let's forget, let's drink (louison)

niveau folie, tu avais trouvé ton maître, Louison était sur le point de t'initier à des choses dont tu n'allais jamais oublier l'existence. toi qui n'avais jamais bu, tu te retrouvais sur la canapé vodka en main, alcool en gorge prête à te défoncer. sa petite remarque sur le fait que les femmes étaient aussi bonnes que les hommes te fit frémir et tu ne pus t'empêcher de mimer une tête de dégoût. tu t'imaginais jamais touché une femme. jamais, jamais. « la moule ne surpasseras jamais la frite ! » dis-tu solennellement. Louison te proposait à présent de la coke, y avait pas d'entre deux. tu pouvais pas commencer avec du shit ou un truc pour les débutants dans le genre ? t'étais là à hésiter, mais pas très longtemps, t'allais passer dans la poudreuse et tu parlais pas de ski. elle soutiens ton choix et pendant une seconde la conversation semblait dériver vers les exs. mais non, la blonde s'est repris. les mecs c'était sujet tabou maintenant. elle décida plutôt de passer à la leçon de morale. tu soupiras un peu saoulée, même si tu comprenais son inquiétude, mais t'étais plus une gamine. tu savais te tenir, enfin à peu près. « j'ai compris, j'ai compris ! je sais me contrôler, t'inquiète pas pour moi chat. » finis-tu par dire, un léger sourire en coin. le trait était tracé et tu écoutais les derniers conseils de ton amie, tu sortis donc un billet d'un dollar qui traînais dans ta poche arrière avant de la rouler soigneusement. un compte à rebours tournait dans ton esprit. 3... tu plaças le billet au-dessus de la ligne, 2... tu fermas les yeux, 1... tu bouchas ta narine, 0... tu inspiras un bon coup toute la ligne. tu rouvris les yeux après quelques toussotements et tu agitas ta tête comme pour te remettre de l'expérience. « arrête, tu vas me faire pleurer Chamberlain, puis on dirait que t'es sur le point de crever ! sois pas aussi dramatique. » dis-tu pour te moquer de l'état de la blonde, un état dans lequel tu allais bientôt être. tu dansas quelques minutes, profitant de cet effet où t'avais l'impression d'avoir conscience de chacune de tes cellules et chacun de tes muscles. tu te retournas ensuite vers Louison, tu lui pris les bras, essayant de la relever. « tu vois des trucs toi ? » lui demandas-tu surexcitée alors que le monde semblait être irréel. y avait plus que ton amie et toi et t'avais l'impression que vous étiez des déesses de ce monde de merde.

hj : ah mais si tu veux vraiment de taper des barres regardes les kassos, c'est excellent

À ton entrée à Harvard, ta bisexualité te taraudait, tu ne savais pas la gérer ni ce que c’était au juste cette attirance pour l’autre sexe. Mais depuis cette année, tout va mieux sur ce sujet, bien mieux. Tu es carrément à l’aise avec cette facette de ta personnalité, tout en restant toutefois d’accord avec les propos d’Anayah « Je te le fais pas dire, la frite bien salée c’est quand même meilleur » Erk, qu’est-ce que tu racontes timbrée. Tu passes ensuite aux choses sérieuses et tu présentes de la coke à ton amie. Tu sniffes une première ligne avant d’en dessiner une autre pour ta nouvelle junkie en herbe. Tu ne peux t’empêcher de lui faire une leçon sur les dangers de cette merde et tu vois bien que quoique tu dises, Anayah reniflera cette saloperie. Elle a perdu son meilleur ami, celui qui semblait compter plus que tout pour elle, donc c’est suffisant pour s’en foutre plein le nez. Pis de toute façon, tu ne vas pas la freiner, parce que tu sais à quel point tu avais eu besoin de ce truc quand tout s’était effondré pour toi début janvier. Aussi dingue que cela puisse paraître, la cocaïne et autres drogues t’avaient effectivement sauvé de tes pulsions bien plus autos-destructrices. Alors tu laisses Anayah faire disparaître la poudre et tu deviens tout à coup émotive. « Tu n’as pas dit que tu m’aimais, j’suis tristesse ! » Plus les secondes s’écoulent, plus tu perds possession de ton enveloppe corporelle, tu te dédoubles, l’effet est totalement celui que tu attendais. Tu n’es plus Louison Chamberlain, juste quelque chose qui gesticule et dont tu n’as plus vraiment conscience. Tu danses, les mouvements sont lents et saccadés. Tu t’écroules ensuite sur le sol en regardant le plafond qui change de couleur. Tu sens ensuite qu’on tire sur ton bras, que le tapis sous lequel tu es assise s’éloigne de tes fesses, alors que ce sont tes fesses qui le quittent « Heiiiiin ? » t’entends le murmure de la blonde à tes côtés et tu la dévisages avant d’étaler ta main sur son minois « Hahahaha, je t’ai effacé biatch » Tu pouffes de rire en titubant et tu regardes tes bras en panique « Merde, c’est normal d’avoir huit bras ? J’suis une araignée, bordel ! » Tu t’agenouilles comme une tarée et marches à quatre pattes en croyant que tu en as toujours huit. Tu t’approches d’Anayah et empoignes sa cheville pour la mordre à pleine dent. Non, là, ça va loin et tu ne peux même pas t’arrêter. « Moooordue, t’vas devenir spider-girl maintenant, bim dans ta gueule, va sauver le monde »

« je t'aime : un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. JE T'AIME CHAAAT ! » finis-tu par crier en sautant dans ses bras. la conscience, la tristesse et tous les éléments négatifs qui te retenaient de te lâcher quittaient peu à peu ton corps. ils firent place à des sentiments beaucoup plus appréciables comme l'euphorie et la légèreté. tu rejoins le tapis que tu avais transformé en piste de danse et tu t'y déhanchas alors que le reste de la pièce tournait autour de toi. y avait même Louison qui bougeait, à gauche, en haut... tu comprenais pas trop mais tu te dirigeais tant bien que mal vers elle pour essayer de la bouger. « j'sais pas ce que tu vois, mais t'entends rien ou quoi ? les oreilles c'est comme le cul, CA SE LAVE ! » tu braillais comme aurait pu le faire une collégienne avant de tirer la langue. la blonde eut la bonne idée de te coller la main au visage et bizarrement tu ne sentis même pas le coup et tu partis en fou rire. quand elle réussit enfin se lever, tu essayas de te concentrer sur son corps mais il ressemblait plus à une masse qui n'arrêtait pas de se démultiplier. «  attends, c'est pas huit bras que j'vois, c'est huit Louison.  » lâchas-tu, articulant à peine, avant de réexploser de rire. les choses vont un peu au ralenti et tu essayes de te dandiner au rythme de la musique comme tu peux, mais en vrai tu ressembles à une mamie en train de s'étouffer avec son dentier. en parlant de dentier, tu sentais des dents sur ta cheville, tu regardas plus bas et tu tombas sur la blonde à quatre pattes avec sa mâchoire qui encerclait ta jambe. «  putain non, moi j'voulais être Jane et me faire embrasser par spider-man partout, partout. » dis-tu alors que tes mains vinrent enlacer ton corps comme pour mimer un baiser passionné. soudainement, une chaleur envahit la pièce et le sol qui vacillait, prit les tons rouges. oh non, non, non. « THE FLOOR IS LAVA ! » tu criais pour avertir les Louisons que le sol commençait doucement à fondre avant de faire apparaître de la lave. ni une, ni deux, après un saut incroyable, tu arrives sur le comptoir de sa cuisine. «  vite Louison, meurs pas !! » putain, t'es vraiment dans un autre monde.  

 « Ah j’préfère ça mon bébé !!! » Tu réceptionnes la blondinette dans tes bras et la relâches pour remuer ton boule dans ton salon. Les effets de la drogue arrivèrent très vite, au point de te voir avec beaucoup trop de bras. D'ailleurs, si toi tu souffrais d'hallucinations visuelles, pour Anayah, cela semblait être des hallucinations auditives qui la perturbaient. « Tais toiiiii, je vois pas ce que tu entends… ah si, j’entends un carillon, j'adore ce bruit » t’exploses de rire et t’étales sur le sol en endossant le rôle d’une putain d’arachnide. Tu te désarticules comme la salope de the Grudge qui t’a fait flippé toute ton adolescence. T’arrives enfin face au mollet de ton amie et tu croques dedans pour la transformer en… Spider-Woman, un truc dans le genre. Anayah semble déçue du don que tu voulais lui transmettre. Tu te relèves péniblement, prête à lui donner ce baiser, mais la blonde gueule comme une malade. Le sol est maintenant en train de devenir de la… lave. Tu fronces tes sourcils et suis péniblement le corps de la belle qui s’agite dans la piaule multicolore. Anayah saute sur un bateau au milieu d’une cuisine. Qu’est-ce que c’est que ce bordel. « J’arriiiiiive ! » Tu prends alors de l’élan pour la rejoindre sur sa barque, mais étant assez petite, tu te manges l’angle du vrai comptoir dans le bide. Tu rebondis alors et tombes violemment au sol en te pliant en deux « Aïeeeeeeeeee, j'ai boobooooo » Complètement énervée par ta chute, tu te remets sur pieds et attrapes un tabouret que tu envoies à travers le salon. Super, maintenant tu te sens dotée de super-pouvoirs et d’une force démesurée comme Hulk. Tout à coup, plusieurs coups sourds provenant de la porte d’entrée se font entendre. Tu sursautes et inspectes tes biceps que tu crois complètement énormes « Oooh putain, j’suis sûre que c’est cet enculé de Thor, il vit en face et dès que je fais trop de bruit, il rage » confies-tu à Anayah encore perchée sur son ilot qui te semble flotter au beau milieu d'un marécage « J’vais lui défoncer sa gueule, même pas peur de son marteau, j’vais lui mettre dans l’cul » tu pouffes de rire comme un démon et te diriges lourdement vers la porte d’entrée « Hey, si vous continuez ce boucan, j’appelle les flics bande de tarées » entends-tu, la main sur la poignée, prête à ouvrir. Tu passes alors ta tête par ton épaule en dévisageant Anayah au loin « On se le fait ? » 

t'étais bien dans les bras de la blonde, juste bien mais elle préféra te pousser pour aller se trémousser comme une catin de 70 ans à la recherche de client sur son tapis et... tu fis pareil. tu explosais de rire aux réponses incompréhensibles de Louison, pourtant sous l'effet de la coke, elle semblait avoir du sens. y a pas que des trucs chelous qu'elle disait. elle faisait des trucs bizarre aussi, comme se faire passer pour une araignée, enfin c'était plus du foin qui semblait se déplacer à quatre pattes. malheureusement, tu te retrouvas infectée par la blessure incurable qu'on fait les 32 dents de la Mather sur ta jambe. mais toi, tu pensais juste à ta chance d'embrasser Spider-Man qui partait en fumée. tu te perdais dans tes baisers, mais ton sens de la survie t'alerta que le sol se transformait en lave et que tu devais vite bouger de là pour pas finir en cendres. tu sautas sur le comptoir de sa cuisine et alors que Louison essayait de te rejoindre, elle se prit le rebord du meuble et s'étala sur le sol. du coup, naturellement, tu explosas de rire sans te soucier des potentiels bobos de ton amie. tu te pliais en quatre mais t'en vins même à perdre ton équilibre et tu te ramassas également. « karma is a bitch only if you are comme le disait... Baudelaire ? Shakespeare ? ah non, Pluton... mea culpa c'est Platon. » que tu lançais, en te frottant la tête qui venait de subir un choc. ta culture génrale semblait disparaître bousculée par tous les effets de la drogue. tu faisais à peine gaffe au tabouret que la blonde avait fait voler tout le long de la pièce. « Thor vs Spider Woman. mais j'en fais qu'une bouchée meuf. » tu réagissais aux coups de portes du voisins et à sa voix caverneuse qui te donnait mal au crâne. tu la rejoignis près de la porte et dès qu'elle l'ouvra, tu balancas tes bras près de la face de Thor le voisin, prête à l'ensevelir de tes fils de soie. c'était ça ton super-pouvoir non ? tu fis quelques tentatives mais il ne se passait rien, alors tu jetas un coup d’œil à tes poignets pour voir s'ils étaient pas cassés, devant la tête hébété du voisin. « haut les mains ! j'vous arrête parce-que vous nous faites chier là. » finis-tu par dire, déconcertée d'avoir perdu tes pouvoirs, mimant un flingue avec des doigts. un flingue qui dans ta tête, te semblait bien réel. « puis vaut mieux me laisser faire parce-que si elle s'en mêle, j'peux pas vous promettre que vous allez vous en sortir vivant. » tu soupirais en désignant la tête brûlée qui se tenait près de toi d'un signe de la tête.

hj : désolée du retard

Le délire de malade. Araignée, lave en fusion, barque, gamelles. C’est dommage que tu ne t’en souviendras que très peu le lendemain. C’est une soirée de fou que tu passes avec Anayah, le type de soirée que tu préfères et qui t’avait manqué, faute de personnel pour t’accompagner dans ce type d’aventures. Bah maintenant, t’as trouvé THE meuf avec qui partager ta démence. Alors que tu te manges le rebord du comptoir pour rejoindre Anayah, tu entraînes chez cette dernière un fou rire qui l’amène à se vautrer à son tour. Tu la pointes du doigt et rigoles comme une sorcière d’un Disney pourri. Pis là, elle te sort une citation qui te torture les méninges, t’entends même le prénom Pluton et ton coeur se crispe « Parle pas de Pluton, c’est interdiiiit, c’mon mien dans mes rêves, touche pas » grommelles-tu alors que quelques coups sourds ainsi que la voix de ton abruti de voisin résonnent dans ton appart. Tu te diriges instantanément vers la porte, prête à affronter « Thor » tandis que tu te prends pour « Hulk » nawak. « Une bouchée ? T’as aucun pouvoir toi, t’es une simple mortelle, sois pas jalouse ! » la main sur la poignée, tu la tournes et ouvres enfin pour apercevoir le dieu nordique. Anayah déboule à tes côtés et couvre le visage du jeune homme d’une fausse toile d’araignée. Tu te marres en gonflant tes biceps invisibles pour terroriser le brun. Ta pote troque ensuite son pouvoir à la con contre un gun fictif, ça part loin là. « Tu veux te joindre à la fête Gunther ? » Tu sais même pas quel est son nom, tu veux juste qu’il s’appelle comme ça ce soir, un point c’est tout. « Deux femmes pour toi, ça ne t’est jamais arrivé j’paris » Tu fais gigoter tes épaules pour remuer ta poitrine et tu sors sur ton pallier pour te frotter à lui comme s’il était une barre de pole-dance. Tu lui mets une fessée et exploses de rire. Il fait de drôle de yeux le monsieur. Il est pas content on dirait. « Vous êtes dingues, si dans DIX minutes vous continuez ce boucan, j’appelle les flics ! Alors toi, tu vas te frotter ailleurs et toi, tu diriges ton pistolet imaginaire vers ta gueule, pas la mienne » Complètement choquée qu’il puisse parler ainsi, tu regardes ton amie la bouche grande ouverte et lui balances « Poooh ! Poooh ! Poooh! » en jouant à la petite délinquante « On va s’assagir, promis Gunther, n’est-ce pas Josie ? Tu vas te calmer hein ? Elle est pas sage, mais dès que je lui aurais bouffé la chatte, ça ira mieux » Un rire nerveux s'échappe de tes lèvres liées et provoque un bruit de pet entre vous trois. Gunther aka Thor tourne les talons et claque la porte de l'appartement en face. T'en fais alors de même en envoyant un double fuck quand ta porte se referme. « Pas marrant lui »

apparemment même sous coke, louison semblait folle de pluton. juste la mention de son nom l'avait faite réagir « bah ça va, tu pourrais partager ! » que tu réponds juste pour la faire chier. parce-que clairement, elle voulait pas le partager. puis tu te remets vite de ta chute, fallait que tu aides la blonde à virer son voisin le méchant mais quand elle te dit que t'es une simple mortelle sans pouvoir, ça te fait mal au cœur. alors quand t'essayes d'asperger le voisin de fil de soie, tu te rends comptes qu'elle avait raison et que t'avais zéro pouvoir, rien, nada. alors t'utilises un flingue, t'avais que ça sous la main. tu baisses les mains laissant louison s'occuper du voisin après ton échec monumental. tu pouffes de rire devant sa tentative de le séduire, voilà qu'elle le chauffe, qu'elle se frotte à lui. c'était sûrement la fessée qui était de trop, il devient tout rouge. de gêne ou de colère ? tu sais pas trop, ce que tu sais c'est qui ressemble à une tomate et tu peux pas t'empêcher de rire alors qu'il te gueule dessus. « j'ai besoin de mon taux d'orgasme quotidien sinon je pète les plombs. et aujourd'hui j'en ai eu qu'une vingtaine... » commences-tu à répondre et lorsque Thor tourne les talons, tu cries « c'est vrai que thérèse est pas mal mais j'préfére ton 11cm Gunther ! ». la porte se referme et tu retrouves de nouveau avec la blonde, sans Gunther... dommage. tu te poses sur le canapé, t'as aucune notion du temps mais toutes ces aventures commencent à te fatiguer et un mal de ventre t'attaque soudainement. « pas drôle du tout même. » que tu murmures affalée dans son sofa. 

Spoiler:

Trio de choc devant ton appartement. Une tension digne d’un bon vieux western s’installe. Enfin, ça ressemble plus à une comédie ratée pour adolescents où deux jeunes femmes découvrent pour la toute première fois les dérives de la drogue. Vous faites face à un voisin tout coincé qui vous menace d’appeler les flics pour vous remonter les bretelles. Sauf que rien ne monte à ta caboche, t’as peur de rien à cet instant. Pas même des keufs. « Vingt orgasmes ? Ah ouais, c’est trop peu, faut faire monter le quota ET avant minuit Cendrillon, vite !!! » En réalité t’sais même pas l’heure qu’il est. Peut être qu’il est déjà le matin. Bref, à vous deux, vous arrivez à le faire fuir et Anayah en rajoute des caisses pendant que tu refermes la porte. Tu pouffes de rire tout en te sentant happé par un vide angoissant. Tu portes ta main à ton front qui change de température toutes les secondes. Merde, le bad trip. « Oh oh, je vis la plus grosse dépression de ma vie on dirait » Tu suis ton amie vers le canapé et t’affales à ses côtés. Tu n’as plus aucun tonus, ton corps s’échoue contre celui d’Anayah qui répète tes mots dits précédemment à l’encontre du voisin. « Hey, on est dans un ma… ma… manège nan ? » Tout tourne autour de toi, tu finis alors par fermer les yeux, malgré que la musique tourne encore et que les luminaires soient encore en train de scintiller. T’es trop fatiguée. Beaucoup trop. Tête contre tête, vous finissez alors par vous endormir pour sûrement vous réveillez dans quelques heures avec une envie de dégobiller. Tes dernières pensées conscientes se dirigent vers le même visage, celui d'un Dunster et se dissipent pour laisser place à une succession d’images qui n’ont aucun lien entre elles…