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we still got love to give (thomas)

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When we have our life to live
we're just young dumb and broke
( @thomas prada   )
Young Dumb & Broke ✰ Khalid

t’as un peu abusée, du Spring Break, de tout ça. t’as un peu abusée de toi même, pas calculer tes limites, comme obliger de te prouver que tu pouvais faire encore plus. putain, tes fatigantes et fatiguer. l’avant dernière nuit a été horrible, t’as suivit ses gens que tu considéré comme des potes, t’as avaler des trucs avec eux, fait la fête avec eux, pour au final, regretter amèrement. le bad trip été en vue, tu connaissait tes limites, tu sais très bien ce que ça fait de prendre cet drogue ou cet drogue selon ton humour et ta forme physique. mais tu voulais pas te dégonfler, tu voulais prouver à tout le monde que tu pouvais suivre la cadence, danser au même rythme que les autres, sans le penser vraiment. t’as été triste, puis t’as regretter et la monté d’adrénaline t’as fait vomir et saigner du nez. t’as appeler Jim en premier, parce que tu savais que ça aurait détruit tout ce que tu t’étais promis avec Thomas. ça aurait détruit tout ce que tu voulais changer dans votre relation. toute les belles paroles que vous vous êtes dites, n’aurais été que néant. alors t’as rien dit et tu l’a juste prévenue de la finalité des choses. l’hôpital, les médecins, les trois mois de merde qui vont venir. tu te sentait déjà faible et abrutie par les médicament, tu refusais de manger, et tu été persuadée que l’infirmière de garde te transfert du cérame pendant que tu dors, car t’as l’impression d’avoir pris du poids. tu touches ta bedaine quand l’infirmière t’appel, Thomas est venu, il est venu te prendre visite. tu te précipites dans le hall d’entrée pour le voir, un sourire aux lèvres, tu lui fait un signe avant de te jeter dans ses bras.
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❝ we still got love to give ❞
TOMATE & SOLEIL.

Des culottes. Merde. Tu paniques. Ne panique pas, calme-toi. Tu ne sais pas te calmer. Pas dans ce cas-là, dans ce cas délicat. Elle t’en demande trop à la fois pas assez. Elle devrait s’en douter le savoir, ça te gênes. T’es gêné, mal à l’aise. Qui sur Terre, qui de sensé demande à quelqu’un du sexe opposé de t’apporter des sous-vêtements propres dans le plus grand des putains de calme. Tu es comme ça, innocence, l’homme naïf. Des p’tites culottes qui te chamboulent te tournent la tête. La coupe rose sur tes joues, celle qui te brule la peau en pensant à ces bouts de tissus, pourtant juste di tissus qui se frottent aux reste de tes affaires dans ton sac à dos. Un enfant, c’est trop pour toi. Il t’en faut peu, juste trop peu. Tu penses à peine au fait que tu dois te rendre dans un hôpital, la voir elle. Elle. Enfermée, dans une chambre banche, les effluves de javel qui colle cotre sa peau. Frisson qui parcours ton corps un pied posé dans ces longs couloirs. Têtes inconnues qui t’entourent, pas envie de les connaître, juste un but, la trouver, t’enfermer, loin de tout ça, dans une bulle, votre bulle. Oublier que tu es dans un hôpital. Tu l’as trouvé, cette infirmière qui te demande qui tu viens voir, machinalement tu as juste répondu : Elle. Elle te regard les yeux écarquillés sans rien y comprendre, te demandes de répéter, mais ça te semble si évidant pour toi, hein. C’est elle, qui d’autre ? Heu, Solaris, Solaris Ferguson. C’est elle quoi. Tu l’as voit débarquer, son p’tit air angélique, une enfant dans sa chemise d’hôpital. Ses bras qui s’entourent autour de toi. Tu mets quelques secondes, de trop, tu réfléchis, à quoi ? Tu as le cul à l’air ? C’est comme ça, non ? Ils ont toujours le cul à l’air quand ils sont en blouses d’hosto, les gens. Juste d’un geste de bras sans attendre sa réponse, trop long, tu essayes de tirer le devant de sa chemise pour cacher son potentiel derrière trop aéré, à la vue de tous. Comme si c’était le tien, que personne ne devrait le voir. Mais beaucoup plus de personnes ont vu son cul que toi on a vu tes couilles. Tu es toujours collé contre elle, tes bras qui l’entourent, à l’abri des regards indiscrets. Un chuchotement presque, à son oreille. Qu’est ce t’as encore fait ? Tu sais bien que si elle est là, c’est pas pour rien. Hein. Qu’elle te demande des culottes propres, à l’hôpital.

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( @thomas prada   )
Young Dumb & Broke ✰ Khalid

Et de ton poids plume et des étoiles dans les yeux, tu te jettes dans les bras de ton partenaire, ton thomas, ta tomate, ton âme soeur. les étoiles, toujours, dans ces yeux aussi, qui pétille dans un verre champagne. tes bras autour de sa nuque, tu colles ton front contre son épaule, humant son odeur, enfin quelque chose d'humain, de réel, l'odeur permanente de la javel et des médicaments commencer à te monter au cerveau. "non, j'ai leurs culotte en papier, dégueulasse." de tes mots, l'infirmière roule des yeux, bah quoi ? c'est super nul, on peut rien faire, aucun geste brusque sans que la culotte ne tente de se rompre. tu lui adresses un sourire, encore plus quand tu sent ses petits doigts protecteur tirer sur ta chemise, oops, faut pas trop trier non plus, ça tiens qu'à un fil ces trucs là. tu maintiens d'ailleurs le devant, quand il tire le derrière histoire que le tisse ne lache pas dans tout les côtés. "fait gaffe." dis-tu dans un rire, les joues rosé. tu tire sa main pour aller à la machine à café, et aussi pour rester loin des regards pénibles du personnel. non ils n'avaient pas besoin de voir ce qui aller se passer, car non tu n'es pas un spectacle ambulant. c'est un peu le problème dans les hôpitaux dit psychiatrique, ils pensant que tu es folle, alors ils te regardent avec des yeux de merlan fries, attendant un coup de folie pour de nouveau te juger. non, tu ne te laissera pas faire. " tu m'a apporté ce que je voulais?" tu le pousse presque dans un coin paumer de l'hôpital, entre le stock a papier toilette et une machine à café en panne depuis pratiquement l'ouverture de cette endroit. trôner entre les deux, des sièges en mousses sur lequel tu t'assoie en tailleur. "j'ai rien fait du tout. enfin si, enfin c'est compliqué." compliqué parce que tu t'étais promise de ne pas l'embêter encore une fois avec tout ça, de ne pas tâcher tes idées noirs sur son âme pur et merveilleux. tu passes ta main sur la tienne, comme un besoin d'avoir de l'affection et surtout du contacte humain. mais pas n'importe lequel, la sienne. "j'ai abusée pendant le SB je crois… et c'est mon coloc Jim, qui m'a retrouvée à moitié morte dans les toilettes. j'ai vraiment crus que j'allais y passer." tu essaie de rire en le disant, essaie de ne pas être dramatique dans cette troisième tentative de suicide.
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TOMATE & SOLEIL.

Tu m'a apporté ce que je voulais? Ouais. Les fameuses, simples bouts de tissus qu’a juste y penser, t’en rougis déjà. La pointe des joues te brûle, la couleur inexistante dans un nuancier pantone qui s’écrase sur ta peau provenant des néons n’arrange rien. Tu es rose, orange, tu l’as suis, pourtant sans savoir où te mettre. T’es pas épais, pas trop grand, peut-être un peu lourd, ouais, mais là, tu sais pas où te mettre. Tu dois faire quoi ? Sortir les petites culottes de ton sac, bien soigneusement cachées non pas parce que t’as honte, au fond, tu ne veux pas que quelqu’un d’autre touche ses sous-vêtements, c’est comme si c’était les tiens, pas ceux que tu mets non. Pas comme ces mecs qui s’amusent à se prendre en photos, culotte de leur femme sur le cul. Ouais ça existe, tu l’sais, c’est ce site qui apparaît toujours en pub sur ton navigateur depuis que sans faire exprès, t’as cliqué. Le clique de trop, sur ce site dans mail, mauvaise pub, t’étais naïf, pas malin. Tu l’as faite, tu as vu ses sexagénaires nus, en dentelles. On ne sait jamais, peut-être, quelqu’un aurait fait ça avec ses bouts de tissus, à elle. ELLE. Euhm, oui, j’ai le paquet. Le colis, secret. T’es le transporteur, dans l’ombre, dans le silence. J’dois te donner maintenant ? Dans ton regard, un N.O.N se dessine tout en la fixant, ses prunelles au contact des tiennes dans la panique. Tu t’assois sur le siège à côté d’elle, une position virile, les jambes écartées, tes avant-bras qui se déposent sur le haut de tes cuisses. Tu l’as regarde, tu veux savoir. La connerie, encore. Celle de plus, tu continues de les compter, toi. J'ai abusée pendant le SB je crois… et c'est mon coloc Jim, qui m'a retrouvée à moitié morte dans les toilettes. j'ai vraiment crus que j'allais y passer. Tu baisses les yeux, un long soupire masqué par ses petits ricanements qui toi te font absolument pas tordre de rire, non. Deux choses qui te font chier : overdose et surtout Jim. Surtout, ce nom, son coloc, ouais son coloc, tes couilles son coloc. Jim ton cul. Tu regardes ailleurs un instant, l’air sérieux, sans rien dire, tu cherches les mots. Tu veux dire quoi ? Elle ne s’arrêtera sûrement jamais, t’es probablement le seul à garder espoir qu’elle arrête ses conneries. Laisse-moi deviner, tu voulais te sentir vivre, forte, comme les autres hein ? Tu veux aller jusqu’où comme ça.. tu veux vraiment que ça arrive ? Mourir, te laisser seul, en plan. Elle veut ça, sûrement, te quitter, se barrer, tu l’a fait trop chier. Pourquoi tu m’a pas appelé moi ? C’est "Jim" qui était là pour toi tout ce temps peut-être. C’est ironique, tu laisses trôner un mélange d’impatience et d’agacement. Tu ne l’a regarde même plus, t’es déçu. Touché en plein cœur. Pour si peu, ton âme sensible, au fond.

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