tousses avant de t'exclamer "Des jumeaux?? " tu tousse encore "Ca c'est ... quelque chose". Le petit pincement au coeur que tu ressens, à chaque fois que quelqu'un parle de bébé, refait surface. Mais tu l'ignore "Depuis quand?" demande tu avec un grand sourire, essayant d'oublier ce sentiment désagréable "Avec qui?" continue tu.
D'un geste faussement nonchalant, tu tire a nouveau sur ton joint... Maintenant, tu as besoin que ça commence à faire effet.



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Honnêtement, les gens qui me connaissent depuis longtemps, ne se seraient jamais attendu à ce que moi, Austin Da Silva, finisse par avoir des enfants. Enfin, bien sûr que je comptais devenir père et fonder une famille avec le temps, mais pas aussi vite et aussi tôt, mais ce qui est fait est fait et je ne regrettais absolument pas. "Ouais" disais-je en rigolant avant de recevoir deux, trois gouttes de pluie. "On ferait mieux d'aller s'habriter" disais-je en me mettant à descendre les marches une à une pour rejoindre un endroit sec, mais faut croire que nous étions beaucoup trop lent, car à peine avions pris la décision de bouger nos fesses des gradins, que des cordes de pluie nous fouttèrent en plein visage. "Ha putain !" Nous étions clairement pas prêt et faut dire qu'avec le magnifique soleil d'il y a quelques minutes, personne n'aurait imaginé qu'il se serait mis à pleuvoir ainsi. Alors, comme deux parfaits idiots, nous étions en train de courir ain de rejoindre les vestiaires. Les têtes que nous avions n'empêche. "Avec Madisson" disais-je tout essoufflé pour répondre à sa dernière question. J'essorais tant bien que mal mes cheveux. "Allons voir s'il y a des vêtements secs en attendant que ça se calme" disais-je en pénétrant un peu plus dans les vestiaires.
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